Mirande

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Mirande est une commune française, sous-préfecture, située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, le Lizet, le ruisseau du Rieutort et par divers autres petits cours d'eau.

Mirande est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle est dans l'agglomération de Mirande et fait partie de l'aire d'attraction de Mirande. Ses habitants sont appelés les Mirandais ou Mirandaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame, classée en 1921, et la tour de Rohan, inscrite en 1948.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Article connexe

Localisation

Mirande est une commune de Gascogne située dans l'Astarac en Pays d'Auch. Elle est le centre d'une unité urbaine et de l'aire urbaine de Mirande.


Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Mirande est limitrophe de neuf autres communes.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Mirande se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)<ref>Plan séisme</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mirande.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Baïse, le Lizet, le ruisseau du Rieutort, un bras de la Baïse, le ruisseau de la Gravette, le ruisseau d'en Primefeuille et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Baïse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le Lizet, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Martin et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Osse à Saint-Arailles, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat

Voies de communication et transports

Modèle:... La ligne 931 du réseau liO relie la commune à Auch et à Tarbes.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Mirande est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Mirande, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mirande, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,3 %), terres arables (21,1 %), forêts (13,7 %), zones urbanisées (9,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), prairies (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Mirande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse et le Lizet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999, 2000, 2009 et 2011<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:32256-Mirande-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mirande.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 503 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2002, 2009 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

La commune est en outre située en aval du barrage de Puydarrieux, un ouvrage de classe AModèle:Note disposant d'une retenue de 14,5 millions de mètres cubes<ref>Modèle:Lien web</ref>. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale Miranda, du nom commun miranda fixé dans la toponymie et signifiant en langue d'oc « tour de guet »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, francisée par la suite en Mirande. Le latin possède la locution ad loca finitima miranda qui signifie « pour observer les lieux les plus proches » (du verbe latin déponent de la première conjugaison, avec déclinaison passive, mais sens actif, miror, mirari, à la forme infinitive, correspondant à admirer, regarder, mais aussi à observer).

Homonymie avec une autre commune du Gers, Mirannes qui a subi la mutation propre au gascon -and- > -ann- (cf. occitan landa > gascon lanna), le s marque l'ablatif locatif.

Histoire

Mirande est une bastide du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, édifiée sur la rive gauche de la Baïse.

Aux alentours, de nombreux vestiges préhistoriques et des tumulus témoignent d'une occupation ancienne de la contrée.

D'éminents archéologues émettent l'hypothèse d'une implantation gallo-romaine sur le territoire où s'élève Mirande. Elle est accréditée par la pile et les enclos funéraires du quartier d'Artigues, mais aussi par plusieurs trouvailles fortuites dont la dernière en date est celle d'une tête en marbre de grandeur naturelle mise à découvert lors de travaux exécutés dans une rue de Mirande.

Fondation

Mirande fut fondée en 1281, près du village de Saint-Jean-de-Lézian, par Eustache de Beaumarchais, sénéchal de Toulouse, en accord de paréage avec l'abbé de Berdoues et le comte d'Astarac, Bernard IV, qui lui octroyèrent des coutumes souvent confirmées et étendues par la suite. Le roi de France, associé à leur paréage, promit son soutien à la ville naissante.

La cité présente un tracé régulier de bastide, avec sa place centrale et ses rues tirées au cordeau. Elle était protégée par une solide enceinte fortifiée percée de quatre portes qui subsistèrent en partie jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Un magnifique château comtal se dressait hors des murailles.

Croissance

Grâce à sa situation idéale sur la Baïse, Mirande connut une expansion rapide et ne tarda pas à se trouver à l'étroit dans ses fortifications. Dès 1297, elle devint la capitale du comté d'Astarac. Sa juridiction s'étendit bientôt à dix-huit villages qu'on appela le Perche de Mirande. Les Mirandais, jaloux de leurs droits et de leur liberté, se mirent vite en quête de nouvelles concessions. Pour cela, ils entrèrent successivement en conflit avec le comte de Pardiac, les châtelains de Laas et de Monclar et même leurs propres seigneurs.

En 1283, Bernard IV et son épouse avaient fondé à l'extérieur de la ville le couvent des Cordeliers, qui fut agrandi vers 1320 sur ordre du pape Jean XXII. Détruit par les protestants, puis reconstruit, il fut fermé en 1790 et abandonné aux injures du temps. De même, en 1320, une révolte des habitants est durement réprimée par le frère du roi : Charles le Bel.

En 1338, un Mirandais, P. Arnaud, combattit les Anglais sous les ordres de Raymond-Arnaud de Béarn, capitaine de Marsan. La même année, Philippe VI secourut Mirande, attaquée de tous côtés par les ennemis de la France.

Avec la maison d'Astarac, les milices de la place prirent parti pour le comte de Foix et le seigneur d'Antin, contre le comte d'Armagnac et le baron de Montesquiou. Leurs équipées dévastatrices furent suivies de terribles représailles et il fallut l'intervention du Parlement de Toulouse pour y mettre fin, sous Charles VI.

Fichier:Monument aux morts 1870 (Mirande, Gers, France).JPG
Monument aux morts 1870.

En 1442, Jean III, comte d'Astarac, conduisit plusieurs valeureux Mirandais à l'expédition de Charles VII contre les Anglais et - en 1453 - à celle qui leur enleva définitivement la Guyenne. À la bataille de Castillon il commandait soixante-six hommes d'armes. En 1526, la comtesse Marthe d'Astarac assiégea Mirande pour venger une insulte que ses enfants y avaient reçue. Après quelques assauts improductifs, elle changea le siège en blocus et du couvent des Cordeliers où elle s'était retranchée, se livra à toutes sortes de violences sur ses adversaires. La population, courageuse mais trop faible pour résister longtemps, fit appel au Parlement de Toulouse qui la délivra de l'implacable comtesse et confisqua le comté au profit de la Couronne. Les débats se poursuivirent devant le Parlement de Bordeaux, le grand Conseil du roi et le Parlement de Paris. Ils ne se terminèrent qu'en 1562, par une transaction qui renforça les anciens privilèges des Mirandais. Huit ans plus tard, le petit-fils de Marthe, Henri de Foix-Candale, entra en possession de tout l'Astarac par lettres royales données à Gallon.

Temps modernes

En 1577, un lieutenant du roi de Navarre, au début de sa lutte contre la Ligue, prit Mirande. Avec l'aide de quelques seigneurs dont le chevalier d'Antras, chef du parti catholique, les habitants se défirent de la garnison béarnaise au terme d'un sanglant combat. Les vainqueurs surent respecter le futur Henri IV qui, parvenu au trône de France, leur accorda de nouvelles faveurs. Ils se montrèrent dignes de la bienveillance royale et se virent confier la garde de leur cité en 1615, à la suite de lettres très flatteuses de la cour, dont deux écrites par Louis XIII.

En 1630 s'établit à Mirande un couvent de Clarisses. Rebâti au siècle suivant, il subit à la Révolution le sort de celui des Cordeliers, sans être toutefois complètement délaissé puisqu'il devint collège. Mirande avait également un hôpital de Saint-Jacques, près de la Baïse, ouvert aux pèlerins en route pour Compostelle, et une confrérie de Pénitents blancs fondée par la commune elle-même en 1630.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la prospérité de la ville s'accroit. Mirande possède à cette époque une faïencerie, une tannerie et plusieurs ateliers de tissage. Toutefois, aucune de ces entreprises n'est importante et la ville souffre de n'avoir ni sénéchaussée, ni évêché. Elle est surtout connue pour ses foires agricoles.

Révolution française et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Jusqu'à la Révolution, la paroisse de Mazerettes (qui fut, avec les paroisses voisines d'Artigue et de Valantès, absorbée en 1841 par la commune de Mirande) était une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun dans le Comté d'Armagnac.

Après le coup d'État du 2 décembre 1851 de Louis-Napoléon Bonaparte, les républicains de Mirande et de ses environs s'insurgent pour défendre la République. Ils réussissent à tenir la ville quelques jours<ref>Éric Anceau, « Le coup d’État du 2 décembre 1851 ou la chronique de deux morts annoncées et l’avènement d’un grand principe », Parlement[s], Revue d'histoire politique 2009/2 (n° 12). Modèle:ISSN, p. 35</ref>

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, un hameau de forestage fut installé en 1962, à destination d'anciens harkis et de leurs familles. Ces anciens harkis travaillèrent dans la forêt domaniale de Berdoues. Le camp a existé jusqu'en 1975<ref>La Dépêche du Midi du 25 novembre 2013.</ref>.

Politique et administration

Fichier:Sous-préfecture (Mirande, Gers, France).JPG
Sous-préfecture.

Mirande est une sous-préfecture. À ce titre, elle abrite un centre des Finances publiques ou encore une permanence de la Caisse d'allocations familiales.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Rattachements administratifs et électoraux

Modèle:...

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Fichier:Hôtel de ville de Mirande (Gers, France).JPG
Hôtel de ville de Mirande.

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

Mirande appartient à la communauté de communes Cœur d'Astarac en Gascogne dont dépend l'aménagement des zones d'activité, la gestion de Ludina ou du camping de l'Ile du Pont...

La collecte des déchets et la déchèterie sont gérées par le Syndicat Mixte de Collecte des Déchets du Secteur Sud de Mirande.

L'adduction d'eau est aux mains du Sideau (Syndicat Intercommunal d'Adduction d'Eau Potable de Mirande).

Mirande est doté d'un service départemental d'incendie et de secours et d'une gendarmerie.

Jumelages

Villes jumelées
Villes amies

Population et société

Démographie

Modèle:Article détaillé

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Mirande fait partie de l'académie de Toulouse.

L'accueil des enfants est assuré sur la commune de Mirande de la crèche au lycée (général et professionnel) en passant par l'école maternelle, l'école élémentaire et le collège, le tout étant complété par une bibliothèque et un centre aéré. Une école primaire catholique sous contrat d'association avec l'État existe, ainsi qu'un lycée professionnel agricole (LPA).

  • Lycée Alain-Fournier :
    • Section générale : Bac L, Bac ES, Bac S, avec option sport, SES, latin.
    • Section professionnelle : CAPA : Employé de commerce multispécialisés, Bac pro : secrétariat (2 ans), Bac pro : commerce (3 ans).
    • Section BTS : BTS Technico-commercial.
  • Lycée professionnel agricole (LPA) :
    • Collège enseignement agricole : Modèle:4e, Modèle:3e
    • Lycée agricole : filière cheval, filière élevage, filière vente.
  • École et collège Notre-Dame, institution scolaire privée catholique.

Manifestations culturelles et festivités

Festival Country Music de Mirande : festival de Country Music : Modèle:1er festival européen de ce genre musical. La première édition remonte à 1992. Le festival se déroule mi-juillet sur environ cinq jours.

Quant aux fêtes patronales du 15 août, elles attirent toujours un vaste public. La vie culturelle, elle, s'appuie sur une bibliothèque, une société philharmonique qui donne de nombreux concerts et surtout un musée des Beaux-Arts (dit des « Petits Maîtres »), qui est l'un des plus riches de Gascogne. Fondé en 1832 par un enfant de Mirande, Joseph Delort, il possède de remarquables tableaux de l'école Renaissance des Pays-Bas et des écoles française et italienne des Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles, citons un tableau de Claude Vignon, peintre français du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, représentant le prophète Zacharie. La canne de Toussaint Louverture y est conservée.

Un groupe folklorique très vivant, Lous Mirandes, fait connaître aux touristes les danses anciennes de la région et organise une grande fête folklorique (groupes français et étrangers) pendant les fêtes patronales du Modèle:Date-.

Santé

Mirande possède un hôpital local faisant office de maison de retraite publique.

Sports

Clubs sportifs
  • L'Entente Astarac Bigorre XV, club de rugby à XV, évolue en fédérale 2.
  • Le BAC Mirande, ancien club de basket-ball dont Mirande peut s'enorgueillir, a remporté trois titres de champion de France de basket-ball (LFB) en 1988, 1989 et 1990.
  • Autres clubs: Archerie mirandaise. Club automobile Mirande Astarac. Club de canoé kayak. AFOL (astarac foot mirandais loisir). Aéro Club Mirandais. Football Club Mirandais. Judo club. Karaté contact Mirandais. Mirande Badminton Club. Tennis Club. La fraternelle société de pêche
Équipements sportifs

Mirande est doté d'un domaine aqualudique en plein air dénommé Ludina. Il jouxte la base de loisir du Batardeau, espace verdoyant équipé de parcours sportifs terrestre et aquatique disposés au gré de la Baïse, du lac et de leurs pourtours. Une partie de ce lieu a été aménagée en camping ***.

Les allées Charles-de-Gaulle abritent un terrain de pétanque.

Plusieurs espaces de jeu destinés aux enfants sont éparpillés dans la ville dont au cœur de la base de loisir du Batardeau, des allées Charles-de-Gaulle et du square de la mairie.

Des terrains de rugby ou football et un fronton de pelote basque se situent au sein du complexe sportif centré sur le stade.

Écologie et recyclage

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 39 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (43,9 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 73,4 % d'actifs (61,8 % ayant un emploi et 11,6 % de chômeurs) et 26,6 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Mirande<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 2 151 en 2013 et 2 101 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 201, soit un indicateur de concentration d'emploi de 169,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,9 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 1 201 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 692 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 71,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 16,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

376 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Mirande au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 376 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
53 14,1 % (12,3 %)
Construction 39 10,4 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
116 30,9 % (27,7 %)
Information et communication 6 1,6 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 19 5,1 % (3,5 %)
Activités immobilières 19 5,1 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
42 11,2 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
61 16,2 % (12,3 %)
Autres activités de services 21 5,6 % (8,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,9 % du nombre total d'établissements de la commune (116 sur les 376 entreprises implantées à Mirande), contre 27,7 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Salgauvi, supermarchés (Modèle:Unité)
  • Gasco SA, commerce de gros (commerce interentreprises) de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail (Modèle:Unité)
  • Central Garage Dufour Et Fils, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité)
  • Gersyfret, affrètement et organisation des transports (Modèle:Unité)
  • Transports Et Materiaux Semezies, transports routiers de fret de proximité (Modèle:Unité)

Agriculture

Mirande est un centre d'élevage et d'exportation de la volaille. Une race bovine, la mirandaise, est issue de la région.

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 48 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 37 en 2000 puis à 30 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 25 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Tourisme

Le tourisme s'illustre par la présence d'un camping, de plusieurs hôtels et nombreuses résidences secondaires. La ville se transforme lors du Festival de Country Music qui attire de très nombreux visiteurs. Une boutique spécialisée et un Country Club exploitent encore ce thème toute l'année.

Commerce et services

Les établissements commerciaux sont avant tout tournés vers l'alimentaire, la banque, l'assurance, l'habillement, l'automobile, l'informatique et la pépiniérie. Un jardin doté d'une tour d'observation, construite sur le modèle des pigeonniers d'antan, agrémente le pourtour de la jardinerie d'Embaloge. On compte de nombreuses moyennes surfaces.

De nombreux praticiens s'y sont également installés.

Artisanat ou industrie légère

Mirande s'illustre dans des secteurs tels que la production de mobilier en bois, l'agro-alimentaire avicole...

Gers Équipement est un site spécialisé dans les ustensiles ménagers et les foires avec reprise d'invendus. Il s'agit, avec 200 salariés, du premier employeur privé local<ref>https://www.ladepeche.fr/article/2011/12/05/1232147-benton-mirande-ou-toulouse.html Article issu du journal La Dépêche</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Édifices publics

La commune compte deux bâtiments administratifs de prestige au style Second Empire très affirmé. Il s'agit d'abord de la mairie devant laquelle a été aménagé un agréable square. Il s'agit ensuite de la sous-préfecture voisine de la place de la Liberté. L'histoire de ces deux bâtiments est à lier à celle du député, candidat de l'Empereur, Granier de Gassagnac qui œuvre alors pour que la ville devienne sous-préfecture<ref>Visite virtuelle, site de l'Office de Tourisme de Mirande</ref>.

La halle, témoignage de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont une entrée est surmontée d'un campanile, marie charpentes de bois et de fer. Sur l'un de ses flancs, elle fait face à l'Hôtel des Impôts qui, avec le lycée Alain-Fournier, constituent deux édifices datant des premières années du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

L'ancienne halle démolie en 1850 trônait au centre de la principale place de Mirande. La place d'Astarac est aujourd'hui dotée d'un élégant kiosque.

Non loin du pont Louis XV enjambant la Baïse, est visible l'ancien moulin.

Constructions seigneuriales

On peut voir à Mirande quelques vestiges des anciennes fortifications ainsi que la tour du Bourreau qui aurait été un lieu d'exécutions.

À l'image de l'abbé qui en centre-ville avait doté sa maison d'une tour aujourd'hui dénommée tour de l'Horloge, le comte d'Astarac Bernard IV et son fils Centulle III établirent en ville une résidence au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dont la tour de Rohan est le donjon.

Ils ont alors également en périphérie un château dont les vestiges remonteraient au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Demeures anciennes et places

Mirande compte de nombreuses maisons à colombages contemporaines de l'édification de la cathédrale mais également de belles demeures du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voisines de la place à arceaux. À l'image de la tour de l'Horloge qui surplombe le Café Glacier, les époques s'entremêlent ainsi autour du kiosque de la place d'Astarac.

Près de la caserne des Gardes, une plaque rappelle qu'Alain-Fournier, l'auteur du Grand Meaulnes, logea ici.

Les verdoyantes allées Charles-de-Gaulle longent la RN 21 d'où sont ainsi visibles les monuments aux morts.

Édifices religieux

Modèle:Article détaillé L'ancienne cathédrale Notre-Dame, devenue depuis l'église Sainte-Marie<ref>Françoise-Claire Legrand, Mirande, pp. 325-333, dans Congrès archéologique de France. Modèle:128e. Gascogne. 1970, Société Française d'Archéologie, Paris, 1970</ref>, de style gothique méridional<ref>Découvrir Mirande, Site de l'Office du Tourisme de Mirande</ref>, surplombe la ville. L'église, dont la construction est due à l'abbé de Berdoues et au comte d'Astarac, remonte aux premières années du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle devint paroissiale et archiprêtré après la destruction de l'église de Saint-Jean de Lézian, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

En 1410, le pape l'avait désignée pour siège de l'évêché qu'il fondait au bénéfice de l'abbaye de Berdoues. Trois ans après la bulle d'érection fut révoquée, mais l'évêché éphémère de Mirande valut à son église un titre de cathédrale qui lui sied bien. L'édifice, imposant, enjambe la route par un étonnant porche jouxtant le clocher, lequel supporte des clochetons. Il se signale aussi par ses stalles, ainsi que par un autel provenant de l'abbaye de Berdoues, un beau vitrail du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle attribué au maître verrier Arnaud de Moles, auteur des vitraux de la Cathédrale d'Auch, et le chemin de croix du peintre Louis Boulanger (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). L'église possède des orgues construits à l'initiative de l'abbé Bartherote, curé de Mirande, à partir de 1860 et achevés en 1866<ref>Université du Québec - Musique et musiciens - Orgues : Église Sainte-Marie de Mirande</ref>. L'église est classée au titre objet des monuments historiques depuis 1921<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

  • L'hôpital Saint-Jacques, ancienne maison de charité, se résume aujourd'hui à son dernier vestige : une porte ogivale surmontée d'une statuette.
  • En dehors du centre-ville, trois autres églises desservent les divers quartiers soit celle de Valantées, celle d'Artigues et celle de Mazerettes.
  • Chapelle du cimetière du Parc d'Artigues.

Équipements culturels

Le musée des Beaux-Arts et Arts Décoratifs

Le musée des Beaux-Arts et Arts Décoratifs de Mirande abrite notamment une intéressante collection de peintures flamandes, italiennes et française s'échelonnant du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ainsi qu'un échantillonnage de poteries antiques, un riche ensemble de faïences et porcelaines.. Il réunit également de touchantes encres d'inspiration médiévale exécutées au front par Gervais Cuzes, combattant de la Grande Guerre mort dans ce conflit à seulement 23 ans. L'établissement s'est installé dans ses locaux actuels en 1983 mais, il est en fait né de la volonté, exprimée par un testament en 1832, de Joseph Delort, notable d'origine mirandaise amateur d'art ayant réussi une brillante carrière administrative à Paris.

Le cinéma

Le Cinéma Astarac<ref>Modèle:Lien web.</ref> jouxte les allées Charles-de-Gaulle.

La médiathèque Le Colisée

La médiathèque Le Colisée<ref>Modèle:Lien web.</ref> se situe sur la Place Fessenheim-Rustenhart. Depuis 2012, un salon du livre jeunesse<ref>Modèle:Lien web.</ref> est organisé en collaboration avec l'Association du Renouveau de la Bastide<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Équipements voués au loisir et au sport

Mirande est doté d'un domaine aqualudique en plein air dénommé Ludina. Il jouxte la base de loisir du Batardeau, espace verdoyant équipé de parcours sportifs terrestre et aquatique disposés au gré de la Baïse, du lac et de leurs pourtours. Une partie de ce lieu a été aménagée en camping ***.

Les allées Charles-de-Gaulle abritent un terrain de pétanque.

Plusieurs espaces de jeu destinés aux enfants sont éparpillés dans la ville dont au cœur de la base de loisir du Batardeau, des allées Charles-de-Gaulle et du square de la mairie.

Des terrains de rugby ou football et un fronton de pelote basque se situent au sein du complexe sportif centré sur le stade.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

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Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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