Caux
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Caux Modèle:MSAPI (en occitan Caus Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Peyne, le ruisseau de Bayèle, le ruisseau de Tartuguier, le ruisseau du Rieutord et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Caux est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'unité urbaine de Caux et fait partie de l'aire d'attraction de Pézenas. Ses habitants sont appelés les Caussinards ou Caussinardes.
Géographie
Caux est un village circulade situé à proximité de Pézenas.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pezenas-Tourbes », sur la commune de Tourbes, mise en service en 1993<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « plateau basaltique de Caux et de Nizas » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Caux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Caux, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pézenas, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,8 %), forêts (7,5 %), zones urbanisées (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %), prairies (1,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Caux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Peyne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986 et 2019<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Caux est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date- réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date- rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 352 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
La commune est en outre située en aval du Barrage des Olivettes, un ouvrage de classe AModèle:Note sur la Peyne, mis en service en 1988 et disposant d'une retenue de Modèle:Unité de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
L'origine du nom « Caux » a deux explications possibles :
- Il peut provenir de l'occitan « caus » qui signifie « chaux ». Ceci est possible puisque le calcaire est très présent sur le territoire, Les fours à chaux sont nombreux; on retrouve leurs vestiges à Sallèles et route de Maro.
- Le nom peut venir d'une expression d'origine pré-indo-européenne : « cal-so », c'est-à-dire rocher, abri. En effet, sur son socle à 103 mètres d'altitude, Caux domine les environs.
Histoire
- 880, Caux est sous l'autorité de Guillaume de Guilhen de Clermont-l'Hérault.
- 990, rattachement à Carcassonne par les vicomtes d'Agde et de Béziers (sous l'influence de la couronne d'Aragon).
- 1172, l'église de Caux est citée dans le Livre Noir.
- 1226, Caux est réuni au Royaume de France par cession d'Amaury VI de Montfort, fils de Simon IV de Montfort.
- 1327, grande peste, il ne reste que six habitants.
- 1346, Bérenger V de Caux est le premier coseigneur (paréage avec le roi Philippe VI de Valois).
- 1362, Caux fait partie administrative du comté de Pézenas et de sa châtellerie.
- 1668, coseigneurs Charles de Bedos de Celles (de Clermont-l'Hérault) et de Fleury (de Toulouse).
- 1717, la route de Pézenas à travers le domaine du Parc est ouverte aux Caussinards.
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire » et qui compte 107 membres en l’an III<ref>Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 414.</ref>.
- 1875, arrivée du chemin de fer, les gares de voyageurs et de marchandises facilitent le négoce des vins.
- 1909, électrification du village.
- 1910, installation du téléphone.
- de 1915 à 1919, un camp de prisonnier fut installé dans les locaux de la chartreuse de Mougères<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Politique et administration
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 42 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (45,8 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 72 % d'actifs (60 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 28 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Pézenas, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 412 en 2013 et 451 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 888, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 888 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 303 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
211 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Caux au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 211 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
13 | 6,2 % | (6,7 %) |
Construction | 45 | 21,3 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
56 | 26,5 % | (28 %) |
Information et communication | 3 | 1,4 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 1,4 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 18 | 8,5 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
33 | 15,6 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
22 | 10,4 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 18 | 8,5 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (56 sur les 211 entreprises implantées à Caux), contre 28 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- DMCC, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (Modèle:Unité)
- Benezech Maconnerie, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (Modèle:Unité)
- Reverte Plac-Caux Pere Et Fils, travaux de plâtrerie (Modèle:Unité)
- Ludo Facade, autres travaux spécialisés de construction (Modèle:Unité)
- Vailhere Courtage, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 211 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 146 en 2000 puis à 91 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 76 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Nobr en 1988 à Modèle:Nobr en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à Modèle:Nobr<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Menhir planté au tènement de Peyreficade (pierre plantée) ;
- Cabanes de pierre sèche ou capitelles ;
- Vestiges de carrières de pierres à chaux ;
- Ancien four à chaux ;
- Église Saint-Gervais-Saint-Protais et son clocher-porche gothique. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1913<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- Chapelle des Pénitents blancs de Caux (1848) ;
- Chapelle Notre-Dame-des-Pitiés du monastère de l'Assomption-de-la-Vierge-et-Saint-Bruno de Notre-Dame-de-Mougères ;
- Chartreuse de Mougères et chapelle Notre-Dame-de-Pitié (1645) ;
- Ancien volcan des Baumes, avec des cristaux verts d'olivine.
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Vue Aérienne de Caux.
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Église Saint-Gervais de Caux
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Chapelle Notre-Dame-des-Pitiés du monastère de l'Assomption-de-la-Vierge-et-Saint-Bruno de Notre-Dame-de-Mougères
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Menhir de Peyreficade.
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Capitelle en pierre basaltique, restaurée.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- François Lamathe Bedos de Celles de Salelles, dit dom Bedos de Celles, né à Caux (Sallèles) le Modèle:Date-, mort à Saint-Denis le Modèle:Date, moine bénédictin, mathématicien, organiste et facteur d'orgues.
- Général Jean-Jacques Causse, général de brigade qui servit sous les ordres de Napoléon Bonaparte. Une copie du tableau de Francois-Henri Mulard illustrant sa mort a été offerte par le musée du Louvre à la mairie de Caux.
- Jean Durand (Caux, Modèle:Date- ; Toulouse, Modèle:Date-), diplômé de l'École Centrale de Paris, ingénieur honoraire hors classe des Chemins de fer, architecte ferroviaire (France, Iran, Mexique), chevalier de la Légion d'honneur.
- Marius Nègre (1890-1952), instituteur et secrétaire général de la Fédération des instituteurs, syndicaliste, révoqué par Clemenceau en 1907 pour la décision de rejoindre la CGT.
- Jean Pomarèdes (Modèle:Date- - exécuté à Pézenas le Modèle:Date-), bandit connu pour être l'auteur de Modèle:Unité, Modèle:Unité de vol, cinq tentatives d'assassinat, trois assassinats entre 1840 et 1842<ref>Jean Pomarèdes la canaille de Caux.</ref>.
Galerie
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Aménagement de la place devant la mairie : plans, profils A B, profils C D.
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Porte de la muraille extérieure.
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Muraille intérieure.
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Porte de la muraille intérieure.
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Ancien hospice et porte de la muraille intérieure.
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- }}Modèle:S mini- siècle
}}s) de Saint-Gervais-et-Protais.
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Porche et chevet de l'église Saint-Gervais-et-Protais.
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Maison natale du général Causse (1751-1796). Siège de la Justice Royale et Bannerette.
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Puits (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) dans la cour de la maison natale du général Causse.
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}} }} s ?) - place de l'Église.
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Chartreuse de Mougères - Église Notre-Dame de Pitié (1645).
Ouvrage
- Jean Pomarèdes : Histoire d'un bandit, de Hyacinthe Marius Maders.
Voir aussi
Bibliographie
Fonds d'archives
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes