Plouray
Modèle:Infobox Commune de France
Plouray {{#ifeq:1|0|[pluʁɛ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Elle fait partie du Pays du Roi Morvan et culturellement du « Bro Pourlet » (pays de Guéméné). On y portait auparavant le costume aux mille boutons, nom donné surtout à la tenue des femmes.
Géographie
Situation
Plouray est une commune rurale du nord-ouest du département du Morbihan appartenant à la communauté de communes du Pays du Roi Morvan. Par ses traditions, elle appartient au Pays Pourlet et à la Basse-Bretagne. Le bourg de Plouray est excentré au nord-ouest de la commune. Il est situé à l'intersection des axes routiers Rostrenen-Le Faouët (départementale 790) et Gourin-Guémené-sur-Scorff (départementale 1) et à Modèle:Unité au sud-ouest de Rostrenen et à Modèle:Unité au nord-ouest de Pontivy.
Relief et hydrographie
La commune est bordée au nord et à l'ouest par la rivière Ellé. Des cours d'eau de taille plus modeste arrosent le territoire communal dont le ruisseau de Stanven, long de Modèle:Unité, un affluent de la rive gauche de l'Ellé. La commune est vallonnée et l'altitude varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité. Une ligne de crête séparant les bassins versants de l'Ellé et de l'Aër traverse la commune suivant un axe sud-ouest/nord-est. Elle culmine à Modèle:Unité d'altitude au voisinage du village de Kerroc'h. La commune a une superficie de Modèle:Unité dont Modèle:Unité de bois (taux de boisement de 12,5% contre 16,4 % pour le département du Morbihan) <ref>Gourin sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Plouray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 1,8 % | 69 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 19,5 % | 766 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 13,3 % | 521 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 42,3 % | 1660 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 4,4 % | 173 |
Forêts de feuillus | 13,6 % | 532 |
Forêts de conifères | 4,3 % | 166 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 1,0 % | 38 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
L'occupation des sols met en évidence la prédominance des territoires agricoles sur la forêt et les milieux semi-naturels ainsi qu'une faible urbanisation du territoire. Les territoires agricoles, qui occupent 79,5 % de la surface communale, ont conservé en grande partie leur structure bocagère. La forêt, qui occupe 17,9 % de la surface communale, est constituée majoritairement de feuillus.
Morphologie urbaine
On compte, en plus du bourg qui constitue l'agglomération principale, 132 lieu-dits ou écarts, le plus souvent constitués de deux ou trois maisons.
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Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plouray en 1427, en 1481 et en 1514 ; Plouzayen 1536<ref name="infobretagne">Modèle:Lien web.</ref>.
Plourae en breton<ref name="infobretagne"/>.
L’origine du nom de la commune est controversée. Si on se réfère à la forme la plus ancienne de son nom, Plouré, on associe plou désignant une paroisse à Ré, c'est-à-dire René, du nom de son ancien patron. Il fait d’ailleurs encore l’objet d’un culte dans l’église Saint-Yves. Cependant, si on retient la forme « Plou-Wroc », comme on la trouve parfois, on pense d’abord à Saint Guroc.
Histoire
Moyen Âge et Temps Modernes
Plouray ressortissait juridiquement de la sénéchaussée d' Hennebont et sur le plan religieux du doyenné de Guéméné avant la Révolution française.
Le fief de Plouray
Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Gouarec, un des trois membres de la vicomté de Rohan, « s'étendait sur treize paroisses ou trèves : Plouray, Mellionec, Plouguernével, Saint-Gilles, Gouarec, Plélauf, Lescouët, Penret ou Perret, Sainte-Brigitte, Silfiac, Cléguérec (partie nord), Saint-Aignan, Saint-Caradec, Trégomel. La résidence seigneuriale, dans cette châtellenie, était le château de Penret, aussi appelé le château des Salles<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en Sainte-Brigitte »<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le fief de Plouray, Mellionnec, et ses annexes de Plougernével et Saint Caradec-Trégomel formaient au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une enclave de la vicomté de Rohan entre la vicomté de Gourin à l'ouest et la seigneurie de Guéméné à l'est. Au début du XVIe siècle, la seigneurie de Plouray appartenait à Jean IV de Rieux d’où le nom qui lui était donné de terre du Maréchal de Rieux. En 1527, Louis IV sire de Guéméné en hérite à la suite de son mariage avec Louise de Rieux, fille du maréchal et désormais la seigneurie de Plouray fait partie intégrante de la seigneurie de Guéméné qui sera érigée en principauté en 1570<ref name=inventaire>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Maisons nobles et seigneuries
Une douzaine de manoirs existaient autrefois sur le territoire de Plouray : Restromar, Cornouët, Saint-Noay, Limerho, Kersoulou, Goulo, Guidfoss, Kerroc'h, Kergadelau, Kervéno, Cohinec et Stanguen. Les propriétaires de ces manoirs étaient des vassaux des seigneurs de Guémené. Les terres de Plouray étaient en effet des arrière-fiefs de cette seigneurie.
Les propriétaires du manoir de Restromar étaient les Le Trancher aux {{#switch: XVII
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}}. En 1540, il appartenait à Eustache Le Trancher. Jacques Le Trancher en rendit aveu en 1632 comme sire de Bodeno et Restromar. Il appartenait encore en 1766 à Françoise Le Trancher épouse de Charles de Robien. Les armes des Le Trancher étaient : d'or au croissant de gueules, accompagné de 3 étoiles de même.
Le manoir de Penguilly était une juveigneurie de celui du Dréorz en Priziac. Il appartenait en 1449 à Alain le Scanff qui rendait aveu à Charles Le Scanff, sieur du Dréorz. Les armes des Le Scanff étaient : d'azur à trois glands d'or, les coques d'argent.
Le manoir de Saint-Noay appartenait en 1526 à Jean de Saint-Noay et Catherine de Loes. Plus tard, en 1634, un autre Jean de Saint-Noay, dans un aveu au prince de Guémené, déclare qu'il existe dans la maîtresse vitre de l'église de Plouray, deux écussons qui sont d'argent à deux sangliers de sable, et deux grandes tombes à fleur de terre armoyées du dit sanglier en bosse, dans le chœur, du côté de l'évangile.
Les propriétaires du manoir de Guidfoss étaient, aux {{#switch: XVII
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}}, les Toulbodou, une famille originaire du manoir éponyme en la paroisse de Locmalo. C'est après avoir quitté son manoir de Guidfoss en Plouray pour une partie de chasse que l'un des membres de cette famille, Jehan de Toulbodou, fut surpris par un violent orage dans la vallée de l'Ellé près du Faouët. Craignant pour sa vie, il invoquera le secours de sainte Barbe. Ayant eu la vie sauve, il fera édifier avec le concours de Jean de Bouteville, baron du Faouët, une chapelle en l'honneur de sa protectrice à cet endroit. Les armes des Tolbodou étaient : d'or semé de feuilles de houx de sinople<ref>"Les arrières-fiefs de la seigneurie de Guémené par M.L.Galles", bulletin de la société polymathique du Morbihan,2e semestre 1867</ref>.
Révolution Française
Comme dans les paroisses voisines, les jeunes hommes de Plouray s'opposent à la levée en masse et les prêtres assermentés sont mal acceptés par les paroissiens. Le 5 juillet 1795, le maire de Plouray, Joseph-Jean Guillaume, est arrêté à Saint-Guénin par les chouans sous le prétexte d'un incident lié à une procession autour de la chapelle mais en réalité parce qu'il a dénoncé des prêtres réfractaires. Il est fusillé dans le bois de Kerminisy, comme Jean Salvar, officier municipal, malgré sa proposition de remettre aux chouans 10 000 livres<ref name="ref_auto_1">revue Mein ha Tud n°20, mars 2005, un crime à la sortie du presbytère, Jean-Pierre Royant</ref>.
Le 6 ami 1798, le greffier de la mairie de Plouray, Joseph le Guilloux<ref group=Note>Joseph Le Guilloux est né le Modèle:Date- à Quistinic. Ses parents étaient meuniers et lui-même l'était aussi.</ref>, surnommé Huitelic (c'hwitellat, siffler en breton) en raison de sa manie de siffloter, est assassiné par un groupe de 18 chouans commandé par Debar en plein bourg. Ces derniers s'étaient vêtus d'uniformes des bleus pour se faire passer pour des soldats républicains. Joseph Le Guilloux se méprend en les voyant et les salue d'un vibrant : Vive la république ! Ces derniers le saisisse à bras le corps et le traîne quelques dizaines de mètres plus loin. Il est exécuté à coup de baïonnettes et achevé de trois coups de fusils. Cinq chouans se rendent ensuite à son domicile pour le piller. Les chouans lui reprochaient d'avoir trahi son camp. En effet, après s'être battu jusque-là dans les rangs des chouans, il quitte ces derniers le 15 septembre 1795 et dépose au district du Faouët 1 fusil, 63 balles, 1 pistolet et 1200 livres en numéraire collectés chez les chouans; ce geste lui vaut les félicitations des membres du directoire. Par la suite il participe à la traque des prêtres réfractaires, sa parfaite connaissance du milieu chouan lui étant d'une aide précieuse<ref name="ref_auto_1" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Une épidémie de variole fit 87 malades (dont 42 moururent) à Plouray entre 1865 et 1870<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
Lors des élections législatives de 1906, le clergé local fit pression sur les électeurs, refusant l'absolution aux hommes et même aux femmes dont les maris ne voteraient pas bien, c'est-à-dire en faveur de Guy de Salvaing de Boissieu, lequel fut d'ailleurs réélu député<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouray porte les noms de 88 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; ; parmi eux 10 sont morts en Belgique, dont 4 (Joseph Marie Courtai, François Marie Henri, Louis Marie Le Roux, Louis Pierre Marie Royant) à Maissin le Modèle:Date. Il s'agit des quatre premiers à être tombé sur le champ d'honneur<ref name="mgw 16733">Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
La principale industrie présente sur la commune est une usine de découpe de volaille (Doux).
Voir aussi Économie à Roi Morvan Communauté
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments préhistoriques
- Le dolmen de Guidfosse se trouve sur un endroit élevé d'une forêt limitrophe.
- Le menhir christianisé du village de Rosterch.
Édifices religieux
Église Saint-Yves de Plouray
Chapelle Saint Guénin
Elle est située en un lieu isolée au sud du bourg de Plouray et à proximité de la route départementale 790. La chapelle fut construite en 1658 par le recteur Yvonnic et en partie restaurée en 1966. Sa particularité se trouve à l'intérieur, puisque sa tribune est soutenue par des colonnes de granite. On peut également y admirer une huile sur toile aux dimensions imposantes représentant Saint Guénin intercesseur des mères auprès de la Vierge.
Chapelle Sainte-Hélène et Sainte-Ursule
Elle est située dans le village de la Villeneuve Runello.
Manoirs
Le manoir de Penguilly
Situé à Modèle:Unité au nord-ouest du bourg de Plouray, c'est une construction homogène du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il est la propriété successive des familles Le Scanff, Le Grant, Bahuno, Boutiez. Le logis est constitué de deux corps accolés à un étage carré. Chaque corps est desservi par un escalier. Il possède des fenêtres à meneaux, une porte en anse de panier et un pigeonnier à une rangée de boulins sous la corniche du corps est<ref name=inventaire/>.
Le manoir de Restromar ou de Restermarch
Situé à Modèle:Unité à l'est du bourg, ce manoir est une construction de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il possède une porte à arc brisé ainsi qu'un appui de fenêtre à godrons permettant de le dater de cette époque. Propriété de la famille Le Trancher du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, leurs armes figurent sur le linteau de la cheminée de l'étage<ref name=inventaire/>.
Les autres manoirs
- Le manoir de Guidfosse. Le manoir a été incendié en 1944. La chapelle a disparu et le mur d'enceinte et le portail sont écroulés. Seuls les communs subsistent<ref name=inventaire/>.
- Le manoir de Kervéno. Il appartenait en 1514 à Geoffroy de Kerancourhin<ref name=inventaire/>.
- Le manoir de Stanven. Il appartenait en 1528 et en 1541 à Jean de Saint Noay<ref name=inventaire/>.
Divers
- Un peu en retrait de l'agglomération se trouve à l'emplacement d'une ancienne ferme, une communauté religieuse du bouddhisme tibétain ouverte à tous <ref>voir Site de Drukpa Plouray</ref>. Lors de sa visite en France en Modèle:Date-, le Dalai Lama a visité la congrégation Pel Drukpay Tcheutsok à Plouray le Modèle:Date-, siège du Gyalwang Drukpa en Europe<ref>Drukpa Plouray</ref>,<ref>Programme de la visite de Sa Sainteté le Dalaï Lama en France</ref>.
- Le chêne creux du village de Rosterch est considéré comme un arbre remarquable. Son âge est estimé entre 300 et 500 ans.
Patrimoine naturel
L’ouest de la commune, en direction de Tregornan et de la Trinité fait partie du Site Natura 2000 Rivière Ellé, FR5300006<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- Roque Carrion, Commandant Icare dans la Résistance.
- Dominique Carlac'h, athlète spécialiste du 400 mètres, et dirigeante d'entreprise.