La commune se situe sous le massif de la Thaurac<ref name="dépliant">Collectif, Si Saint Bauzille de Putois et Agonès m'étaient contés, dépliant patrimoine (non daté), office de tourisme Cévennes-Méditerranée.</ref> et le mont Saint Mécisse, en forme de bicorne de Bonaparte. Il est à noter que ce rocher est plus connu, chez les autochtones sous le nom de CHAPEAU de NAPOLEON<ref name="dépliant"/>. Contrairement à un usage répandu, il ne faut pas parler ou écrire Saint Mécisse , mais bien Saint Micisse cf toutes les cartes IGN ou d'état-major.
.
Son altitude minimale est de Modèle:Unité<ref name="dépliant"/>,<ref name="infos">Informations de la catégorie "Infos" sur le site internet de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois</ref> et son altitude maximale est de Modèle:Unité<ref name="dépliant"/>,<ref name="infos"/>.
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversé par l'Hérault<ref>Modèle:Sandre.</ref> à l'ouest, ce qui délimite la frontière avec la commune d'Agonès, ainsi que par l'un de ses affluent, l'Alzon<ref>Modèle:Sandre.</ref>. On trouve également sur le territoire de la commune plusieurs ruisseaux, comme le Ruisseau des Mates<ref>Modèle:Sandre.</ref>, ou le Ruisseau de la Tuilerie<ref>Modèle:Sandre.</ref>, tous deux affluents de l'Alzon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 17 j
Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de Modèle:Unité, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>
et un au titre de la directive oiseaux<ref name= Natura/> :
les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse », d'une superficie de Modèle:Unité, comportent des milieux escarpés, des falaises, et sont un biotope de prédilection pour l'avifaune rupestre parmi laquelle on relève des espèces à très forte valeur patrimoniale : l'Aigle de Bonelli, le Grand Duc d'Europe, le Circaète Jean-le-Blanc<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
la « rivière de l' Hérault de Saint-Bauzille-de-Putois à l'embouchure du Lamalou » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
Saint-Bauzille-de-Putois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Bauzille-de-Putois, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,4 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), forêts (17,4 %), cultures permanentes (9,5 %), zones urbanisées (5,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault et l'Alzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1995, 2011 et 2014<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Saint-Bauzille-de-Putois est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date- réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date- rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 46,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 839 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Risque particulier
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque minier.</ref>.
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Bauzille-de-Putois est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le nom « Saint-Bauzille » descendrait de saint Baudile, un saint qui aurait évangélisé le sud de la Gaule avant d'être martyrisé dans les arènes de Nîmes<ref name="dépliant"/>. L'église du village lui est dédiée.
Le vocable putois serait une déformation de « Pedoxinis », le nom de la maison cité en 999<ref name="dépliant"/>,<ref>Cartulaire de Gellone, p. 16</ref>. On trouve le lieu mentionné sous les appellations : « S. Baudilio de Peducis ; de Pedussio » au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, « de Pedusio » (1248), « de Peduzis » (1252), « de Pedusio » (1270), « de Bedussio » (1273)<ref>Cartulaire de Maguelone, tome II, p. 53, 59, 649, 711, tome III, p. 121, 188</ref>, « de Peducio » (1536)<ref>Gallia christiana, tome VI, 391</ref>, Saint Beauzille de Puttois, 1740-1760<ref>Archives nationales, Fonds Languedoc, 8, 295</ref>. Franck Hamlin propose que le nom dérive d'un domaine gallo-romain, portant le nom d'un homme « Pedusius »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'origine de Putois, appellation qui n'intervient qu'au XVIIIe siècle, n'a donc rien à voir avec l'animal de ce nom.
Une autre interprétation, peu crédible, de ce nom rattache "Putois" au latin puteum, "puits".
On peut aussi noter que les cahiers manuscrits du Cabinet des Titres, de d'Hozier (Archives Nationales) écrivent : "Communauté du lieu de Saint-Bauzille de Putris" (et non putois) ; "putris", du latin "puter" qui renvoie à la puanteur…].
Les traces de présence humaine les plus anciennes remontent à la Préhistoire. Une cavité du massif du Thaurac est inscrite à l'Inventaire des monuments historiques le 28 mai 1990. C'est le seul site de l'Hérault qui recèle des traces d'art pariétal du Magdalénien supérieur, découvertes par le préhistorien Michel Lorblanchet en 1967. L'occupation humaine du territoire se poursuit aux époques suivantes comme l'attestent dolmens et tumulus sur le massif du Thaurac et le mont Saint-Mécisse<ref name="dépliant"/>.
Moyen Âge
L'apparition du village remonte en 999, à la fin de l'époque carolingienne où le nom de « Villa Pedoxinis » est mentionné dans le cartulaire de Gellone<ref name="dépliant"/>.
Cette villa comportait sûrement un grand jardin cultivé dans lequel vivaient un groupe de paysans. Plus tard, entre 999 et 1218, a lieu la construction d'une église dédiée à saint Baudile, l'église actuelle<ref name="dépliant"/>. Autour de cette église est créé un enclos paroissial, lieu où les combats sont interdits, ce qui favorise la construction de nouvelles maisons autour de celle-ci. Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village se développe en dehors de cet enclos<ref name="dépliant"/>.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Bel-Hérault<ref name=Cassini/>. Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en l’an II<ref name="dubost413"/>.
Dans les années 1900 la commune se développe et se dote de nombreux commerces<ref name="dépliant"/>. La plupart des habitants vivent encore de l'agriculture ainsi que de l'industrie. On trouve dans le village plusieurs distilleries de plantes aromatiques qui fonctionnent de 1860 à 1900 ainsi qu'une usine à chaux et ciment en 1868 et des moulins à huile<ref name="dépliant"/>. Cependant, l'activité la plus développée est, comme dans toute la région, l'industrie du bas de soie. Entre 1859 et 1876 la commune compte trois filatures<ref name="dépliant"/>. Ces dernières ferment dans les années 1960, comme la plupart des autres de la région. Cependant, une filature, nommé « Sotexmi-Clio », a Modèle:Quand rouverte dans le village<ref name="dépliant"/>.
La commune, ayant longtemps souffert de l'exode rural, se tourne aujourd'hui vers un tourisme vert, bénéficiant de plusieurs atouts naturels propices à la randonnée, à l'escalade, au kayak ainsi qu'a la spéléologie<ref name="dépliant"/>.
Saint-Bauzille-de-Putois dispose d'une école élémentaire publique<ref name="école">Établissements autour d'Agonès Site Les Villes. Consulté le 28 juin 2013.</ref> et l'école élémentaire privée la plus proche est située à Cazilhac, à environ Modèle:Unité<ref name="école"/>.
L'école maternelle la plus proche se situe à Ganges, à environ Modèle:Unité<ref name="école"/>.
Les collèges les plus proches, un public et un privé, se situent à Ganges, à environ Modèle:Unité<ref name="école"/>.
Quant aux lycées, un lycée public est situé au Vigan et un lycée agricole privé se trouve à Ganges<ref name="école"/>.
Santé
Saint-Bauzille-de-Putois dispose d'un cabinet médical de trois docteurs et d'un autre docteur dans le village.
Sports
La commune ne possède pas d'équipements sportifs majeurs<ref>
Modèle:Lien web.</ref>.
Des balades et des randonnées sur le plateau du Thaurac peuvent être organisées.
Les falaises du plateau du Thaurac sont équipées pour la pratique de l'escalade. La plupart des secteurs sont des sites sportifs comme définis par la FFME, mais certains rochers peuvent être classés en terrain d'aventure<ref>
Modèle:Lien web.</ref>. Tous les secteurs représentent plus de 600 voies de difficulté allant de 4a à 8b+, ce qui fait du Thaurac un site majeur de l'escalade sportive dans l'Hérault.
Ces falaises ont également été rééquipées en 2013 pour la pratique de la via ferrata<ref>
Modèle:Lien web.</ref>.
On peut également pratiquer du kayak et du kayak-polo dans deux plans d'eau, sur le territoire de la commune<ref name="kayak-herault.fr">kayak-herault.fr</ref>.
Modèle:Tableau
En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (65 % ayant un emploi et 12,2 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.
Sur ces 773 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 194 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 85 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
150 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Bauzille-de-Putois au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
150
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
14
9,3 %
(6,7 %)
Construction
28
18,7 %
(14,1 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
31
20,7 %
(28 %)
Information et communication
6
4 %
(3,3 %)
Activités financières et d'assurance
2
1,3 %
(3,2 %)
Activités immobilières
4
2,7 %
(5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
17
11,3 %
(17,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
34
22,7 %
(14,2 %)
Autres activités de services
14
9,3 %
(8,1 %)
Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,7 % du nombre total d'établissements de la commune (34 sur les 150 entreprises implantées à Saint-Bauzille-de-Putois), contre 14,2 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
EURL Patrick Peyriere, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (Modèle:Unité) ;
Cristal Net Holding, activités des sociétés holding (Modèle:Unité) ;
Aurieres, commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé (Modèle:Unité) ;
Aupalya, autres services de réservation et activités connexes (Modèle:Unité) ;
Asphalte Competition, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité).
On trouve, sur le territoire de la commune, divers lieux et monuments d'intérêt historique ou architectural<ref name="dépliant"/>, dont un est classé au titre des monuments historiques<ref name="chateau">Modèle:Base Mérimée.</ref> :
L'Auberge de la Filature, une ancienne filature « Bourgade », qui a fabriqué des bas de soie de 1859 jusqu'au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle est aujourd'hui réhabilitée en auberge.
Le Pont suspendu, réalisé en 1852 par Alphonse Boulland. Il était, à l'origine, construit en métal, en bois de chêne et en pierre de taille. Le pont, qui fut endommagé par une tornade, le Modèle:Date, a été restauré puis finalement reconstruit. Surveillé et entretenu depuis 1929, sa dernière restauration date de 2005. Seules les pierres de taille des piliers sont d'origines.
La place du Christ, qui, construite à l'emplacement, d'un ancien cimetière, tient son nom de la croix érigée en 1878, à la suite d'un mouvement religieux appelé « la Mission ». La place se situe au centre du vieux village.
Le moulin de l’Évêque, aussi appelé le Pavillon. Avant la construction du pont suspendu il était le lieu de départ des barques qui servaient à traverser l'Hérault.