Camps-en-Amiénois

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Modèle:Infobox Commune de France

Camps-en-Amiénois est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Fichier:Camps-en-Amienois - Plaque de cocher - WP 20190511 11 17 15 Rich.jpg
Plaque de cocher, près du monument aux morts.

Camps-en-Amiénois est un bourg rural picard de l'Amiénois, situé à Modèle:Unité à l'est d'Amiens, Modèle:Unité au sud-est du Tréport et de la Manche.

Il est desservi par le tracé initial de l'ex-RN 1 (actuelle RD 901) et la RD 211 qui le relie à Amiens, d'une part, et à la vallée de la Bresle, d'autre part. L'Autoroute A29 (France) passe non loin.

Communes limitrophes

Transports en commun

La localité est desservie par la ligne d'autocars Modèle:N° (Blangy-sur-Bresle - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hameaux et lieux-dits

Les « Carrières du Rel »<ref>(page 323) Dictionnaire Historique et Archéologique de la Picardie - Arrondissement d'Amiens - Tome 2, éd. Société des Antiquaires de Picardie, 1912.</ref> ou la « Carrière Durel », au sud-est du village, juste au-delà de la route départementale D 211. Sa « bonne pierre » aurait été utilisée pour la réalisation par Nicolas Blasset, en 1635-1636, des statues et de l'architecture de l'autel de la chapelle Saint-Sébastien de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens<ref>Modèle:Ouvrage, sur Google Livres.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage, sur Google Livres.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Camps-en-Amiénois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (7 %), forêts (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Campis en 1154<ref name="Ernest Nègre ">Modèle:Ouvrage.</ref> ; Cans en 1169 ; Campi en 1301 ; Cans-en-Aminois en 1301 ; Camps-en-Amienois en 1507 ; Camps-en-Amyenois en 1567 ; Champs-en-Ammienois en 1648 ; Calaminoy en 1710 ; Camps-en-Amiennois en 1757 ; Camps-l’Amiennois en 1801<ref>Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 153 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].</ref>.

Du pluriel de l'oïl picard camp « champ »<ref name="Ernest Nègre "/>.

L'Amiénois est une partie de la Haute-Picardie, qui occupe aujourd'hui le milieu du département de la Somme.

Histoire

La paroisse de Camps-en-Amiénois ne serait pas antérieure au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puisque dédiée à saint Nicolas dont le culte ne se répandit en France qu'à cette époque<ref name="Corblet"/>.

Un prieuré y existait, qui dépendait avec six autres, de l'abbaye Saint-Michel du Tréport. Fondé en 1136 par le seigneur du lieu, Raoul d'Airaines qui donne à l'abbaye, pour le repos de son âme et de celles de ses ancêtres, le quart de la petite ville de Camps-en-Amiénois et l'église du lieu. L'ensemble de cette donation constituera le quatrième prieuré de l'abbaye. Ce prieuré bénédictin était dédié à saint Jean-Baptiste<ref name="Corblet"/>. il possédait hormis les dîmes, quelques cens et 72 journaux de terre<ref name="Daire"/>.

Lors de la Guerre de Cent Ans, le Modèle:Date-, Camps-en-Amiénois voit le passage des troupes anglaises d'Édouard III<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, qui viennent de piller et d'incendier Poix-de-Picardie le même jour. Une escarmouche avec l'avant-garde française y a lieu ainsi qu'à Molliens. Cette « chevauchée » les amènera à trouver le Gué de Blanquetaque sur la Somme, leur donnant accès à Crécy-en-Ponthieu pour la bataille de Crécy

Le village, étape sur la route reliant Paris à Calais (entre Beauvais et Abbeville), disposait d'un relais de poste<ref>Modèle:Ouvrage; sur Google Livres.</ref>.

En 1680, le roi Louis XIV entreprend de visiter (avec la reine Marie-Thérèse d'Autriche, le Dauphin et la Dauphine, et toute une suite composée du duc d'Orléans, son épouse et « tous les plus grands princes de France » ) « le pays conquis de Flandre ». Il part le 13 juillet, dort à Beaumont-sur-Oise, passe la nuit suivante à Beauvais, puis celle du 15 au 16 à Poix-de-Picardie. Le 16 à midi, il mange dans le village (qui sera noté par erreur<ref group="Note">La graphie Calaminois ou Calaminoy est en effet une erreur qui a été hélas assez largement diffusée à cause de la "publicité" faite autour de ce voyage de Louis XIV, par des récits et des commentaires successifs. Plusieurs publications ou documents manuscrits ont ainsi repris successivement cette altération, pendant plus d'un siècle. Mais la Carte de Cassini ainsi que tous les registres paroissiaux BMS (depuis 1602) et d'état-civil NMD n'utilisent que « Camps-en-Amiénois », certes parfois avec de petites erreurs classiques telles que "Cans", Cams", "Camps-en Amiennois", "Camps-l'Amiénois", etc.</ref>, <ref>Modèle:Article.</ref> « Calaminoy ») avant d'atteindre Abbeville le soir<ref>Modèle:Ouvrage, sur Google Livres.</ref>.

En 1728, un voyageur (parti de Paris pour aller à Londres) traverse le village aux maisons faites en torchis et note que Calaminoy est « bâti de bauge<ref>Modèle:Article, sur Gallica.</ref> ».

Le 18 avril 1832, la deuxième pandémie de choléra atteint le village<ref>Modèle:Ouvrage, sur Gallica.</ref>.

Peu avant 1900, une violente tempête fait tomber le clocher de l'église et cause des ravages dans les villages des environs (Pernois, Canaples, Hangest-sur-Somme, Airaines, Métigny, Soues)<ref>Société linnéenne du nord de la France, Amiens (1897)</ref>.

Les Hospitaliers

Dès 1141, les moines du Tréport s'accordent avec les frères de l'ordre de l'Hôpital-Saint-Jean de Jérusalem pour le partage des revenus de la terre et de l'église de Camps-en-Amiénois<ref>Histoire et sociétés rurales - Volume 8 - Université de Caen (2001)</ref>. Les frères auront la moitié de tout ce que l'abbaye y possède et les moines auront la moitié de tout ce que les Hospitaliers pourront recevoir dans la paroisse<ref>Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

La commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, à Saint-Maulvis, qui détenait une partie de la seigneurie de Camps, était particulièrement exigeante puisque, selon l'article 3 de sa coutume , elle revendiquait le droit exclusif, sur les 22 paroisses sur lesquelles elle avait autorité, de « pourvoir en ménétriers et harolleurs ». C'est ainsi qu'aucun musicien ou joueur d'instrument extérieur à leur ordre ne pouvait jouer à l'église ou faire danser la population lors de la fête patronale<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Première Guerre mondiale

En décembre 1916, un régiment allié terre-neuvien (le Royal Newfoundland Regiment) se repose et passe Noël dans la localité, après avoir subi de lourdes pertes en octobre à Gueudecourt et avant de repartir vers la mi-janvier pour combattre sur le front, dans les tranchées du Transloy<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} The Signal Hill Tattoo</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.
(Modèle:Souligner) : Ayant quitté Méricourt-l'Abbé par le train, dans des wagons en forme de caisses, bien connus des troupes et portant l'inscription « Hommes 40 - Chevaux 8 » le 14 décembre, débarqués dans l'après-midi à Condé-Folie où il passèrent la nuit, les soldats rejoignent à pied Camps-en-Amiénois pour y séjourner 4 semaines. La population du petit village, pittoresque à leurs yeux, qui n'avait jamais vu auparavant de combattants originaires des colonies, voit arriver le bataillon dans la rue bordée de peupliers avec une appréhension marquée. Mais le sourire des nouveaux arrivés rassure rapidement, de sorte qu'au bout de quelles heures ceux-ci se sentent comme chez eux, boivent du café-au-lait dans plusieurs maisons où s'activent, dans une hospitalité fiévreuse, des femmes aux cheveux gris et des jeunes filles qui gesticulent.</ref>. Arrivés le 15 décembre, les soldats repartent le 11 janvier 1917 avant de revenir onze semaines plus tard, pour un nouveau séjour qui se terminera le 28 mars.

Le 14 avril 1918, Camps est traversé par de très importants convois de véhicules, venus de Poix et à destination de Longpré, avec des troupes afin de constituer l'armée de Belgique <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>

Seconde Guerre mondiale

Lors de la Bataille de France, le 24 mai 1940, un bataillon du régiment blindé britannique, débarqué à Cherbourg quatre jours plus tôt, le Queen’s Bays Royal Armoured Corps (ayant reçu la mission, après la prise d'Amiens par les Allemands, de défendre le passage entre Dreuil et Picquigny) arrive à Camps-en-Amiénois à une heure et demie du matin<ref>Page "Histoire" du site municipal officiel de Ferrières.</ref>.

Entre le 29 mai et les tout premiers jours de juin<ref>Date précise non mentionnée</ref>, le [[75e groupe de reconnaissance de division d'infanterie|Modèle:75e GRDI]] (Groupe de reconnaissance de division d'infanterie) a l'ordre de se regrouper à Camps-en-Amiénois pour en assurer la défense, mais ne peut remplir sa mission et doit se replier sur Hornoy-le-Bourg puis vers Neufchâtel.

Politique et administration

Fichier:Camps-en-Amienois - La mairie - WP 20190511 11 17 14 Rich.jpg
Façade de la mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Molliens-Dreuil<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Somme.

Intercommunalité

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Nombre, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d’Oisemont », le nouvel ensemble de Modèle:Unité regroupant 120 communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016<ref>Modèle:Article.</ref>, la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion<ref>Modèle:Article.</ref>.

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Enseignement

L'enseignement élémentaire dépend de l'inspection académique de la Somme.

En matière de vacances scolaires, Camps-en-Amiénois est en zone B.

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Nicolas<ref>Modèle:Ouvrage, sur Gallica.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont le portail (seul vestige de l'ancien édifice) est inscrit aux Monuments Historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La « main pendante bénissant de deux doigts » ornant en haut-relief le tympan du portail (mentionnée par l'abbé Daire en 1850<ref name="Daire">Modèle:Ouvrage sur Google Livres.</ref>) est de nos jours en partie cachée par un autre représentant un groupe de quatre personnages (les Évangélistes<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>), autour d'une table basse (ou écritoire sur pieds). Les deux à l'arrière-plan sont debout, et les deux assis à l'avant ont chacun un livre ouvert. Le personnage de gauche tient son livre pressé contre sa poitrine et celui de droite montre du doigt quelque chose sur le sien posé sur l'écritoire. Des traces de peinture sont encore nettement visibles sur les vêtements des deux personnages du fond.
À l'intérieur de l'édifice, une statue de saint Éloi y a été répertoriée<ref name="Corblet">Modèle:Ouvrage.</ref>.
S'y trouvent aussi la statue de la Vierge de Pitié, en pierre calcaire polychrome et dorée (provenant de la chapelle Saint-Milfort)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, deux statues grandeur nature, en bois, représentant saint Jean-Baptiste et saint Nicolas et installées de part et d'autre du maître-autel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, et une de la Vierge à l'Enfant, en pierre calcaire badigeonnée en blanc<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
  • Le château de Camps, construit à la fin du XVIIIe siècle sur l'actuelle route de Paris est un témoignage important de l'architecture en briques et pierres en Picardie dont l'appareillage des façades reste remarquable. La demeure fut momentanément transformée au XIXe siècle en relais de Poste-aux-Chevaux, ce qui permit à Victor Hugo d'y dormir lors d'un voyage dans le Nord de la France. Plusieurs familles illustres se sont succédé au château, parmi lesquelles peuvent être citées les familles Dupont, Merlen, Delamorlière, Caix de Rembures et, plus récemment, le Marquis Onfray (des Marquis Onfray de la Métairie).
  • Chapelle Saint-Milfort<ref>Modèle:Ouvrage; sur Google Livres.</ref>, située à quelques centaines de mètres de l'église, au sud du village, jadis sur le bord est de la route principale Paris-Calais, mais de nos jours un peu à l'écart depuis la suppression d'une courbe de cette départementale D 901.
Cette chapelle, autrefois dite « de l'Ecce homo »<ref group="Note">Cette chapelle et l'« oratoire de Notre-Dame de Pitié » (rebâti en juillet 1745) semblent bien ne faire qu'un seul et même édifice. Voir Modèle:Ouvrage sur Google Livres.</ref>, après avoir été dévastée en 1793 puis un temps abandonnée, fut restaurée mais changea alors de Vocable selon le souhait du « pieux ermite surnommé le Petit Chapelain », initiateur de la remise en état<ref>Modèle:Ouvrage, sur Google Livres.</ref>. Cette modification votive de l'édifice (justifiée par la dévotion particulière des villageois qui avaient coutume de se rendre à la Bouvaque, à Abbeville, pour demander dans leurs prières l'intercession de « saint Millefort » pour des enfants malades) fut officialisée par la mise en place d'une statue du saint à côté de l'ancienne de Notre-Dame des Sept Douleurs. La chapelle devint alors l'objet d'un pèlerinage attractif pour les maladies infantiles comme en témoigne le nombre des ex-voto fixés à ses murs. Et chaque année, le cinquième dimanche après Pâques, cet oratoire fut le but d'une procession, lors de laquelle huit cultivateurs portaient solennellement la statue du saint depuis l'église<ref name="Corblet"/>.
Fichier:Camps-en-Amienois - Monument aux morts - WP 20190511 11 17 16 Rich.jpg
Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune

  • En 1582, Antoine de Belleval, seigneur d'Aigneville et de Camps-en-Amiénois, est tué en duel, mais l'identité de son adversaire n'est pas passée à la postérité<ref>Modèle:Ouvrage, sur Google Livres.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

  • Dictionnaire Historique et Archéologique de la Picardie - Arrondissement d'Amiens - Tome 2, éd. Société des Antiquaires de Picardie, 1912, reprint de 1979 (Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles).

Liens externes

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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