Gouy (Aisne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Gouy est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
Localisation
Modèle:Encadré texte Gouy est un village rural picard du Vermandois voué à la polyculture, situé dans l'Aisne, à la limite du département du Nord. Il est desservi par l'ex-RN 44, actuelle RD 1044.
Gouy et Le Catelet se touchent à quasiment former un village double.
Gouy se situe à mi-chemin entre Saint-Quentin et Cambrai.
Il existe une commune homonyme Gouy peuplée de 800 habitants près de Rouen dans la Seine-Maritime.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le fleuve l'Escaut prend sa source à Gouy, à la sortie du village en direction d'Estrées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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La source de l'Escaut à Gouy dans l'Aisne.
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Source de l'Escaut - 2014 (Gouy) Aisne
Urbanisme
Typologie
Gouy est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,4 %), prairies (3,4 %), zones urbanisées (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Gouy apparaît en 1178 sous le nom de Goi dans un cartulaire de l'abbaye du Mont-Saint-Martin puis Goiacum, Goy-en-Arrouaise, Goi-en-Arrouaise, Gouy-en-Arrouaise sur la carte de Cassini vers 1750, et l'orthographe actuelle Gouy à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Il s'agit d'un homonyme de Gouy (voir ce nom)
Par délibération du conseil municipal du mois d'Modèle:Date-, Gouy est peuplé de Goïciens et Goïciennes, de son ancien nom Goï<ref name="Situation"/>.
Histoire
Les vestiges d'un camp retranché des Longues Bornes, daté de la Tène, ont été retrouvées au lieu dit le Bois de la Barre avec une triple enceinte fortifiée en terre, ainsi que des vestiges celtiques et gallo-romains au lieu dit le Henois (poteries et médailles)<ref name="Situation">Modèle:Lien web.</ref>.
Vers 980, le domaine de Gouy, enlevé à Arnould, seigneur de Cambrai par Othon de Vermandois, devient possession du Vermandois dont il ne sera plus séparé. En 1213, sous le règne de Philippe II Auguste, le Vermandois et donc Gouy sont réunis au domaine royal français<ref name="Histoire">Modèle:Lien web.</ref>.
Après 1363, au cours de la guerre de Cent Ans, le Cambrésis ayant été intégré aux États bourguignons se retrouve à la frontière du royaume de France. En 1477, par héritage, le Cambrésis devient possession germanique puis, en 1515, par héritage encore, passe aux mains de Charles Quint, devenant ainsi territoire espagnol. Le village se trouve donc sur la frontière entre les deux domaines, qui passait à Lempire, Vendhuile, Gouy, Beaurevoir, Bohain, Guise et dans une zone de guerres fréquentes entre les deux puissances, cinq entre 1557 et 1660<ref name="Histoire"/>.
Carte de Cassini
Sur la carte de Cassini ci-contre datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Gouy est appelé Gouy-en-Arrouaise. C'était une paroisse située sur l'Escaut. Un moulin à eau symbolisé par une roue dentée était implanté sur la rivière entre Gouy et Le Câtelet; Au sud-est, la ferme de Bonaire a été détruite en 1858. Un moulin à vent en bois était implanté dans le hameau de Lormisset qui appartenait à l'abbaye du Mont-Saint-Martin<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Au sud, le village du Mont-Saint-Martin était une paroisse qui appartenait à l'abbaye du Mont-Saint-Martin. Ses terres appartiennent de nos jours à la commune. Il existait un relais de poste établi entre les deux villages qui permettait aux cavaliers ou diligences de disposer de chevaux frais. Aucun renseignement n'a été trouvé à ce jour sur le lieu-dit: Les Trois Fœtus.
Le 24 septembre 1641, sont données à Madrid, des lettres de chevalerie pour Pierre de Cardevacque, écuyer, seigneur de Gouy, Saint-Amand (Saint-Amand-les-Eaux?), lettres enregistrées le 3 mars 1642. Pierre de Cardevacque, est le fils de Ferdinand de Cardevacque, écuyer, seigneur de Beaumont (sans doute Hénin-Beaumont) et petit-fils de Charles de Cardevacque, écuyer, seigneur de Beaumont. Son grand-oncle maternel, frère au « vieil baron de Cuincy », a été gouverneur de Tournai, le frère second d'icelui, gouverneur de Bapaume, leur frère Modèle:3e, colonel d'infanterie, a rendu de notables services au siège de Cambrai. Louis de Cardevacque, écuyer, seigneur de Haubois, son frère aîné, capitaine de cuirassiers, après plusieurs fidèles services, a été tué, à l'avantage de notre cavalerie, par les Français, à leur dernière sortie de la ville de Maubeuge en 1637. Son second frère, a été tué en Allemagne, au service de l'Empereur en 1634. Lui-même a porté les armes au service du roi, en qualité de cornette au régiment du comte de Bucquoy, et a été depuis choisi capitaine de 300 têtes. Il a épousé la fille aînée d'Arnould de Thieulaine, chevalier, seigneur du Fermont, lieutenant de la gouvernance de Lille<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 255, lire en ligne.</ref>.
En mai 1698, sont données à Versailles, des lettres autorisant Pierre François de Cardevacque, seigneur de Gouy, gentilhomme d'Artois, fils de Pierre de Cardevacque, lieutenant de dragons, créé chevalier, à porter sur l'écusson de ses armes qui sont « D'hermines au chef de sable » une couronne de cinq fleurons d'or avec deux licornes pour tenants, comme le marquis d'Havrincourt, l'aîné de la famille, a droit de les porter. Pierre de Cardevacque, père du demandeur, a pour neveu Joseph de Cardevacque, seigneur des Haut-Bois, capitaine de grenadiers dans le régiment de Croÿ, qui assista à la bataille de Fleurus en 1690, à la bataille de Steinkerque en 1692, à la bataille de Neerwinden en 1693, au siège de Mons en 1694 (siège de Mons en 1691?), au siège de Namur en 1695, au siège de Charleroi en 1696 (siège de Charleroi en 1693?), au siège de Barcelone, où après avoir donné des preuves éclatantes de sa valeur aux attaques du chemin couvert et des bastions de la place, il fut tué sur la brèche du second retranchement<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 363, lire en ligne.</ref>.
En mars 1720, des lettres de chevalerie héréditaire sont données à Paris pour Pierre François de Cardevacque, écuyer, seigneur de Gouy, Boucly, qui a toujours servi fidèlement le roi dans les assemblées des États de la province d'Artois. Il a deux frères actuellement au service, l'un en qualité de capitaine, l'autre de lieutenant au régiment de Boufflers. Il a eu un neveu tué sur la brèche, à l'assaut de Barcelone en 1697, alors qu'il commandait cinq compagnies de grenadiers, et il a un autre neveu gouverneur d'Hesdin depuis 1705<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 396, lire en ligne.</ref>.
Vers 1777, Pierre-Joseph-Alexandre de Cardevacque, chevalier, est seignuer de Gouy. Il se marie le Modèle:Date avec Marie-Joseph-Pauline Grenet de Marquette (Marquette-en-Ostrevant), née le Modèle:Date. Elle est la fille de Jérôme-Joseph Grenet de Marquette, chevalier, conseiller de la ville de Lille, subdélégué de l'Intendant à Cambrai, anobli en 1743, substitut du procureur du roi, et de mademoiselle de Hoves<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
En 1789, avant le déclenchement de la Révolution française, le village compte environ 600 habitants soumis à l’autorité et juridiction de l’abbaye du Mont Saint Martin, les abbés s’étant, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, substitués aux seigneurs laïcs<ref name="Histoire" />.
En Modèle:Date-, les religieux quittent l’abbaye dont les terres sont mises en vente dès le mois de mars comme biens nationaux<ref name="Histoire" />.
En 1811, le sucre ayant pratiquement disparu du marché lors du blocus de l'Angleterre, Napoléon Ier encourage la culture en France de la betterave et la fabrication de sucre. En 1812, l’Aisne est chargée d’en cultiver 1000 hectares et Alexandre Cougouilhe installe une sucrerie au Mont Saint Martin dont il est propriétaire. A la fin de l'épopée napoléonienne, Gouy est occupé par les coalisés et doit verser des indemnités de guerre. Le Mont Saint-Martin est loué jusqu'en Modèle:Date- par le duc de Wellington, généralissime de l’armée anglaise<ref name="Histoire" />.
Vers 1825, Gouy voit se développer la culture des betteraves sucrières, la confection de plumetis et l'installation d’une briqueterie, suivie, en 1830, de la construction de la tuilerie-pannerie, et, en 1832, du développement du tissage du coton. En 1835, est créée une activité de confection de rideaux en mousseline. Un four à chaux est construit en 1836, puis, en 1838, ouverture d'une sucrerie qui occupera jusqu'à 150 habitants<ref name="Histoire" />.
En 1862, un moulin à farine (à eau et à vapeur) fonctionne sur l'Escaut, au pont vers Estrées, deux moulins à vent tournent dans la campagne: 1 pour la farine, 1 pour l’huile (tordoir) à Guizancourt et un moulin à vapeur est installé à Gouy-au-Mont. D'autres activités industrielles existent à cette époque, telle une fabrique de chicorée<ref name="Histoire"/>.
- L'ancienne voie ferrée
Dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la gare de Gouy-Le Catelet a été un important nœud ferroviaire ; la gare se situait sur deux lignes de chemin de fer : la ligne du Cambrésis qui fonctionna de 1892 à 1954 et qui reliait Saint-Quentin à Caudry et la ligne de chemin de fer de Guise au Catelet, ligne à voie métrique réalisée sous le régime des « voies ferrées d'intérêt local » reliant Le Catelet-Gouy à Bohain puis Guise qui a fonctionné de 1900 à 1950. De nos jours, cette gare, qui porte toujours l'inscription « CAMBRESIS » est transformée en habitation. Les gares les plus proches étaient Bellicourt en direction de Saint-Quentin, Aubencheul-aux-Bois en direction de Caudry et Beaurevoir en direction de Bohain. Elle servait pour le transport du courrier, des marchandises, des betteraves vers les sucreries de Bohain ou Caudry et surtout des habitants et des ouvriers qui se rendaient soit à Bohain, pour travailler dans les usines textiles, soit au Catelet pour rejoindre Saint-Quentin ou Cambrai par la ligne du Cambrésis.
Après 1945, le trafic décline, du fait de l'essor du transport des marchandises par camion et des voyageurs par autobus. Le Département de l'Aisne, propriétaire de la ligne Guise-Le Catelet, décide de son déclassement le Modèle:Date-. La ligne du Cambrésis cessera son activité en 1960. Modèle:Article détaillé
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La gare vers 1910. -
La gare du Catelet-Gouy vers 1910
(carte postale). -
L'ancienne gare transformée en habitation. -
Horaire des trains
en 1946. -
Carte des lignes de chemin de fer à Gouy-Le Catelet.
- Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au Modèle:Date-, devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le Modèle:Date<ref name="ar">Modèle:Lien web.</ref>, les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en Modèle:Date-. Pendant toute cette période, Gouy restera loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
Des arrêtés obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En Modèle:Date-, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuie sur le canal de Saint-Quentin. Gouy est donc un point stratégique Les habitants du village sont évacués le Modèle:Date-<ref name="ar" />.
En Modèle:Date-, l'offensive des Alliés sur le front de Péronne porte ses fruits, les Allemands cèdent du terrain peu à peu. Le Modèle:Date-, les troupes anglaises et australiennes se heurtent, à l'armée allemande. Pendant plusieurs jours, le village sera l'objet de nombreux combats<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Au cours de ces combats, les bombardements ont provoqué de nombreuses destructions<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus, mais la population de 1271 habitants en 1911 ne sera plus que de 793 en 1921 . Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le Modèle:Date-<ref>http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf</ref>. Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 38 soldats de la commune Morts pour la France ainsi que de 3 civils.
- Fusion de communes
La fusion de Gouy et du Catelet a été envisagée en 2017/2018 sous le régime des communes nouvelles. Celle-ci a été abandonnée après le vote des conseils municipaux intervenus dans les deux villages le Modèle:Date-, et où la fusion a recueilli 10 voix pour et 2 contre au Catelet, mais 4 voix pour et autant contre à Gouy<ref>Modèle:Article.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1790 du canton du Catelet<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Bohain-en-Vermandois.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, créée fin 1993.
Politique locale
Moïze Denizon, maire de Gouy depuis 2008, a indiqué en Modèle:Date- son intention de ne pas se représenter aux élections municipales de 2020<ref>Modèle:Article.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant Gouy et Le Catelet<ref>Modèle:Article.</ref>, et administré par le syndicat intercommunal scolaire du haut Escaut<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sports
Le « Gouy Football club » a été créé à l'été 2019, et évolue sur un terrain municipal rénové après avoir été abandonné une quarantaine d'années<ref>Modèle:Article.</ref>
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Médard de Gouy, construite en style néo-roman par l'entreptrise de travaux publics A.Delage & Cie de Cambrai, de 1924 à 1926, après sa destruction lors de la Première Guerre mondiale sur les plans Louis Brassart-Mariage. Les vitraux datent de 1933<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- L'église Saint-Médard
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L'église vers 1870, dessin de Joachim Malézieux (1851-1906).
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L'église aujourd'hui.
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Église Saint-Médard.
- L'abbaye du Mont-Saint-Martin, malgré les destructions de la Seconde Guerre mondiale<ref name=EscVivant>Escaut Vivant, Aide à la décision pour une valorisation durable du site des sources de l'Escaut, Phase 2 – 2. Propositions d'aménagement</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> a des vestiges classés partiellement en 1986 et 1992 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Elle a abrité, outre des jardins fruitier et potager, un « jardin français » et un jardin « anglais »<ref name=EscVivant/>.
- Fermes de Guizancourt, de l'Ormisset, de Plenne, du Bois de Cabaret
- Chapelle de L'Ormisset (à la ferme du même nom)
- Monument aux morts, inauguré en 1926<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Monument aux morts.
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Tour pigeonnier avec porche et horloge.
- Les deux cimetières militaires britanniques de la Première Guerre mondiale :
- Cimetière militaire britannique de la ferme de Guizancourt (Modèle:Langue) situé près de la ferme de Guizancourt
- Cimetière militaire britannique de Gouy (Modèle:Langue) situé dur la route de Beaurevoir, qui abrite la sépulture de 538 soldats (dont 115 inconnus) décédés lors de la première Guerre Mondiale. On y recense 451 britanniques (dont 104 inconnus), 77 australiens (dont 11 inconnus) et 10 sud-africains<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Guizancourt Farm Cemetery
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Prospect Hill Cemetery
- Les sources de l'Escaut et son vallon, ainsi que le déversoir dans l'Escaut du Canal des Torrents, rigole de drainage creusée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Cartes postales anciennes avant 1914
Cartes postales après 1918
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Ognier (1818-1884), historien local et Goïcien d'adoption. Une ruelle porte aujourd'hui son nom.
- Louis Brassart-Mariage (1875-1933), architecte de l'église, de la mairie et des écoles.
- Edmond Bricout (né le 8 octobre 1904 à Walincourt - décédé le 3 mai 1973 à Gouy) était député de l'Aisne de 1951 à 1973 et maire de Gouy de 1947 à 1973
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la mairie
- Gouy sur le site de l'Institut géographique national
- Modèle:Lien web.
- Modèle:Lien web, sur le site des archives départementales de l'Aisne.
- Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.