Ljubljana

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Modèle:En-tête label Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ville de Slovénie

Ljubljana (Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en slovène retranscrite selon la norme API.</ref> <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} (à prononcer Lioubliana) ; en allemand : Laibach Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en haut allemand standardisé retranscrite selon la norme API.</ref>, en italien : Lubiana Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en italien standard retranscrite selon la norme API</ref>) est la capitale de la Slovénie. Plus grande ville du pays avec environ 280 000 habitants<ref name="Gentilé">Modèle:Lien web.</ref>, elle est influencée tout au long de son histoire par différentes cultures du fait de sa position géographique charnière entre les cultures germanique, latine et slave. Depuis 1991, la ville est le centre économique et culturel principal de la Slovénie devenue indépendante de la Yougoslavie.

Toponymie et symbole

Fichier:Ljubljana-sever.JPG
Panorama de la ville avec les Alpes en arrière plan.

Les historiens ne se sont toujours pas mis d’accord concernant l’origine du nom de la cité. Certains pensent que le nom provient d’une ancienne cité slave nommée Modèle:Langue<ref name="InfoNom">Modèle:Lien brisé</ref>. D’autres pensent que le mot dérive du mot latin Modèle:Langue à la suite d'une inondation dans la ville. Il dérive peut-être également du nom Modèle:Langue qui signifie « marais ». Finalement, certains pensent que le nom dérive du mot slave Luba qui signifie « Aimée »<ref name="InfoNom"/>.

Ljubljana est le nom slovène de la ville. Elle est traditionnellement connue en allemand sous le nom de Modèle:Langue (anciennement Modèle:Langue ou Modèle:Langue<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>), en italien sous le nom de Modèle:Langue et en latin sous le nom de Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les dénominations Lioubiana<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, Lioubliana<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref> ou Loubiana<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> sont également parfois rencontrées en français.

Selon la célèbre légende grecque, le héros Jason et ses Argonautes, qui auraient trouvé la célèbre Toison d'or en Colchide, se seraient alors dirigés au nord en remontant le fleuve Danube plutôt que de retourner vers la mer Égée<ref name="InfoDragon">Modèle:Lien brisé</ref>. En remontant le Danube, ils se seraient dirigés vers son affluent la Save puis jusqu'à la source de la rivière Ljubljanica. Ils démontèrent alors le bateau pour le transporter jusqu'à la mer Adriatique située plus à l’ouest pour retourner chez eux<ref name="InfoDragon"/>. Entre les municipalités actuelles de Vrhnika et de Ljubljana, les argonautes trouvèrent un grand lac entouré d’un marais. C’est là que Jason terrassa un monstre. Ce monstre était le dragon de Ljubljana qui est aujourd’hui présent sur le blason et le drapeau de la ville<ref name="InfoDragon"/>. Plusieurs dragons ailés ornent le pont des Dragons (Zmajski Most) ; construit entre 1900 et 1901, ce pont est l’œuvre de J. Zaninovic. Le dragon (ou le lindworm, créature mi-serpent mi-dragon) est aussi un symbole pour la ville autrichienne proche de Klagenfurt qui fut pendant des siècles le grand centre spirituel slovène<ref name="Artis">Daniel Mallinus, La Yougoslavie, Éd. Artis-Historia, Bruxelles, 1988, D/1988/0832/27, p. 37-38-39.</ref>. Du fait de cette proximité, la légende du dragon de Ljubljana et celle du lindwurm de Klagenfurt furent souvent comparées ou reliées<ref>Modèle:Lien brisé</ref> ; et les légendes ont été traitées de façons similaires dans les deux cités du point de vue de l'héraldique : les blasons représentent tous deux des dragons de couleur verte, placés sur un fond rouge et associés à un bâtiment.

Géographie

Situation

Fichier:Image Ljubljana-OpenStreetMap-Mapnik-100k.svg
Carte de Ljubljana.
Fichier:Ljubljana-Center-OpenStreetMap-Mapnik-10k.svg
Plan du centre de Ljubljana.

La ville, d’une superficie de Modèle:Unité, est située au centre de la Slovénie. Sa position centrale entre l’Autriche, la Hongrie, la région vénitienne en Italie et la Croatie a fortement influencé l’histoire de la ville actuelle. La ville se situe à Modèle:Unité à l'ouest de Zagreb, à Modèle:Unité au nord-est de Venise, à Modèle:Unité au sud-ouest de Vienne et à Modèle:Unité au sud-ouest de Budapest (distances approximatives par routes calculées grâce à Google Earth).

Topographie et hydrographie

La ville se positionne à Modèle:Unité d’altitude dans la vallée de la rivière Ljubljanica<ref name="InfoGen">Modèle:Lien web</ref> entre la région du Karst et la région alpine<ref name="Sloveniainfo">Modèle:Lien web</ref>. Le château, placé au sommet d'une colline au sud du centre-ville, se situe à Modèle:Unité d’altitude alors que le point culminant de la ville, nommé Janški Hrib, est perché à Modèle:Unité<ref name="InNumbers">Modèle:Lien web</ref>.

La ville s’est érigée à proximité de la confluence des rivières Ljubljanica et Save au pied de la colline. Les eaux de la Save se jettent bien plus loin dans le fleuve Danube à Belgrade avant de terminer leur course dans la mer Noire<ref name="Sloveniainfo"/>.

Géologie

La ville s'étend sur une plaine alluvionnaire datant de l'ère Quaternaire. Les régions montagneuses proches et plus anciennes datent en revanche de l'ère Tertiaire ou Secondaire<ref name="Geologymap">Modèle:Lien web</ref>.

Ljubljana a plusieurs fois été dévastée par des tremblements de terre comme en 1511 et en 1895<ref name="InfoIntro"/>. La Slovénie est en effet sur une zone sismique assez active en raison de sa position au sud de la plaque tectonique eurasienne<ref name="Seisme">Modèle:Lien web</ref>. Le pays est ainsi à la jonction de trois zones tectoniques importantes que sont les Alpes au nord, les Alpes dinariques au sud et la plaine de Pannonie à l'est<ref name="Seisme"/>. Les scientifiques ont pu identifier 60 tremblements de terre destructeurs dans le passé. Un réseau de surveillance sismique est par ailleurs installé à travers tout le pays<ref name="Seisme"/>.

Climat

Le climat de la ville et de l'est de la Slovénie est de type continental<ref name="InfoGen"/>. Le mois de juillet est en général le mois le plus chaud alors que les mois de janvier et février sont les plus froids<ref name="Meteo">Modèle:Lien web</ref>. La température la plus froide jamais relevée est de Modèle:Tmp alors que la température la plus élevée est de Modèle:Tmp<ref name="Meteo"/>. Des gelées sont possibles du mois d'octobre au mois de mai. Les mois les plus secs sont les mois de janvier à avril avec moins de Modèle:Unité de précipitations<ref name="Meteo"/>. Les mois les plus pluvieux sont les mois de septembre et d'octobre<ref name="Meteo"/>.

Fichier:Nuvola apps kweather.png Relevés à Ljubljana<ref name="Meteo"/>
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Record des températures maximales (°C) 14 19 23 30 31 38 39 35 31 27 20 16 39
Températures maximales moyennes (°C) 2 5 10 15 20 24 27 26 22 15 8 4 15
Températures minimales moyennes (°C) -4 -4 0 4 9 12 14 14 11 6 2 -1 5
Record de température minimale (°C) -27 -28 -16 -5 -3 4 7 4 1 -2 -11 -15 -28
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 88 89 76 98 121 133 113 127 142 151 131 114 1 383

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Modèle:Article détaillé

Fichier:Ljubljana Castle at night.jpg
Le château de Ljubljana. La ville fut longtemps une place forte.

Vers Modèle:Date-, les marais de Ljubljana sont colonisés par des populations habitant dans des constructions en bois sur pilotis. Ces hommes vivent de la chasse, de la pêche mais aussi d’une agriculture primitive. Des embarcations faites avec des troncs d’arbres permettent à ceux-ci de se déplacer dans les marais. Par la suite, la zone reste un point de passage pour de nombreuses populations<ref name="Histo1">Modèle:Lien brisé</ref>. Le territoire est ensuite colonisé par les Vénètes qui sont suivis par la tribu illyrienne nommée Yapodi et finalement par la tribu celte des Taurisci au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle<ref name="Histo1"/>.

Fichier:Emona - oskrba z vodo.TIF
Tuyau en plomb de l'époque romaine d'Emona.

Les Romains construisent durant le Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle le castrum d’Emona<ref name="Histo2">Modèle:Lien brisé</ref>. Ce fort retranché est occupé par la Legio XV Apollinaris<ref name="Apollinaris">Modèle:Lien web</ref>. La ville fit d'abord partie de la province de Pannonie supérieure, mais fut plus tard incorporée à l'Italie. Le berceau de la ville est détruit en 452 par les Huns sous les ordres d'Attila<ref name="Histo2"/>,<ref name="Attila">Modèle:Lien web</ref>, puis par les Ostrogoths et les Lombards<ref name="Artis"/>. Emona abrite environ 5 000 habitants et joue un rôle important lors de nombreuses batailles. Les maisons de briques plâtrées et colorées sont déjà connectées à un réseau d'égouts<ref name="Histo2"/>. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le peuple des Slovènes s’y installe<ref name="Histo2"/>. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les Slovènes tombent sous la domination du peuple des Francs tout en connaissant de nombreuses attaques hongroises<ref name="Histo2"/>.

Moyen-Âge

Le nom de la cité, Luvigana, apparaît pour la première fois dans un document de 1144<ref name="Artis"/>. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la ville est composée de trois zones : le Stari trg (« vieille ville »), le Mestni trg (« place de la ville ») et le Novi trg (« nouvelle ville »)<ref name="Histo2"/>. En 1220, la cité obtient le statut de ville et peut dès lors frapper sa propre monnaie<ref name="Histo2"/>.

En 1270, la Carniole et en particulier la ville entre dans les possessions d’Ottokar II de Bohême<ref name="Histo2"/>. Son vainqueur, [[Rodolphe Ier du Saint-Empire|Rodolph {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Habsbourg]]<ref name="Artis"/>, remporte la ville en 1278<ref name="Histo2"/>. La ville, rebaptisée Laibach, appartient à la maison d’Autriche et ce jusqu'en 1797<ref name="Artis"/>. Le diocèse de la ville est fondé en 1491 et l’église de Saint-Nicolas devient une cathédrale<ref name="Histo2"/>. À partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la ville acquiert une renommée dans les arts. Après un tremblement de terre en 1511, Ljubljana se reconstruit dans un style architectural renaissance et une nouvelle enceinte est bâtie autour de la ville<ref name="Histo3">Modèle:Lien brisé</ref>. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, sa population est composée de 5 000 habitants dont 70 % de langue slovène<ref name="Histo3"/>. En 1550, les deux premiers livres écrits en slovène y sont imprimés avec notamment une traduction de la Bible. Au même moment, la première école secondaire apparaît dans la ville tout comme une bibliothèque<ref name="Histo3"/>. En 1597, des jésuites s’y installent et construisent une nouvelle école secondaire qui deviendra plus tard un collège. La ville adopte les années suivantes une architecture baroque<ref name="Histo3"/>.

Histoire moderne et contemporaine

L’intermède napoléonien lui vaut de devenir, de 1809 à 1813, la capitale des provinces illyriennes<ref name="Artis"/>,<ref name="Histo4">Modèle:Lien brisé</ref>. En 1815, la ville redevient autrichienne et de 1816 à 1849, la ville fait partie du Royaume autrichien d'Illyrie<ref name="InfoIntro">Modèle:Lien brisé</ref>. En 1821 la ville accueille le congrès de Laybach qui s'attaque aux insurrections nationales italiennes<ref>J. B. Duroselle, L'Europe de 1815 à nos jours., Nouvelle Clio, PUF, 1996, Modèle:P.126.</ref>. Le premier train en provenance de Vienne arrive dans la ville en 1849 et en 1857 la ligne est prolongée jusqu'à Trieste<ref name="Histo4"/>. L’éclairage public électrique apparaît quant à lui en 1898<ref name="Histo4"/>. En 1895, la ville, qui abrite 31 000 habitants, est victime d'un important tremblement de terre de magnitude 6,1 sur l'échelle de Richter. Composée d'environ 1 400 bâtiments, la ville voit 10 % de ceux-ci détruits alors que le nombre de victimes est faible. La reconstruction qui suit voit plusieurs quartiers de la ville se reconstruire en style architectural Art nouveau.

En 1918, la région rejoint le royaume des Serbes, Croates et Slovènes<ref name="Artis"/>,<ref name="Histo5">Modèle:Lien brisé</ref>. En 1929, elle devient la capitale de la province yougoslave de la Banovine de la Drave (Dravska banovina)<ref name="banovina">Modèle:Lien web</ref>. Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est occupée par les Italiens, qui en font le chef-lieu de leur province de Lubiana ; en 1943, après la capitulation italienne, elle est occupée par les Allemands<ref name="Histo5"/>. La ville est alors entourée de plus de Modèle:Unité de barbelés et les collaborateurs slovènes (Slovensko Domobranstvo) affrontent les partisans communistes (Partizani). Depuis 1985, un sentier commémoratif entoure la ville là où se trouvait le rideau de fer<ref name="rideau fer">Modèle:Lien brisé</ref>. Après la Seconde Guerre mondiale, la ville devient la capitale de la République socialiste de Slovénie en intégrant la Yougoslavie et ce jusqu’à l’indépendance du pays en 1991<ref name="Histo5"/>. Depuis, elle est la capitale de la Slovénie qui a intégré l’Union européenne depuis 2004<ref name="Histo5"/>.

Urbanisme

Architecture

Fichier:Ljubljana Mestni trg kamienica 1.jpg
Située place de la Ville, la Maison Souvan, construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et dont la façade, rénovée en 1827, est un exemple remarquable de l’architecture Biedermeier de la ville.
Fichier:Uršulinski samostan (Ljubljana).jpg
Le couvent des Ursulines.

Malgré l’apparition de grands immeubles surtout en périphérie de la ville, Ljubljana garde intact son centre historique où se mélangent les styles architecturaux baroque et Art nouveau. La ville est fortement influencée à la mode autrichienne dans le style des villes de Graz et de Salzbourg. La vieille ville se compose de deux quartiers. Celui de l'hôtel de ville qui accueille les principales œuvres architecturales et le quartier des Chevaliers de la Croix où se situent l’église des Ursulines, l’édifice de la société philharmonique (1702) et la maison de Cankar. Après le tremblement de terre de 1511, Ljubljana est reconstruite sur le modèle d'une ville de la Renaissance (style baroque) et après celui de 1895, qui a sévèrement endommagé la ville, elle est une nouvelle fois reconstruite dans le style Art nouveau<ref name="InfoIntro"/>,<ref name="Histo4"/>. L'architecture de la ville est ainsi un mélange de styles. Les grands secteurs de la ville ayant été construits après la Seconde Guerre mondiale comportent souvent une touche personnelle de l'architecte slovène Jože Plečnik.

Le château de Ljubljana domine la colline surplombant la rivière Ljubljanica. Construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le château est la résidence des Margraves, puis des ducs de Carinthie. Mis à part le château, les œuvres architecturales principales de la ville sont la cathédrale Saint-Nicolas, l'église Saint-Pierre, l'église Franciscaine de l'Annonciation ainsi que le Triple Pont et le pont des Dragons. Dans le style baroque, on retrouve près de l'hôtel de ville la fontaine de Robba sur la place Mestni Trg. Celle-ci ressemble à la fontaine de la Piazza Navona de Rome. Elle est ornée d’un obélisque au pied duquel des figures en marbre blanc symbolisent les trois principales rivières de la Carniole. Elle est l'œuvre du sculpteur italien Francesco Robba qui est à l’origine de nombreuses autres statues baroques présentes dans la ville. Les églises de la ville sont également imprégnées de ce style qui remonte à l'après tremblement de terre de 1511<ref name="Baroque">Modèle:Lien web</ref>.

L'Art nouveau est de son côté mis en avant sur la place Prešeren et sur le pont des Dragons<ref name="artnouveau">Modèle:Lien web</ref>. Dans les influences importantes de la ville, on peut citer l'influence de l'architecte slovène Jože Plečnik qui est à l'origine de plusieurs ponts dont le Triple Pont mais aussi de la bibliothèque nationale<ref name="Plecnik">Modèle:Lien web</ref>.

Château de Ljubljana

Fichier:Ljubljana Castle.JPG
Le château de Ljubljana.

Le château de Ljubljana (Ljubljanski grad) est un château médiéval situé au sommet de la colline qui domine le centre-ville. La zone du château actuel reste continuellement habitée depuis 1 200 ans Modèle:Av JC<ref name="LubljanaCastle">Modèle:Lien web</ref>. Le sommet de la colline devient probablement un camp retranché de l'armée romaine après avoir connu une période celte et illyrienne<ref name="LubljanaCastle"/>. Le château est mentionné pour la première fois en 1144 en tant que siège du duché de Carinthie. La forteresse est détruite lorsque le duché entre dans l'Empire austro-hongrois des Habsbourg en 1335<ref name="LubljanaInfo">Modèle:Lien web</ref>. Entre 1485 et 1495, le château actuel est construit et garni de tours. Il a pour vocation de défendre l'empire de l'invasion ottomane mais aussi de révoltes paysannes<ref name="LubljanaInfo"/>. Aux {{#switch: XVIII

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}}, le château devient un arsenal et un hôpital militaire. Il est endommagé durant la période napoléonienne et, une fois de retour dans l'empire d'Autriche devient une prison jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale<ref name="LubljanaInfo"/>. La tour principale du château date de 1848. Elle est alors habitée par un garde qui doit tirer un coup de canon pour avertir la ville en cas de danger<ref name="LubljanaCastle"/>.

En 1905, le château est acheté par la ville de Ljubljana et une rénovation débute dans les années 1960. Aujourd'hui, le château est devenu une attraction touristique et un lieu où se déroulent des évènements culturels<ref name="LubljanaFestival">Modèle:Lien web</ref>. Depuis 2007, un funiculaire relie le centre-ville au château situé en haut de la colline<ref name="LubljanaInfo"/>.

Cathédrale Saint-Nicolas

Fichier:NadskofijaStolnica-Ljubljana.JPG
La cathédrale Saint-Nicolas.

Saint-Nicolas de Ljubljana (Stolnica svetega Nikolaja) est l'église cathédrale de Ljubljana. Facilement identifiable dans la ville grâce à son dôme vert et ses deux tours jumelles, elle est située sur la place Vodnik à proximité du Tromostovje (Triple Pont)<ref name="LubljanaCathedrale">Modèle:Lien web</ref>. Le site fut occupé à l’origine par une église paroissiale d’architecture romane dont les premières mentions remontent à 1262<ref name="LubljanaCathedrale"/>. En 1361, un incendie cause sa destruction et elle est reconstruite dans le style gothique. En 1461, elle devient le siège de l’évêché de Ljubljana, nouvellement créé pour restaurer l'antique siège d'Aemona (détruit au {{#switch: ou

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}}) et relevant directement du Saint-Siège. En 1469, un nouvel incendie attribué aux Ottomans ravage l'édifice<ref name="LubljanaCathedrale"/>.

Entre 1701 et 1706, l’architecte jésuite Andrea Pozzo dessine une nouvelle église de style baroque possédant deux chapelles sur ses côtés pour figurer une croix latine<ref name="LubljanaCathedrale"/>. Le dôme est construit au centre en 1841<ref name="LubljanaCathedrale"/>. L’intérieur est orné de fresques baroques peintes par Giulio Quaglio durant les périodes 1703-1706 et 1721-1723<ref name="LubljanaCathedrale"/>. L'évêché de Ljubljana a été érigé en archevêché en 1961.

Pont des Dragons

Fichier:A dragon on the Dragon Bridge in Ljubljana.jpg
Un dragon sur le pont des dragons à Ljubljana. Juin 2012.

Le pont des Dragons (Zmajski most) est construit entre 1901 et 1902 lorsque la ville appartient encore à l'Empire austro-hongrois. Dessiné par l'architecte Joze Plečnik ayant étudié chez Otto Wagner à Vienne et construit par un ingénieur autrichien, le pont est considéré comme une des plus belles œuvres du style architectural Sécession viennoise (Art nouveau)<ref name="ARCH124">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="PontDragons">Modèle:Lien web</ref>. Dans la région, certaines personnes donnent au pont le surnom de « Belle-mère » en référence aux effrayants dragons disposés à ses quatre coins<ref name="SBTG84">Modèle:Ouvrage</ref>.

Demeure de Pečnik

Modèle:Section vide ou incomplète

Galerie nationale de Slovénie

Fichier:Staircase National Gallery of Slovenia.jpg
Escaliers dans la galerie nationale à Ljubljana.

Modèle:Article détaillé Elle présente des œuvres créées du Moyen Âge au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Son bâtiment a été construit en 1896. Une galerie en verre y a été ajoutée en 2001.

Galerie moderne

Modèle:Article détaillé Elle prend chronologiquement la suite de la Galerie nationale de Slovénie et accueille les œuvres des artistes du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et contemporains.

Musée de la ville de Ljubljana

Fondé en 1935, il est logé dans le Palais Auersperg dans le centre de Ljubljana. Le musée propose diverses activités pédagogiques pour les enfants et les adolescents entre les âges de 5 et 18 ans. Modèle:Peu clair.

Galerie d'images

Démographie

La ville compte 22 593 habitants<ref name="Histo4"/> en 1869, 80 000 au milieu des années 1930<ref name="Histo5"/>. La croissance démographique reste assez stable entre 1999 et 2007 avec une population avoisinant les 270 000 habitants<ref name="Demography">Modèle:Lien web</ref>. Avant 1996, la population de la ville dépassait les 320 000 habitants : cette diminution de population s'explique simplement par une réorganisation territoriale qui a vu certains quartiers périphériques rattachés aux municipalités voisines<ref name="InNumbers"/>.

Selon Eurostat la zone urbaine élargie de Ljubljana compte 495 101 habitants<ref>http://www.urbanaudit.org/DownloadPDF.ashx?CityCode=SI001C</ref>.

Évolution démographique<ref name="Demography"/>

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
270 481 271 654 270 032 269 146 268 084 267 192 266 935 267 369 267 920 270 828 278 314

Politique et administration

Administration municipale

La ville de Ljlubljana est dirigée par un conseil de ville (Mestna občina Ljubljana ou MOL en slovène) composé de 45 membres, élu au suffrage universel tous les quatre ans. Le conseil élabore entre autres le budget municipal et se fait également aider par différentes commissions actives dans les domaines de la santé, des sports, des finances, de l'éducation, de la protection de l'environnement et du tourisme<ref name="Commissions">Modèle:Lien web</ref>. La zone électorale de Ljubljana est composée également de 17 districts qui disposent d'autorités locales travaillant avec le conseil municipal en vue de transmettre les demandes de leurs habitants<ref name="Districs">Modèle:Lien web</ref>.

Lors des élections municipales du 22 octobre 2006, Zoran Janković, un homme d'affaires important en Slovénie, devient maire de Ljubljana après avoir recueilli 62,99 % des voix<ref name="Geologymap"/>. La majorité au conseil municipal dispose alors de 23 sièges sur 45<ref name="Geologymap"/>. La municipalité est reconduite lors des élections d'octobre 2010.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Districts

Fichier:MOL-CS.png
Districts de Ljubljana.

Ljubljana est composée de 17 districts : Modèle:Colonnes

Police municipale

La juridiction de la police (Policija) de Ljubljana couvre une superficie de Modèle:Unité ce qui représente 18,8 % du pays<ref name="Police">Modèle:Lien web</ref>. On y trouve 17 postes de police qui emploient au total 1 380 employés dont 1 191 policiers et 189 civils<ref name="Police"/>. Avec environ 45 000 faits criminels en 2007, la zone de police de Ljubljana accueille à elle seule plus de 50 % des faits criminels du pays<ref name="Rapport crime">Modèle:Lien web</ref>. La Slovénie et en particulier la ville de Ljubljana sont réputées calmes et sécurisées<ref name="securite">Modèle:Lien web</ref>.

Économie

La région statistique de Ljubljana (Osrednjeslovenska) produit environ 25 % des biens domestiques fabriqués dans le pays tout en profitant également du tourisme<ref name="InfoGen"/>. En 2003, le niveau de la population active est de 62 %. 64 % des travailleurs se situent dans le secteur privé et 36 % dans le secteur public<ref name="InfoGen"/>. En septembre 2008, la ville connaît un taux de chômage de 4,9 % (5,7 % un an plus tôt) à comparer avec la moyenne nationale de 6,3 %<ref name="Chomage Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>. Le PIB par habitant de la région statistique de Ljubljana était en 2006 de Modèle:Unité alors que la moyenne nationale était de Modèle:Unité<ref name="PIB Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>.

L'industrie reste l'employeur le plus important de la ville notamment dans les domaines pharmaceutiques, pétrochimiques et de l'agroalimentaire<ref name="InfoGen"/>. Les autres domaines sont les banques, les finances, le transport, la construction, le commerce et le tourisme. Le service public fournit de l'emploi dans l'éducation, la culture, les soins de santé et l'administration<ref name="InfoGen"/>. En ce qui concerne le tourisme en 2008, les touristes ont réalisé 740 602 nuitées dans la ville pour un total de 8 411 688 nuitées pour toute la Slovénie<ref name="Touriste Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>. Cela représente 375 666 touristes utilisant des infrastructures touristiques dans la ville en 2008 alors que le total slovène se monte à 2 766 194 touristes<ref name="Touriste Ljubljana"/>.

La bourse de Ljubljana (Ljubljanska borza), rachetée en 2008 par la bourse de Vienne<ref name="Bourse Vienne">Modèle:Lien web</ref>, accueille de grandes entreprises slovènes. Une partie de celles-ci ont leurs sièges sociaux situés dans la région de la capitale. Citons ainsi la société de grandes distributions Mercator, la société pétrolière Petrol d.d., la société de télécommunications Telekom Slovenije<ref name="Bourse Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>. Il existe plus de 15 000 entreprises dans la ville en majorité dans le secteur tertiaire<ref name="Tertiaire Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>.

Éducation

Fichier:SLO-Ljubljana53.JPG
Siège de l'université sur la place du Congrès.

Un septième de la population de la ville est composé d'étudiants ce qui en fait une ville jeune<ref name="Université Ljubljana">Modèle:Lien web</ref>. L’université de Ljubljana, la plus importante du pays, fut fondée en 1919<ref name="Histo5"/>. En 2008, l’université de Ljubljana est composée de 22 facultés, de trois académies et d'un collège. Celles-ci proposent des cours en slovène dans de nombreuses matières comme la médecine, les sciences appliquées, les arts, le droit et l'administration<ref name="Université Ljubljana II">Modèle:Lien web</ref>. La population étudiante de l'université est proche de 64 000 étudiants et le corps enseignant est fort d'environ 4 000 membres.

En 2004, la bibliothèque nationale et la bibliothèque de l’université disposent ensemble de 1 169 090 livres<ref name="InNumbers"/>. En 2006, les 55 écoles primaires accueillent 20 802 élèves et les 32 écoles secondaires 25 797 étudiants<ref name="InNumbers"/>.

Culture

Fichier:Old Sugar factory (Cukrarna, Ljubljana).jpg
Une ancienne manufacture de sucre de Ljubljana aujourd'hui transformée en centre culturel. Octobre 2021.

La ville propose de nombreuses galeries artistiques et de nombreux musées. En 2004, elle accueille ainsi 15 musées, 41 galeries d’arts, 11 théâtres (dont le SNG Drama Ljubljana) et quatre orchestres professionnels<ref name="InNumbers"/>. On y trouve par exemple un musée d’architecture, un musée du chemin de fer, un musée du sport, le musée national d’art contemporain, un musée de la brasserie, le musée d'histoire naturelle de Slovénie ainsi que le musée national ethnographique de Slovénie<ref name="Pointinteret">Modèle:Lien web</ref>. On y trouve également un zoo qui s’étend sur environ Modèle:Unité et qui abrite 152 espèces d’animaux. Un marché d’antiquaire a lieu tous les dimanches dans la vieille ville<ref name="Pointinteret"/>. En 2006, les musées accueillent 264 470 visiteurs, les galeries 403 890 et les théâtres 396 440<ref name="InNumbers"/>.

Chaque année, plus de 10 000 évènements culturels prennent place dans la ville parmi dix festivals internationaux dans les domaines du théâtre, de la musique et de l'art en général<ref name="InfoIntro"/>. De nombreux festivals de musique sont organisés dans la ville, principalement de la musique classique européenne et du jazz, à l'exemple du Festival d'été (Ljubljanski poletni festival). Au centre des différentes régions viticoles slovènes, la ville est reconnue pour être une cité du vin. Des vignes avaient déjà été plantées au temps des romains sur les pentes de la colline voisine qui accueille le château de la ville<ref name="InfoIntro"/>. La ville accueille en 1701 la première académie philharmonique du pays, ce qui permet de développer la production musicale dans la région<ref name="InfoIntro"/>. L’académie accueille plus tard des membres honoraires célèbres comme Joseph Haydn, Ludwig van Beethoven et Johannes Brahms mais aussi le violoniste Niccolò Paganini<ref name="InfoIntro"/>.

La Galerie nationale (Narodna galerija), fondée en 1918<ref name="Histo5"/>, et le Musée d'art moderne (Moderna galerija) tous deux situés à Ljubljana, exposent les plus célèbres artistes slovènes (dont Franz Caucig, 1755-1828). Il existe également un centre consacré à la culture alternative dans la rue Metelkova, installé dans un ancien complexe militaire austro-hongrois composés de baraquements aujourd'hui rénovés<ref name="Metelkova">Modèle:Lien web</ref>. Cette rue animée accueille de nombreux clubs et salles de concerts qui proposent différents types de musique<ref name="MetelkovaII">Modèle:Lien web</ref>. Dans les années 1980, Ljubljana devient le centre du mouvement des Neue Slowenische Kunst, qui inclut entre autres le groupe musical Laibach et les peintres du collectif IRWIN, et avec lequel est associé le philosophe Slavoj Žižek.

Sports

Le mouvement sportif Orel (catholique) fait construire par Jože Plečnik un important stade d'athlétisme, le stade Bežigrad dans les années 25-38, appelé également Stade central, qui sera surtout utilisé pour le football. Le HD HS Olimpija, le ŠD Alfa, le HK Slavija et le HDD ZM Olimpija sont les clubs de hockey sur glace de Ljubljana. Ils évoluent tous dans le championnat de Slovénie et certains d'entre eux également dans le championnat d'Autriche<ref name="Olimpija">Modèle:Lien web</ref>. En basket-ball, les équipes se nomment Slovan Ljubljana, ŽKD Ježica Ljubljana et Union Olimpija. Cette dernière, dont la mascotte est un dragon vert, dispute ses matchs dans la salle Dvorana Tivoli qui dispose de 6 000 places<ref name="Tivoli Arena1">Modèle:Lien web</ref>. Cette salle accueille également les match de l'équipe de hockey HDD ZM Olimpija. Les clubs de football de la ville, qui jouent en première ligue slovène, se nomment Interblock Ljubljana<ref name="Tivoli Arena2">Modèle:Lien web</ref> et NK Olimpija Ljubljana. En handball, le principal clubs de la ville est le RD Slovan Ljubljana évoluant en Championnat de Slovénie, il fut un des meilleurs clubs de son temps puisqu'il atteignit la Coupe des clubs champions en 1980-1981.

En ski alpin, la sportive Urška Hrovat a remporté différentes épreuves comptant pour la coupe du monde de ski alpin. Depuis 2010, Tina Maze réussit une brillante carrière de skieuse, s'imposant aussi bien en descente, super-combiné et slalom géant, et remportant le gros globe de cristal dans la coupe du Monde 2012-2013, après 2 médailles d'argent aux JO de Vancouver en 2010. Les plus proches pistes de ski alpin se situent à Modèle:Unité au nord-ouest près de Kamnik. La station de Krvavec (Modèle:Unité) possède entre autres dix remontées mécaniques pour Modèle:Unité de pistes<ref name="SkiResort">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="SkiResortII">Modèle:Lien web</ref>. La sprinteuse des disciplines des 100 et Modèle:Unité Merlene Ottey, anciennement jamaïquaine et naturalisée slovène depuis 2002, réside désormais à Ljubljana et court pour son nouveau pays dans les épreuves internationales. Le village de Tacen, en périphérie de la ville, accueille le départ de la course de Šmarna Gora depuis 1979<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Transports

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La gare de Ljubljana et les bus attendant les voyageurs.

La ville est au centre du réseau autoroutier slovène qui relie la ville aux quatre coins du pays. Jusqu’en juillet 2008, un système de postes de péage était d’application mais a été remplacé depuis par un système de vignettes autoroutières valables à l’année ou durant une semaine minimum. La ville, placée au centre de la Slovénie, est reliée vers le sud-ouest par l’autoroute A1-E70 aux villes italiennes de Trieste et de Venise<ref name="Michelin">Michelin, Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie, Monténégro, Macédoine, Cartes et guides Modèle:N°, Michelin, Zellik, Belgique, 2007 Modèle:ISBN</ref>. Au nord, l’autoroute A1-E57 permet de rejoindre les villes de Maribor, de Graz et de Vienne. À l’est, l’autoroute A2-E70 relie la ville à la capitale croate Zagreb ce qui permet de rejoindre la Hongrie et les villes importantes de l’ex-Yougoslavie comme Belgrade<ref name="Michelin"/>. Au nord-ouest, l’autoroute A2-E61 relie la ville autrichienne de Klagenfurt et de Salzbourg ce qui en fait une porte d’entrée importante des touristes venus des pays européens du nord<ref name="Michelin"/>. Le réseau de bus est dense et reste le principal moyen de transport en commun. Les bus y sont familièrement appelés trole (trolé), du temps où Ljubljana avait un service de trolleybus (trole ne s'utilise que pour les bus de Ljubljana, pas pour ceux des autres villes de Slovénie). En centre-ville, la ville a mis en place un réseau de vélo en libre service ce qui permet de visiter plus facilement<ref name="Transvelo">Modèle:Lien web</ref>. En 2012, le maire Zoran Jankovic, donne la priorité aux piétons et aux cyclistes. La rue Slovenska devient piétonne, seuls les bus et les taxis pouvant y circuler<ref name="Delouche"/>.

La gare ferroviaire de Ljubljana propose une ligne de chemin de fer qui relie l'Allemagne et la Croatie grâce à la ligne Munich-Salzbourg-Ljubljana-Zagreb. La deuxième est la ligne Vienne-Graz-Maribor-Ljubljana qui relie l'Autriche à la Slovénie. La troisième est la ligne Gênes-Venise-Ljubljana qui relie la capitale à l'Italie. Une ligne relie également la capitale slovène à Budapest en Hongrie<ref name="Sloveniainfo"/>. L'aéroport de Ljubljana (code AITA: LJU), situé à Modèle:Unité au nord de la ville, propose de nombreuses destinations vers l'Europe. Il accueille entre autres les compagnies Air France, Brussels Airlines, EasyJet et Finnair<ref name="Transavion">Modèle:Lien web</ref>. Les destinations proposées sont ainsi par exemple Amsterdam, Belgrade, Bruxelles, Helsinki, Munich, Londres, Paris, Prague et Vienne<ref name="Transavion"/>.

Environnement

En juin 2016, Ljubljana reçoit le prix de Capitale verte de l'Europe 2016 pour Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="Delouche">Modèle:Lien web</ref>.

Avec Modèle:Unité d’espaces verts par habitant, trois quarts de la surface de la ville est consacrée aux parcs et jardins et les avenues piétonnisées comme la rue Slovenska sont plantées de nouveaux arbres<ref name="Delouche"/>. Le principal parc de la ville est le parc Tivoli qui s'étend sur Modèle:Unité jusqu'au cœur de la vieille ville.

Personnalités célèbres

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Fritz Pregl, lauréat du prix Nobel de chimie.

Modèle:Colonnes

Relations internationales

Modèle:Article connexe

Jumelage

La ville de Ljubljana est jumelée avec<ref>Pobratena mesta in članstvo v zvezah</ref> :

Modèle:Jumelages

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

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