Saint-Aubin-du-Cormier
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Aubin-du-Cormier est une commune française homologuée « petite cité de caractère », située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année.
Géographie
Localisation
Saint-Aubin-du-Cormier est situé à Modèle:Unité au nord-est de Rennes et à Modèle:Unité au sud du mont Saint-Michel dans le pays de Fougères, dans le département d'Ille-et-Vilaine.
En venant de Fougères, on aperçoit de loin sa silhouette dentelant une longue crête et se détachant sur le ciel à Modèle:Unité d'altitude.Modèle:Citation bloc
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Mézières-sur-Couesnon, Saint-Jean-sur-Couesnon, Saint-Georges-de-Chesné, Mecé, Livré-sur-Changeon, Liffré, Gosné, Ercé-près-Liffré et Gahard. Saint-Aubin et Mecé ne sont limitrophes que par un quadripoint.
Géologie et relief
Hydrographie
Voies de communication et transports
La commune est traversée par l'Autoroute A84 desservant directement Rennes et Fougères en direction de Caen. La départementale D794 traversant également le territoire de Saint-Aubin-du-Cormier permet de relier la ville à Dinan et Vitré.
La commune est desservie en transport en commun par la ligne 9A du réseau de cars trans-urbains régionaux BreizhGo. Une navette intercommunale "La Coccinelle" dessert le territoire, opérée par la collectivité de Liffré-Cormier Communauté<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Aubin-du-Cormier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Aubin-du-Cormier, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,1 %), forêts (35,2 %), terres arables (11,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,8 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
On trouve la forme ancienne Sanctum Albinum de Cormerio (1308)<ref name=Ofis/>.
Le nom de la commune est composé de l’hagiotoponyme « Modèle:Page h' » et de l’arbre « cormier » (Sorbus domestica). On trouve plusieurs autres communes nommées « Saint-Aubin » dans les environs, la plus proche étant Saint-Aubin-d'Aubigné.
Son nom est Le Grand Staobin (graphie choisie par la municipalité)<ref>http://www.saint-aubin-du-cormier.bzh/upload/espace/1/pj/3551_6314_Aff_A3_smainegalo_2019_V4.pdf</ref> / Le Graund-Saent-Aubein<ref>Fiche descriptive de la ville de Saint-Aubin-du-Cormier sur Geobreizh. Consulté le 13 novembre 2012.</ref> ou Modèle:Référence souhaitée en gallo, et Modèle:Langue en breton<ref name=Ofis> Modèle:Lien web.</ref>
Le gentilé est Saint-Aubinais.
Histoire
Moyen Âge
Le Baillistre de Bretagne, [[Pierre Ier de Bretagne|Pierre {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Bretagne]] dit Pierre de Dreux ou encore Pierre Mauclerc construisit un château fort entre 1223 et 1225, à proximité d’un petit village. « L'emplacement fut choisi à même distance des châteaux de Fougères et de Vitré, non pas tant pour défendre la frontière bretonne que pour établir une sauvegarde en face de deux puissants vassaux dont le duc, non sans raisons, craignait les entreprises »<ref name="Chardonnet 1980">Joseph Chardonnet, "Rennes et la Haute-Bretagne', éditions France-Empire, 1980</ref>. En révolte contre le roi de France Louis IX, dont les troupes envahissent alors la Haute-Bretagne, Pierre Mauclerc signa en 1231 une Modèle:Page h' de trois ans, laissant en gage son château de saint-Aubin-du-Cormier, et, en 1234, à nouveau battu, laissa encore ce château en gage pour trois autres <ref name="Chardonnet 1980" />.
Ce château devint un de ses lieux de résidence préférés, « à cause de la bonté de l'air et de la commodité de la chasse », selon Jacques Levron, mais la surveillance de la frontière et l'indiscipline des seigneurs de Fougères et de Vitré y étaient pour beaucoup.
Bien que peu obéi, ce prince, que les Anglais appellent Mauclerc car il régentait le clergé, groupe à Nantes soixante-deux seigneurs qui signent, le Modèle:Date, un édit accordant aux habitants des privilèges étendus : l'exemption d'impôts, la permission de négocier, l'usage du bois ; il suffit de payer cinq sous et de servir dans l'armée ; aux bourgeois le duc accorde une charte et aux colons la liberté. Ces privilèges sont confirmés par les ducs et les rois.
La ville était entourée de douves et de murailles. On en sortait par la Porte-Carrée, face au faubourg de la rue de l'Écu, et la porte Saint-Joachim, d'où la rue de la Garenne menait au Bourg-aux-Loups veillé par un vieux calvaire et un ancien manoir.
La première église, Saint-Malo, fut bâtie sur les rochers de Bécherel, par delà l'étang. Ruinée, on la remplaça par la chapelle Ducale, au Carroir. Saint-Aubin avait, dit-on, trois recteurs : celui désigné par l'évêque, le chapelain ducal et le prieur de Saint-Jean, maître de Bécherel. Un curé-doyen réside au presbytère, ancien hôpital Saint-Antoine.
Le marché, fondé en 1237 par le duc, était très fréquenté. Les auberges du Mauure, du Cheval-Blanc, de l'Écu et de la Tête-Noire grouillaient de monde car les affaires marchaient bon train comme l'atteste un guide au temps des diligences : Modèle:Citation. La poste aux chevaux se trouvait rue de l'Écu, face à l'ancienne route de Fougères, au lieu-dit Grosse-Roche. On montre la prison du duc d'Orléans dans une cour de la rue Porte-Carrée.
Le Modèle:Date, la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier voit la défaite de l'armée bretonne face à l'armée royale.
Temps modernes
Sous l’Ancien Régime, Saint-Aubin était chef-lieu d'une sub-délégation, groupant une vingtaine de paroisses. On y trouvait une barre royale de justice, une prison et une potence. Pendant la Révolution, la ville s'appela Montagne-la-Forêt<ref name="Cassini"/> et une commission militaire y siégea. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux brigades de gendarmerie veillaient à la sûreté des campagnes.
Révolution française
L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l’accueil favorable de la population de DolModèle:Passage non pertinent aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :
- l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)<ref>Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, Modèle:P..</ref> ;
- l’anniversaire de la fondation de la Première République, le Modèle:Date-<ref>Dubreuil, Fêtes..., Modèle:P..</ref> ;
- la fête du 26 messidor (14 juillet) à partir de 1794<ref name="Dubreuil 397" /> ;
- les autres fêtes républicaines sont peu suivies, notamment à cause du manque de succès du calendrier républicain, qui fait que les fêtes d’Ancien Régime et les nouvelles ne coïncident pas<ref name="Dubreuil 397" />. On peut citer la fête de l’Agriculture, en juillet.
Pendant le mois de Modèle:Date, les chouans remportèrent une petite victoire sur les républicains au combat de Saint-Aubin du Cormier, près de la commune, lors de la Chouannerie.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Circonscriptions de rattachement
Saint-Aubin-du-Cormier appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Fougères-1.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis Modèle:Date par Thierry Benoit (UDI).
Intercommunalité
À partir de 1994, la commune faisait partie intégrante de la Communauté de Communes du Pays de Saint-Aubin-du-Cormier, aussi nommée COM'Onze. Cet Établissement public de coopération intercommunale regroupait un total de 11 communes, parmi lesquelles La Chapelle-Saint-Aubert, Gosné, Livré-sur-Changeon, Mézières-sur-Couesnon, Saint-Christophe-de-Valains, Saint-Georges-de-Chesné, Saint-Jean-sur-Couesnon, Saint-Marc-sur-Couesnon, Saint-Ouen-des-Alleux et Vendel<ref>http://www.staubinducormiercommunaute.fr/Connaitre-la-Communaute-de-Communes/Presentation</ref>.
À la suite de la loi NOTRe de juillet 2015, les communes de Saint-Aubin-du-Cormier, Livré-sur-Changeon, Mézières-sur-Couesnon et Gosné délibèrent et expriment unanimement le choix de rejoindre Liffré. Ces quatre communes représentent ensemble 65 % de la population de COM'Onze. Les sept autres communes de la communauté de communes COM'Onze, représentant 35 % de la population, expriment le choix de rejoindre Fougères Agglomération. Au 1er janvier 2017 les communes de Saint-Aubin-du-Cormier, Livré-sur-Changeon, Mézières-sur-Couesnon et Gosné rejoignent le Pays de Liffré qui prend le nom de Liffré-Cormier Communauté.
Depuis le Modèle:Date, date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes de Liffré-Cormier Communauté et en est la troisième ville la plus peuplée <ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Saint-Aubin-du-Cormier fait aussi partie du Pays de Fougères et de l'aire d'attraction de Rennes.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Jumelages
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Enseignement
La ville possède deux écoles primaires : une école publique, Alix-De-Bretagne, et une école privée Sainte Thérèse. Deux collèges sont également présents sur la commune : le plus grand, le collège public Pierre De Dreux, et le plus petit, le collège privé Sainte-Anne. Si Saint Aubin du Cormier possède un lycée professionnel rattaché au groupe privé sous contrat Jean-Baptiste le Taillandier, ainsi qu’un lycée agricole, les lycées de l'enseignement général les plus proches se trouvent à Liffré, Fougères et Rennes.
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Sports
saint-aubin-du-cormier possède un club de foot,de tennis, gymnastique et plein d'autre sports!
Économie
Les richesses minérales sont peu exploitées, à part la belle pierre du pays, et pourtant il y a du fer, du zinc, du plomb, de l'antimoine et même de l'or. La baronne de Beausoleil avait annoncé l'existence du métal précieux et les analyses des savants ont révélé sa présence dans le quartz et les pyrites des deux carrières de la route de Sens…
Culture locale et patrimoine
Par arrêté Modèle:Date une partie du territoire communal est classé en site patrimonial remarquable en "considérant que la conservation, la restauration, la réhabilitation et la mise en valeur du centre historique de Saint-Aubin-du-Cormier, des faubourgs anciens et des secteurs paysagers accompagnant l'ensemble urbain, présentent un intérêt public du point de vue historique, architectural, archéologique, artistique et paysager en raison des qualités de son paysage urbain caractéristique du bâti haut-breton traditionnel."Modèle:Référence nécessaire
Lieux et monuments
La commune compte deux monuments historiques :
- Château de Saint-Aubin-du-Cormier, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, dont il ne reste que des vestiges du donjon et les fondations de la première enceinte<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Cinq des menhirs de la Forêt de Haute-Sève sont classés<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
De nombreux autres édifices présentent un intérêt patrimonial :
- Église Saint-Aubin, de style néo-roman (1899-1902)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, construite par l'architecte Henri Mellet.
- plusieurs manoirs : Bourg-aux-Loups, la Mottaye<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, la Bellangerie.
- le camp militaire du [[11e régiment d'artillerie de marine|Modèle:11e d'artillerie de marine]], à la Lande d'Ouée, en limite de la forêt de Haute-Sève.
- les curieux rochers situés au lieu-dit Bécherel : un énorme bloc reste en équilibre et l'on joue à le balancerModèle:Référence nécessaire.
Le monument aux morts de Saint-Aubin-du-Cormier est l’un des rares où la guerre d’Algérie soit nommée «guerre 1954-1962 » sans indication géographique.
Patrimoine naturel
Du point de vue de la richesse de la flore, Saint-Aubin-du-Cormier fait partie des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 519 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte notamment 56 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 15 taxons protégés et 53 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) <ref>Modèle:Chapitre.</ref>. La forêt de Haute-Sève en constitue un élément essentiel.
Langue régionale
La commune est engagée depuis 2017 dans la promotion du gallo à travers la signature de la charte « du Galo, dam Yan, Dam Vèr ! »<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Artus Brécart, écuyer du duc de Bretagne Arthur III, connétable de Rennes, capitaine de Mervent, et du Coudray-Salbart, nommé en 1458 Capitaine de Saint-Aubin-du-Cormier ; il est l'époux de Jacquette de Bretagne, fille d'Arthur III.
- Thomas James (?-1504) : ambassadeur né à Saint-Aubin-du-Cormier ;
- Jean Meaulle (1757-1826) : homme politique né à Saint-Aubin-du-Cormier ;
- Édouard-Jules Eveno (1884-1980) : peintre animalier né à Saint-Aubin du Cornier.
Héraldique et identité visuelle
Blason
Modèle:Article connexe Modèle:Blasonnement
Logo
Diverses appropriations du logo
Modèle:BlasonnementModèle:Blasonnement
Voir aussi
Bibliographie
- Ouvrages
- Vincent Bonnisseau, Saint-Aubin-du-Cormier, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Editions Sutton, 2018, 128 pages.
- Vincent Bonnisseau, Saint-Aubin-du-Cormier à travers les âges, 2019, 176 pages.
- Tony le Montreer, Saint-Aubin-du-Cormier, son histoire, ses curiosités, ses environs, Éditions du Groupement touristique de Saint-Aubin-du-Cormier, 1958.
- Jérôme Cucarull, Le Canton de Saint-Aubin-du-Cormier, vers 1780-1810. Espoirs et combats quotidiens dans une région rurale à l'époque révolutionnaire, Éditions Chemin faisant, 2009.
- Jérôme Cucarull, Le château de Saint-Aubin-du-Cormier. Histoire et archéologie d’une forteresse des marches de Bretagne. Bilan de 15 années de recherches, Saint-Aubin-du-Cormier, 2003, 113 pages.
- Articles
- Jérôme Cucarull, « Destruction symbolique et persistance emblématique d'un château médiéval, Saint-Aubin-du-Cormier (1490-2004) », in La forteresse à l'épreuve du temps, Éditions du CTHS, Paris, 2007, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Identité et commémoration. La constitution d’un lieu de mémoire Breton : la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier (Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècles) », Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, tome 106, année 1999, Modèle:N°, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Les transformations des bourgs ruraux au Modèle:S mini- siècle : application de modèles et voies originaux. L'exemple de Saint-Aubin-du-Cormier dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècle », Mémoires de la Société Archéologique d'Ille-et-Vilaine, t. XCV, 1993, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, (en collaboration avec Bernard Leprêtre), « Le château de Saint-Aubin-du-Cormier (Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècles). Bilan de trois années d'études archéologiques », Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne, tome LXIX, 1992, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Un grand chantier de construction à la fin du siècle dernier : l'église de Saint-Aubin-du-Cormier », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1992, Modèle:P. et Modèle:N°, 1992, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « La vie scolaire dans le canton de Saint-Aubin-du-Cormier au Modèle:S mini- siècle (1830-1910) », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1989, Modèle:P. et Modèle:N°, 1989, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « La vie économique pendant la Révolution et l'Empire (1789-1810), l'exemple du canton de Saint-Aubin-du-Cormier », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1989, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Réflexions sur l'histoire de Saint-Aubin-du-Cormier, Permanences et ruptures, Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècles », in Sentinelle de la Bretagne par Yann Bouëssel du Bourg, 1988, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « L'évolution d'un bourg vers la modernité Saint-Aubin-du-Cormier, 1850-1910 », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1986, Modèle:P., Modèle:N°, 1987, Modèle:P. et Modèle:N°, 1987, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Aspects de la vie religieuse sous l'ancien régime, lieux de culte et cultes des saints à Saint Aubin du Cormier Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècles », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1987, Modèle:P. et Modèle:N°, 1988, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « Pauvreté et assistance en période de disette dans la subdélégation de Saint-Aubin-du-Cormier (dernier tiers du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1986, Modèle:P..
- Jérôme Cucarull, « L'assistance médicale dans la région de Fougères à la fin du Modèle:S mini- siècle », Le Pays de Fougères, Modèle:N°, 1986, Modèle:P. et Modèle:N°, 1986, Modèle:P..
Articles connexes
- Bataille de Saint-Aubin-du-Cormier
- Château de Saint-Aubin-du-Cormier
- Canton de Saint-Aubin-du-Cormier
- Liste des communes d'Ille-et-Vilaine
Liens externes
- Site municipal
- Le château de Saint-Aubin-du-Cormier
- La page de la commune sur infobretagne.com
- Saint-Aubin-du-Cormier sur le site de la communauté de communes du Pays de Saint-Aubin-du-Cormier
- Résumé statistique de Saint-Aubin-du-Cormier sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du Modèle:1er mars 2015)