Régiment de marche de la Légion étrangère

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Modèle:Infobox Unité militaire Le régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE) est une unité militaire française de la Légion étrangère ayant existé entre 1915 et 1945.

Il est créé le Modèle:Date par fusion du [[2e régiment de marche du 1er étranger|Modèle:2e marche du Modèle:1er]] et du [[2e régiment de marche du 2e étranger|Modèle:2e marche du Modèle:2e]] (Modèle:Nobr et Modèle:Nombre, caporaux et légionnaires).

Il est par ailleurs, le premier régiment de l'armée française à recevoir la fourragère aux couleurs de la médaille militaire.

Création et différentes dénominations

Historique des garnisons, campagnes et batailles

Première Guerre mondiale

Au cours de la Première Guerre mondiale, le RMLE combat au sein de la Division marocaine aux côtés des 4e et [[7e régiment de tirailleurs algériens|Modèle:7e RTA]] ainsi que du [[8e régiment de zouaves|Modèle:8e RMZ]].

1914

Modèle:Date- - La genèse du régiment

Le RMLE est l’héritier des quatre régiments de marche constitués au début de la guerre. Devant l’afflux de volontaires étrangers, le [[1er régiment étranger|Modèle:1er étranger]] de Sidi Bel-Abbès et le [[2e régiment étranger d'infanterie|Modèle:2e étranger]] de Saida, cantonnés en Algérie, mettent sur pied quatre demi-bataillons destinés à constituer l’ossature des futurs régiments :

Les engagés proviennent de toute la France où différents dépôts ont été créés (Toulouse, Montélimar, Paris, Nîmes, Lyon, Avignon, Bayonne et Orléans) et regroupent 51 nationalités différentes. Environ Modèle:Nombre sont enrôlés dans les régiments de marche de la Légion étrangère entre Modèle:Date- et Modèle:Date-, le plus fort contingent est italien et permet de constituer un régiment entier (Modèle:4e de marche du Modèle:1er), néanmoins d’autres nationalités: russe, suisse, belge, polonaise<ref group=alpha> Plusieurs centaines de volontaires polonais se présentent aux recrutements parmi lesquels se trouveront les Bayonnais (car formés à Bayonne).</ref>, tchèque, espagnole, allemande, turque, luxembourgeoise et anglaise sont également très représentées.

1915

Ces quatre régiments sont présents sur le front de fin 1914 à fin 1915 et s'illustrent notamment en Argonne (Modèle:Date-), dans la Somme et à Craonne (hiver 1914-1915), en Artois (Modèle:Date-) et enfin en Champagne (Modèle:Date-).

Le Modèle:Date-, les deux régiments rescapés, le [[2e régiment de marche du 1er régiment étranger|Modèle:2e de marche du Modèle:1er]] et le [[2e régiment de marche du 2e étranger|Modèle:2e de marche du Modèle:2e]] fusionnent et deviennent le régiment de marche de la légion étrangère.

Fichier:M 61 10 Peppino Garibaldi entouré d'officiers italiens du rég étranger.jpg
Officiers du régiment étranger, au centre avec sa badine Peppino Garibaldi, janvier 1915.

1916

Modèle:Date- - Somme
Le RMLE, constitué alors de 3 bataillons à 4 compagnies, participe à la bataille de la Somme.

Le Modèle:Date- lors de la prise de Belloy-en-Santerre, le Modèle:3e est anéanti et perd son commandant. C'est au cours de ce combat qu'est tué le poète américain Alan Seeger, engagé à la Légion étrangère pour la durée de la guerre et auteur du poème “I Have A Rendezvous With Death” Le Modèle:Date- le Modèle:1er attaque le boyau de Chancelier et perd à son tour son chef. Mi-juillet, le régiment, qui ne compte plus que 3 compagnies par bataillon, est retiré du front pour se reconstituer. Du 4 au Modèle:Date-, il a perdu Modèle:Nombre sur 3 000 (officiers : Modèle:Nombre et Modèle:Nombre, légionnaires : Modèle:Nombre ou disparus et Modèle:Nombre).

1917

Fichier:Drapeau du Régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE) en 1918.jpg
Drapeau du RMLE en 1917 tenu par le lieutenant colonel Rollet. A gauche l'adjudant-chef Max Mader (1880-1947), « héros légendaire » du RMLE.

Modèle:Date- - Aubérive

La bataille des monts de Champagne qui se déroule du 17 au Modèle:Date- se traduit par la mise hors de combat de la moitié des 1500 légionnaires du RMLE et par la perte du chef de corps qui sera remplacé par le commandant Deville.

Modèle:Date- - Verdun

Le Modèle:Date- le régiment est chargé de contre-attaquer afin de soulager la ville. En face de lui 4 régiments ennemis sont retranchés. Le 21 tous les objectifs sont atteints, le RMLE a perforé le front sur 3,5 kilomètres de profondeur. C'est lors de ce fait d'armes qu'il gagne sa Modèle:6e à l'ordre de l'armée et obtient peu après la Légion d'honneur pour son drapeau.

1918

Fichier:RMLE - 1918.jpg
La garde du drapeau du RMLE à Nancy fin novembre 1918.

Modèle:Date- - Le bois de Hangard

La Modèle:131e Division d’Infanterie marche contre le village de Hangard et la cote 99. Même si l’offensive allemande n’est pas une surprise, il y a tout de même urgence à la contenir au mieux. La Division Marocaine se lance dans la bataille sans avoir eu la possibilité de préparer sa contre-attaque. Le Régiment de Marche de la Légion Étrangère est engagé à l’aile droite de la division. Son objectif est le bois de Hangard. La riposte allemande est infernale, Dans le bois, c’est l’enfer, le feu ennemi ne ralentit pas une seconde. Les survivants du Modèle:1er Bataillon poursuivent leur progression en tête, suivis de près par ceux de la Modèle:11e Compagnie du Modèle:3e Bataillon. Les légionnaires, privés de chefs, sont un peu désemparés. C’est le légionnaire Kemmler, volontaire luxembourgeois, infirmier de la section de mitrailleuses, qui prend le relais. Bien que blessé, il prend le commandement des légionnaires survivants. Malgré le feu de l’ennemi, il se dresse et maintient les hommes en place. Les légionnaires trouvent un nouveau héros et font face vaillamment jusqu’à l’arrivée d’un adjudant. L’assaut du Régiment est sauvé. Les nuits et les jours qui se succèdent jusqu’au Modèle:Date-, sont occupés à aménager les positions tenues et à repousser toutes les contre-attaques. La prise du bois de Hangard le Modèle:Date- voit l'anéantissement des Modèle:1er et Modèle:2e bataillons; les pertes du régiment sont de 822 hommes dont 13 officiers.

Mai - Modèle:Date- - La Montagne de Paris
Le Modèle:Date-, la division marocaine et le RMLE sont acheminés par camion à l'ouest de Soissons qui vient de tomber aux mains de l'ennemi. Il s'agit de bloquer son avance vers Villers-Cotterêts en prenant position sur la "Montagne de Paris". L'attaque se déclenche au petit matin après un bref mais violent barrage d'artillerie. Nettement supérieur en nombre, l'ennemi réussit à prendre pied dans les positions de la Légion. Obligés d'économiser leurs munitions, les légionnaires perdent 47 tués, 219 blessés et 70 disparus en deux jours de combat. Ces pertes viennent s'ajouter à celles du mois précédent qui n'ont pas été compensées (1.250 hommes). Néanmoins, le RMLE réussit à maintenir ses positions et à bloquer l'avance allemande dans son secteur. Jusqu'au Modèle:Date-, sur un front de 5 km, le régiment marche de la Légion Étrangère, composé entre autres de volontaires arméniens, les 3e et 10e BCP tiennent seuls pendant six jours et six nuits, sans rempart, sans artillerie lourde, sans aviation, avec une artillerie de campagne très insuffisante, sous la pression d'une armée formidable, repoussant les attaques successives des assaillants.

Le Modèle:Date-, le régiment est à nouveau sollicité dans la région de Saint-Bandry - Ambleny.

Modèle:Date- - Seconde bataille de la Marne
Le RMLE participe dès le Modèle:Date- à la grande contre-offensive de Foch dans la région de Villers-Cotterêts. Le Modèle:1er perd son chef le commandant Husson de Sampigny.

Modèle:Date- - Ligne Hindenburg
En Modèle:Date-, le régiment, qui a récupéré ses blessés et complété ses effectifs avec des renforts du dépôt de Lyon et des cadres en provenance du Maroc, compte (Modèle:Nombre et (Modèle:Nombre :

  • Chef de corps Lt. colonel Rollet

Le Modèle:Date-, le régiment donne l'assaut à la ligne de défense de Hindenburg à la hauteur de Terny-Sorny. En deux semaines de combat, le RMLE perd la moitié de ses effectifs Modèle:Nombre dont Modèle:Nombre et Modèle:Nombre dont Modèle:Nombre. Il déplore en outre la perte d'un chef de bataillon, le capitaine Lannurien. Néanmoins, le Modèle:Date-, le RMLE repart à l'attaque et enfonce le front au niveau du village de l'Allemant.

Entre-deux-guerres

Le régiment stationne peu de temps en Allemagne. Il est rapidement envoyé au Maroc afin d'accélérer la pacification. Le Modèle:Date, le RMLE devient [[3e régiment étranger d'infanterie|Modèle:3e étranger]].

Seconde Guerre mondiale

Modèle:Date- - Modèle:3e REIM

À la suite du débarquement des Américains a en Algérie et au Maroc (opération Torch du Modèle:Date-), l'ordre est donné à la Légion Etrangère de constituer des unités pour combattre l'armée allemande en Tunisie. Après l'éphémère existence d'une demi-brigade de marche de la Légion étrangère et d'infanterie coloniale (5/12/1942) le général Giraud crée le Modèle:Date- le Modèle:3e REIM (Modèle:3e étranger d'infanterie de marche) à partir du I/Modèle:3e REI, du III/Modèle:3e REI et d'un bataillon mixte dont les effectifs proviennent du Modèle:3e et du Modèle:2e REI. Chaque bataillon compte alors 4 compagnies.

  • Chef de corps colonel Lambert

En Modèle:Date- le Modèle:3e REIM est engagé en entier pour résister à l'offensive allemande qui vise à dégager le couloir de communication entre les armées de von Arnim de Tunis et celles de Rommel repoussées depuis El Alamein. Le 18, lors des combats du réservoir de l'Oued Kebir, le II/Modèle:3e REIM est anéanti et son commandant, blessé, est fait prisonnier. Le lendemain c'est au tour du I/Modèle:3e REIM de disparaître. Lors de ces combats, où le régiment aura le triste privilège de rencontrer les premiers chars Tigre allemands, les pertes sont de Modèle:Nombre et Modèle:Nombre perdus.

Le régiment ne compte plus que 2 bataillons à 2 compagnies chacun. Retiré du front le Modèle:Date- il est renforcé le Modèle:Date- par un détachement en provenance du Maroc.

  • Chef de corps colonel Lambert

Le Modèle:Date-, le régiment est affecté à la division marocaine de marche commandée par le général Mathemet. Le Modèle:Date-, il reçoit la capitulation de (Modèle:Nombre.

Renaissance du RMLE

Le Modèle:Date-, le Modèle:3e REIM, qui entre-temps a été entièrement équipé à l'américaine, redevient le RMLE. Il devient le régiment porté de la [[5e division blindée (France)|Modèle:5e DB]].

  • Chef de corps colonel Gentis
    • I/RMLE : Commandant Daigny (affecté au CC5)
    • II/RMLE : Commandant Charton (affecté au CC4)
    • III/RMLE : Commandant Gombeaud (affecté au CC6)

Belfort - Modèle:Date-

Les 14 et Modèle:Date-, les 3 bataillons débarquent près de Saint-Raphaël sur la plage de Dramont.

Du Modèle:Date- au Modèle:Date-, les bataillons du RMLE participent avec les différents Combat Command de la Modèle:5e DB aux opérations de la Trouée de Belfort. La Modèle:3e du I/RMLE est décimée à Montreux-Château tandis que des éléments de la Modèle:7e (I/RMLE) s'illustrent près de Delle où elle neutralise une compagnie allemande.

Poche de Colmar - Modèle:Date-

  • Chef de corps colonel Gaultier (en intérim du colonel Tritschler)
    • I/RMLE : Commandant Daigny (affecté au CC5)
    • II/RMLE : Commandant de Chambost (affecté au CC4)
    • III/RMLE : Commandant Boulanger (affecté au CC6)

Le régiment est engagé avec la Modèle:5e DB à partir du Modèle:Date- dans la contre attaque décidée par de Lattre pour soulager Strasbourg. Le CC6 est engagé avec le [[1er Régiment de chasseurs parachutistes|Modèle:1er RCP]] à Jebsheim (N-E de Colmar) du 25 au Modèle:Date-. Le CC5 conquiert Urschenheim le Modèle:Date- tandis que le CC4 libère Colmar le 2.

Allemagne - Autriche - mars à Modèle:Date-
Le Modèle:Date- le colonel Olié remplace le colonel Tritschler décédé au Val-de-Grâce. Le Modèle:Date-, le CC6 (III/RMLE) es engagé avec la Modèle:3e DIA pour la conquête de la Ligne Annemarie puis dans la percée de la ligne Siegfried le 20.

Le Modèle:Date-, le régiment pénètre dans la Forêt-Noire et conquiert Stuttgart le 21. Continuant sa descente vers le sud il finit par atteindre le Danube puis le Lac de Constance. Il pénètre enfin en Autriche en Modèle:Date- à la veille de la capitulation allemande.

Traditions

Devise

Le RMLE emprunte sa devise à la [[5e division blindée (France)|Modèle:5e blindée]] à laquelle il est rattaché en 1943 : France d'abord

Insigne

Drapeau

À sa création, le Modèle:Date-, le RMLE récupère le drapeau du Modèle:2e de Marche du Modèle:1er.

  • Sur l'avers :
    • République Française
    • Régiment de marche de la Légion étrangère
  • Sur le revers :
    • Valeur et Discipline (comme tous les régiments de la Légion)
      (sur le drapeau du 3e REI, cette devise est remplacée depuis 1921 par Honneur et Fidélité)

Lors de la seconde guerre mondiale, le nouveau RMLE reçoit le drapeau du Modèle:3e.

Depuis se sont rajoutées les inscriptions :

  • Indochine 1946 1954
  • AFN 1952 1962

Chant

Anne Marie (du Modèle:3e Etranger à ne pas confondre avec Anne Marie du Modèle:2e REI)

Décorations

Fichier:Ordreportugais.jpg

Fichier:Puc-2edb-origine-p-ghemard.jpg

Le RMLE a été le premier de tous les régiments de France à recevoir la fourragère jaune et verte aux couleurs du ruban de la Médaille militaire. En 1918, le RMLE reçoit la double fourragère et depuis 1951, il porte la triple fourragère.

Liste des chefs de corps

De 1914 à 1915 : les régiments de marche avant le RMLE

  • Modèle:3e de marche du Modèle:1er
    • 1914-1914 : colonel Thiebault
    • 1914-1915 : lieutenant-colonel Desgouille
  • Modèle:2e de marche du Modèle:2e
    • 1914-1914 : colonel Passard
    • 1914-1915 : colonel Lecomte-Denis
    • 1915-1915 : colonel de Lavenue de Choulot

De 1915 à 1920 : le régiment de marche de la Légion étrangère

De 1920 à 1943 : le Modèle:3e étranger d’infanterie

Modèle:Cf [[3e régiment étranger d'infanterie|Modèle:3e étranger d'infanterie]]

De 1943 à 1945 : le régiment de marche de la Légion étrangère

  • 1943-1943 : colonel Gentis
  • 1943-1944 : colonel Tritschler
  • 1944-1945 : lieutenant-colonel Gaultier
  • 1945-1945 : colonel Olié

De 1945 à aujourd'hui : le Modèle:3e étranger d’infanterie

Modèle:Cf [[3e régiment étranger d'infanterie|Modèle:3e étranger d'infanterie]]

Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment

Le RMLE fut, entre autres, décoré pour sa réussite dans la "percée de la Ligne Hindenburg", le Modèle:Date. Cette bataille est, depuis, célébrée tous les ans au [[3e régiment étranger d'infanterie|Modèle:3e REI]], régiment ayant hérité des traditions du RMLE.

Personnalités ayant servi au sein du régiment

  • Paul Rollet, général, « le père de la Légion », lieutenant-colonel durant la Grande Guerre, il commande le RMLE en 1917-1918<ref name=lg>Louis Garros, « Deux de la Légion, Mader et Rollet » in Historama, n°142, juillet 1963, pp. 37-46.</ref>.
  • Max Mader (1880-1947), adjudant-chef puis lieutenant , « héros légendaire » du RMLE en 1915-1918<ref name=lg/>,<ref>Max Mader est né le 18 janvier 1880 à Giengen en Allemagne. Adjudant-chef puis lieutenant, il s'illustre au RMLE au cours de la Grande Guerre. Mentionné dans l'historique du RMLE comme « héros légendaire », il est cité 9 fois et décoré de la Légion d'Honneur le 18 mai 1917 par le général Pétain (Historique du régiment de marche de la Légion étrangère : 3e régiment étranger d'infanterie, Berger-Levrault, 1926, p. 148. En ligne) pour son fait d'arme du 21 avril 1917 au combat d'Aubérive (Historique du régiment de marche de la Légion étrangère : 3e régiment étranger d'infanterie, Berger-Levrault, 1926, pp. 115-117. En ligne. Grièvement blessé le 12 juin 1918. Il doit être amputé du bras droit et il est réformé. Après la guerre, il devient surveillant du palais du Rhin à Strasbourg puis gardien-chef du Château de Versailles. Commandeur de la Légion d’Honneur, titulaire de la Médaille militaire, de la Croix de Guerre 14-18 avec 9 citations, il meurt le 24 octobre 1947 à Plancher-Bas.</ref>.
  • Georges Masselot, combat au sein du RMLE en 1944-1945.
  • Le colonel Alphonse Van Hecke, sous-lieutenant au RMLE en 1917, qui commanda le [[7e régiment de chasseurs d'Afrique|Modèle:7e de chasseurs d'Afrique]] lors de la Seconde Guerre mondiale.
  • Le poète américain Alan Seeger.
  • L’écrivain français d’origine suisse Blaise CendrarsModèle:Note.
  • Le prince Aage de Danemark.
  • L'écrivain italien, Curzio Malaparte (Curt Erich Suckert).

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références Modèle:...

Sources et bibliographie

Bibliographie

  • Régiment de marche de la légion, Erwan Bergot, éditions Presses de la Cité, 1984. Modèle:ISBN.
  • Le livre d’or de la Légion étrangère (1831-1955), Jean Brunon et Georges Manue, éditions Charles Lavauzelle et Cie, 1958.

Sources

  • Division histoire et patrimoine de la Légion étrangère
  • Képi blanc

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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