Le Monêtier-les-Bains
Modèle:Infobox Commune de France
Le Monêtier-les-Bains, en occitan Monestièr, est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
Localisation
Rose des vents | Valloire Savoie |
Névache | Rose des vents | |
Villar-d'Arêne | Modèle:Abréviation discrète | |||
Modèle:Abréviation discrète Le Monêtier-les-Bains Modèle:Abréviation discrète | ||||
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Pelvoux | La Salle-les-Alpes{{#if:| | |||
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La commune, traversée par le [[45e parallèle nord|Modèle:45e nord]], est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ Modèle:Unité).
Le Monêtier-les-Bains est un village des Hautes-Alpes, situé à 1 500 mètres d'altitude, historiquement chef-lieu du canton du Monêtier-les-Bains (comprenant les communes de La Salle-les-Alpes et Saint-Chaffrey) et composante de la station de ski de Serre Chevalier. La commune fait à présent partie du canton de Briançon-1. Les communes limitrophes sont La Salle-les-Alpes, Pelvoux, Villar-d'Arêne, La Grave, Névache, dans les Hautes-Alpes, et Valloire en Savoie<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Elle s'étend sur 9 787 hectares entre les chaînons du Galibier dans le massif des Cerces et de Combeynot dans le massif des Écrins, et comprend les fameux cols du Lautaret (limite climatologique entre les Alpes du Nord et du Sud, ouvrant sur l'Oisans et, sur la vallée de la Romanche descendant vers le département de l'Isère) et du Galibier (col ouvrant sur la Savoie et haut-lieu du Tour de France).
La commune est limitrophe du Parc national des Écrins ; on trouve une maison du parc au hameau du Casset.
De par l'étendue de la commune, le territoire comporte de nombreux lacs de montagne (sont cités les principaux) :
- Rive gauche de la Guisane le Grand Lac est le lac principal (Modèle:Unité.). Autour de ce lac (vers 2500 - Modèle:Unité.) se trouvent des petits lacs, permanents ou temporaires (lac de la Ponsonnière, lacs des Crouserocs).
- Rive droite, dans la station de Serre-Chevalier, un lac (artificiel) sert de réserve d'eau pour une partie de la station de Serre-Chevalier, au col de l'Eychauda.
- Rive droite, les lacs d'Arsine (lacs blancs, 2450 à Modèle:Unité.) et les lacs du Réou d'Arsine (petits lacs, vers Modèle:Unité.) sont dans un paysage de moraine et de prairies. Le lac de la Douche a une ambiance un peu plus forestière (altitude d'environ Modèle:Unité).
- Le lac de Combeynot (Modèle:Unité.) est isolé dans le massif du Combeynot<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Outre le chef-lieu, la commune comprend les hameaux du Lautaret (altitude Modèle:Unité), du Lauzet (alt. Modèle:Unité, sur la limite entre zones externes et internes des Alpes), des Boussardes (Modèle:Unité), du Casset (Modèle:Unité, dans la haute vallée de la Guisane), des Guibertes (Modèle:Unité), du Freyssinet (Modèle:Unité) et du Serre-Barbin (Modèle:Unité).
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Col du Lautaret depuis la montagne de Chaillol.
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Le Lauzet depuis l'amont.
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Le Lauzet depuis l'aval.
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Village du Casset.
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Le hameau du Casset.
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Plans d'eau entre le bourg et le Casset.
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Village du Monêtier-les-Bains depuis la montagne du Puy du Cros.
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Gros plan sur le village du Monêtier-les-Bains.
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Villages du Freyssinet et des Guibertes.
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Le Monêtier-les-Bains vu depuis la piste skiable de Clos Gaillard.
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Village vu du Haut
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Église du Monetier les Bains
Urbanisme
Typologie
Le Monêtier-les-Bains est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (60,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,1 %), forêts (11,7 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (1,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %), terres arables (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Dans l’Antiquité, la localité était appelée Modèle:Latin sur la table de Peutinger<ref>Modèle:Article.</ref>, Modèle:Latin dans le traité de géographie de l'Anonyme de Ravenne<ref>Modèle:Article.</ref>.
La création d'un monastère en ces lieux provoque le changement de toponyme en Modèle:Latin au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises - page 1518.</ref> en 1020 à l'initiative des moines de l'abbaye de la Novalaise<ref>Modèle:Article.</ref>.
Il est connu au Moyen Âge comme le Monestier de Briançon, puis Le Monêtier de Briançon jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage disponible sur Gallica.</ref>.
Monestier los Banhs en occitan haut-alpin.
Histoire
Le Monêtier était le centre sous l'Ancien Régime d'un puissant réseau de colportage de livres, bien étudié par Laurence Fontaine<ref>Laurence Fontaine, Histoire du colportage en Europe, XVe-XIXe siècle, Albin Michel, 1993</ref> qui met par exemple en exergue le cas de Jean Delorme, originaire de Monêtier, qui par ses entreprises commerciales et ses stratégies d'alliance matrimoniale met en place, via ses enfants et petits-enfants, un vaste réseau commercial à cheval sur les espaces alpins et méditerranéen : après s'être installé à Avignon en 1692 pour y exercer la profession de libraire puis d’imprimeur, il maria ses deux fils avec deux filles de la famille Josserand, autre famille de marchands du Monêtier. Ses petits-enfants entrèrent également dans le réseau du colportage du livre par une alliance matrimoniale avec l'agent des éditeurs Cramer de Genève. À partir de cette alliance, les Cramer, éditeurs de Genève, firent appel à des migrants du Dauphinois pour distribuer leurs livres dans les montagnes des Alpes. Ils employèrent alors plusieurs colporteurs du village de Monêtier. Entre les années 1755-1760, 38 libraires originaires de Monêtier s'installèrent dans les grandes villes culturelles d'Europe en France, Italie, Espagne et surtout à Lisbonne au Portugal. On a recensé 45 familles du Monêtier et des alentours vivant en Espagne. Ces réseaux de colportage permirent d'ouvrir des dépôts et boutiques dans les principales villes européennes<ref>Cogné A., Les circulations internationales en Europe (1680-1780) ; Neuilly, éd. Atlande, 2012, Modèle:P.</ref>.
À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune a connu une activité minière non négligeable (anthracite...) avec les exploitations installées au Freyssinet (prospection du BRGM, concession Mayer, concessions de Pierre-Grosse), au-dessus de plateau de Puy-Jaumar (mine de la Benoîte), sans oublier la présence de la seule mine de graphite en France (mine du Chardonnet, à près de Modèle:Unité d'altitude), dont l'activité culmina durant la Première Guerre mondiale, le graphite étant utilisé pour la fabrication des obus. Pour certaines de ces mines (Benoîte, Chardonnet, etc.), des téléphériques descendaient le produit d'extraction dans la vallée afin qu'il soit évacué par camions. Cette activité initiée au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle s'est développée dans les années 1930 pour disparaître au début des années 1970. Pour des raisons de sécurité, la préfecture a entrepris à la fin des années 1990 de détruire certaines des installations encore existantes (trémies, entrées de galerie, pylônes, etc.).
Les eaux thermales présentes sur la commune sont de nouveau exploitées à partir de 1715, avec la création de piscines et de bains<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1893, une délibération du conseil municipal change le nom en « Le Monêtier-les-Bains » afin de développer le thermalisme, lié à une source thermale réputée pour ses propriétés gastriques, rhumatologiques et dermatologiques. Cette source était déjà connue au temps des Romains, quand le village s'appelait Stabatio. Les habitants du Monêtier sont surnommés « les tripes chaudes » (en occitan vivaro-alpin las tripas chaudas) puisqu'ils soignaient certains maux en buvant l'eau (chaude) de la source.
Blason
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
La commune a été créée en 1793 chef-lieu de canton sous le nom de Monestier puis est devenue Le Monêtier-de-Briançon et en 1893 a pris son nom actuel : Le Monêtier-les-Bains.
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
L'activité économique du Monêtier-les-Bains est essentiellement tournée vers le tourisme, comme c'est le cas dans la plupart des communes des Hautes-Alpes.
L'activité hivernale est liée à la station de ski, initialement régie communale, puis devenue syndicat d'économie mixte avec l'intégration dans l'appellation « Serre-Chevalier » dans les années 1980, et dont la gestion de l'activité est désormais confiée à la Compagnie des Alpes.
L'activité estivale profite de l'attrait pour le parc national des Écrins, avec la venue de randonneurs et d'alpinistes désireux d'effectuer des courses dans le massif de l'Oisans.
La commune cherche également à développer une activité permanente de thermalisme avec comme pilier le nouvel établissement thermo-ludique les Grands-Bains. Depuis son ouverture en Modèle:Date-, celui-ci permet à la commune de renouer avec une tradition thermale tombée en désuétude depuis un demi-siècle. Le complexe combine une offre de piscine à eau thermale naturellement chaude (Modèle:Tmp), de soins du corps et de soins esthétiques. Les retombées pour la commune se montent à une cinquantaine d'emplois (masseuses, esthéticiennes, personnel d'entretien et de surveillance des bassins...).
Une activité agro-pastorale subsiste toujours, avec la présence sur la commune de 14 agriculteurs et quelques beaux troupeaux ovins et bovins, ainsi que de fromageries bio artisanales (fromages de brebis). La foire aux bestiaux, organisée le deuxième samedi de septembre, est devenue un rendez-vous important de la profession, avec la présence d'éleveurs de tout le département, et d'acheteurs de Savoie et d'Auvergne.
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (monument historique<ref group="Base Mérimée">Modèle:Base Mérimée</ref> dès 1913) et son orgue<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Les Orgues des régions de France. : Monetier-les-Bains, église Notre-Dame-de-l'Assomption, Orgue Merklin (1860) - Guillemin (1969) - Steinmann (1999))</ref>. Il semble que l'abbaye de la Novalèse ait fait fonder au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle un établissement ecclésiastique destiné aux voyageurs qui franchissaient par le col du Lautaret. La paroisse du Monêtier est ensuite dépendante de l'abbaye de Bréma. Un prieuré simple est fondé au Monêtier en 1303 ; il est uni en 1366 à l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Le bâtiment actuel a été bâti au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1587, le clocher est détruit alors que le gouverneur de Briançon prend le Monêtier ; il est rebâti en 1617. Des travaux de restauration sont entrepris à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Claude de Monêtier-les-Bains.
- Fresques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans les chapelles Saint-Martin et Saint-André (fresques et bâtiments classés au titre des monuments historiques<ref group="Base Mérimée">Modèle:Base Mérimée et Modèle:Base Mérimée</ref>).
- Musée d'Art Sacré du Monêtier les Bains (statues bois polychrome, tapisseries d'Aubusson, croix processionnelle du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) dans la chapelle Saint-Pierre de Monêtier-les-Bains.
- Le bâtiment de la Rotonde, également appelé le « pavillon des buveurs », construit en 1715 afin d'abriter la source.
- Site de l'Aiguillette du Lauzet, qui domine le hameau du Lauzet, entre le centre-village et le col du Lautaret, avec une via ferrata, des voies d'escalade et une vue panoramique sur la vallée et les sommets environnants.
- Église du Saint-Esprit des Guibertes.
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- Barthélemy Gallice dit Gallice Bey, né au Lauzet le Modèle:Date-, qui deviendra officier français du génie et colonel<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. Au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le vice-roi d'Égypte Mohamed Ali projeta le réaménagement de la ville d’Alexandrie. Il fit alors appel à un ingénieur français, Barthélémy Gallice, et le nomma directeur des fortifications. Ce dernier entreprit l’énorme tâche de fortifier la ville selon les principes de Vauban. Mais son grand projet de modernisation des fortifications entra en conflit avec une évolution contradictoire : l’explosion démographique. La ville turque était devenue trop petite et la nouvelle Alexandrie cosmopolite avait besoin de davantage de terrains. La ville allait commencer à s’étendre depuis son noyau ottoman sur l’isthme vers le sud et l’ouest, puis vers l’est. En même temps que Gallice Bey érigeait des bastions (dont G3 et G4) devant la Porte de Rosette à l’est, on commençait à détruire la portion nord-ouest de la muraille. En 1856, il reçoit la Cravate de Commandeur de la Légion d'Honneur, des mains de Soliman Pacha, en témoignage de la satisfaction du gouvernement français<ref name=":0" />.
- Modèle:Lien, dit aussi Jacóme Ratton, né le Modèle:Date de naissance, de Jacques Ratton et de son épouse Françoise Bellon, au Monêtier-les-Bains, et mort à Paris, le Modèle:Date de décès fut un industriel et un commerçant, naturalisé portugais, qui contribua au développement du tissage mécanique, et à l'introduction de la culture de l'eucalyptus et de l'araucaria au Portugal. Anobli à l'instigation de son protecteur, le marquis de Pombal, il fut promu Gentilhomme (Fidalgo) de la maison royale et chevalier de l'Ordre du Christ. Il fit construire le Palaçio Ratton qui abrite aujourd'hui, la Cour Constitutionnelle et la Cour Suprême du Portugal. Selon l'habitude des émigrants de cette époque, il grandit chez ses grands parents au Monêtier-les-Bains jusqu'à l'âge de quatorze ans et rejoignit ensuite ses parents qui s'étaient installés à Porto. En Modèle:Date-, après le départ des troupes de Napoléon Ier du Portugal, et notamment à cause de son amitié avec le général Paul Thiébault, il fut accusé de trahison au profit de la France et condamné à l'exil dans l'île de Terceira aux Açores qu'il parvint de par ses relations à convertir en un exil à Londres où il résida jusqu'en 1816, avant de partir pour Paris où il mourut.
Activités culturelles
- Festival international d'orgue, créé en 1999.
- Cours d'orgue et de chant.
- Spectacle historique vivant par le groupe folklorique Le Quadrille du Tabuc.
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Chancel, Les paysans-mineurs du Briançonnais, éd. du Fournel, L'Argentière-la-Bessée, 2005, 158 pages, Modèle:ISBN.
- Quadrille du Tabuc, L'histoire du bourg en images et l'histoire des hameaux en images, deux tomes, Le Monêtier-les-Bains, 2003, Modèle:ASIN.
- Xavier Moutard, Contes et légendes du Lauzet en Briançonnais, Alpes de lumière, Mane, 1999, Modèle:ISBN.
- Émilie Carles, Une soupe aux herbes sauvages, éd. Robert-Laffont, Paris, 1999, Modèle:ISBN.
- Mireille Marks, Mon bonheur sur les cimes, éd. Denoël, 1981, Modèle:ASIN.
- Michel Floro et Alain Rota, Les Secrets de la Barotte aux Éditions Transhumances(2010)
- André Chalandon, Balades au fil des chapelles de la Guisane; Modèle:Date-
- Michèle Janin-Thivos, "Marchands migrants du Briançonnais, Monestier de Briançon au XVIIIe siècle" Editions du Fournel, 2018. Modèle:ISBN.
- Modèle:Ouvrage disponible sur Gallica.
Articles connexes
- Liste des communes des Hautes-Alpes
- Liste des anciennes communes des Hautes-Alpes
- Col du Casset
- Pic des Prés les Fonts, Roche des Agneaux
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Images et géologie des hameaux et du glacier du Monêtier
- Le Monêtier-les-Bains sur le site de l'Institut géographique national
- Géologie
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Notices de la Base Mérimée
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- Autres références