Saint-Stephen

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Modèle:Autre Modèle:Infobox Municipalité du Canada

Saint-Stephen est une ville du comté de Charlotte, au sud-ouest du Nouveau-Brunswick, au Canada. La ville est située sur le fleuve Sainte-Croix, qui forme une frontière naturelle entre le Canada et les États-Unis d'Amérique, et est reliée par un pont à Calais, au Maine. Elle est nommée en l'honneur du protomartyr Étienne.

Toponymie

Modèle:Article connexe La ville est formée de la fusion de Saint-Stephen et de Millton en 1973 pour former Saint Stephen-Millville, désormais simplement appelé Saint-Stephen. Les Passamaquoddys appelaient le lieu Ktchimedabiauht, ce qui signifie « bon endroit pour accoster ». Milltown est fondé en 1760 en tant que Christie Town, en l'honneur de Peter Christie. Le nom Milltown provient du fait qu'il y a eu jusqu'à 21 moulins dans la ville. Saint-Stephen est nommée à l'origine Morris Town par Nehemiah Marks en 1784, en l'honneur de Charles Morris, arpenteur général de la Nouvelle-Écosse dont le fils Charles ainsi que Moses Gerrish arpentèrent le secteur. Les deux villes étaient surnommées Stillwater entre 1785 et 1800. Le surnom actuel de la ville est Scoodic, le nom du fleuve Sainte-Croix en malécite-passamaquoddy<ref name="toponymie">Modèle:Ouvrage.</ref>. La ville est aussi appelée la ville chocolatière du Canada, Canada's chocolate town en anglais, en référence à la chocolaterie Ganong Bros..

Géographie

Modèle:Article connexe

Situation

Saint-Stephen est situé sur la rive gauche (nord) du fleuve Sainte-Croix, dans le comté de Charlotte, à Modèle:Unité au sud-ouest de Fredericton et Modèle:Unité à l'ouest de Saint-Jean.

Saint-Stephen est limitrophe de la paroisse de Saint-Stephen au sud, de Western Charlotte à l'ouest, de Dennis-Weston au nord ainsi que de la paroisse de Dufferin à l'est. L'état américain du Maine, plus précisément la ville de Calais, se trouve sur la rive opposée du fleuve, au sud-est. La ville néo-brunswickoise la plus proche est Saint-Andrews, à Modèle:Unité au sud-est.

Logement

La ville comptait Modèle:Nombre logements privés en 2006, dont Modèle:Nombre occupés par des résidents habituels<ref name="population">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi ces logements, 66,1 % sont individuels, 6,7 % sont jumelés, 2,5 % sont en rangée, 2,2 % sont des appartements ou duplex et 20,5 % sont des immeubles de moins de cinq étages. Enfin, 2,2 % des logements entrent dans la catégorie autres, tels que les maisons-mobiles<ref name="familles et ménages">Modèle:Lien web.</ref>. 64,9 % des logements sont possédés alors que 35,1 % sont loués<ref name="familles et ménages"/>. 82,7 % ont été construits avant 1986 et 11,1 % ont besoin de réparations majeures<ref name="familles et ménages"/>. Les logements comptent en moyenne 6,6 pièces et 0,5 % des logements comptent plus d'une personne habitant par pièce<ref name="familles et ménages"/>. Les logements possédés ont une valeur moyenne de Modèle:Unité, comparativement à Modèle:Unité pour la province<ref name="familles et ménages"/>.

Histoire

Modèle:Article connexe Les Passamaquoddys fondent à cet endroit K'tchimedabiaught, ou « bon endroit pour accoster », qu'ils fréquentent après la chasse aux phoques ou aux marsouins<ref name="encyclopédie">Modèle:Lien web.</ref>.

La région est explorée par Pierre Dugua de Mons et Samuel de Champlain en 1604. L'habitation et la seigneurie de Chartier sont fondés vers 1695<ref name="ganong_1904_123">Modèle:Ouvrage</ref>. En 1704, Benjamin Church attaque K'tchimedabiaught et détruit le stock de poisson<ref name="ganong_223">Modèle:Ouvrage</ref>. Des pêcheurs anglais s'installent dès 1760<ref name="ganong_323">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ganong (1899), Modèle:Opcit, Modèle:P.323.</ref>. En 1770, un petit groupe d’immigrants de la Nouvelle-Angleterre fondent l'établissement de Scoodic, sur le site de Chartier ; la population s'élève à neuf familles en 1779<ref name="ganong_1904-170">Modèle:Harvsp</ref>. En 1780, un petit groupe d'entrepreneurs souhaitant ouvrir une scierie sont les premiers habitants permanents<ref name="encyclopédie"/>. En 1784, des Loyalistes membres de la l'association de Port Matoon, surtout des soldats démobilisés, s'établissent à Saint-Stephen jusqu'à Old Ridge<ref name="ganong_1904-169">Modèle:Harvsp</ref>. Ils reçoivent leur concessions en même temps que les familles de Scoodic<ref name="ganong_1904-170"/>. L'emplacement favorisant l'exportation du bois, la ville et son chantier naval prospèrent durant une bonne partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="encyclopédie"/>.

Une réserve indienne du nom de Scoodic et d'une superficie de 120 acres est créée le Modèle:Date- pour les Passamaquoddy, aux chutes Salmon, à Milltown ; il semble que le clergé l'achète en 1802<ref name="ganong_1904-170"/>. Milltown, ainsi que le cours de la rivière jusqu'à Upper Mills, est peuplée en 1785 par des soldats démobilisés du Modèle:74e Highlanders, auxquels se joignent des Loyalistes et des immigrants de diverses origines<ref name="ganong_1904-169"/>. À l'ouest, ainsi que le long du ruisseau Mohanes, s'installent les membres de l'Association loyaliste de Penobscot<ref name="ganong_1904-169"/>. Une savonnerie et une manufacture de haches sont construits, de même qu'une filature de coton à Milltown<ref name="encyclopédie"/>. La confiserie Ganong Bros. est fondée en 1873<ref name="encyclopédie"/>. En 1876, le quartier des affaires est presque totalement détruit par un incendie quand dix-huit édifices et 13 quais brûlent.

Les résidents de Calais et de Saint-Stephen se considèrent comme habitant la même ville, et coopèrent dans leur service de pompiers et autres projets communautaires. Un exemple de l'amitié entre les deux villes, durant la Guerre de 1812, l'armée britannique donna à Saint-Stephen une grande quantité de poudre à canon pour se protéger contre l'ennemi américain à Calais, mais les habitants de la ville donnèrent la poudre à Calais pour leur célébration de la fête nationale du Modèle:Date-.

Saint-Stephen est constitué en municipalité le Modèle:Date<ref name="elections_municipales_2012">Modèle:Lien web</ref>. Milltown est constituée en 1873<ref name="ganong_1904-150">Modèle:Harvsp</ref>. L'école Milltown est construite en 1922<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'école élémentaire de Saint-Stephen est inaugurée en 1969<ref name="South">Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>. En 1973, la ville de Saint-Stephen fusionne avec Milltown, qui avait été constituée en 1878<ref name="encyclopédie"/>. L'école secondaire de Saint-Stephen ouvre ses portes en 1979, l'école intermédiaire de Saint-Stephen en 1987 et l'école élémentaire de Milltown en 1992<ref name="South"/>.

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Mettre à jour D'après le recensement de Statistique Canada, il y avait 4 667 habitants en 2001, comparativement à 4 961 en 1996, soit une baisse de 5,9 %. La ville a une superficie de Modèle:Unité et une densité de population de 375,6 habitants au km2.

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Économie

Modèle:Article connexe

Travail et revenu

Le recensement de 2006 de Statistique Canada fournit aussi des données sur l'économie. Chez les habitants âgés de plus de 15 ans, le taux d'activité était alors de 58,5 %, le taux d'emploi était de 50,8 % et le taux de chômage était de 13,4 %; à titre de comparaison, ceux de la province étaient respectivement de 63,7 %, 57,3 % et 10,0 %<ref name="travail">Modèle:Lien web.</ref>.

Évolution du taux de chômage à Saint-Stephen

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Sources<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="travail"/>:

Chez les personnes âgées de 15 ans et plus, 2 260 ont déclaré des gains et 3 580 ont déclaré un revenu en 2005<ref name="revenu et gains">Modèle:Lien web.</ref>. 86,2 % avaient aussi déclaré des heures de travail non rémunérées<ref name="travail"/>. Le revenu médian s'élevait alors à Modèle:Unité avant et à Modèle:Unité après impôt, comparativement à la moyenne provinciale de Modèle:Unité avant et Modèle:Unité après impôt; les femmes gagnaient en moyenne Modèle:Unité de moins que les hommes après impôt, soit Modèle:Unité<ref name="revenu et gains"/>. En moyenne, 63,9 % du revenu provenait de gains, 18,9 % de transferts gouvernementaux et 17,2 % d'autres sources<ref name="revenu et gains"/>. 15,2 % de toutes les personnes dans les ménages avaient un faible revenu après impôt, une proportion montant à 21,4 % pour les moins de 18 ans<ref name="revenu et gains"/>.

Parmi la population active occupée, 4,1 % des gens travaillaient à domicile, 3,3 % travaillaient à l'extérieur du pays, 6,9 % n'avaient pas de lieu de travail fixe et 84,6 % avaient un lieu de travail fixe<ref name="lieu de travail">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi les travailleurs ayant un lieu de travail fixe, 70,6 % travaillaient en ville, 25,2 % travaillaient ailleurs dans le comté, 3,0 % travaillaient dans un autre comté et 0,6 % travaillaient dans une autre province<ref name="lieu de travail"/>.

Principaux secteurs

Fichier:GanongFactory.JPG
L'ancienne chocolaterie Ganong

L'économie de Saint-Stephen était basée sur le bois et la construction de bateaux jusqu'au début du vingtième siècle. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale le principal employeur de la ville était la compagnie de chocolat Ganong Bros. (établie en 1873, elle est la plus vieille confiserie du Canada) et la deuxième plus grande usine de tissus au Canada construite en 1882 sur la rivière où elle fonctionne avec sa propre centrale hydro-électrique. En 1957, l'usine de tissus ferma ses portes.

En 2006, on dénombrait 3,7 % des emplois dans l'agriculture, la pêche et les autres ressources, 6,9 % dans la construction, 17,6 % dans la fabrication, 2,1 % dans le commerce de gros, 11,3 % dans le commerce de détail, 3,9 % dans la finance et l'immobilier, 14,6 % dans la santé et les services sociaux, 5,8 % dans l'éducation, 13,7 % dans les services de commerce et 20,4 % dans les autres services<ref name="travail"/>.

Saint-Stephen est le siège de la Charlotte County Credit Union, une caisse populaire membre de la Credit Union Central of New Brunswick. Elle compte aussi une succursale à Saint-Andrews<ref name="caisse">Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprise Charlotte, membre du Réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Saint-Stephen est également le siège de la CBDC Charlotte-Kings<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Administration

Modèle:Mettre à jour

Conseil municipal

Le conseil municipal est formé d'un maire et de 6 conseillers<ref name="elections_municipales_2012"/>.

Le conseil municipal actuel est élu lors de l'élection quadriennale du Modèle:Date<ref name="elections2016">Modèle:Lien web</ref>.

Anciens conseils municipaux

Les conseillers Jeremy W. Copeland et Barbara E. Donovan sont élus par acclamation lors d'une élection partielle tenue le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web</ref>, en remplacement de Ken D. Parker et John B. Quartermain. Le conseil municipal suivant est élu lors de l'élection quadriennale du Modèle:Date<ref name="elections_municipales_2012"/>.

Mandat Fonctions Nom(s)
2012 - 2016 Maire John B. Quartermain
Conseillers John B. Ames, R. Michael Booth, Margaret (Marg) Harding, Debbie (Gullison) MacDonald, Allan L. MacEachern et Jim M. Maxwell.
Mandat Fonctions Nom(s)
2008 - 2012 Maire G.L. (Jed) Purcell
Conseillers Jeremy W. Copeland, Barbara E. Donovan, Jim M. Maxwell, Robert Tinker, Gavin G. Toumishey, Ralph E. Williams.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Commission de services régionaux

Saint-Stephen fait partie de la Région 10<ref>Modèle:Lien web.</ref>, une commission de services régionaux (CSR) devant commencer officiellement ses activités le Modèle:Date<ref name="conseil">Modèle:Lien web.</ref>. Saint-Stephen est représenté au conseil par son maire<ref name="gouvernance">Modèle:Lien web.</ref>. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture; d'autres services pourraient s'ajouter à cette liste<ref name="services">Modèle:Lien web.</ref>.

Représentation et tendances politiques

Saint-Stephen est membre de l'Union des municipalités du Nouveau-Brunswick<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Nouveau-Brunswick: Saint-Stephen fait partie de la circonscription provinciale de Charlotte-Campobello, qui est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Curtis Malloch, du Parti progressiste-conservateur. Il fut élu en 2010.

Modèle:Pays: Saint-Stephen fait partie de la circonscription électorale fédérale de Nouveau-Brunswick-Sud-Ouest, qui est représentée à la Chambre des communes du Canada par Gregory Francis Thompson, ministre des Anciens Combattants et membre du Parti conservateur. Il fut élu lors de la [[Élection fédérale canadienne de 1988|Modèle:40e fédérale]], en 1988, défait en 1993 puis réélu à chaque fois depuis 1997.

Vivre à Saint-Stephen

Éducation

Modèle:Article connexe Saint-Stephen possède trois écoles publiques anglophones faisant partie du district scolaire Anglophone South. L’école élémentaire Milltown et l'école élémentaire St. Stephen accueillent toutes deux les élèves de la maternelle à la Modèle:5e, qui doivent ensuite poursuivre de la Modèle:6e à la Modèle:8e à l'école intermédiaire St. Stephen. Finalement, l'école secondaire St. Stephen, située à Old Ridge dans la paroisse de Saint-Stephen permet de terminer ses études jusqu'en Modèle:12e.

Saint-Stephen possède la bibliothèque publique St. Croix.

Il y a le NBCC-Saint-Andrews ainsi que le Centre des sciences de la mer Huntsman à Saint-Andrews ainsi que des universités offrant un plus grand nombre de formations à Fredericton et Saint-Jean.

Il n'y a aucune école francophone dans le comté, les plus proches étant à Saint-Jean ou Fredericton. Les établissements d'enseignement supérieurs les plus proches sont situés dans le Grand Moncton.

Saint-Stephen était le siège du district scolaire 10 jusqu'à la réforme de 2012.

Transport

La ville possède un aérodrome public, dont le code OACI est CCS3. Il possède une piste en asphalte longue de 3 000 pieds.

Autres services publics

Saint-Stephen bénéficie de l'hôpital du comté de Charlotte, d'une caserne de pompiers, d'un bureau de poste et d'un foyer de soins agréés, le Lincourt Manor.

La ville possède un poste de la Gendarmerie royale du Canada. Il dépend du district 1, dont le bureau principal est situé à Saint-George.

Saint-Stephen est le siège d'un tribunal de la Cour provinciale du Nouveau-Brunswick. Il possède un tribunal satellite à Grand Manan.

Saint-Stephen compte un bureau régional d'Énergie NB<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Médias

Saint Stephen est desservi par le quotidien Telegraph-Journal de Saint-Jean, alors que l'hebdomadaire Saint Croix Courier est publié en ville et distribué dans tout le comté ainsi qu'au Maine. Les francophones ont accès par abonnement au quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi qu'à l'hebdomadaire L'Étoile, de Dieppe.

La ville a en fait bénéficié de plusieurs publications au cours de son histoire. Le premier journal fut l'hebdomadaire Times or Saint Croix Advertiser, qui parut seulement en 1833. Le Saint Stephen Courant and General Advertiser fut distribué en 1842. Le Provincial Patriot and St. Stephen's Banner fut distribué entre 1853 et 1860, année où il fut remplacé par le Charlotte Advocate, qui fut publié jusque vers 1865. Le Pilot parut seulement en 1855. Le Colonial Presbyterian fut fondé la même année et remplacé par le Colonial Presbyterian and Protestant Journal de Saint-Jean peu après. Le Saint Croix Courrier fut fondé en 1865 et fusionna en 1877 avec le St. Stephen Journal, qui avait été fondé en 1872. La publication fut renommée Saint Croix Courrier and St. Stephen Journal puis pris le nom actuel de Saint Croix Courrier la même année. Entretemps, le Scoodic Times fut fondé vers 1869 et remplacé la même année par le Saint Stephen Times, qui fut publié jusqu'en 1870. Le Charlotte Free Press fut aussi fondé en 1869 mais cessa d'être distribué la même année. Le St. Croix Herald fut distribué entre 1857 et 1864 alors que le Weekly Globe parut entre 1897 et 1904. L’Entreprise, parut seulement en 1885, le Courrier Weekend ainsi que l’Atlantic Coastguide en 1978 et le Dollar Stretcher en 1985<ref>Modèle:Lien web </ref>.

Religion

Saint-Stephen compte plusieurs lieux de cultes, dont les églises anglicanes St. Peter's et Christ Church ainsi que les églises catholiques romaines Holy Rosary et St. Stephen's, faisant partie du diocèse de Saint-Jean.

Culture

Fichier:New Brunswick visitor information centre in St. Stephen.jpg
La gare de Saint-Stephen, abritant aujourd'hui le centre d'information touristique.

Langues

Selon la Loi sur les langues officielles, Saint-Stephen est officiellement anglophone<ref>Modèle:Loi.</ref> puisque moins de 20 % de la population parle le français.

Personnalités

Architecture et monuments

Le bureau de poste de Saint-Stephen est un site historique national. L'église Christ Church, l'église Milltown et la maison John Warren Moore sont des sites historiques provinciaux.

Il y a une attraction de bord de route à Saint-Stephen: des sculptures représentant un ours polaire et un bonhomme de neige<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Événements

Le festival du chocolat a lieu en août.

Municipalités limitrophes

Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

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