Locunolé

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Modèle:Infobox Commune de France Locunolé {{#ifeq:1|0|[lokynole]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Locunolé est surtout réputée pour le site spectaculaire des Roches du Diable, dont le bassin d'eau vive est situé près du bourg de Locunolé, entre les communes de Guilligomarc'h et Querrien. La rivière Ellé s'y faufile entre d'énormes rochers en granite polis par l'érosion. Ce site de grande renommée accueille régulièrement des compétitions de canoë-kayak de catégories nationales et internationales. Modèle:Article détaillé

Toponymie

Fichier:Église Saint-Guénolé, Locunolé, Finistère 02.JPG
L'église paroissiale dédiée à Saint Guénolé.

Locunolé vient du vieux breton « loc », lieu consacré, et de saint Guénolé, fondateur de l'abbaye Saint-Guénolé de Landévennec. Locunolé est mentionné pour la première fois en 1426 sous la forme Locguenolay. Locunolé semble bien être le « quartier » ou tref Uuinguiri, donné à l'abbaye de Landévennec par le roi Gradlon et localisé, par l'acte qui le relate au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dans la paroisse de Niuliac. Le nom de tref Uuinguiri disparut, remplacé par celui de Locunolé, à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Lokunole en breton, signifiant le « lieu de Saint Gwénolé ».

Géographie

Localisation

Locunolé est une petite commune dont le bourg est situé à vol d'oiseau à un peu moins de Modèle:Unité au nord-est de Quimperlé. Locunolé appartient par ses traditions à la Cornouaille et d'un point de vue administratif à la communauté d'agglomération de Quimperlé Communauté. Le cours de l'Ellé longe le territoire communal à l'est et au sud et son tracé sert de frontière naturelle avec les communes voisines de Guilligomarc'h et Arzano. La rivière Ellé faisait autrefois office de véritable frontière sur le plan linguistique et vestimentaire entre Locunolé et les communes voisines de Guilligomarc'h et Arzano. Les habitants de Locunolé portaient le costume de Quimperlé et parlaient le cornouaillais alors que les habitants de Guilligomarc'h et Arzano portaient le costume du Pays de Lorient et parlaient le vannetais.

Modèle:Images

Modèle:Communes limitrophes

Relief et hydrographie

Fichier:Locunolé rivière Ellé Pont-Neuf.jpg
La rivière Ellé au Pont-Neuf.
Fichier:Locunolé Pont Ty Nadan.jpg
Le pont de Ty Nadan franchissant la rivière Ellé entre Locunolé et Arzano.

L'altitude de la commune varie entre 16 mètres (vallée de l'Ellé à son point le plus bas) et 121 mètres (plateau armoricain). Le bourg de Locunolé est situé sur le plateau armoricain à une altitude comprise entre 100 mètres et 110 mètres. La rivière Ellé entaille profondément le plateau armoricain, notamment à la hauteur du bourg de Locunolé. Son cours sinueux décrit des méandres plus ou moins larges. Elle passe d'une altitude de 34 mètres au niveau du moulin de Kerléon à 25 mètres au niveau du moulin Mohot et 18 mètres au pont de Ty Nadan où est situé une station hydrométrique. Modèle:Images

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,5 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanvenegen », sur la commune de Lanvénégen, mise en service en 1994<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, dans le département du Morbihan, mise en service en 1952 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Locunolé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimperlé, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 5,9 % 99
Terres arables hors périmètres d'irrigation 42,5 % 718
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 16,5 % 279
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 16,1 % 272
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,2 % 37
Forêts de feuillus 6,0 % 102
Forêts mélangées 10,7 % 181
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Modèle:Images

Histoire

Origine

Locunolé semble être un ancien démembrement de la vaste paroisse (une ploue de l'Armorique primitive) de Niulac ou Yuliac (de Yulacum ou domaine de Jules), d'une superficie de Modèle:Unité (son suffixe -ac montre l'origine gallo-romaine de la plebs Niulac<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>) qui englobait les territoires actuels des communes de Querrien, Saint-Thurien, Locunolé et Tréméven<ref name="AleMdeLaB">Marcel Cado, Monographie sur la commune de Querrien, Liv'Éditions, Lonrai, 1998.</ref>.

Temps modernes

En 1667 Locunolé, jusqu'alors simple prieuré dépendant de Rome, est érigé en paroisse dépendant du diocèse de Cornouaille.

En 1759, la paroisse de Locunolé [le nom est écrit Loquenolé] devait chaque année fournir 5 hommes pour servir de garde-côtes<ref>"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne...", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f6.image.r=Pleuven?rk=107296;4</ref>.

Révolution française

En 1790, Locunolé est érigé en commune et rattaché au département du Morbihan nouvellement créé.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Locunolé état-major.png
carte d'État-Major montrant les limites de Locunolé (trait bleu) avant 1857.

En 1801, le Concordat en fait une paroisse du diocèse de Vannes. Les prêtres faisant défaut, la paroisse est annexée à Meslan vers 1812 puis est érigée en succursale du Faouët en 1820.

En 1806 le maire de Locunolé ne sait pas écrire. Le premier acte de mariage de cette année-là dans la commune est rédigé par Jean Jacques Bellanger, « faisant pour le maire de Loquenolé [Locunolé] qui ne sait pas écrire fonction d'officier d'état-civil de la commune de Loquenolé »<ref>https://recherche.archives.finistere.fr/viewer/series/medias/collections/E/03E/3E166/3E166_0005?s=FRAD029_3E166_0005_00M_AN14_001.jpg&e=FRAD029_3E166_0005_00M_AN14_002.jpg.</ref>.

Par décret du Modèle:Date-, la commune de Locunolé est rattachée au Finistère. Locunolé, constituée uniquement de 7 villages, annexe 20 villages de Querrien pour pouvoir devenir une paroisse de plein exercice. La superficie de la commune passe ainsi de 605 hectares<ref>dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne par Jean Ogée, nouvelle édition, tome 1</ref> à Modèle:Unité. Les villages transférés formaient auparavant un quartier de Querrien du nom de Coat ar C'hrann. Ils s'appellent : Cosquer, Sainte Gertrude, L'Île Gourlay, Kernon, Bélénou, Kerdudan, Kerdonars, Le Grannec, Ty Danigou, Moulin Mohot, Kereven, Lonjou, Mongariou, Méné Bloc'h, Ty Nadan, Kerrouarch, Carlay, La Villeneuve et Kerret. Une vieille expression en langue bretonne parlant de l'ancien Locunolé disait : « E Nikinolé e oa diou vilin, seiz ker hag eur maner», c'est-à-dire : "à Locunolé il y a deux moulins, sept villages et un manoir".

Le Modèle:Date- fut bénie la première pierre de l'actuelle église paroissiale et le Modèle:Date-, celle-ci fut consacrée. Elle a été construite sur l'emplacement de l'ancienne dont il ne reste que le clocher et les fonts baptismaux. Le clocher porte la date de 1671 avec l'inscription suivante : VENERABLE ET DISCRET MESSIRE P. CADIC RECTEUR.

Un rapport d'avril 1872 indique que Locunolé fait partie des 28 communes du Finistère à être encore sans école<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

En juillet 1902 le Conseil d'arrondissement de Quimperlé se fait l'interprète de l'émotion soulevée dans tout l'arrondissement par la fermeture des écoles confessionnelles de Clohars-Carnoët, Querrien, Locunolé, Tréméven, Arzano et Guilligomarc'h, décidée par le gouvernement Émile Combes ; il « proteste énergiquement contre une mesure contraire aux vœux exprimés par les conseils municipaux et devant avoir pour effet de laisser un grand nombre d'enfants privés d'instruction »<ref>Modèle:Article.</ref>.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Locunolé porte les noms de 53 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 1 est mort en mer (Jean Marie Puillandre) <ref name="mgw 44581">Modèle:Lien web.</ref>.

La Seconde Guerre mondiale

Selon René Le Guénic<ref>René Le Guénic, Ces héros venus de l'ombre, 1991, Modèle:ISBN.</ref> , neuf personnes de Locunolé sont mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Marcel Pézennec<ref group=Note>Marcel Pézennec, né le Modèle:Date- à Locunolé.</ref>, originaire de Locunolé, militaire de carrière, capitaine d'artillerie, fit partie du réseau de résistance Libération Nord et du mouvement Vengeance ; promu commandant FFI (son pseudonyme était "capitaine Jeannot") , il coordonna l'action de la résistance autour de Quimper<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; il fut tué le Modèle:Date- à la ferme de Penhoat en Kerfeunteun<ref>Modèle:Article.</ref>.

L'après Seconde Guerre mondiale

Un soldat originaire de Locunolé (Félix Le Nigen) est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Fichier:Mairie de Locunolé, Finistère.JPG
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Évènements

  • Le Modèle:Date- : inauguration de la salle multifonctions.
  • Le Modèle:Date- : signature de la charte Ya d’ar brezhoneg par le maire, engagement pris par son Conseil municipal quelques mois plus tôt en faveur de la langue bretonne, concernant notamment la mise en place d’une signalisation bilingue dans la commune.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Édifices religieux

  • Chapelle Sainte-Gertrude (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : Cette chapelle, de style ogival, située au bord de la départementale 790, à 5 km à l'ouest du bourg de Locunolé, était dédiée à l'origine à Sainte Ildren. Guillaume Cothonnec est le fabrique de la chapelle en 1524. Le nom de Sainte Gertrude a remplacé celui de Sainte Ildren au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La chapelle abrite les statues de Sainte Gertrude et Saint Médard.

Moulins

Fichier:Locunolé moulin de kerléon.jpg
Le moulin de Kerléon avec ses deux roues et au premier plan une femme venant de tirer de l'eau dans la rivière (vers 1911).

D'amont en aval on rencontre sur le cours de l'Ellé :

  • Le moulin de Kerléon (1457) : Ce moulin était celui de la petite seigneurie de Coetdavid. Il s'appelait à l'origine moulin de Coetdavid. Il a pris par la suite le nom de Marie de Kerléon, dame de Coetdavid, fille de Guillaume de Kerléon et Marye de Cheffdubois<ref name="Pierre Hollocou">Pierre Hollocou et Jean-Yves Plourin Les noms de lieux et leur histoire De Quimperlé aux montagnes noires, Emgleo Breiz, 2007.</ref>.
  • Le moulin du Stall (1587) : Ce moulin était celui de la seigneurie de Coatourman. Il doit son nom à la famille Le Restal qui a possédé cette seigneurie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle après le mariage de Constance Le Godec avec Jehan Le Restal. Ce moulin a probablement été construit par Jehan Le Restal seigneur de Coatourman à partir de 1529 ou par son fils Louis Le Restal. Il a d'abord été moulin à fouler avant de devenir moulin à grain<ref name="Pierre Hollocou"/>.
  • Le moulin Mohot (1481) : Ce moulin, connu aussi sous le nom de moulin de Tymeur ou moulin Brûlé, était celui de la seigneurie du Grannec. Tombé en ruine en 1650, il est reconstruit par son propriétaire, Jacques de Muzillac, seigneur de Tymeur en Arzano, à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le bâtiment abritant le moulin et le logis date de cette époque. Il a été restauré à plusieurs reprises. Il doit son nom au patronyme Mahault attesté à Tréméven et Guilligomarc'h en 1426<ref name="Pierre Hollocou"/>.

Les roues de ces moulins se sont aujourd'hui tues. Le dernier moulin à être resté en activité est le moulin Mohot qui fonctionnait encore en 1960 distribuant de la farine à toute la région <ref>Le Télégramme, Locunolé l'histoire des moulins, article publié le 19 septembre 2013</ref>

Manoirs

Fichier:Locunolé manoir du Sparle.jpg
L'ancien manoir du Sparle aujourd'hui aménagé en gîte.

On trouvait autrefois sur le territoire actuel de la commune de Locunolé les manoirs suivants :

  • Le manoir du Sparle (1536) : Il appartient en 1627 à Olivier de Quénégan, sieur de Sparle.
  • Le manoir de Coetdavy (1457) : La petite seigneurie de Coetdavid, non citée en 1427, a sans doute été créée pour Marye de Chefdubois, décédée en juillet 1457, cadette de la famille de Chefdubois, seigneur de Brulé en Bubry et propriétaire du manoir du Grannec.
  • Le manoir de Grannec (1426) : Il appartient en 1426 à Jehan du Chefdubois, seigneur de Brulé en Bubry. Il n'est pas considéré comme un manoir en 1426 par les commissaires du fouage. Il est déclaré manoir en 1481.

Fontaines

Fichier:Locunolé fontaines jumelles.jpg
Fontaines des Saints.
  • Les fontaines des Saints (1670) : Fontaines de dévotion à bassins jumelés en pierre de taille. À gauche la fontaine Notre-Dame et à droite la fontaine Saint Guénolé. Les deux fontaines sont constituées d'une niche à coquille. L' une possède un fronton simple et l'autre un fronton orné sur les rebords.

Site naturel

Modèle:Article détaillé

Légende

  • Les Roches du diable : Saint Guénolé serait arrivé dans ce pays où Satan régnait en maître. Il fonda la paroisse qui porte son nom (Locunolé) et chaque jour les conversions devinrent plus nombreuses. Un jour que Guénolé se promenait au bord de l'Ellé, le diable lui lança à la tête d'énormes blocs de rochers. D'un large signe de croix Guénolé détourna le danger et, depuis, les rochers sont là, sur la rive. Un rocher porterait les traces des griffes du diable et un trou dangereux dans le lit de l'Ellé est dénommé "trou du diable".

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Article connexe

Liens externes

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