Trémel

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Modèle:Infobox Commune de France

Trémel {{#ifeq:1|0|[tʁemɛl]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} (Tremael en breton) est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Géographie

Localisation

La commune de Trémel est située dans le nord-ouest du département des Côtes-d'Armor, à peu près à mi-distance entre Morlaix et Lannion. Elle est limitrophe avec le Finistère<ref name=geop>Carte IGN sous Geoportail</ref>.

Trémel est un village-rue, c'est-à-dire qu'il s'est construit le long d'une route.

Fichier:Map commune FR insee code 22366.png
Carte de la commune de Trémel.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie, relief et hydrographie

Modèle:... La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le finage de Trémel à une altitude maximale de 140 mètres à Kersenant où se trouve le château d'eau ; le bourg est à 128 mètres d'altitude ; le point le plus bas du territoire communal est situé à son extrême nord-ouest à 34 mètres d'altitude, dans la vallée très encaissée du Douron, à l'endroit où ce fleuve côtier quitte la commune.

Plusieurs cours d'eau traversent le territoire de la commune ou en constituent les frontières<ref name=geop/> :

Diverses petites rivières traversent le territoire de Trémel pour confluer avec l'un ou l'autre de ces trois cours d'eau.

C'est une commune boisée avec principalement les bois de Trébriant et de Kernous situés sur la rive droite du Douron, mais aussi les versants des vallées encaissées du Douron, du Dour Uzel et du Yar.

Habitat

L'habitat dispersé est important : 65 écarts, formés de hameaux ou de fermes isolées.

Voies de communication et transports

Routes

La route départementale D 42 traverse le territoire de la commune depuis le nord, en provenance de Plestin-les-Grèves, vers le sud-est, en direction de Plouégat-Moysan. De la partie sud-est de cette même route naît la route départementale D 32 qui se dirige vers l'est en direction de Plounérin. Enfin, du village même de Trémel naît la route départementale D 56, qui se dirige vers l'est en direction de Plufur<ref name=geop/>.

Train

La gare la plus proche est celle de Plounérin, au sud-est de la commune. Celle-ci est située sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest (tronçon entre Saint-Brieuc et Morlaix)<ref name=geop/>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanmeur », sur la commune de Lanmeur, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, dans le département du Finistère, mise en service en 1966 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Trémel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,3 %), forêts (25,8 %), terres arables (20,4 %), zones urbanisées (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:...

« Tremel est composé du vieux-breton treb (« village »), le second élément du nom correspond au vieux breton « mael » (« prince, chef ») signifie littéralement le « village du chef », le nom de Trémel rappelle une fondation du haut Moyen age. Attesté comme anthroponyme laïc dans les actes de l'abbaye de Redon au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle »<ref>Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992.</ref>.

Tremael en breton<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Trémel possède plusieurs monuments mégalithiques : le menhir de Kerginiou (en granite, il mesure plus de 5 mètres de hauteur)<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Moyen Âge

La famille de Trémel est signalée en 1427 et en 1453 comme seigneur dudit lieu et de Launay, paroisse de Plestin, trève de Trémel.

Des traces de l'existence de sept manoirs ont été trouvées : Kervidonné (au nord de la commune), Coat Tromarc'h, Kerdudavel, Trébriant, Kervingant, Kersénant et Kermerzit.

Temps modernes

Fichier:Château de Trébriant en Trémel.jpg
Le château de Trébriant en Trémel (demeure de Guy Éder de La Fontenelle, dessin de J. Baudry).

Pendant les Guerres de la Ligue la paroisse pro-catholique de Plestin est pillée, y compris la trève de Trémel, entre le 3 et le 7 juillet 1590 par les troupes royales fidèles à Henri IV. De nombreux édifices durent être reconstruits pendant le siècle suivant, par exemple le presbytère (1625), le manoir de Kerdudavel et celui de Coat Tromarc'h (tous les deux en 1643), la ferme de Convenant Prat, etc..

Le soldat-brigand Guy Éder de La Fontenelle a habité un temps le manoir de Trébriant. Dans le bourg de Trémel, un puits porte le nom de Marie Le Chevoir, jeune fille enlevée par La Fontenelle et avec qui il se maria par la suite<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Trémel était une trève de la paroisse de Plestin. Son territoire était partagé en trois frairies : Trébriant, Trémel et Trédillac.

Les domaines congéables, dits aussi "convenants", étaient nombreux comme l'illustre encore de nos jours la toponymie de plusieurs écarts comme Convenant Quemper, Convenant Goff Du, Convenant Prat, Convenant Jorand, Convenant Gorrec, etc..

Révolution française

Le Modèle:Date- Charles Parenthoën, vicaire de Trémel, prêta le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé en l'église de Plestin. Néanmoins contraint d'émigrer le Modèle:Date- pour une raison inconnue, il fut remplacé par François Kergoat qui prêta à son tour le serment de fidélité le Modèle:Date- et resta à Trémel jusqu'à sa mort en 1803. Trémel resta une trève de Plestin jusqu'en 1827, date à laquelle l'évêque de Saint-Brieuc donna au prêtre exerçant à Trémel les pouvoirs d'un recteur indépendant de Plestin<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Trémel est érigée en commune indépendante le Modèle:Date- mais est à nouveau rattachée à la commune de Plestin le Modèle:Date-.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La commune de Trémel est créée en 1838 par séparation de la commune de Plestin dont Trémel dépendait jusque-là.

Le pasteur gallois John Jenkins, installé en 1834 à Morlaix, fonda une mission protestante à Trémel dans la décennie 1840 qui fut dirigée par Guillaume Ricou, puis par le petit-fils de celui-ci, Guillaume Le Coat, qui créa au début de la décennie 1870 à Trémel la "Mission évangélique bretonne". Une première chapelle protestante est construite dès 1861 dans le hameau d'Uzel (en Trémel), mais son ouverture fut refusée par le préfet des Côtes-du-Nord<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'important centre baptiste d’Uzel regroupa, autour du dynamique pasteur Guillaume Le Coat, une douzaine de collaborateurs : colporteurs, évangélistes, instituteurs, .. ; ce fut le principal centre de diffusion de la Bible en langue bretonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'école évangélique de Trémel est inaugurée en 1888.

Joachim Gaultier du Mottay décrit ainsi Trémel en 1862 : « Territoire accidenté à l'est et à l'ouest, plat et uni dans les autres parties ; il est boisé et renferme des vergers. Terres de bonne qualité, bien cultivées, surtout dans l'est. Quelques-unes des landes qui forment le septième de la contenance sont susceptibles d'être défrichés. (...) Géologie : schiste talqueux modifié au nord et roches amphiboliques ; granite au sud ». L'auteur précise également que l'école de garçons a alors 44 élèves et que « son église, dédiée à la sainte Vierge, entièrement en granite, est du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais que son porche est du siècle suivant »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1874 une pétition signée par des habitants de Trémel, Plestin et Plufur demande à l'Assemblée nationale de mette fin au régime provisoire des débuts de la Troisième République et de rétablir la monarchie légitime<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 1891 le maire de Trémel, François Le Bivic, refusa pendant plusieurs mois de procéder au mariage d'un ancien prêtre, qui avait abandonné son état ecclésiastique, bien qu'il soit tenu par la loi de le faire, car cela heurtait ses propres convictions religieuses<ref>Modèle:Article.</ref>. De guerre lasse, l'administration désigna le juge de paix du canton de Plestin afin de procéder au mariage<ref>Modèle:Article.</ref>.Il refusa aussi de procéder au mariage civil d'un pasteur protestant, là aussi effectué par le juge de paix du canton.

En 1897 le journal catholique La Croix critique la "Mission évangélique bretonne", l'accusant notamment d'être financée par « l'argent anglais »<ref>Modèle:Article.</ref>. Le même journal publie les anées suivantes plusieurs autres articles hostiles à cette Mission protestante<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. D'autres journaux se livrent à une campagne de presse hostile à cette Mission évangélique, par exemple Le Pays<ref>Modèle:Article.</ref>, qui titre même l'un de ses articles : "L'invasion Anglo-protestante en Bretagne"<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 1902 l'abbé François Cadic écrit avec quelque exagération que « Trémel servit [aux Anglais] de base d'opération pour la conquête totale de la Bretagne » et que « Trémel devint une petite Albion »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

Le Modèle:Date-, l'école privée de Trémel, qui appartenait au comte de Rosmorduc<ref group=Note>Georges Le Gentil, comte de Rosmorduc, né le Modèle:Date- à De Bilt Pays-Bas), décédé le Modèle:Date- à Logonna-Daoulas (Finistère).</ref> et était tenue par les Frères de Ploërmel, fit l'objet d'un inventaire par un représentant de l'admistration après avoir été crochetée de force. Pendant l'opération, la foule manifestait, criant : « Vive la liberté ! À bas les crocheteurs ! »<ref>Modèle:Article.</ref>.

La « Mission évangélique bretonne » de Trémel<ref>Modèle:Lien web.</ref>, située dans le hameau d'Uzel, poursuit son activité. Guillaume Le Coat écrit en 1911 qu'« il n'y a pas un coin, un village, une ville des trois départements bretons [comprendre bretonnant] qui n'ait été parcouru par les colporteurs de Trémel (...) les foires, les marchés ont été visités (...) ainsi que les centres de pèlerinage et les pardons ». Il était secondé par Guillaume Somerville<ref group=Note>Guillaume Somerville, né en 1868-, décédé en 1945.</ref>, un neveu de son épouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux Morts de Trémel porte les noms des 57 soldats morts pour la Patrie : 39 d'entre eux sont morts pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 5 sont morts en Belgique dont 4 dès 1914 ; Pierre Prigent, second maître canonnier, est mort lors du naufrage du Suffren torpillé par le sous-marin allemand Modèle:Lien, le Modèle:Date- ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français, à l'exception d'Édouard Somerville, mort de maladie à Landau (Allemagne) le Modèle:Date-, donc après l'armistice<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'Entre-deux-guerres

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Trémel porte les noms de 16 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name="memorialgenweb.org">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi elles :

Guillaume Le Quéré, ses sœurs et ses enfants, et la Mission protestante baptiste de Trémel permirent à plusieurs juifs d’échapper à la mort en 1943-1944 ; les dossiers de Guillaume Louis Le Quéré, dit « Tonton Tom » et de Marie-Yvonne Le Quéré (née Droniou)<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ont été déclarés recevables par les services du Mémorial de la Shoah pour l'obtention du titre de « Juste parmi les Nations » pour avoir « aidé à leurs risques et périls, des Juifs pourchassés pendant l’Occupation », en cachant notamment la famille de Robert Lévy<ref>Modèle:Lien web.</ref>, originaire d'Istanbul et vivant à Morlaix, mais ayant échappé à une rafle de la police allemande le Modèle:Date- (sauf Esther Lévy, née en 1911 et gazée à Auschwitz en 1944)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'après Seconde Guerre mondiale

Deux soldats originaires de Trémel (Jean Jaouen et Jean Louédec) sont morts pour la France pendant la guerre d'Algérie<ref name="memorialgenweb.org"/>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le Modèle:Date-, un incendie ravage l'église Notre-Dame-de-la-Merci<ref>Trémel. L'église ravagée par un incendie. sur letelegramme.fr.</ref>,<ref>Une église en feu à Trémel, dans les Côtes d'Armor. sur francebleu.fr.</ref>. L'église est restaurée à l'identique, ouvrant pour la première fois ses portes aux visiteurs lors des Journées du patrimoine 2021<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Administration municipale

Modèle:...

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:... Trémel dépend de l'académie de Rennes et dispose sur son territoire d'une école maternelle (19 élèves en 2016)<ref>Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section École maternelle publique de Trémel</ref>.

Manifestations culturelles et festivités

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Santé

Il n'y a pas de médecin ou de pharmacie à Trémel. Les plus proches sont à Plestin-les-Grèves ou à Plouigneau. Le centre hospitalier le plus proche est à Lanmeur.

Sports

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Économie

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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   {{#switch: XVI
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}}

}}, fondé par la famille Jourdrain<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; il est inscrit en 1927 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ; son colombier est situé à Modèle:Unité du manoir<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; son moulin à eau est un ancien moulin banal<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 1707, la métairie est loué à deux familles de cultivateurs apparentées, alors que le propriétaire s'attribue l'usage de la quasi-totalité du très vaste logis seigneurial<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La chapelle, de nos jours ruinée, se situait à l'étage d'un corps de bâtiments à arcades qui liait la « métairie de la porte » au logis seigneurialModèle:Sfn ;

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}} ; reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le style néogothique<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;

Personnalités liées à la commune

Fichier:Voiture-biblique-1887.jpg
Une « voiture biblique » en Bretagne en 1887 (charrette itinérante pour colporteur vendant la Bible ; le colporteur est Masson, de Trémel).
  • Guillaume Ricou <ref>Modèle:Lien web.</ref> (né le Modèle:Date- à Trémel (alors dans sa paroisse de Plestin), décédé le Modèle:Date-), fabuliste breton ; paysan pauvre mais lettré, il devint protestant après sa rencontre avec le pasteur John Jenkins<ref>John Jenkins (1807-1872), un pasteur d'origine galloise, acteur fondamental de la renaissance du protestantisme breton.</ref> et traducteur de la Bible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Son petit-fils, Guillaume Le Coat est né le Modèle:Date- à Trémel. Il fut instituteur ambulant avec sa mère, parcourant la région avec une « voiture biblique »<ref>Modèle:Lien web.</ref> dans les écoles protestantes créés par le pasteur John Jenkins<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il crée à Trémel une école gratuite pour garçons <ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il fonda à Trémel, un hospice en 1875 et deux orphelinats (un de filles en 1888 et un de garçons en 1892) et créa, pour donner du travail aux orphelins, une usine à teiller le lin et le chanvre en 1899. Aussi propagandiste protestant, il ouvrit plus d'une douzaine de salles de culte, notamment à Brest, Huelgoat, etc<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> . Il est décédé le Modèle:1er mars 1914 à Trémel.
  • Jean-Marie Corre (1864-1915) : coureur cycliste, fabricant de bicyclettes puis constructeur d'automobiles, né à Trémel.
  • Denise Le Dantec (1939 - ), poétesse française.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Modèle:Palette Modèle:Portail