Sainte-Brigitte

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Sainte-Brigitte {{#ifeq:1|0|[sɛ̃tbʁiʒit]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française située en Argoat dans le pays du Kost ar c'hoad, dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Toponymie

Le nom de la commune en breton est Berc'hed ou Santez Berch'hed en référence à Brigitte de Kildare, abbesse et patronne de l'Irlande<ref>René Kerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier, Les bretons. 6, Bourg-Brou, 1886-1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f385.image.r=Loperhet.langFR</ref>,<ref>http://www.geobreizh.bzh/geobreizh/fra/villes-fiche.asp?insee_ville=56209 Sainte Brigitte, geobreizh.bzh.</ref>.

Fichier:Sainte-Brigitte panneau.jpg
Panneau d'entrée d'agglomération bilingue de Sainte-Brigitte

Géographie

Situation

La commune de Saint-Brigitte se trouve dans le nord du département du Morbihan, à la limite avec le département des Côtes-d'Armor, à Modèle:Unité au nord-est de Pontivy et à Modèle:Unité au nord-est de Vannes.

Modèle:Communes limitrophes

La commune de Sainte-Brigitte appartient par ses traditions au pays Bro Kost ar c'hoad (en Argoat), pays qui englobe également les trois communes voisines de Gouarec, Plélauff et Perret. Ce pays doit son nom à la présence de la vaste forêt de Quénécan. Bro Kost ar c'hoad signifie en effet en français le pays à côté du bois. Ce pays traditionnel a donné son nom à une danse bretonne traditionnelle, une gavotte en 8 temps<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article détaillé

Fichier:Sainte-Brigitte limite communale.jpg
Carte de la commune (contours en orange) et des communes voisines.

Paysage et relief

Fichier:Lac de guerlédan et forêt de Quénécan.jpg
Le Lac de Guerlédan et la Forêt de Quénécan.

La commune de Sainte-Brigitte est vallonnée. Son territoire s'étage en effet entre Modèle:Unité ( lac de Guerlédan) et Modèle:Unité d'altitude (relief situé à l'extrémité sud de la commune ne portant pas de nom). La forêt de Quénécan s'étend sur une bonne partie de son territoire. Celle-ci est parfois surnommée la Petite Suisse bretonne en raison de son relief bosselé. La commune de Sainte-Brigitte est la commune la moins densément peuplée du département du Morbihan avec seulement Modèle:Unité. C'est aussi l'une des plus boisées avec Modèle:Unité de bois pour une superficie totale de Modèle:Unité, soit un taux de boisement de 60 %<ref>Cléguérec sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet</ref>.

Modèle:Images

Hydrographie

Le cours canalisé du Blavet ( canal de Nantes à Brest) borde la commune au nord sur une courte distance. En aval de l'écluse de Bellevue le Blavet commence à s'élargir pour former un lac à la suite de la construction du barrage de Guerlédan sur son cours plus en aval. Le ruisseau des Forges borde la commune à l'ouest. Il est long de Modèle:Unité. Il prend sa source près du bourg de Sainte-Brigitte et se jette dans le Blavet après avoir traversé le village des Forges des Salles. Il alimente en eau plusieurs étangs : l'étang des Salles, l'étang du Fourneau et un troisième étang situé plus en aval.

Cadre géologique

Fichier:Geologic map Armorican Massif FR.svg
Carte géologique du Massif armoricain.
Fichier:Imágenes de quiastolitas.jpg
Coupes dans des cristaux d'andalousite (faciès chiastolite). Ils cristallisent en baguettes à section carrée dont la cassure transversale montre des inclusions carbonées formant des taches noires dont la répartition régulière mime une croix sombre sur fond clair.

Modèle:Article connexe Sainte-Brigitte est situé au cœur du domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à une structure s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la baie de Douarnenez jusqu'au bassin de Laval. S'opposant aux bas plateaux littoraux méridionaux et septentrionaux, ce bassin sédimentaire est principalement constitué de schistes briovériens (sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion du segment occidental de la chaîne cadomienne, accumulés sur plus de Modèle:Unité d'épaisseur et métamorphisés), formant un socle pénéplané sur lequel repose en discordance, dans sa partie orientale, des formations paléozoïques sédimentaires déformées lors de l'orogenèse varisque (plis d'orientation N 110° et plusieurs familles de failles d'orientations différentes)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'anticlinal briovérien de la forêt de Quénécan et le synclinal paléozoïque (schistes ordoviciens) de Sainte-Brigitte font partie de ces plis. Les roches ont été transformées en schistes à andalousite par métamorphisme de contact lié au granite de Rostrenen. Ce métamorphisme se manifeste ainsi par la présence de gros cristaux de chiastolite (variété d'andalousite). Ces cristaux se présentent en prismes de section presque carrée. Les schistes à chiastolite ont été remarqués depuis longtemps sur leurs terres par la famille de Rohan qui les collectionne dans le château des Salles, appréciant leurs taches (en latin macula, « tache, macle ») mimant une croix (losange clair autour d'un centre charbonneux), d'où le nom de macles donnés à ces schistes (sans aucun rapport avec les macles cristallographiques. Leur beauté a incité [[Jean Ier de Rohan|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Rohan]] à les prendre pour emblème de la famille et faire figurer sept macles d'or sur le blason des Rohan; leurs descendants en ajoutent deux supplémentaires à partir du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Chauris">Modèle:Article</ref>.

Marc Gilbert de Varennes<ref>Marc Gilbert de Varennes (1591-1660), jésuite français</ref> a écrit en 1640 : « Vers le chasteau des Salles sont tous marquez de temps immémorial de ces figures de macles, et que ca esté de là que les premiers Barons de ces terres fort nobles ont chargé leurs armoiries ».

Des macles sont représentés en motifs décoratifs sur les murs du château des Rohan à Pontivy, y compris sur les descentes d'eau en granite<ref name="Chauris" />.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Sainte-Brigitte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Fichier:Ste brigitte openorthos.png
Carte orthophotographique de la commune de Sainte-Brigitte.

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). L'occupation des sols met en évidence la nette prédominance de la forêt sur les terres agricoles (67,4 % contre 31,5 %). La commune est en effet située dans le massif forestier de Quénécan. Par ailleurs les essences de feuillus sont prédominantes dans la forêt par rapport aux essences de conifères. Les terres agricoles ont conservé leur structure bocagère.

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Extraction de matériaux 0,1 % 1,7
Terres arables hors périmètres d'irrigation 0,9 % 15,3
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,3 % 4,7
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 20,0 % 352
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 11,2 % 197
Forêts de feuillus 47,4 % 833
Forêts de conifères 10,0 % 176
Forêts mélangées 10,0 % 176
Forêt et végétation arbustive en mutation 2,1 % 90
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Histoire

Moyen Âge

Sainte-Brigitte était autrefois une simple trève de la paroisse de Cléguérec.

Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Gouarec, un des trois membres de la vicomté de Rohan, « s'étendait sur treize paroisses ou trèves : Plouray, Mellionec, Plouguernével, Saint-Gilles, Gouarec, Plélauf, Lescouët, Penret ou Perret, Sainte-Brigitte, Silfiac, Cléguérec (partie nord), Saint-Aignan, Saint-Caradec, Trégomel. La résidence seigneuriale, dans cette châtellenie, était le château de Penret, aussi appelé le château des Salles<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en Sainte-Brigitte »<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le château des Salles de Rohan

Fichier:Sainte-Brigitte Château Rohan.jpg
Les ruines du château des Salles, qui appartint à la famille de Rohan, vers 1930 (carte postale).

Le château des Salles de Rohan, dit aussi Penret, ou encore Pen-Raithé<ref>http://www.infobretagne.com/sainte-brigitte.htm</ref>, situé dans la forêt de Quénécan, à la limite de Sainte-Brigitte et Perret, édifié initialement sur les ruines d’une motte féodale par un vicomte de Rohan, Modèle:Souverain3, en 1128, est reconstruit à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Modèle:Souverain3. Le terme « Salles » vient de l'ancien français et désigne un logis. Le château des Salles de Rohan appartient au réseau de forteresses des Rohan (Pontivy, Josselin, etc). Il contrôle un site connu très tôt pour la fabrication du fer : on voit encore, sur la plage de l’étang, des pierres cristallisées, les fameuses “macles” qui ornent le blason des Rohan<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Minerai et charbon de bois issus de la forêt de Quénécan alimentèrent le premier haut fourneau de Sainte-Brigitte créé dès 1440 par Modèle:Souverain3<ref name="Salles de Rohan">http://protestantsbretons.fr/avant-1800/les-salles-de-rohan/</ref>.

Époque moderne

Fichier:Coupe géologique région Gouarec.jpg
Coupe géologique de la région de Gouarec montrant notamment le minerai de fer (F. Kerforne, 1920).
Fichier:Cléguérec Cassini.jpg
Carte de Cassini de la paroisse de Cléguérec et de ses trèves de Sainte-Brigitte (Sainte-Brigide) et Saint-Aignan (1787).

La nouvelle forge des Salles de Rohan fondée en 1622 ou 1623 par le duc Modèle:Souverain3 permit le rassemblement à cet endroit d’une communauté d’une douzaine de familles huguenotes comprenant le premier adjudicataire des forges, Geoffroy de Fineman, sieur d’Angicourt, venu des Ardennes. Ceux-ci sont à l'origine de la communauté protestante locale<ref name="Salles de Rohan" />.

Après une décadence au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les forges redevinrent plus actives un peu avant la Révolution française et connurent leur apogée vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais déclinèrent à partir de 1870 pour fermer dès 1880. Modèle:Article détaillé

Révolution française

Sainte-Brigitte fut érigée en commune en 1790 et en paroisse en 1820.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Sainte-Brigitte en 1853 : Modèle:Citation bloc Selon les mêmes auteurs, au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'occupation des sols de la commune d'après le cadastre était la suivante : on comptait 1025 hectares de bois (58 % des terres), 313 ha de terres labourables (18 % des terres), 198 ha de landes et de friches (11 % des terres), 164 ha de prés et de pâturages (9 % des terres), 26 ha d'étangs (1,5 % des terres), 18 ha de vergers et jardins (1 % des terres), 6 ha de terrains bâtis (moins de 1 % des terres) pour une superficie totale de 1774 hectares et 52 ares <ref name="Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne" />.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Première Guerre mondiale

Fichier:Sainte-Brigitte monument aux morts.jpg
Monument aux morts de Sainte-Brigitte.

Le monument aux morts de Sainte-Brigitte porte les noms de 20 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; tous décédés sur le sol français. Parmi eux 3 s'appelaient Uzel, 2 Le Néchet et 2 Pensivy. Le premier à être tombé sur le champ d'honneur est Louis Auffret le 3 septembre 1914 à Louvercy<ref name="mgw 3970">https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=3970&dpt=56</ref>.

L'Entre-deux-guerres

Politique et administration

Fichier:Sainte-Brigitte mairie.jpg
Mairie de Sainte-Brigitte.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section Sainte-Brigitte a perdu 79 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 765 à 166 habitants entre ces deux dates. Pour la période 1851-1990 c'est la commune de Bretagne qui a perdu le plus d'habitants en valeur relative (82 % entre ces deux dates)<ref group=Note>Pour la période 1851-1999 c'est Loc-Envel qui est la commune bretonne ayant perdu le plus d'habitants en valeur relative.</ref>. Cette commune a conjugué plusieurs facteurs défavorables : situation au cœur de l'Argoat, altitude "élevée", agriculture pauvre, situation en limite départementale ; à cela s'est ajouté la fermeture en 1880 de la sidérurgie des Forges-de-la-Salle qui employait près de 400 salariés<ref>Jean Ollivro, "Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses Universitaires de Rennes, 2005, Modèle:ISBN.</ref>.

Lieux et monuments

  • Le village de Le Gouvello (Les Forges en français) et ses maisons en schiste bleu de Boduic. Il était jadis habité par des forgerons et il pourrait avoir été le siège d'une exploitation de minerai de fer par la famille de Rohan dès 1566, avant que l'activité ne se déplace et ne se développe aux Forges des Salles.
  • Le château des Salles dont il ne subsiste que des vestiges. Il est situé au bord de l'étang des Salles.
  • L'étang des Salles. Il est situé à cheval sur les communes de Sainte-Brigitte et Bon Repos sur Blavet. Il est alimenté par le ruisseau des Forges, un affluent du Blavet.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail