Saint-Césaire-de-Gauzignan

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Modèle:Voir homonymesModèle:Infobox Commune de France Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Droude, le ruisseau de la Candouillère et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Césairiens ou Saint-Césairiennes.

Modèle:Sommaire

Géographie

Saint-Césaire-de-Gauzignan se situe à 28 km de Nîmes, 17 km d'Alès, 18 km d'Uzès, 57 km d'Avignon et 61 km de Montpellier.

Les communes notables les plus proches sont : Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 17,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deaux », sur la commune de Deaux, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Césaire-de-Gauzignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (63,9 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), forêts (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), terres arables (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Césaire-de-Gauzignan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Droude et le ruisseau de la Candouillère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1993, 1994, 1997, 2001, 2002 et 2010<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30240-Saint-Césaire-de-Gauzignan-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Césaire-de-Gauzignan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 165 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1983<ref name=Géorisques/>.

Histoire

Les origines du village remonteraient au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle,  période à laquelle des moines arrivèrent en provenance de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille. Ils avaient défrichés des terrains pour y planter diverses cultures. Ils construisirent également sur un promontoire ce qui allait devenir plus tard l’église paroissiale,  puis de nos jours le temple.

Le village doit son nom à Césaire d’Arles qui était moine puis évêque d’Arles. Il naquit vers 470 à Chalon-sur-Saône et décéda le Modèle:Date à Arles. La trace écrite la plus ancienne  qui relate la présence d’un groupe d’habitants remonte à 1033.

Le nom de la commune évolua au fil des siècles. Il faut remonter en 1295 pour y trouver une des premières nominations : Villa Santi-Cesarü. Cette année-là, le village dépendait de Vézénobres et comptait 53 feux (foyers).

Par la suite, le village se nomma Grasilhanum (1310), Sanctus-Cesarius (1384), Prieuré Sainct-Cézary de Gaussignane (1620), Saint-Césaire-de-Gauzignan (1744) et Saint-Césaire-de-Grasignan (1789).

Le blason du village est de gueules au pal losangé d’argent et de sinople.

En 1295, le village fait partie de la viguerie d’Uzès.

En 1395, on note une baisse sensible de la population avec seulement 4 feux et demi.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Guillaume Calvière est le seigneur de Saint-Césaire-de-Gauzignan. Il est nommé consul de Nîmes en 1574.

En 1620, le village est uni au chapitre collégial de Beaucaire. Cette même année, les protestants construisent un temple sur un terrain offert par Pierre de Calvière. L’édit de Nantes de 1598 oblige les protestants à rendre le bâtiment au culte catholique. Le temple est détruit lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685. L’ancienne église accueille alors l’ensemble des habitants qui souhaitent vivre leur culte.

Le village est marqué par l’histoire du protestantisme, notamment le secteur de la Gardonnenque où est situé Saint-Césaire-de-Gauzignan. Louis XIV interdit la pratique du culte protestant. En 1698, Antoine Fromental, issu du Mas Nougier (situé sur la commune) et  qui enfreint la loi,  est condamné aux galères, il est libéré en 1700. C’est le cas également d’Estienne Jalabert, galérien de 1698 à 1711. D’autres Saint-Césairois font les frais de ces mesures : Jacques Eynart, Michel Coste, Firmin et Jacques Isnard, Alexandre et Étienne Trial, tous camisards, torturés et condamnés.

Pendant la Révolution française, la région connait une grande crise économique avec une augmentation de 60 % du prix du blé. De grandes violences avec de nombreuses destructions de châteaux se déroulent alors, appelées les Grandes Bagarres de Nîmes.

En 1802, une nouvelle organisation administrative se met en place. Chaque secteur prend le nom d’Églises consistoriales. Saint-Césaire fait partie du consistoire de Vézénobres.

1810, rénovation du four commun.

1843, travaux de rénovation et d’agrandissement du temple.

1866, le conseil municipal décide de construire une école communale.

Après des péripéties de devis, projets et subventions difficiles à trouver, le projet de l’école aboutit enfin en 1880.

1893, rénovation de la canalisation de la fontaine qui alimente le village en eau, construction également d’un lavoir.

1898, construction d’un nouveau cimetière sur un terrain acheté à M. Bourguet.

Durant la Première Guerre mondiale, de nombreux poilus du village donnèrent leur vie pour la défense du territoire.

1920, électrification de la commune.

1928, création de la coopérative viticole de Saint-Césaire-de-Gauzignan.

Fin 1928, installation d’une cabine téléphonique.

1933, inauguration de la nouvelle école et des bains douches<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Politique et administration

Rattachements administratifs

Modèle:…

Rattachements électoraux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Gard. Modèle:Article détaillé

Liste des maires

  • Alexandre Trial (1792 - 1797)
  • Pierre Simon (1799 - 1799)
  • Louis Issoire (1799 - 1800)
  • Pierre Mourgues (1800 - 1802)
  • Jules Liauron (1802 - 1808)
  • Alexandre Trial (1808 - 1815)
  • Louis Roussel (1815 - 1830)
  • Jean Liauron (1830 - 1835)
  • Isaac Coulon (1835 - 1856)
  • Louis Aurivel (1856 - 1865)
  • Julien Troulhias (1865 - 1871)
  • Auguste Batte (1871 - 1874)
  • Alexandre Trial (1874 - 1875)
  • Casimir Privat (1875 - 1876)
  • Auguste Batte (1876 - 1885)
  • Louis Aurivel (1885 - 1896)
  • Jean-Louis Bourguet (1896 - 1897)
  • Achille Pupil (1897 - 1911)
  • Albert Jalabert (1911 - 1913)
  • Sully Batte (1913 - 1915)
  • Raoul Levesque (1915 - 1917)
  • Jules Dubois (1917 - 1919)
  • Sully Batte (1919 - 1922)
  • Sully Barbusse (1922 - 1947)
  • Franck Valmalette (1947 - 1965)

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFinÉlections municipales de 2020

Le Modèle:Date-, la liste "Ensemble pour Saint-Césaire", conduite par Frédéric Gras, est élue dès le premier tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 83,1 % d'actifs (71,4 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 16,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 142 en 2013 et 185 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 170, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,7 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 170 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

24 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Césaire-de-Gauzignan au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,2 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 24 entreprises implantées à Saint-Césaire-de-Gauzignan), contre 15,5 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 27 en 2000 puis à 30 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 24 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une augmentation de 14 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Saint-Césaire de Gauzignan 02.jpg
L’entrée nord du village

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Voir aussi

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Palette Modèle:Portail