Bussy-Saint-Georges

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Bussy-Saint-GeorgesModèle:Note est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Avec Modèle:Nombre au recensement de Modèle:Population de France/dernière année, Bussy-Saint-Georges est la commune la plus peuplée de la communauté d'agglomération de Marne et Gondoire. Modèle:Sommaire

Géographie

Fichier:Bussy Saint Georges mars 2009.jpg
Bussy-Saint-Georges vue d'avion, en Modèle:Date-.

Localisation

Fichier:77058-Bussy-Saint-Georges - Localisation.png
Localisation de la commune de Bussy-Saint-Georges dans le département de Seine-et-Marne.

À vol d'oiseau, la commune est située à Modèle:Unité à l'est de Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité à l'ouest de Meaux<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Unité du parc à thème Disneyland Paris. Elle fait partie du secteur 3 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée.

Communes limitrophes

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :

Géologie et relief

L'altitude de la commune varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Fichier:77058-Bussy-Saint-Georges-Hydro.png
Carte des réseaux hydrographique et routier de Bussy-Saint-Georges.

Le système hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 9 décembre 2018</ref>.

Climat

Bussy-Saint-Georges, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique. Modèle:…

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:77058-Bussy-Saint-Georges-ZNIEFF2.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Bussy-Saint-Georges comprend un ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>, les « forêts d'Armainvilliers et de Ferrières » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Bussy-Saint-Georges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Avec son moulin, ses fermes et son lavoir coincés entre Marne et forêts, Bussy-Saint-Georges était, en 1980, une paisible bourgade de Modèle:Nombre. Mais son intégration à la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, a multiplié sa population par quarante. En 2012, les champs ont disparu sous la nappe urbaine qui étale ses immeubles et ses zones d'activité le long de l'A4 et de la ligne du RER A jusqu'aux portes de Paris. Elle est devenue Modèle:Citation<ref>GEO, Modèle:N° d'Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.

Morphologie urbaine

Bussy-Saint-Georges est inscrite dans le périmètre de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée défini en 1966. Elle est située dans le Modèle:Nobr de Marne-la-Vallée, autrement dénommé Val-de-Bussy. En effet, Marne-la-Vallée n'est qu'une entité géographique, la ville nouvelle étant divisée en quatre secteurs. Le décret du 4 avril 1985 crée une agglomération nouvelle dont la majeure partie du territoire est celui de la commune de Bussy-Saint-Georges<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette dernière ne fut ainsi pas intégrée à un Syndicat d'Agglomération Nouvelle, contrairement à ce qui fut décidé pour d'autres communes de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le statut d'agglomération nouvelle de Bussy-Saint-Georges prit fin lorsqu'elle rejoignit, le 1er janvier 2014, la communauté d'agglomérations de Marne et Gondoire<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Occupation des sols

En 2018<ref>Site Corine Land Cover Mises à jour.</ref>, le territoire de la commune se répartit<ref group="Note">Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.</ref> en 28,9 % de forêts, 25,6 % de terres arables, 21,5 % de zones urbanisées, 19 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 2,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles, 1,7 % de cultures permanentes<ref group="Note">Cultures hors assolement, autres que les prairies permanentes, qui occupent les terres pendant une longue période et fournissent des récoltes durant plusieurs années.</ref>, 0,9 % de zones agricoles hétérogènes<ref group="Note">Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.</ref> et < 0,5 % de prairies<ref name="siges"/>,<ref name="iau-idf">Modèle:PdfFiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr</ref>.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 11 267, alors qu'il était de 10 503 en 2013 et de 8 632 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.

Parmi ces logements, 94,7 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 29,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 69,3 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le nombre de logements sociaux a fortement crû de 2008 à 2018, passant de 738 (9,4 % du nombre de résidences principales) à 1 802 (16,9 %)<ref name="LogT7" group="I"/>. Le nombre de ménages propriétaires de leurs résidences principales sur la même période a baissé, passant de 58,1 % en 2008 à 50,9 % en 2018<ref name="LogT7" group="I"/>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bussy-Saint-Georges en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (2,9 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 50,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,9 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Bussy-Saint-Georges en 2018.
Typologie Bussy-Saint-Georges<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> Seine-et-Marne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 94,7 90,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,2 2,9 9,7
Logements vacants (en %) 4 6,8 8,2

Voies de communications et transports

Voies routières

La commune est desservie par l'autoroute A4 au sud de la ville (sortie Modèle:N° « Marne-la-Vallée Val de Bussy, Bussy-Saint-Georges, Ferrières-en-Brie ») et par l'autoroute A104 à l'ouest (sortie Modèle:N° « Val-Maubuée centre, Val de Bussy, Torcy, Collégien, Centre commercial »).

Transports en commun

Fichier:BussySaintGeorges-RER01.jpg
La gare RER.

La commune se situe dans la Modèle:Nobr du réseau de transports d'Ile-de-France. Elle est reliée au RER A par la gare de Bussy-Saint-Georges, par le réseau de bus de Marne-la-Vallée (lignes 22, 26, 44 et 46) et par la ligne N130 du Noctilien.

La nuit, un bus Noctilien, le N130 se rend de et vers Paris-Gare de Lyon et Marne-la-Vallée - Chessy, à raison de quatre bus par nuit dans chacun des sens. À proximité, se trouve la gare TGV de Marne-la-Vallée - Chessy, accessible par le RER A qui permet des échanges avec la France et l'Europe, et aussi la gare de Lagny-Thorigny desservie par le Transilien Paris-Est, accessible par la ligne 26 du réseau de Marne-la-Vallée.

La commune bénéficie d'une station de taxis dans le vieux village.

Toponymie

Fichier:Panneau entrée Bussy St Georges 4.jpg
Panneau d'entrée.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa Buxido en 841<ref>Archives nationales, K 9, Modèle:N°.</ref> ; In vicaria Buciaxinse en 855<ref>Baluze, Capitul., II, 1464.</ref> ; Buciacum sancti Georgii au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Cart. N.-D. de Paris, I, 17.</ref> ; Bucy Saint George en 1336<ref>Archives nationales, S 266, Modèle:N°.</ref> ; Bucy en 1532<ref>Archives nationales, S 265.</ref> ; Bucy Saint Georges en Brye en 1540<ref>Archives nationales, Y 81, fol. 59 v° et Y 82, fol. 71.</ref>.

Du latin buxetum, « ensemble de buis »<ref>Ernest Nègre - 1990 -Toponymie générale de la France - Page 335 - Modèle:ISBN.</ref> (comprendre du gallo-roman BUXETU).

Son église paroissiale appartenant au diocèse de Paris, doyenné de Lagny, était dédiée à saint Georges<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

En 855, le territoire formait une grande paroisse dont le patron était saint Georges. Cependant, la désignation de Bussy-Saint-Georges n'apparaît qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le nom de Bussy vient de Buscus à cause du voisinage de la forêt et de nombreux bosquets qui entouraient le village<ref>Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, par l'Abbé Leboeuf, 1758</ref>.

Au Moyen Âge, Bussy-Saint-Martin et Bussy-Saint-Georges ne forment qu'une seule et même seigneurie dirigée par les seigneurs de Bucy. La liste des seigneurs possesseurs de Bussy a été établie ainsi : la famille de Bucy de 1196 à 1490<ref>Histoire de la Maison de Bucy par Nicolas-Léopold de Bucy</ref>; la famille de la Rosque de 1490 à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; Louis Guibert et ses héritiers de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; à partir du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et jusqu'à la Révolution, la famille Prondre, seigneurs de Guermantes<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1789, Bussy-Saint-Georges faisait partie de l’élection de la Généralité de Paris et était régi par la coutume de Paris<ref>Dictionnaire Topographique du Département de Seine-et-Marne | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96129891/f134.item.r=%22bussy%20saint%20georges%22</ref>.

Modèle:Référence nécessaire

Depuis 1985, Bussy-Saint-Georges se trouve dans le périmètre de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée et a bénéficié à son tour d’une extension de son territoire de Modèle:Unité venant des communes limitrophes (Bussy-Saint-Martin, Collégien et Ferrières).

Lors de l’aménagement de la ville nouvelle, y ont été implantés, un golf, des hôtels, plusieurs lieux de culte dont une église, une mosquée et deux pagodes bouddhistes, des espaces verts, ainsi que de nombreux logements. La ville comporte deux parcs industriels nommés parc Léonard-de-Vinci et parc Gustave-Eiffel, au sud de la ville en bordure de l'autoroute A4.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Fichier:BussySaintGeorges-Mairie.jpg
La mairie.
Carte présentant les différentes communes de Marne-la-Vallée, classées par secteur.
Les différentes communes composant Marne-la-Vallée : Modèle:Légende/DébutModèle:Légende Modèle:Légende Modèle:Légende Modèle:LégendeModèle:Légende/Fin

La commune se trouve depuis 1994 dans l'arrondissement de Torcy du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la huitième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Lagny-sur-Marne, année où elle intègre le canton de Torcy<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 6 à 5 communes.

La ville fait partie du Val de Bussy, ou secteur III de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée.

Intercommunalité

Bussy-Saint-Georges est membre depuis 2014 de la communauté d'agglomération Marne et Gondoire, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Administration municipale

La mairie, construite en 1850, se trouve dans l’ancien village, sur la place de la mairie. Elle compte une annexe dans le centre-ville, au 2 passage Carter, le Centre technique municipal et le service urbanisme au 12 boulevard de Strasbourg, dans la ZAC de Gustave Eiffel, et sport et vie associative à l'Espace Jean-d'Ormesson, 8 rocade de la Croix-Saint-Georges.

Tendances politiques et résultats

Lors du second tour des élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste UMP-UDI menée par Chantal Brunel obtient la majorité des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (40,57 %, 25 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Bussy-Saint-Georges</ref> :
- le maire sortant Hugues Rondeau (DVD, Modèle:Unité, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Nabia Pisi (DVD, Modèle:Unité, 24,67 %, 4 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin, 41,13 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Au second tour des élections municipales partielles tenues en décembre 2016 à la suite de la démission de 17 des 28 membres de la majorité municipale de Chantal Brunel , la liste menée par son ancien maire-adjoint Yann Dubosc (UDI)remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 38,30 % des voix (25 conseillers municipaux municipaux élus), devançant celles menées respectivement par2020<ref>Modèle:Article.</ref> :
- la maire sortante Chantal Brunel (LR) qui a obtenu 33, 72 % des suffrages (6 conseillers municipaux élus) ;
- Eduardo Rihan Cypel (PS, 15,6 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- André Aguerre (SE, 12,92 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 62,51 % des électeurs se sont abtenus.

Lors du second tour des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, la liste LR/MoDem menée par le maire sortant remporte la majorité des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (47,99 %, 26 conseillers municipaux élus dont 12 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref> :
- Loic Masson Modèle:Incise (LR, Modèle:Unité, 32,12 %, 6 conseillers municipaux dont 2 communautaires) ;
- Chantal Brunel (LR, 887 voix, 19,88 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 70,69 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Politique locale

En juillet 2017, Hugues Rondeau, qui fut maire de 1998 à 2014, a été reconnu coupable par la justice française de « prise illégale d'intérêts » et de « soustraction, détournement ou destruction de biens d'un dépôt public » et condamné à six mois de prison avec sursis assorti de la procédure de mise à l'épreuve, au versement à la commune de près de Modèle:Unité au titre des dommages et intérêts, et à une interdiction pendant une durée de cinq ans d'être maire ou conseiller municipal<ref>Modèle:Article.</ref>. En mai 2019, il a été interdit de fonction publique à vie par la Cour d'appel<ref>Modèle:Article.</ref>. Toutefois, Hugues Rondeau s'étant pourvu en cassation, cette condamnation n'est pas exécutoire jusqu'à l'issue définitive de ce procès.

À la suite de l'annulation des élections municipales de 2014<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, la liste de Chantal Brunel (LR) a été réélue dès le premier tour en septembre 2015<ref>Modèle:Article.</ref>. Toutefois, la majorité de l'équipe municipale (18 élus sur 28) a souhaité démissionner à la suite d'un profond désaccord avec le maire en septembre 2016, menée par le premier adjoint, Yann Dubosc<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>, une nouvelle élection municipale partielle est organisée le 4 et le 11 décembre 2016<ref>Modèle:Article.</ref>, que remporte Yann Dubosc<ref>Modèle:Article.</ref>. Celui-ci est réélu maire après le second tour des municipales de 2020, et le recours formé par des électeurs a été rejeté par le tribunal administratif de Melun en mars 2021<ref name="LP16032021">Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Modèle:Article connexe

Politique de développement durable

Modèle:Section à actualiser La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bussy-Saint-Georges, consultée le 27 octobre 2017</ref>.

Jumelages

Modèle:Jumelages

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Bussy était en 2011, la sixième ville la plus peuplée de Seine-et-Marne<ref name="insee dep77">Insee de Seine-et-Marne</ref>.

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Tous les ans, les manifestations suivantes sont tenues à Bussy-Saint-Georges :

  • Vœux des Buxangeorgiens : janvier
  • Nouvel an chinois : février
  • Carnaval : mars
  • Fête de la Saint-Georges : avril
  • Journée nationale du souvenir de la déportation et ravivage de la flamme du souvenir : avril
  • Commémoration de la fin de la guerre de 1939-1945 : 8 mai
  • Foulées de Bussy : course se tenant le dernier samedi du mois de mai
  • Grande brocante : juin
  • Commémoration des morts pour la France en Indochine : 8 juin
  • Commémoration de l’appel du général de Gaulle : 18 juin
  • Fête de la musique : 21 juin
  • Fête de la Saint Jean : 24 juin
  • Fête nationale (feux d’artifice) : 13 juillet (le feu d'artifice a lieu chaque année sur les lacs artificiels au sud de la ville, dans le parc du Génitoy).
  • Open de golf de la ville : septembre
  • Forum des associations : septembre
  • Les Virades de l’espoir : septembre
  • Brocante : septembre
  • Commémoration de l’Armistice de 1918 : 11 novembre
  • Nuit du Beaujolais : novembre
  • Commémoration des morts pour le France lors des guerres d’Afrique du Nord : 5 décembre
  • Fête de Noël (marché de Noël, animations, patinoire) : décembre et janvier.

Santé

  • une maison de retraite médicalisée.

Sports

  • un golf de 27 trous sur Modèle:Unité
  • Complexe sportif Michel-Jazy : rue du Cimetière. Salle de danse, salle de gymnastique, courts de tennis, salle de judo, salle de volley-ball…
  • Complexe sportif Maurice-Herzog : boulevard des Genêts. Piste d’athlétisme, terrains de football, tir à l’arc, salle de gymnastique, mur d’escalade, salle de tennis de table…
  • Complexe sportif Laura Flessel : boulevard des cent arpents.
  • Courts de tennis : 5 courts allée des Deux-Châteaux (intérieurs et extérieurs), 2 courts extérieurs sur la promenade des golfeurs, 2 courts extérieurs rue du Cimetière.
  • Plateaux EPS.

Cultes

Depuis 2016, l'espace cultuel, l'Esplanade des Religions, constitué de deux pagodes bouddhistes (Fo Guang Shan et "Wat Velouvanaram"), d'un restaurant végétarien et de chambres à coucher pour accueillir les hôtes en retraite spirituelle, mais aussi d'une synagogue, d'une mosquée<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:PdfRevue de presse sur l'Esplanade des Religions réalisée par la Mairie de Bussy-Saint-Georges</ref>. Depuis 2017, un projet de temple hindou Mandir s'organise pour compléter la diversité spirituelle de l'Esplanade<ref>Modèle:Article.</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre (dont 67 % imposés), représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 170 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 10 septembre 2021.</ref>, le Modèle:1er décile<ref group="Note">Salaire annuel au-dessus duquel se situent 90 % des salaires .</ref> étant de 12 450 euros avec un rapport interdécile de 3,6<ref group="Note">Le rapport interdécile met en relation le 1er et le 9e déciles de la distribution des niveaux de vie mensuels et se calcule comme : D9 / D1.</ref>.

Emploi

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidents. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,7 % contre un taux de chômage de 8,3 %. Les 20,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 2,4 % de retraités ou préretraités et 6,2 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 10 septembre 2021.</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 11 septembre 2021.</ref>.

En 2020, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.

La commune possède sur son territoire un pôle industriel (parc Gustave-Eiffel) situé au sud de la ville. Il comporte, entre autres, les entreprises Tech Data, SMED Arvato services, IBM, Air liquide, Asialand, Toyota Material Handling, etc. On y trouve également le Centre technique du livre de l'enseignement supérieur et le Centre technique de la Bibliothèque nationale de France.

On trouve aussi sur le territoire de la commune l'usine de la société SURYS<ref>Modèle:Lien web</ref>, rachetée fin 2019 par INGroupe (ex-Imprimerie Nationale)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>, fabriquant des composants optiques et digitaux d'identification.

Le parc Gustave-Eiffel a été achevé à la fin de l'année 2007 avec l'installation de l'entrepôt de logistique des Galeries Lafayette. Mais le développement économique de la ville n'est pas pour autant terminé, puisque plusieurs ZAC sont actuellement en plein développement, comme la ZAC Léonard-de-Vinci (environ Modèle:Nobr), ou la zone d’activité de la Rucherie (Modèle:Nobr).

Au Modèle:Date-, la commune disposait de Modèle:Nobr d’hôtels dans Modèle:Nobrs et ne possédait aucun terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 11 septembre 2021.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'histoire de Bussy-Saint-Georges et de son patrimoine sont aujourd'hui connus des Buxangeorgiens grâce aux travaux de l'association des Amis de l'Histoire du Val-de-Bussy (AHVB) (brochure retraçant l'histoire de la ville, imprimée par la municipalité en novembre 2001).

La tour et le château

La tour, seul vestige du château du seigneur de Buci, place forte, refuge dominant les vallées de la Brosse et de la Gondoire, remonterait au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L’actuelle place de Verdun, ancien emplacement du château, était entourée de fossés remplis d’eau provenant d’une source qui alimentait la fontaine toujours visible sur la place du marché. Le cimetière, au nord de la tour, au-delà de l’enceinte, a été découvert lors de la construction d’un pavillon en 1960. La tour mesure Modèle:Unité de haut et Modèle:Unité de diamètre.

La ferme de Roquemont

Située dans le village, la ferme de Roquemont porte le nom d’un fief, celui de la Rosque, seigneurs de Bussy-Saint-Georges de 1490 à 1594. Elle procurait au seigneur du lieu les revenus du fief de Bussy. Plus tard, elle fut aussi appelée grande ferme de Bussy-Saint-Georges.

Le moulin Russon

Fichier:Moulin Russon.jpg
Le moulin Russon.

Le moulin Russon est le moulin à eau installé sur le ru de la Brosse. Un ingénieux système de récolte des eaux de ruissellement et des sources situées plus haut permettait l’alimentation du bief et donc la mise en marche de la roue à aubes, située sur le pignon du bâtiment. Elle fit l’objet d’une restauration par le propriétaire précédent. Ce moulin faisait partie des dépendances de la ferme de Roquemont. Il n’était utilisé comme moulin que quelques mois par an, le reste du temps, il servait de logement pour les ouvriers agricoles saisonniers.

Le lavoir

Le lavoir de la rue du Moulin fut construit au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En fait, Bussy possédait déjà un lavoir fort ancien situé en dessous de l’emplacement d’une source au bas de Ferrières : le lavoir de Cessoy. Mais, ce lavoir étant éloigné du centre du village et d’un accès difficile pour les brouettes chargées de linge des lavandières, il fut décidé en conseil municipal de négocier avec la famille de Guermantes l’acquisition d’un terrain alimenté par une source, en haut de la rue du Moulin pour y construire ce deuxième lavoir. Actuellement, le lavoir de Cessoy est privé, le lavoir de la rue du Moulin est communal.

La ferme du Génitoy

La ferme du Génitoy est un « lieu mentionné dans les titres aussi anciens que ceux qui parlent de Bussy » (Louis Michelin 1843). Son nom, genesterium en latin ou genestay en français, donnera génitoire ou génitoy, à cause des genêts qui poussaient en abondance en cet endroit. La ferme du Génitoy fut autrefois un fief important pourvu d’un château. En 1672, Modèle:Mme de Montespan aurait accouché dans le château du Génitoy d’un fils de Louis XIV : Louis-César de Bourbon, comte de Vexin.

La Jonchère

Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, c’était une grande ferme. Elle appartenait à M. Martin de Longchamps, propriétaire de Fontenelles. Une féculerie y avait été créée en 1836, absorbant la production de la culture intensive de la pomme de terre sur notre commune… mais à partir de 1845, la maladie de la pomme de terre ralentit, puis stoppa cette activité. Les exploitants agricoles se tournèrent alors vers la culture de la betterave à sucre et sur le domaine de la Jonchère fut construite une râperie. Cette activité remplaça celle de la féculerie.

L’église Saint-Georges

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Église Saint-Georges - Cloche de l'église sonnant 17h : Fichier:Bussy-Saint-Georges - Cloche de l'église Saint-Georges.ogg

L’actuelle église Saint-Georges a été édifiée sur l’emplacement d’une petite église médiévale. François de la Rosque, curé de Bussy, de la même famille que le seigneur du lieu, célébra la dédicace de l’église en 1580. Sa construction fut terminée en 1595 et le 22 août 1600 eut lieu le baptême des trois cloches : Louise, en souvenir de la fondation de la chapelle Saint-Louis, Isabelle, prénom de la femme de Louis Guibert, Georges, patron de la paroisse.

L’église a été restaurée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et, à la demande des habitants qui se plaignaient de ne pas entendre l’Angélus, le clocher fut rehaussé en 1866, sa hauteur actuelle est de Modèle:Unité. L’église est devenue propriété communale en 1905. Sous le porche de l’église on trouve une pierre tombale du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle recouvrait le corps de l’abbé Duchesne inhumé dans le chœur de l’église. Cette pierre a été relevée lors de la pose d’un dallage dans l’église. À l’intérieur, la nef et le transept sont d’un style ogival très simple, des poutres maintiennent la voûte en berceau peinturlurée. On peut voir à droite du chœur, dans l’embrasement d’une baie, un Saint-Georges en pierre, patron de la paroisse, à gauche, une chapelle restaurée en 1904 avec un groupe de la Visitation de la Vierge (sans doute en souvenir de la translation de reliques en 1431, procurées à la paroisse de Bussy-Saint-Georges par l’abbé Duchesne. Le baptistère a un soubassement renaissance et une cuvette ornée de quatre têtes d’anges. On remarque aussi un bénitier de pierre encastré à gauche de l’entrée.

L’église Notre-Dame du Val

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L’église Notre-Dame du Val est une église moderne, construite en 1997 par le cabinet d’architectes Gonot-Marcenat. Entièrement réalisée en éléments préfabriqués, elle est caractérisée par un dôme en cuivre naturel. Elle est située au 33 boulevard Thibaud-de-Champagne.

Patrimoine naturel

Bussy-Saint-Georges décline aussi son identité autour des parcs et jardins. Elle compte aujourd’hui Modèle:Unité d’espaces verts intégrés, Modèle:Unité de liaisons douces, 10 squares et parcs en centre-ville, 8 plans d’eau et plus de 8 200 arbres plantés.

Parmi les plans d'eau, l'étang du Dormeur du Val au centre duquel jaillit un jet d'eau, d'une surface de Modèle:Unité, est situé entre les boulevards Thibaud-de-Champagne et des Genêts d'une part, et les avenues André-Malraux et du Général-de-Gaulle d'autre part. Sur ses rives a été édifiée l'église Notre-Dame-du-Val en 1998. Il a été réalisé afin de recueillir les eaux de pluie du centre urbain de la ville. La gestion piscicole a été confiée à l'association « Le Pêcheur de Marne-la-Vallée »<ref>Siaminfos (lettre d'informations semestrielle du Syndicat Intercommunal d'Assainissement de Marne-la-Vallée), Modèle:N°, février 2009, Modèle:P..</ref>.

Équipements culturels

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Le conservatoire municipal de musique de Bussy-Saint-Georges.

Médiathèque

La Médiathèque de l’Europe a été inaugurée en octobre 2006. On y trouve CD, livres (roman, BD, documentaires, magazines, etc.), DVD, partitions de musique…

Conservatoire

Le conservatoire de musique et de danse « Jean-Sébastien Bach » de Bussy-Saint-Georges a été municipalisé en 1997. On peut y exercer 31 disciplines instrumentales (dont des instruments « rares » comme le clavecin, la viole de gambe, le tuba, le hautbois ou des instruments traditionnels chinois : la pipa, le guzheng, des instruments vietnamiens : le dan tranh, le dan bao), 18 pratiques collectives (orchestres d’harmonie, orchestres à cordes, musique de chambre, ensembles instrumentaux, chorales, ateliers jazz, MAO…), et 2 disciplines chorégraphiques (le modern jazz et la danse classique). En 2015, il compte plus de Modèle:Nombre, 57 enseignants et 7 administratifs. De ce fait, il est le plus important conservatoire du département de Seine-et-Marne.

Musée du jeu vidéo

Un projet de musée du jeu vidéo est annoncé en 2023 par la mairie, qui prévoit son ouverture en 2026<ref>Modèle:Lien web</ref> au sein d'un pôle ludique, en bordure de l'autoroute A4, prévu depuis 2013<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un financement participatif lancé pour soutenir le projet atteint un million d'euros en treize jours, un record en 2023 sur la plateforme KissKissBankBank<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Bussy-Saint-Georges et les arts

Des scènes du film Narco de Tristan Aurouet et Gilles Lellouche sont tournées dans un quartier résidentiel de la ville en 2003.

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Article connexe En suivant la descendance du chevalier Pierre de Bucy, seigneur du lieu et de Jossigny de 1196 à 1241, on trouve une lignée de plusieurs Simon de Bucy. Le quatrième, chevalier légitimé et anobli par lettres patentes en 1355, fut premier président au Parlement de Paris et conseiller du roi Jean II le Bon, est le premier dont on connaît l'emblème. Le blason, d’azur à une fasce d’or chargée de trois aigles de sable<ref>Gravure du blason des seigneurs de Bucy (PDF)</ref>, est le premier emblème connu du lieu.

Modèle:Référence nécessaire

Modèle:Blason commune

Avec l’ouverture du territoire communal à l’urbanisation, l’idée se fit un jour d’avoir un logo. La présentation du modèle définitif fut faite aux membres du conseil municipal le 14 février 1986. L’écusson a une allure avionique avec une bande médiane à sa pointe, plus aiguë vers le haut. Un dégradé de couleur symbolise sa progression vers l’avenir. Il fut apposé la première fois en avril 1986, sur le panneau de construction du groupe scolaire « les Violennes », premier groupe scolaire construit à Bussy-Saint-Georges. En 2007, la municipalité a décidé de modifier quelque peu son logo avec pour objectif principal de mieux visualiser le nom de la ville. L’architecture (la façade de la Mairie, ancienne école communale) a été retravaillée en dessin : porte d’entrée, chaînes de pierre d’angles, fenêtres, toiture et petit clocher du centre. Ce nouveau dessin est repris avec les vraies proportions architecturales de la façade. Il a également été constaté sur plusieurs documents édités par la ville que ceux-ci écrivaient « Bussy Saint-Georges » souvent de manière différente. Quelques familles de typographies perturbaient sa lecture, aucune charte graphique, ni cahier des charges typographique n’avait été réalisé au moment de la création du logo. Il s’agissait donc de poser une écriture graphique stable, étudiée, en coordonnée du dessin logotype et l’accompagnant de façon systématique et pérenne. Concernant la forme du logo proprement dite, la symbolique du carré a été privilégiée. En effet, selon la municipalité, le losange irrégulier de forme pyramidale du logo précédent manquait de stabilité et de rigueur.

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

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Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Marie-Claude Phan, "Petite Histoire de Bussy-Saint-Georges", 2009, 44 p.
  • Marie-Claude Phan, Bussy-Saint-Georges Les gens du village (1791-1990), Ville de Bussy Saint-Georges, Les Amis de l'histoire du Val de Bussy, 2013
  • Guy Sadaune, Bussy-Saint-Georges, Modèle:Coll., éditions Sutton, 2005

Articles connexes

Liens externes

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