Plufur
Modèle:Infobox Commune de France
Plufur {{#ifeq:1|0|[plyfyʁ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Géographie
Description
Faisant partie historiquement du Trégor, Plufur est une commune située entre Morlaix et Guingamp au sud-ouest de Lannion et à quelque distance au sud de la Lieue de Grève, son territoire est précisément délimité par le Yar à l'ouest et le Dour Elego à l'est, jusqu'à leur confluence à la limite nord de la commune. Au sud, la commune s'étend jusqu'à la ligne de chemin de fer Paris-Brest et le quartier de la Gare, situé pour partie à la limite sud de la commune, à proximité de la Gare de Plounérin, où seuls des TER s'arrêtent. Plufur n'est desservie que par des routes départementales et communales ; toutefois la voie rapide RN 12 passe plus au sud et est accessible via les échangeurs de Plouégat-Moysan (en direction de Brest) et de Plounérin (en direction de Saint-Brieuc, Rennes et Paris).
Les altitudes vont de Modèle:Unité pour le point le plus élevé, situé à l'est du hameau de Manac'hti dans la partie sud de la commune, et s'abaissent progressivement vers le nord, le point le plus bas (Modèle:Unité) étant situé à la confluence des deux cours d'eau précités. Le bourg, en position relativement centrale au sein du finage communal, est vers Modèle:Unité d'altitude.
Le paysage rural traditionnel est celui du bocage avec un habitat dispersé formé de hameaux et fermes isolées.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanmeur », sur la commune de Lanmeur, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, dans le département du Finistère, mise en service en 1966 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Plufur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,9 %), terres arables (19,3 %), forêts (18,3 %), zones urbanisées (2,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Plefor vers 1330, Ploefur fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en 1426, 1444, 1461 et en 1596, Pluffur en 1657<ref name="infobretagne" />.
Plufur est pour ple ou plou et Fur, « paroisse du Sage » ou tire son nom d'une altération phonétique de saint Florent<ref name=infobretagne/>. Le choix de saint Florent comme saint patron est surprenant (seule par ailleurs en Bretagne l'église de Lambézellec lui était dédiée) : il s'agissait probablement à l'origine d'un saint breton désormais inconnu, à moins que l'origine soit toute autre, par exemple le souvenir d'un habitant britto-romain dénommé « Forus » ou une déformation du mot latin forum (place publique, marché), car des traces d'une implantation gallo-romaine à Plufur existent.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Un tumulus de plus de Modèle:Unité de haut et Modèle:Unité de circonférence à sa base, se trouve à Gwern-an-C'Hastel ; des restes d'un fossé en terre, d'une quinzaine de mètres de longueur, subsistent à son ouest. Un menhir brisé subsistait à Lestéo en 1883 (près de celui-ci trois autres menhirs avaient déjà disparu à cette date, dont un servit de carrière de pierre en 1855). Deux cromlec'hs étaient également signalés à cette époque, dont un à Kerprigent<ref name="bpt6k2078630/f350" />.
Des petits bronzes datant de l'époque romaine ont été trouvés en 1836 à Keranroux<ref name="bpt6k2078630/f350" />.
Moyen Âge
Plufur faisait partie du pagus Castelli, devenu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle l'archidiaconé de Plougastel ou Poucastel<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont le chef-lieu était peut-être au lieu-dit "Le Castel", situé dans la commune de Plufur<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le prieuré de Manac'hty était une dépendance de l'abbaye du Relec ; les moines y possédaient des quévaises ; un logis prieural entouré d'une enceinte fortifiée figurait encore sur le cadastre de 1848, ainsi que des dépendances (moulin à eau, chaussée-digue et étang<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'église paroissiale actuelle, qui date de 1764, paraît avoir été en partie reconstruite avec des matériaux de l'ancienne église, qui aurait daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="bpt6k2078630/f350" />.
Époque moderne
Le château du Plessis-Quinquis, une châtellenie qui disposait du droit de haute (avec patibulaires à quatre piliers), moyenne et basse justice, appartint au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la famille Tournemine (aussi barons de La Hunaudaye). Le château fut occupé pendant les guerres de la Ligue (en 1593, François de Goësbriand, nommé par le duc de Mercœur, était capitaine de la garnison du château, menacé d'être pris par les troupes du brigand ligueur Guy Éder de La Fontenelle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>) et détruit sans doute à cette époque (en 1661, seuls subsistaient les douves et le pont-levis)<ref name="infobretagne" />. Le Modèle:Date un combat près de la chapelle Saint-Adrien oppose les habitants de Plufur à la garnison huguenote du château de Tonquédec, venue les piller<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.
La seigneurie de Keranroux (les seigneurs de Keranroux avaient droit de prééminence dans l'église de Plufur) s'étendait aussi sur les paroisses de Plestin, Trémel et Plounévez-Moëdec et disposait aussi du droit de haute justice avec patibulaires à quatre piliers dans le bourg de Plufur ; cette seigneurie appartint à la famille Le Long aux Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis à partir de 1639 (à la suite du mariage de Marie Le Long<ref group=Note>Marie Le Long, née le Modèle:Date à Plufur, décédée le Modèle:Date à Plufur, dame douairière de Coatangars, héritière de Keranroux.</ref> avec Jean du Chastel<ref group=Note>Jean du Chastel, né avant 1606, décédé après 1650 à Plounérin, sieur de Coatangars.</ref>) à la famille du Chastel, puis à celle du Cosquer et enfin à partir de 1699 à la famille Le Peletier de Rosambo.
La seigneurie de Guern-an-C'hastel disposait des droits de moyenne et basse justice et disposait d'un auditoire au bourg de Plufur et fut propriété successivement des familles Le Rouge (au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Tuomelin et Bizien (à la suite du mariage de Renée de Tuomelin<ref group=Note>Renée de Tuomelin, né le Modèle:Date à Plestin, fille de Toussaint de Tuomelin, seigneur de Kermorzu et Kerbourdon.</ref> avec François Bizien en 1698)<ref name="infobretagne" />.
D'autres seigneuries existaient à Plufur : celle de Kerarmoux, qui disposait du droit de haute justice, appartenait en 1695 à M. de Rosambo qui était seigneur de Plufur ; celle de Kerprigent, moyenne justice, qui appartenait à la famille éponyme ; celle de Kergeffroy, qui appartint successivement aux familles Kergeffroy, Saliou et Guillaume<ref name="infobretagne" />.
En 1706 les chapelles du Manac'hty et de Christ étaient en si mauvais état qu'il fallut interdire leur fréquentation<ref name="Plufur chapelles" />.
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Plufur en 1773 : Modèle:Citation bloc
L'église paroissiale Saint-Florent fut reconstruite entre 1772 et 1776 par l'architecte Félix Anfray, probablement avec l'aide de la famille Le Peletier de Rosambo<ref>http://www.plufur.bzh/patrimoine/personnalites/</ref>
Révolution française
Charles-Marie Fercocq, originaire de Plougonver, recteur de Plufur, prêtre réfractaire fut déporté sur les pontons de Rochefort à bord des Deux-Associés, une prison flottante ; atteint d'une maladie contagieuse, il mourut, âgé de Modèle:Nombre, le Modèle:Date à l'Île Madame. Jean-Marie Ménou lui succéda et fut recteur de Plufur jusqu'en 1810<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Jean-Marie Ménou, originaire de Plestin, lui succéda et fut recteur de Plufur jusqu'en 1810<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En 1816, selon le cadastre napoléonien, le bourg ne compte qu'une trentaine de bâtiments, établis de manière lâche autour du placître ; le développement du bourg survint dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec l'installation d'activités commerciales et artisanales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Plufur en 1853 : Modèle:Citation bloc
Un décret impérial en date du Modèle:Date autorise la création d'un établissement tenu par les Filles du Saint-Esprit dans la commune de Plufur, à la suite de donations faites par deux personnes de la commune, Jeanne-Louise Quesseveur<ref group=Note>Jeanne-Louise Quesseveur, née le Modèle:Date à Plufur, décédée le Modèle:Date à Plufur.</ref> (sous condition d'instruire les enfants et soigner les malades indigents de la commune) et Marie-Anne Geffroy<ref>" Bulletin des lois de la République française", 1859, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9736473g/f637.image.r=Plufur?rk=1030048;0</ref>. En 1862, l'école des garçons compte Modèle:Nombre, celle des filles Modèle:Nombre<ref>http://patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/le-bourg-de-plufur/64d2dba7-f26a-44c8-909f-2480d5a9e813</ref>.
En 1874 une pétition signée par des habitants de Trémel, Plestin et Plufur demande à l'Assemblée nationale de mette fin au régime provisoire des débuts de la Troisième République et de rétablir la monarchie légitime<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
En mai 1908, malgré trois tours de scrutin, personne dans un premier temps ne voulut accepter les fonctions de maire<ref>Journal L'Ouest-Éclair, n° du 20 mai 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k641805t/f3.image.r=Plufur?rk=1695287;2</ref>.
Un décret publié le Modèle:Date attribue à la commune de Plufur tous les biens ayant appartenu à la fabrique de Plufur et qui avaient été placés sous séquestre<ref>"Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 12 novembre 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64571929/f5.image.r=Plufur?rk=193134;0</ref>.
Une mission se déroula à Plufur en 1910 : Modèle:Citation bloc<ref>Semaine religieuse de l'évêché de Saint-Brieuc, 1910.</ref>
Un arrêté du préfet des Côtes-du-Nord, en vertu de la Loi sur les congrégations, laïcise l'école des filles de Plufur, qui était tenue jusque-là par la congrégation des Filles du Saint-Esprit, en juillet 1912<ref>Journal L'Ouest-Éclair, n° du 19 juillet 1912, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k643326w/f4.image.r=Plufur?rk=2167392;4 et journal La Croix, n° du 25 juin 1912, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2583361/f1.image.r=Plufur?rk=64378;0</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plufur porte les noms de 84 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 7 au moins sont morts en Belgique (dont trois à Maissin et deux à Langemark dès 1914) ; un (Marcel Kerharo) est mort en 1917 en Serbie dans le cadre de l'expédition de Salonique ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français dont Guillaume Le Bivic, François Le Gall, Jean Meuric et François Prat, tous quatre décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, Pierre Hamon et Jean Scolan décorés de la Croix de guerre (de même que Marcel Kerharo)<ref name="MGW 18386" />.
L'Entre-deux-guerres
La Croix de mission dite du Saint-Sacrement date de 1928, année où une mission fut organisée à Plufur.
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La place du bourg de Plufur vers 1920.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plufur porte les noms de Modèle:Nombre mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale dont Pierre Le Bastard, matelot à bord du Bretagne, mort dans le naufrage de son bateau lors de l'attaque de Mers el-Kébir le Modèle:Date<ref name="MGW 18386" />.
La guerre d'Indochine
Pierre Ricou, canonnier au [[10e régiment d'artillerie coloniale|Modèle:10e d'artillerie coloniale]], est mort en captivité le Modèle:Date à la suite de la bataille de Diên Biên Phu pendant la guerre d'Indochine<ref name="MGW 18386" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Le dernier café-alimentation ayant fermé en 2009, la commune a pris l'initiative de transformer l'ancienne école en commerce tenu en location-gérance, repris par un nouveau commerçant qui tient un commerce multi-services en 2015<ref>http://www.flaneur-mag.com/2017/03/06/commerces-resistants-plufur-a-force-de-volonte/ et http://www.plufur.bzh/mbFiles/documents/vie-municipale/les-mots-du-maire/inauguration-du-commerce-boulangerie.pdf</ref>.
Héraldique
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Langue bretonne
- L'adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 20 mai 2019.
Lieux et monuments
- Église Saint-Florent, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, inscrite en 1985 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ; voir aussi : Vierge à l'Enfant de Plufur.
- Chapelle Saint-Nicolas, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, classée en 1911 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Chapelle Saint-Yves, restaurée en 1912<ref name="Plufur chapelles" />.
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La chapelle Saint-Nicolas, vue extérieure d'ensemble.
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La chapelle Saint-Nicolas, façade.
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La chapelle Saint-Yves.
Personnalités liées à la commune
- Marcel Hamon (1908-1994), résistant, conseiller général et député, est né à Plufur<ref>http://www.plufur.bzh/patrimoine/personnalites/marcel-hamon.html</ref>.
- Jean-Pierre Le Dantec (né le Modèle:Date à Plufur), écrivain<ref>http://www.plufur.bzh/patrimoine/personnalites/jean-pierre-le-dantec.html</ref>.
- Yvonne Le Fustec (née en 1906, Convenant Lan à Flufur, décédée en 2003), femme de lettres, poétesse<ref>https://www.ouest-france.fr/bretagne/plufur-22310/hommage-yvonne-le-fustec-poetesse-meconnue-du-tregor-3431754</ref>.