Lusse

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Lusse <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Lussois <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}.

Géographie

Localisation

Lusse se situe à Modèle:Unité à l'est de Saint-Dié-des-Vosges, sur un petit affluent (le Bleu) de la Fave alimenté par neuf ruisseaux. La commune s'adosse au massif vosgien et culmine à la Chaume de Lusse (Modèle:Unité). Elle est limitrophe du département du Haut-Rhin mais le relief escarpé n'offre aucun col routier vers l'Alsace. Lusse est bâtie sur le penchant d'une colline au sommet de laquelle se trouve l'église où l'on monte par un escalier en pierre. Cependant, le tunnel Maurice-Lemaire désenclave le secteur en direction de Sainte-Marie-aux-Mines. Deux chemins largement empruntés par les habitants de Lusse conduisent à Sainte-Marie-aux-Mines. L'un aboutit sur la place du marché et l'autre rejoint la colline de la croix de mission à sainte Marie-aux-Mines. Entre les deux villages, on remarque sur le bord du chemin à distance l'une de l'autre, quatre petites chapelles en ruines, et sur le sommet en arrivant à Sainte-Marie-aux-Mines, la grande croix que les habitants de Sainte-Marie-aux-Mines appellent la Croix de Mission. Cette colline servait autrefois de calvaire où l'on se rendait encore au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en procession, bannières déployées, le jour du vendredi saint. Le curé de la Medeleine à Sainte-Marie-aux-Mines, accompagné de tout le clergé et d'un grand nombre de paroissiens faisaient une halte devant les quatre chapelles. En entrant dans la forêt, on trouve un magnifique groupe de rochers de l'aspect le plus pittoresque, qui est nommé la Pierre de Lusse.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Lieux-dits et écarts

Lors du recensement de 1911 les lieux habités, par ordre de population étaient : Modèle:Début de colonnes

  • le Centre
  • la Pariée
  • Herbaupaire
  • les Trois Maisons
  • les Merlusses (Hautes et Basses)
  • la Couanche
  • l'Ordon
  • la Bouille
  • les Chapis
  • les Mines
  • le Faing des Sarrazins
  • Sachecombe
  • Raingoutte
  • les Unes
  • la Chaige
  • les Chênesus
  • la Quérelle
  • Ménabois
  • Belle Vue
  • Bauchimont
  • Hédepeau
  • la Boudière
  • Rové
  • Raingoutelle
  • la Devant
  • Harpeau
  • les Aouchis
  • le Haut Pré
  • Grosses Genêtes
  • la Poutelle
  • la Goutte des Champs
  • Grange Bar
  • le Préon
  • lLes Près Jallés
  • Froid Rein
  • le Renclos
  • Bonne Eau
  • Champs Gare
  • Peuprès
  • Launa
  • Belreux Courbavies
  • les Envers
  • Grands Champs
  • Ménifouchot
  • l'Apsemont
  • Delles
  • la Goutte Berger

Modèle:Fin de colonnes

En raison de la réduction notable de la population (voir plus loin), plusieurs fermes isolées disséminées sur le territoire de la commune sont maintenant abandonnées et ont pour la plupart disparu.

Hydrographie

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Bleu, le ruisseau de la Pariee et le ruisseau des Sarrazins<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Bleu reçoit dans l'agglomération du Centre de Lusse en rive droite un petit affluent dénommé « le ruisseau des Mines ». Plusieurs autres petits ruisseaux viennent alimenter le Bleu. Le ruisseau des Minières passe dans le quartier des Minières où affleurent plusieurs filons métallifères. Les eaux sont chargées en sels métalliques qui polluent « naturellement » ce cours d'eau. Autrefois, les habitants de Lusse connaissaient cette particularité et savaient que la vie animale est très peu présente à ce niveau, ni poissons, ni écrevisses, ni sangsues à trouver ici.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lusse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,2 %), prairies (15,4 %), zones urbanisées (4,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Lucila (1180), Lutcele (1188), Lucela (1254), Luscere (1267), Lusere (1284), Lussre (1286), Lucere (1296), Luscel (1299), Lusse (vers 1300), Lussere (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Hissere (1304), Luscre (1305), Luscerre (1307), Lucella (1340), Luçre (1349), Lustre (1350), Lusce (1360), Lusse (1390), Lützel (1471), Leusse (1491), Lusse et Lussia (1768 - pouillé Chatrian).

Histoire

Fondée par des moines venus de Saint-Dié, la cité, nommée primitivement Lucila, fut pendant longtemps l'une des plus importantes de la vallée. Un premier recensement daté de 1249 fait état de Modèle:Nombre ; ils étaient 1 623 en 1867. Des mines de plomb, de cuivre et d'argent furent exploitées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il y avait jadis un château fort.

Le village de Lusse et les environs ont été anciennement habités. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il est fait mention des seigneurs de Taintrux, Provenchères, Fraize, Anould, Colroy, Saulcy, Lusse, Lesseux et Laveline.

En 1485, la seigneurie de Lusse appartenait en partie à Thiébaut de Jussey. Le Modèle:Date, le duc de Lorraine permit à Nicolas de Bilistein, seigneur en partie de Lusse, d'avoir un signe patibulaire dans la mairie de Lusse ; le co-seigneur était alors Claude de Jussey.

C'est paraît-il, au canton appelé Derrière-le-Bois qu'on brûlait ceux qui étaient condamnés comme sorciers.

En 1614, une portion des terres de Lusse est partagée entre Antoine d'Arconas, époux de Séraphine d'Hatton et Yolande d'Hatton, filles héritières de Domininique d'Hatton, en son vivant seigneur en partie de Lusse.

Le village de Lusse (Lussia, Luce) était autrefois divisé en trois communautés distinctes : Lusse-Bilistein, composé partiellement de Lusse, Herpaupaire, la Pariée et une portion des Trois-Maisons - Lusse-Changeur, composé partiellement de Lusse, de la Pariée et des Trois-Maisons, et Lusse-Delot, formé, comme Lusse-Bilistein, d'une partie de Lusse, Herpaubaire, la Pariée et les Trois-Maisons. Le second avait un fief et le troisième un château. En 1790, ces trois communautés, avec les Merlusses (Menue Lusse) et Lesseux, formaient le ban de Lusse.

En 1615, Antoine d'Arconas, seigneur en partie de Lusse, Merlusse, Colroy, La Petite-Fosse, bailli et gouverneur d'Hombourg et Saint-Avold, vend à Pierson Ferry, contrôleur des domaines à Saint-Dié, la moitié de sa part dans la seigneurie de Lusse.

En 1624, la déclaration de la seigneurie de Lusse est composée de Lusse, Merlusse, Trois-Maisons, Herpaupaire, Lesseux, la Pairière est indivise entre le sieur Ferry Pierson, les sieurs de Bilistein, de Froville et le sieur d'Arconas, à cause de Séraphine d'Hatton, sa femme; les sujets de la seigneurie sont sujets au droit de mainmorte : ils jouissent des droits d'usage et de glandée dans les bois communaux de Lusse, en vertu des lettres des sieurs de Jussey et de Bilistein, seigneur dudit ban en 1569. La tour du château de Lusse, le signe patibulaire et le carcan sont communs aux seigneurs comparsonniers. Les habitants sont tenus d'assister aux exécutions; ils doivent en outre la moitié de la garde, an et jour, au château du Spitzemberg. Ils doivent aussi réparer la palissade si celle-ci est endommagée et entretenir le mur.

En 1807, une tornade dévasta une partie du village de Lusse et le hameau de Herbaupaire.

À Lusse comme dans toute la vallée, l'influence industrielle de Sainte-Marie-aux-Mines au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle se faisait sentir au point que de nombreuses maisons étaient occupées par des tisserands qui travaillaient pour les fabricants de cette ville. Le tissage représentait à l'époque, allié à l'agriculture, la principale activité de la commune.

Jusqu'en 1871, la commune de Lusse faisait partie du canton de Saales, en partie cédé à l'Allemagne.

En 1905, la population de Lusse était encore de Modèle:Nombre, répartis dans 165 maisons regroupées dans le centre et dans cinq écarts, et dans 27 maisons isolées. Il y avait cinq écoles primaires et un couvent de la congrégation de la Divine Providence dont les sœurs faisaient office de gardes-malades<ref>La maison-mère des religieuses de la Congrégation de la Divine Providence se trouve à Ribeauvillé</ref>.

Fichier:Carte postale, Lusse (Vosges), Grande rue de l'Église.jpg
Vue historique de la grande rue de l'église (Adolphe Weick).

Au cours de la Première Guerre mondiale, la commune a été occupée pratiquement pendant la durée du conflit, à la suite notamment des combats de l'automne 1914, à la Chaume de Lusse et au Rain des Vaches tout proche. Les troupes allemandes s'installèrent dans le village le Modèle:Date-, pour n'en partir qu'à la fin des hostilités en Modèle:Date-. La ligne de front coupait le territoire de la commune en deux, à hauteur d'Herbaupaire. Le premier conflit mondial fut très dur pour les habitants encore restés dans la partie sous occupation allemande. La fin de la guerre fut pour une grande partie de ceux-ci marquée par la déportation vers la Belgique et la région d'Anvers notamment, dont ils ne revinrent qu'au printemps 1919.

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le Modèle:Date-<ref>Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918</ref>.

Le deuxième conflit mondial fut marqué par plusieurs faits douloureux. Les nazis utilisèrent le tunnel de Sainte-Marie comme camp de déportation, annexe de celui du Struthof. Les déportés y travaillaient dans une unité mécanique destinée à l'armée. Des réfractaires au service du travail obligatoire (notamment) formèrent un maquis dans le secteur de Lordon. Ce regroupement fut attaqué par les nazis qui firent de nombreuses victimes. En représailles notamment de ces faits, des hommes du village furent déportés en camps de concentration en Allemagne, dont beaucoup ne revinrent pas. La libération eut lieu aux derniers jours du mois de Modèle:Date-, par l'armée française, Modèle:1re blindée du général De Lattre de Tassigny.

Politique et administration

Budget et fiscalité 2015

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune Modèle:Lien archive.</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 14,37 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,90 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 8,90 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 15,58 %.

Liste des maires

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Modèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La mairie et l'école des garçons ont été construites en 1839. L'école des filles a été construite en 1863, celles de la Pariée en 1861, des Trois-Maisons en 1864 et des Merlusses en 1880. Aujourd'hui, toutes ont été remplacées par une école publique située au centre de Lusse.

Économie

Fichier:LusseScierie.JPG
La scierie.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:LusseEglise.JPG
Église Saint-Jean-Baptiste.
Fichier:Lusse 029.JPG
Le monument souvenir des déportés et fusillés en 1944.
Fichier:Centre bouddhiste tibétain de Lusse-Stupa (2).jpg
Stupa du centre monastique bouddhiste.

Église Saint-Jean-Baptiste

L'église Saint-Jean-Baptiste de Lusse a été bâtie à diverses époques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La nef date de 1830, tandis que la tour et le chœur paraissent plus anciens. À en juger par les fenêtres en plein cintre et les voûtes à vives arêtes que l'on voit dans le chœur, cette partie du monument remonterait au {{#switch: e

 | e | er | = 
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 | 
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}}. Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on voit l'ogive s'introduire dans les constructions religieuses et y dominer jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le clocher est assez élevé et surmonté d'un petit temple en fer blanc, qui fait un effet assez bizarre ainsi perché sur cette vielle tour. On peut y monter par un escalier pratiqué de l'intérieur. Arrivé sur le sommet de la tour, on jouit d'une assez jolie vue étendue sur une partie du village et des environs.

L'intérieur de l'église est garni de quelques tableaux, mais ce qui attire surtout l'attention c'est la chaire, ouvrage curieux qui date du {{#switch: e

 | e | er | = 
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 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVI

}}. Elle est sculptée en bois avec beaucoup d'art ; d'une singularité cependant qu'on y remarque ce sont les attributs qu'on voit sur les quatre panneaux et qui paraissent peu en harmonie avec le but de ce meuble ecclésiastique à moins qu'on ne suppose que ces emblèmes fassent allusion aux fonctions pastorales des desservants de l'église. Sur l'un de ces panneaux l'artiste a représenté une flûte antique et un oiseau, autour une guirlande de roses ; sur le second, des flûtes en sautoir et une guirlande de raisons ; le troisième représente une flûte et un cor de chasse, et le quatrième enfin un violoncelle, un livre de musique et un ange. Le bas de la chaire est terminé par un raisin. La partie supérieure de la chaire forme une espèce de coupole terminée par une figure d'ange.

Orgue de l'église

Un orgue ancien fut mis en place dans l'église en 1840. Il fut relevé à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Lors de la Première Guerre mondiale, il fut réquisitionné. Un nouvel instrument fut construit par Théodore Jacquot, et inauguré en Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Cet nouvel instrument a été révisé et transformé en 1976<ref>Page sur l'orgue de Lusse</ref> par Gonzales.

Le centre bouddhiste tibétain

Lusse a la particularité d'accueillir l'association cultuelle bouddhiste Bodhicharya-France. Le centre, d’une capacité d’accueil de cinquante personnes, organise régulièrement des week-ends de pratique et d’étude, des enseignements mensuels, des retraites...

L'ancienne église et les croix

La chapelle Notre-Dame-Auxiliatrice

La chapelle a été construite vers 1860<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Les monuments commémoratifs

Château de Bazelaire de Lesseux

À l'autre bout du village et au pied de la colline, on voyait autrefois un vieux château à tourelles qui appartenait à la famille de Bazelaire de Lesseux de Saint-Dié et qui a été incendié en 1822<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Un des descendants de cette très ancienne famille demeurant aussi à Saint-Dié a fait construire sur l'ancien emplacement féodal, une maison de campagne qu'il habitait à la belle saison. Devant cette maison, s'étendait une vaste prairie et à droite un coteau qui a été transformé en jardin anglais.

Anciennes mines

On remarque, dans différents endroits du territoire, des vestiges d'anciennes exploitations minières, qui attestent dans ces lieux l'existence de mines depuis longtemps abandonnées. Ces exploitations renfermaient, dit-on, des filons d'or.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

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