Bursa

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Bursa (prononcé en turc {{#ifeq:1|0|['bursa]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}), parfois Brousse (ou Pruse) en français, du grec ancien Modèle:Grec ancien, est une ville du nord-ouest de l'Anatolie en Turquie, capitale de la province du même nom. Bursa fut la seconde capitale de l'Empire ottoman, de 1326 à 1366.

Avec une population de Modèle:Nombre en 2023, il s'agit de nos jours de la quatrième ville du pays ainsi qu'un important centre industriel et culturel.

La ville est située sur le versant nord-ouest des montagnes dominées par l'Uludağ, montagne connue par les géographes comme l'Olympe de Bithynie, au sud de la région de Marmara. Elle est bordée par la province de Yalova et la mer de Marmara au nord, les provinces de Kocaeli et Sakarya au nord-est, la province de Bilecik à l'est et les provinces de Kütahya et Balıkesir au sud.

La ville est surnommée Yeşil Bursa, « Brousse la verte », en référence aux nombreux parcs et espaces verts qui jalonnent l'agglomération ainsi qu'aux forêts qui couvrent les environsModèle:Référence nécessaire. La ville est au pied du massif du Mont Uludağ<ref>Frédéric Hitzel, « Production et techniques de tissage de la soie à Bursa aux XVe et XVIe siècles », Rives méditerranéennes 1/2008 (n° 29), p. 11-24.</ref>, réputé pour ses stations de sports d'hiver. Son patrimoine historique comporte les mausolées des premiers membres de la dynastie ottomane et les nombreux édifices construits pendant cette période marquent encore la ville de leur empreinte<ref>Modèle:Lien web</ref>. La ville, située au centre d'une région fertile connue pour son thermalisme, possède de nombreux musées, notamment un riche musée archéologique.

Karagöz et Hacivat, les deux personnages du théâtre d'ombres, sont nés et enterrés à Bursa. La ville est célèbre pour ses spécialités gastronomiques, notamment les châtaignes et les pêches ainsi que l'İskender Kebap. À proximité de la ville se trouvent le district d'İznik, l'antique Nicée, connue pour son histoire et ses édifices majeurs. Bursa est le siège de l'Université Uludağ et sa population possède l'un des plus hauts niveaux d'études du pays. La ville est un pôle d'attraction traditionnel des réfugiés des Balkans, arrivés par vagues successives jusqu'à une période récenteModèle:Référence nécessaire. En 1991, la ville était récompensée du Prix de l'Europe.

Géographie

Topographie

Démographie

Lors de la conquête par le sultan Orhan, le Modèle:Date, la ville ne comptait que 2 000 foyers<ref>« Bursa in numbers. » sur Bursan Metropolitan Municipality.</ref>.

Bursa comptait Modèle:Nombre en 1487<ref>Salma Khadra Jayyusi, Renata Holod, Attilio Petruccioli et André Raymond, « The city in the Islamic world, Volume 1 », p. 362.</ref> et, selon une estimation, environ 65 000 en 1573-1574<ref>Gilles Veinstein, compte-rendu de « Suraiya Faroqhi, Towns and Townsmen of Ottoman Anatolia. Trade, Crafts and Food Production in an Urban Setting (1520-1650) », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1988, vol. 43, n° 2, p. 521.</ref>.

En 1848, le voyageur historien Baptistin Poujoulat écrit dans Récits et souvenirs d'un voyage en Orient que la ville compte Modèle:Nb Turcs, Modèle:Nb Arméniens et Modèle:Nb Grecs<ref>Baptistin Poujoulat, Récits et souvenirs d'un voyage en Orient, Tours : A. Mame, 1848, Modèle:P. (lire en ligne).</ref>.

{{#invoke:Démographie|demographie}}

Histoire

Fondation et étymologie

Le site est tout d'abord connu sous le nom de Kios (en grec, ou Cius en latin) quand il est cédé par Philippe V de Macédoine au roi de Bithynie, [[Prusias Ier|Prusias {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], en -202 pour son aide contre Pergame et Héraclée du Pont (la moderne Karadeniz Ereğli). Le roi lui donne alors son nom : Pruse, en latin Prusa ad Olympum (Pruse de l'Olympe).

Capitale de l'Empire ottoman

La ville voit son importance grandir car elle est située à l'extrémité occidentale de la route de la soie. Elle appartient à un Empire byzantin en plein déclin quand elle est conquise en 1326 par le sultan Orhan. Elle devient alors la capitale du nouvel empire et des premiers sultans ottomans de 1326 jusqu’en 1366, lorsque son fils [[Mourad Ier|Mourad {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] la remplace par Andrinople<ref name="ref-1">Marthe Bernus-Taylor, « Le décor du « Complexe Vert » à Bursa, reflet de l’art timouride », Cahiers d'Asie centrale, 1997, p. 251-266.</ref>. De par son statut de capitale, de nombreux bâtiments y sont construits, dont une école de théologie qui attire de nombreux étudiants en provenance de tout le Moyen-Orient, école qui se maintiendra sur place après la perte du rang de capitale.

La ville perd progressivement de son influence quand les villes de Didymotique et d'Andrinople sont conquises par les Ottomans en 1366. Mais Brousse demeure une ville appréciée des sultans qui y développent l'art ottoman<ref name="ref-1" />, la ville restant un important centre administratif et commercial.

En 1402, à la suite de la bataille d'Ankara, Brousse, alors sous contrôle du sultan ottoman [[Bajazet Ier|Bajazet {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], est mise à sac par Tamerlan, puis à nouveau, après un siège de 34 jours, par le bey karamanide Nâsıreddin Mehmed II<ref name="ref-1" />.

Le commerce de la soie

Fichier:Bursa.jpg
Brousse vers 1890
Fichier:3. Turquie d'Asia - 1. Vilayet de Houdavendighiar - 03. Planche.png
Costumes de Juifs de Brousse (vilayet de Hudavendighiar), 1873

Sous la domination ottomane, la ville est le centre de production de soieries royales, facilitée par la culture du mûrier aux alentours du Nilufer<ref name="ref-1" />. En plus d'une sériciculture locale de grande ampleur, on y importe de la soie naturelle principalement en provenance d'Iran (via Tabriz et Trébizonde)<ref name="ref-2">Xavier de Planhol, « Études récentes en Turquie », Annales de Géographie, 1963, t. 72, n°392. p. 496.</ref> et parfois de Chine. Elle est alors le centre de confection de caftans, la longue tunique traditionnelle, ainsi que celui des coussins, de la broderie et d'autre soieries ornant les palais impériaux jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La ville est aussi le centre de production de couteaux et de carrosses.

Aujourd'hui encore, la ville reste un éminent centre de production de soie naturelle, avec un million de mètres de tissu par an<ref name="ref-2" />. En dehors de l'industrie textile, la ville a au fil du temps développé des industries variées, comme la coutellerie et l'industrie automobile (Renault, FIAT et Peugeot y sont présents).

Les grands tremblements de terre

Fichier:P1270579 Baader Tzigane.jpg
Louis-Marie Baader : Tzigane à la porte de Brousse [Bursa désormais] (1885, huile sur toile, musée des beaux-arts de Morlaix)
Fichier:Bursa Kalesi 1.jpg
Château ottoman de Brousse.
Fichier:Bursa Orhan Gazi Mosque.jpg
Mosquée d'Orhan.
Fichier:Bursa Koza Han (Silk Bazaar).jpg
Bazar de la soie (Koza Han)

Comme la majeure partie du pays, Bursa est située sur une faille sismique. Partiellement détruite par des tremblements de terre mêlés à des incendies importants, elle fut reconstruite à chaque fois, notamment après les deux séismes de 1855 et 1905. Après celui de 1855, qui détruisit presque toute la ville<ref name="ref-4">Edmond Dutemple, « En Turquie d'Asie: notes de voyage en Anatolie », Charpentier, 1883, p. 58.</ref>, c'est à l'architecte français Léon Parvillée que le gouvernement ottoman fit appel pour restaurer les monuments endommagés<ref>Albert Gabriel, « Une capitale turque, Brousse », Paris, 1958, p. 81.</ref>. Quant aux habitations, peu d'entre elles antérieures à ces catastrophes sont encore debout<ref>« L'Habitat traditionnel dans les pays musulmans autour de la Méditerranée. », volume 1 d'Études urbaines, Institut français d'archéologie orientale, 1991.</ref>.

Fin de l'époque ottomane

À l'époque des tanzimats, l'Empire ottoman entreprend de grandes réformes afin de se moderniser : la province ottomane de Hüdavendigâr, dont Bursa est la capitale<ref>Daniel Panzac, analyse bibliographique de « Justin McCarthy : Muslims and Minorities, The population of Ottoman Anatolia and the End of the Empire », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, 1985, vol. 39, n° 1, p. 236.</ref>,<ref>« 1ère Capitale Bursa : Bursa, première capitale de L’empire ottoman - la province Hudavendigar des Ottomans. », sur le site du ministère de la Culture et du Tourisme de la république de Turquie.</ref>, est l'une des premières après Istanbul où des plans urbanistiques modernes sont mis en œuvre. En 1864, la province devient le vilayet de Hüdavendigâr.

Ahmed Vefik Pacha, envoyé à Brousse en tant qu'inspecteur régional des provinces de l'ouest de l'Anatolie (Anadolu sağ kol ciheti müfettişi) entre Modèle:Date et Modèle:Date, s'attelle à la mise en œuvre des réformes. Homme de lettres et diplomate, ancien ambassadeur à Téhéran de 1851 à 1854) et à Paris de 1860 à 1861<ref>Jean-Louis Bacqué-Grammont et Hâmit Batu, « L'Empire Ottoman, la République de Turquie et la France », Institut français d'études anatoliennes, 1986, p. 99.</ref>, il avait déjà œuvré à Constantinople, en tant que ministre des evkâf (Evkaf Nezareti), à la restauration de la mosquée Süleymaniye en 1861. Passionné de théâtre (il traduit Molière en turc), il fait construire à Brousse un des premiers théâtres de l'empire hors de la capitale<ref>Robert Mantran (dir.), Histoire de l'Empire ottoman, Fayard, 1989, p. 491.</ref>,<ref>Anamur Hasan, « La structure socio-culturelle de l'Empire ottoman au XIXe siècle et les traductions de cette époque », Romantisme, 2006/1 (n° 131), p. 7-7</ref>.

Le premier plan d'urbanisme moderne, confié à Karl Lörcher en 1924, n'a jamais été mis en application<ref>« Cultures et milieux urbanistiques dans le Sud de la Méditerranée. », volume 2 - analyse par pays, Ministère des Affaires Étrangères - ISTED - PRUD, p. 16</ref>,<ref>« Steps taken on the way to planned urbanization. » sur Bursan Metropolitan Municipality.</ref>.

Dans ses carnets de voyage, Edmond Dutemple affirme que les aristocraties grecque et arménienne y résident en villégiature<ref name="ref-4" />.

À la fin de la guerre d'indépendance turque, Mustafa Kemal Atatürk séjourne à Bursa avec son gouvernement et son état-major pour superviser les dernières opérations de la guerre contre la Grèce et les négociations avec les puissances occidentales. C'est à Bursa qu'il décide l'abolition du califat<ref>Andrew Mango, Ataturk, ed. John Muray, 1999[1]</ref>.

Bursa à l'époque contemporaine

En 1991, la ville reçoit le Prix de l'Europe<ref>« Villes lauréates du Prix de l’Europe (1955-2011). » sur le site de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe.</ref>.

Organisation de la ville

Administration

Bursa est la préfecture (valilik) de la province (il) du même nom et regroupe dix-sept districts (ilçeler, en turc) dont trois qui forment la métropole de Bursa et quatorze districts ruraux. Le district principal est Osmangazi où se trouve la plupart des monuments historiques.

Transports et communications

Infrastructures routières

La ville se situe à la jonction de plusieurs routes importantes. Elle est notamment reliée à Istanbul (Modèle:Unité) par les autoroutes Modèle:Cartouche route/Modèle et Modèle:Cartouche route/Modèle via Kocaeli, à Izmir par la Modèle:Cartouche route/Modèle et à Ankara (Modèle:Unité) par la Modèle:Cartouche route/Modèle.

Transports urbains

Fichier:Bursa Tramvayı.jpg
Le Bursaray, système de métro léger.

Métro

Bursa possède deux lignes de métro léger, le Bursaray, inaugurées en 2000. Une extension de Modèle:Unité est en cours de réalisation, en partie financée par la Banque européenne d'investissement<ref>« Deuxième phase du réseau de métro léger de Bursa » sur le site de la Banque européenne d'investissement.</ref>. À terme, le réseau devrait cumuler Modèle:Unité de lignes.

En 2012, la ville de Bursa achète 44 rames type T d'occasion au métro de Rotterdam<ref>railjournal - bursa acquires rotterdam metro</ref>.

Desserte ferroviaire

Fichier:Rail transport map of Turkey.png
Le réseau ferroviaire turc en service et en projet

La ville est reliée à Ankara, Istanbul et Izmir par le train.

Un projet de construction d'une ligne à grande vitesse devrait relier la ville à Osmaneli, sur la ligne Istanbul-Ankara, partiellement en service, après une première ligne Ankara-Konya dont la construction a démarré en 2006.

Communications extérieures

La ville est desservie par un aéroport (code AITA : BTZ).

Cadre de vie

Enseignement

Fichier:190220082082.jpg
Université Uludağ

L'Université Uludağ (Uludağ Üniversitesi, en turc) est située à Bursa et demeure l'une des universités les plus en vue dans le pays, notamment dans la région proche de la mer de Marmara. Fondée en 1975, elle est d'abord connue sous le nom d'« université de Bursa » puis rebaptisée « université Uludağ » en 1982<ref>« About Uludağ University. », sur le site officiel de l'université Uludağ.</ref>. Durant l'année 2005-2006, l'université accueille Modèle:Nombre.

Média

TV : Olay TV, ASTV, Line TV, Bursa TV, Köy TV, Bursaspor TV, Kanal 16 (İnegöl), Süper Kanal TV (İnegöl).

Sports et loisirs

En Modèle:Date-, la ville a organisé les Modèle:30es championnats d'Europe de boxe amateur.

Fichier:BursaSpor Flag 2006.JPG
Un drapeau du Bursaspor.

La ville possède son équipe professionnelle de football, le Bursaspor, évoluant dans le championnat élite. Ses joueurs, surnommés les « Alligators Verts » (Yeşil Timsahlar, en turc) en raison de leur maillot vertModèle:Référence nécessaire, jouent au Stade Bursa Atatürk. Pour la première fois de son histoire, le club de football a été champion de Turquie en 2009-2010, rejoignant le club très fermé (au nombre de quatre jusqu'alors) des vainqueurs du championnat turc.

La ville fut candidate pour l'organisation des Jeux olympiques d'hiver de 2018, jeux qui auraient eu lieu dans le massif de l'UludağModèle:Référence nécessaire.

Elle a organisé, en Modèle:Date, le Championnat du monde d'échecs par équipes

Économie

Industrie

La région de Bursa est, avec Istanbul, İzmir et Adana, une des premières du pays à concentrer des implantations industrielles<ref>Marcel Bazin et Stéphane de Tapia, « L'industrialisation de la Turquie : processus de développement et dynamiques spatiales. », Méditerranée, Tome 87, 3-4-1997. Industries en Méditerranée de la marginalisation à la mondialisation. p. 121.</ref>. En 1932 Bursa concentrait 8 % des industries turques<ref name="ref-3">Jean Soulas, « L'essor économique de la Turquie contemporaine. », Annales de Géographie. 1939, t. 48, n°274. p. 408.</ref>.

En 1848, un gisement de chrome découvert à Bursa en lance l'exploitation. La Turquie en devient vite un grand exploitant, et en 1935 le pays représentait 40 % de la production mondiale<ref name="ref-3" />.

En 1990, l'industrie à Bursa employait 163 290 personnes, soit 6 % de la main-d’œuvre nationale<ref>Marcel Bazin et Stéphane de Tapia, « L'industrialisation de la Turquie : processus de développement et dynamiques spatiales. », Méditerranée, Tome 87, 3-4-1997. Industries en Méditerranée de la marginalisation à la mondialisation. p. 130.</ref>.

Bursa est à la pointe de la production automobile turque<ref>« Turkey’s automotive industry going nonstop. » sur Todayszaman.com, le 5 mai 2007.</ref>. Depuis plusieurs dizaines d'années, Fiat y possède l'usine Tofaş et Renault d'importantes chaines de montage, au sein d'Oyak-Renault. Elle est également connue pour sa production textile et son industrie alimentaire dont la production de conserves. Elle accueille également la production d'importants groupes mondiaux comme Coca-Cola et Pepsi-Cola.

Traditionnellement, la ville est connue pour ses environs fertiles et ses activités agricoles bien qu'en déclin et progressivement repoussées par l'industrialisation galopanteModèle:Référence nécessaire.

Tourisme

Bursa est également une importante destination touristique : domaine skiable du massif du mont Uludağ et thermalisme remontent à l'époque romaine.

Jumelages<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Liste des villes jumelées, site de la municipalité de Bursa, consulté le 28 août 2012</ref>

Modèle:Colonnes

Culture et patrimoine

Architecture

La ville compte plus de 300 monuments<ref name="ref-1" />. Un grand nombre de mosquées couvrent la ville, notamment la « mosquée Verte » (Yeşil Cami, en turc), la mosquée d'Orhan, la Modèle:Lien, la mosquée Emir Sultan et la grande mosquée. La ville possède également d'importants musées : musée archéologique, musée de la ville, musée d'Atatürk, musée d'art islamique, musée d'Iznik. Parmi les autres sites notables figurent le village de Cumalıkızık, le bazar Yıldırım, l'enceinte fortifiée de la ville, ses sources chaudes (Çekirge, Armutlu, Oylat et Gemlik) et ses plages (Armutlu, Kumla, Kurşunlu et Mudanya) ainsi que le parc national du mont Uludağ.

Fichier:Pano Bursa.jpg
Vue panoramique du centre-ville.

Culture populaire

La ville est souvent évoquée dans les chansons « rebétika » comme l'endroit où l'on trouve le meilleur haschich<ref>par exemple Héroïne et haschich (S. Gavalás, 1935): « Louange à toi Bursa, renommée dans le monde entier »</ref>Modèle:Référence à confirmer.

Gastronomie

L'Iskender Kebap est une spécialité culinaire de Bursa à base de viande grillée, mise au point au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Kenneth F. Kiple et Kriemhild Coneè Ornelas, « Cambridge World History of Food », Cambridge, 2000.</ref>. Au rang des spécialités, on peut également citer :

Personnalités nées à Bursa

Modèle:Catégorie détaillée

Galerie de photos

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

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