Saint-Yorre
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Yorre est une commune française située dans le département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Vichy.
Ses habitants, au nombre de Modèle:Unité au recensement de Modèle:Population de France/dernière année, sont appelés les Saint-Yorrais et les Saint-Yorraises.
Géographie
Localisation
Saint-Yorre est située au sud-est du département de l'Allier<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à une altitude de Modèle:Unité, à huit kilomètres au sud de Vichy et à Modèle:Unité au nord de Thiers par la route.
Elle constitue un des pôles d'équilibre de l'ancienne communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier<ref name="SCOT_RAP_provisoire" />.
Six communes sont limitrophes de Saint-Yorre, dont deux dans le département limitrophe du Puy-de-Dôme<ref name="geoportail" />.
Géologie et relief
Modèle:… La commune s'étend sur Modèle:Nobr ; son altitude varie de 254 à Modèle:Nobr<ref>Répertoire géographique des communes édité par l'IGN.</ref>.
Environnement
La commune est située dans la zone du val d'Allier<ref name="AtlasP8_01" />.
Au nord de la commune, un ancien tracé de la route nationale 106, rectifié en 1977, franchissait le ruisseau de Coupe-Gorge ; ce tracé est devenu une déchèterie sauvage avec dépôts de gravats, d'ordures ou de déchets, contribuant à la pollution de l'environnement. Le département a procédé au déclassement de ce délaissé du domaine public routier en 2013<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette décision a été approuvée par le conseil municipal en Modèle:Date-<ref group="STY">Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
Modèle:… La commune est traversée par la rivière Allier. La rivière Modèle:Citation.
En aval du centre-ville, le ruisseau des Andraux, long de Modèle:Unité, prend sa source sur la commune limitrophe de Busset<ref>Modèle:Sandre.</ref>. Plus au nord, le ruisseau de Coupe-Gorge, long de Modèle:Unité, coule à la frontière avec Abrest<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Climat
Modèle:Article connexe Modèle:… La station la plus proche est située à Charmeil. Modèle:Climat
Urbanisme
Typologie
Saint-Yorre est une commune rurale<ref group="Note">Selon le zonage publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Vichy, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vichy, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,8 %), zones urbanisées (25 %), forêts (14,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), terres arables (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.
Morphologie urbaine
Modèle:… Sur les Modèle:Nobr de superficie communale, 147,7 sont des espaces habités et 69,5 sont réservés aux espaces économiques<ref name="SCOT_RAP_provisoire" />.
Entre 2010 et 2014, la rénovation du centre-ville ainsi que des parvis a permis la reconstruction de la halle du marché et la création d'une aire de jeux.
La place du marché, la place de la mairie (avec fontaines), l'esplanade Eugène-Rouchon et l'extension de la mairie ont été inaugurées le Modèle:Date-. Les travaux des deux places et de l'esplanade, ainsi que les alentours de l'église, ont nécessité trois ans alors que ceux de la mairie, commencés en 2012, ont compris l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Le montant des chantiers s'élève à Modèle:Euro<ref>Modèle:Article (édition de Vichy).</ref>. Outre ces travaux, des parkings (automobiles et vélos) ont été aménagés sur les secteurs rénovés et des rues ont été classées en zone 30.
Logement
En 2013, la commune comptait Modèle:Unité, contre 1 415 en 2008. Parmi ces logements, 88,2 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 26,1 % des appartements<ref group="a">LOG T2 – Catégories et types de logements.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 65,1 %, en hausse sensible par rapport à 2008 (63,2 %). La part de logements HLM loués vides était de 13,6 % (contre 14,8 %)<ref group="a">LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.</ref>.
Projets d'aménagement
Voies de communication et transports
Voies routières
Saint-Yorre est traversée par la route départementale 906e (ancienne Modèle:Nobr) desservant le sud de l'agglomération et l'est du département du Puy-de-Dôme ; du centre-ville, Thiers est à Modèle:Unité au sud et Vichy à Modèle:Unité au nord.
Le contournement sud-ouest débouche au sud de la commune sur la Modèle:Nobr et porte également ce numéro : les travaux, démarrés fin 2011, ont vite été arrêtés pour des raisons environnementales. Un nouveau pont a été construit au sud après soumission à une déclaration d'utilité publique dans le cadre de la loi sur l'eau. La route, inaugurée le Modèle:Date-<ref name="montagne-20160107">Modèle:Lien web.</ref>, est ouverte depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref> (l'ancien tracé devenant la Modèle:Nobr). Ce chantier a coûté Modèle:Unité ; cette longue interruption des travaux n'a pas empêché des associations environnementales de déposer un recours contre un arrêté préfectoral autorisant la reprise du chantier du contournement<ref>Modèle:Article.</ref>.
Dans le prolongement de la Modèle:Nobr côté Puy-de-Dôme, de l'autre côté de la rivière Allier (sur la commune de Saint-Sylvestre-Pragoulin), la Modèle:Nobr franchit l'Allier par un pont Modèle:Incise puis emprunte les rues du Pont, Gambetta et de la Liberté, ces deux dernières ayant été rénovées dans le cadre du réaménagement du bourg, puis continuant après le carrefour avec la Modèle:Nobr (ancienne Modèle:Nobr) en direction de Busset. Une antenne, la Modèle:Nobr, longue de plus de deux kilomètres, passe à proximité des usines d'embouteillage de Saint-Yorre<ref name="geoportail" />.
Il existe également une Modèle:Nobr, correspondant à la rue du Commandant-Romon, reliant la Modèle:Nobr au centre-ville<ref name="geoportail" />.
La commune gère Modèle:Unité de voies communales<ref group="STY">Modèle:Lien web.</ref>.
-
Entrée par la Modèle:Nobr, depuis Vichy, en Modèle:Date-.
-
Pont des Sources, franchissant l'Allier, en Modèle:Date-.
-
Début du contournement sud-ouest peu avant son ouverture, en 2016.
Transports en commun
Saint-Yorre est desservie par deux lignes d'autocar du réseau Cars Région Puy-de-Dôme<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- la ligne P03, reliant la gare routière de Vichy à Thiers, Pont-de-Dore, Ambert et Arlanc ;
- la ligne P55, reliant Puy-Guillaume à Vichy.
Les transports urbains ne desservent pas la ville de Saint-Yorre. Un service de transport à la demande, Mobival, fonctionne sur réservation téléphonique entre Vichy et Saint-Yorre, à raison de quatre allers et retours. Les arrêts « Nouvel Hôtel » et « Centre » assurent la desserte de la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Transport ferroviaire
Malgré l'existence d'une ligne ferroviaire, celle de Saint-Germain-des-Fossés à Darsac, Saint-Yorre n'est plus desservie par le train et sa gare est fermée. Il ne transite que des trains de marchandises à destination des usines d'embouteillage ou de Puy-Guillaume.
La gare la plus proche ouverte au trafic marchandises est celle de Vichy, située huit kilomètres au nord.
Dans le cadre du schéma de cohérence territoriale de l'ancienne communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier, un projet de tram-train est à envisager sur la ligne abandonnée au trafic voyageurs<ref name="SCOT_DOO" />.
Aménagements cyclables
En 2020, la communauté d'agglomération Vichy Communauté a réalisé la voie verte Via Allier, voie de Modèle:Unité de long reliant Billy au pont de Saint-Yorre, ainsi que la boucle des Sources (Modèle:Unité, vers Abrest via le parc Larbaud, ou Hauterive)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques naturels et technologiques
La commune de Saint-Yorre est soumise à quatre risques naturels et trois risques technologiques<ref name="georisques">Risques connus pour la commune de Saint-Yorre sur georisques.gouv.fr, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires (consulté le Modèle:Date-).</ref> :
- risque d'inondation : la rivière Allier pouvant déborder d'une part<ref name="ddrm" />, et d'autre part, la rupture du barrage de Naussac, en Lozère, conséquence secondaire<ref name="ddrm" /> ;
- risque « mouvements de terrain » : un PPR concernant le retrait-gonflement des argiles a été approuvé le Modèle:Nobr<ref name="ddrm" /> ;
- risque sismique : la commune est dans la zone de sismicité faible (niveau 2)<ref name="ddrm" /> ;
- risque d'exposition au radon<ref name="georisques" /> ;
- risque « rupture de barrage »<ref name="georisques" /> ;
- risque de pollution des sols<ref name="georisques" /> ;
- risque « transport de matières dangereuses » : la route départementale 906 Modèle:Incise, passant près du centre-ville de la commune, est une des routes du département dont le trafic dépasse Modèle:Unité par jour en 2011. Une canalisation de gaz naturel passe aussi par la commune<ref name="ddrm" />.
Elle fait en outre l'objet d'arrêtés de catastrophe naturelle : tempête de 1982, inondations et coulées de boue (la dernière datant de 2007)<ref name="georisques" />. La commune est dotée d'un DICRIM, élaboré en 1998 et révisé en 2013, ainsi que d'un plan communal de sauvegarde<ref name="georisques" />.
Toponymie
Saint-Yorre a connu plusieurs dénominations différentes. Son nom est d'origine médiévale (Sancti Thierri au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, issu du germanique Theudric, moine du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Au Moyen Âge, les habitants prononçaient Modèle:Citation.
Saint-Yorre fait en effet partie de l'aire linguistique du Croissant, zone où les parlers de langue occitane et de langue d'oïl se rencontrent et se mélangent<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Dans le parler local Saint-Yorre est nommé Sent Tiore.
Histoire
Avant 1789, la commune faisait partie du territoire du Bourbonnais<ref>Modèle:Ouvrage. « Saint-Yorre », Modèle:P..</ref>.
Moyen Âge
Un prieuré fut mentionné au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref group="STY" name="Mairie_hist" />.
Pendant tout le [[IIe millénaire|Modèle:M mini- millénaire]] et jusqu'aux années 1950-1960, les collines autour de Vichy étaient recouvertes de vignes.
Époque moderne
La paroisse de Saint-Yorre semble née d'un moulin au lieu-dit Villa Moulin<ref group="STY" name="histoire" />.
Une chapelle est érigée près de la source Guerrier. Un prieuré de bénédictins dépendant de l'abbaye de Cusset est construit mais une crue de l'Allier la détruit en 1739<ref group="STY" name="histoire" />.
Un arrêté du conseil d'État du Modèle:Date- supprime le droit de péage du pont des « Jarrots », où un premier bail fut octroyé par Jean Louis de Bourbon le Modèle:Date-. Ce droit a été réclamé par la dame de Gouffier<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Un autre arrêté de 1744 autorisait au seigneur de Busset de Modèle:Citation avec perception de droits de passage<ref name="CE1752" />. Saint-Yorre faisait alors partie de la seigneurie de Busset, de la châtellenie de Vichy, de la province du Bourbonnais<ref group="STY" name="Mairie_hist" /> et de la généralité de Moulins<ref name="CE1752">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Pendant la Révolution française, la commune intégra le nouveau canton de Busset, lequel existe jusqu'en 1801<ref name="Cassini" /> ; mais sa population était beaucoup moins importante que le chef-lieu du canton qui en comptait 1 442<ref group="STY" name="Mairie_hist" />.
Époque contemporaine
La population de la commune allait longtemps rester stable, Modèle:Citation, jusqu'à Modèle:Citation permettant Modèle:Citation.
La production d'eau minérale
Modèle:Article détaillé Nicolas Larbaud, père de l'écrivain Valery Larbaud, découvre l'eau minérale en 1853. Environ dix millions de bouteilles étaient produites vers 1900<ref group="STY" name="Mairie_hist" />.
En 1926, Saint-Yorre comptait Modèle:Citation. La Société Commerciale d'eau minérale du Bassin de Vichy (SCBV) a été créée en 1928<ref group="STY" name="histoire" />.
Les bouteilles de verres commencent à être produites par une industrie qui a vu le jour vers 1900. Les isolateurs commencent à être produits en 1928 pendant sept mois, les bocaux en 1936, tandis que le premier isolateur en verre trempé a vu le jour en 1947. Environ Modèle:Unité de verre étaient produites chaque année<ref group="STY" name="histoire" />.
La verrerie Sediver est cependant fermée en 2005 en raison d'une délocalisation en Chine et au Brésil<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le site laisse place à une friche partiellement réutilisée<ref name="SCOT_RAP_provisoire" />.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Yorre est membre de la communauté d'agglomération Vichy Communauté<ref name="COG" />, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Vichy. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle dépendait du district de Cusset en 1793 puis de l'arrondissement de Lapalisse (d'abord orthographié La Palisse) en 1801, lequel fut transféré à Vichy en 1941<ref name="Cassini" />, à la circonscription administrative de l'État de l'Allier et à la région Auvergne-Rhône-Alpes<ref name="COG" />. Elle a appartenu à cinq cantons différents : Busset de 1793 à 1801, Cusset de 1801 à 1892, Vichy de 1892 à 1973, Vichy-Sud de 1973 à 1985 et Cusset-Sud de 1985<ref name="Cassini" /> à 2015.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vichy-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="COG" />, et de la troisième circonscription de l'Allier pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (elle dépendait auparavant de la quatrième circonscription)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Saint-Yorre, commune de plus de Modèle:Unité, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)<ref name="loi_2013-403">Loi no 2013-403 du Modèle:Date- relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du Modèle:Date-.</ref>, pour un mandat de six ans renouvelable<ref name="Elec_CM">Modèle:Lien web.</ref>. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 23<ref>Article Modèle:Légifrance du code général des collectivités territoriales.</ref>. Les vingt-trois conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 54,06 %<ref name="mun-2020">Modèle:Lien web.</ref>, se répartissant en vingt sièges issus de la liste de Joseph Kuchna et trois sièges issus de la liste de Franck Monnot<ref name="mun-2020" />.
Les deux sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté d'agglomération Vichy Communauté sont issus de la liste de Joseph Kuchna<ref name="mun-2020" />.
Le conseil municipal est composé de Modèle:Unité, dont six adjoints<ref group="STY" name="Mairie_municipalite">Modèle:Lien web.</ref>.
Chronologie des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Autres élections
- Élections présidentielles
- 2002 : Jacques Chirac 83,84 % ; Jean-Marie Le Pen 16,16 % ; participation 79,74 %<ref>Résultats de l'élection présidentielle de 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2007 : Nicolas Sarkozy 39,03 % ; Ségolène Royal 60,97 % ; participation 85,04 %<ref>Résultats de l'élection présidentielle de 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2012 : François Hollande 64,70 % ; Nicolas Sarkozy 35,30 % ; participation 82,65 %<ref>Résultats de l'élection présidentielle de 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2017 : Emmanuel Macron 65,36 % ; Marine Le Pen 34,64 % ; participation 72,28 %<ref>Résultats de l'élection présidentielle de 2017 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- Élections législatives
- 2002 (Modèle:4e) : Gérard Charasse 67,66 % ; Claude Malhuret 32,34 % ; participation 63,94 %<ref>Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2007 (Modèle:4e) : Gérard Charasse 71,28 % ; Claude Malhuret 28,72 % ; participation 65,85 %<ref>Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2012 (Modèle:3e) : Gérard Charasse 73,96 % ; Claude Malhuret 26,04 % ; participation 59,14 %<ref>Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2017 (Modèle:3e) : Bénédicte Peyrol 68,10 % ; Gabriel Maquin 31,90 % ; participation 39,10 %<ref>Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- Élections européennes (deux meilleurs scores)
- 2004 : Catherine Guy-Quint (PS) 33,18 % ; Daniel Geneste (PCF) 17,39 % ; participation 44,68 %<ref>Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2009 : Jean-Pierre Audy (UMP) 23,59 % ; Henri Weber (PS) 21,03 % ; participation 41,80 %<ref>Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2014 : Bernard Monot (FN) 28,15 % ; Brice Hortefeux (UMP) 18,49 % ; participation 42,20 %<ref>Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2019 : Jordan Bardella (RN) 26,48 % ; Nathalie Loiseau (LREM) 18,53 % ; participation 51,40 %<ref>Résultats des élections européennes de 2019 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- Élections régionales
- 2004 (Auvergne) : Pierre-Joël Bonté 68,05 % ; Valéry Giscard d'Estaing 31,95 % ; participation 66,57 %<ref>Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2010 (Auvergne) : René Souchon 69,78 % ; Alain Marleix 30,22 % ; participation 52,73 %<ref>Résultats des élections régionales de 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- 2015 (Auvergne-Rhône-Alpes) : Laurent Wauquiez 36,24 % ; Jean-Jack Queyranne 39,60 % ; participation 54,74 %<ref>Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>
- Élections municipales
- En 2008, le maire sortant, en place depuis 1977, Jésus Moran (PCF), est le seul de sa liste à ne pas être réélu. Il est remplacé par son adjoint, Roger Levillain (sans étiquette)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- En 2014, Roger Levillain (liste PG) a été réélu (dix-huit sièges au conseil municipal et deux au conseil communautaire), tandis que Serge Gayet (liste DVG) a été battu (cinq sièges au conseil municipal et un au conseil communautaire)<ref name="mun-2014">Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>.
Roger Levillain a cependant démissionné et a laissé place à Joseph Kuchna, jusqu'alors premier adjoint<ref name="montagne-20141129">Modèle:Article (édition de Vichy).</ref>. Modèle:Article connexe
Aux élections départementales de 2015, le binôme Frédéric Aguilera - Évelyne Voitellier, élu dans le canton, a recueilli 66,79 % des suffrages exprimés. 45,33 % des électeurs ont voté (Modèle:Unité sur Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Finances locales
Modèle:… Les élus ont approuvé le budget primitif 2015 à l'issue d'un conseil municipal tenu en avril, s'élevant à Modèle:Nobr en fonctionnement et à Modèle:Nobr en investissement. Les taxes locales sont les suivantes : taxe d'habitation 6,42 %, taxe foncière sur les propriétés bâties 9,39 % et non bâties 26,60 %<ref>Modèle:Article.</ref>.
Jumelages
Au Modèle:Date-, le site Internet France-Diplomatie du ministère des Affaires étrangères ne recensait aucun jumelage ou accord de coopération avec Saint-Yorre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Membre du comité de jumelage Teraanga<ref>Site de comité de jumelage Teraanga (consulté le 28 janvier 2016).</ref>, dont font partie les communes de Brugheas et du Donjon en France et Nguékhokh au Sénégal, la commune affirme sa volonté d'ouverture vers l'extérieur et notamment sa coopération internationale. Ce projet est soutenu depuis 2002 par le département de l'Allier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Équipements et services publics
Eau et déchets
Modèle:… Une déchèterie est implantée au nord de la commune, gérée par le SICTOM Sud-Allier.
La commune gérait, en 2004, la distribution des eaux<ref name="BRGM04" />.
Enseignement
Saint-Yorre dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école maternelle Jacques-Brel et une école élémentaire, le groupe scolaire Nicolas-Larbaud et Marie-Curie<ref name="educ">Annuaire des établissements scolaires de Saint-Yorre, Ministère de l'Éducation nationale</ref>.
Les élèves poursuivent leur scolarité au collège public Victor-Hugo, situé dans la commune<ref name="educ" /> et géré par le conseil départemental de l'Allier, puis au lycée Albert-Londres de Cusset<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Santé
Le centre hospitalier Jacques-Lacarin, situé à Vichy et le plus proche de Saint-Yorre, assure les urgences.
Une maison de santé pluridisciplinaire, située avenue de Vichy, sur un ancien bâtiment de l'usine Frulact<ref>Modèle:Lien web.</ref>, accueille quinze professionnels de santé dont deux médecins généralistes, deux infirmières et trois kinésithérapeutes. Ouverte depuis le Modèle:Date-, elle a été inaugurée le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'investissement a coûté Modèle:Nobr, avec subventions de l'État, de la région, du département, de la communauté d'agglomération et de la commune (autofinancement)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Instances judiciaires
Sur le plan judiciaire, Saint-Yorre dépend de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, du tribunal administratif de Clermont-Ferrand, du tribunal de proximité de Vichy et des tribunaux judiciaire et de commerce de Cusset<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Saint-Yorrais et les Saint-Yorraises<ref name="habitants" />.
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 28 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 35 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 54,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,05 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Manifestations culturelles et festivités
En juillet, la ville de Saint-Yorre organise le festival de rue et de cirque « Les Arts dans la bulle »<ref group="STY">Modèle:Lien web.</ref>.
Tous les mercredis matin, un marché est organisé sous la halle couverte.
Sports et loisirs
Le centre omnisports de Saint-Yorre est situé en rive gauche de l'Allier, à cheval sur trois communes et deux départements (Saint-Yorre, ainsi que Saint-Priest-Bramefant et Saint-Sylvestre-Pragoulin dans le département voisin du Puy-de-Dôme). Il comprend un terrain de football et un terrain de rugby, ainsi qu'un terrain d'entraînement pour chaque sport<ref group="STY" name="infra-sportives" />.
La piscine, aussi en rive gauche, est gérée par la communauté d'agglomération Vichy Communauté. Ouverte en 1973, elle offre Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>. Entre l'été 2014 et l'été 2015<ref>Modèle:Article.</ref>, façades, accueil, vestiaires et bains ont été rénovés pour un coût de Modèle:Unité<ref>Modèle:Article.</ref>.
La Halle des Sports se situe en rive droite. Des sports sont pratiqués tels que le judo, le basket-ball ou le volley-ball<ref group="STY" name="infra-sportives" />.
Il existe également un boulodrome, un skatepark et quatre terrains de tennis<ref group="STY" name="infra-sportives" />.
Une base de loisirs a été créée en amont du pont de Saint-Yorre. Le site comprend un boulodrome, une aire de jeux, une aire de pique-nique ainsi qu'une pergola semi-couverte. Le projet d'aménagement du site permet également de renaturer les berges de l'Allier en réduisant le risque d'inondation. Les travaux ont coûté Modèle:Nobr hors taxes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La base de loisirs a été inaugurée le Modèle:Date-<ref group="STY">Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
De nombreuses entreprises ont apporté leur contribution au développement de la commune. Elle a, entre autres, accueilli Hepatoum, fabricant de produits pharmaceutiques à base d'eau de Saint-Yorre, ou Granger-Bouguet-Pau, fabricant de sirops et colorants alimentaires<ref group="STY" name="Mairie_hist" />, ou encore Comalait. Néanmoins quelques-unes ont fermé, comme Sediver, Frulact (désormais une friche)<ref name="SCOT_RAP_provisoire" /> et, en 2013, Candia.
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à Modèle:Euro, ce qui plaçait Saint-Yorre au 23 947e rang des communes de plus de Modèle:Unité en métropole<ref>Revenus fiscaux localisés des ménages Modèle:Zip, Insee, données 2011.</ref>.
Emploi
En 2013, la population âgée de Modèle:Nobr s'élevait à Modèle:Unité, parmi lesquelles on comptait 71,4 % d'actifs dont 62,5 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs<ref group="a">EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.
On comptait Modèle:Unité dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 052, l'indicateur de concentration d'emploi est de 109,2 %, ce qui signifie que la commune offre plus d'un emploi par habitant actif<ref group="a">EMP T5 – Emploi et activité.</ref>.
924 des Modèle:Unité âgées de quinze ans ou plus (soit 87,8 %) sont des salariés<ref group="a">ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2011.</ref>. La majorité des actifs (69,5 %) travaillent hors de la commune de résidence<ref group="a">ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.</ref>.
Entreprises
Au Modèle:Date-, Saint-Yorre comptait Modèle:Nobr : 27 dans l'industrie, 21 dans la construction, 65 dans le commerce, les transports et les services divers et 24 dans le secteur administratif<ref group="a">DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au Modèle:Date-.</ref>, ainsi que Modèle:Nobr<ref group="a">DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au Modèle:Date-.</ref>.
Plus d'une dizaine d'entreprises sont implantées à Saint-Yorre, dont l'une des plus importantes est la SCBV, chargée d'embouteiller l'eau minérale Saint-Yorre<ref group="STY" name="entreprise-commerce">Modèle:Lien web.</ref>.
Certaines ont fermé, comme l'usine Candia, le Modèle:Nobr, avec la perte de cent six emplois. La fermeture a été décidée dès Modèle:Nobr, justifiant la dégradation de la compétitivité selon le groupe Sodiaal<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Afin de reprendre immédiatement l'activité sur ce site, une convention, signée avec l'État, définit un périmètre de revitalisation économique avec la communauté d'agglomération, ainsi que la communauté de communes du Bassin de Gannat, établissant une contribution financière de Modèle:Euro, afin de compenser le plan social de Candia<ref>Modèle:Article (édition de Vichy).</ref>. Cette contribution se décompose en quatre actions : création de vingt emplois pour la mise en œuvre de projets structurants, abondement à un fonds pour la création de trente-deux emplois, rémunération de cabinet et action de reprise du site industriel<ref>Modèle:Article (édition de Vichy).</ref>.
En 2015, Renova, une entreprise portugaise spécialisée dans les produits de consommation en papier (papier toilette, essuie-tout, serviette…) s'est implantée sur le site de Candia, avec trente emplois<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le site est actif depuis Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'entreprise Sediver, créée en 1898 à Saint-Yorre, est spécialisée dans la fabrication de verre trempé (dont elle est le leader mondial), mais aussi dans la production d'isolateurs pour les réseaux de transport et de distribution d'électricité. Bien que le site de production ait été fermé en 2005, les directions scientifique et recherche/qualité sont toujours présentes sur le site de Saint-Yorre qui emploie Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Le recensement agricole de 1988 faisait état de six exploitations agricoles, toutes individuelles, avec une surface agricole utile (SAU) de Modèle:Nobr. Les données de 2000, couvertes par le secret statistique, et celles de 2010, non communiquées, ne sont pas disponibles<ref name="agri">Résultats du recensement agricole (cadrage) sur le site du ministère de l'Agriculture.</ref>.
C'est l'une des rares communes de l'agglomération à ne presque plus avoir de SAU<ref name="SCOT_RAP_provisoire" />.
Commerce et services
La base permanente des équipements de 2015 recensait un supermarché (à enseigne Market), une grande surface de bricolage, une supérette, une épicerie, trois boulangeries, une boucherie-charcuterie, une librairie-papeterie-marchand de journaux, un magasin de meubles, deux fleuristes, un magasin d'optique ainsi qu'une station-service aux abords du supermarché<ref group="STY" name="entreprise-commerce" />,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Un magasin de bricolage est prévu au sud de la zone d'activités des Jarrauds, non loin du débouché du contournement sud-ouest. Malgré deux refus des commissions nationaleModèle:Note et départementale d'aménagement commercial, la décision du Modèle:Nobr<ref>Modèle:Article.</ref> approuve le projet avec une surface de Modèle:Unité et plus de Modèle:Unité de stationnement<ref>Modèle:Article.</ref>. Ce magasin, dont l'enseigne n'est pas encore connue, viendra concurrencer trois enseignes nationales implantées dans l'agglomération (Gedimat à Abrest, Bricomarché et un local à Cusset ou Mr Bricolage à Charmeil)<ref>Modèle:Article.</ref>.
Tourisme
La commune comptait un hôtel trois étoiles de seize chambres<ref group="a">TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au Modèle:Date-.</ref> ainsi qu'un camping deux étoiles de Modèle:Nobr<ref group="a">TOU T2 – Nombre et capacité des campings au Modèle:Date-.</ref> au Modèle:Date-.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les sources du bassin de Vichy
On dénombre plus de cent sources dans la commune. La source Larbaud a été exploitée de 1889 à 1930 par la constitution de l'héritage de Valery ainsi que d'Isabelle Larbaud jusqu'à son décès en 1930<ref>Modèle:Article.</ref>.
De nombreuses sources sont exploitées dans les usines d'embouteillage : la « Source Royale », ou même la source des Célestins. Cependant, nombre d'entre elles ont été abandonnées et huit « minéralisées »<ref name="BRGM04" />.
Autres édifices
- Église Saint-Éloi, moderne.
- Château de Chaussin bâti vers 1438. À Modèle:Unité au nord de Saint-Yorre, enceinte quadrangulaire flanquée de tours rondes, entourée de fossés en eau larges de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Atlas des châteaux forts en France.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- L'abbé Michel Peynot (1866-1950), curé de Saint-Yorre de 1898 à 1904 et auteur d'une monographie historique sur la ville.
- Le commandant Gabriel Romon, directeur du Centre d'Hauterive, Allier, du Groupement des Contrôles Radioélectriques (GCR) de 1940 à 1944 (qui transmettait clandestinement des informations stratégiques sur l'occupant, à Londres), commandant des transmissions de l'Armée Secrète, arrêté par la Gestapo à son domicile 86 route de Thiers à Saint-Yorre le Modèle:Nobr (plaque commémorative posée le Modèle:Nobr), déporté et fusillé en Allemagne le Modèle:Nobr, mort pour la France. Une rue du Commandant-Romon a été baptisée à Saint-Yorre le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Article ; Centre Historique des Archives Nationales 72 AJ 2219, Mairie de Saint-Yorre.</ref>.
- Henri Laville (1915-1958), instituteur, journaliste et écrivain ; il y exerce son métier d'instituteur entre septembre 1940 et septembre 1944. C'est là qu'il écrit son premier roman, Petite frontière, publié en 1944 et 1946 chez Julliard. Cette période de sa vie lui inspire L'Hôtel des Quatre-Vents, roman qui porte sur la période de l’Occupation, mais qu'il ne parvient pas à faire publier (toujours inédit à ce jour)<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Nolwenn Leroy (Modèle:Date, Saint-Renan, Finistère), chanteuse française.
Héraldique
Blason de Saint-Yorre | Parti : au Modèle:1er d'azur aux trois fasces ondées d'argent, au Modèle:2e de sable à la flamme de gueules. |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Yorre sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Insee
Dossier relatif à la commune Modèle:Références