Saint-Aignan (Morbihan)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Aignan {{#ifeq:1|0|[sɛ̃tɛɲɑ̃]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Géographie
Localisation
Saint-Aignan se situe à la limite des départements du Morbihan et des Côtes-d'Armor.
La commune est entourée par (dans le sens des aiguilles d’une montre) : Saint-Gelven, Caurel, Mûr-de-Bretagne, Neulliac, Cléguérec et Sainte-Brigitte. Les trois premiers sont en Côtes-d'Armor et les trois suivants en Morbihan.
Modèle:Communes limitrophes La forêt de Quénécan recouvre une bonne partie du territoire communal. Modèle:Article détaillé
Relief
Le point le plus haut est la butte de Malvran située au nord-ouest de la commune et culminant à Modèle:Nobr<ref group=Note>Selon l’échelle, les cartes IGN indique 254 ou Modèle:Nobr.</ref>. Le point le plus bas se trouve à environ Modèle:Nobr au niveau de l’écluse de Boloré. Modèle:Images
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La Pointe de Castel Finans lors de l'assec de 2015.
Géologie
Hydrographie
La commune se trouve le long du Blavet en aval du barrage de Guerlédan et de son lac.
Le lac constitue la limite nord de la commune. Le lac se trouve sur le cours du Blavet qui forme la limite est de la commune. Il est doublé par le Canal de Nantes à Brest sur la commune de Mûr-de-Bretagne. Le ruisseau du Corboulo se jette dans le Blavet au lieu-dit du Corboulo.
L’écluse de Boloré et sa centrale électrique marque la sortie du Blavet vers Cléguérec<ref>Modèle:Glad.</ref>.
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Barrage de Guerlédan, entre Mûr, Saint-Aignan et Caurel. Le Blavet canalisé à la sortie du barrage (carte postale, vers 1930).
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Barrage de Guerlédan, entre Mûr et Caurel. Chemin pittoresque longeant le canal et conduisant au barrage (carte postale, vers 1930).
Voies de communication et transports
Saint-Aignan se trouve au sud de la route nationale 164. Le bourg est traversé par les routes départementales 18, 31 et 35.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Aignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 1,1 % | 30 |
Terres arables hors irrigation | 19,7 % | 543 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 6,9 % | 189 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 32,5 % | 896 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 1,1 % | 30 |
Forêts de feuillus | 18,3 % | 504 |
Forêts de conifères | 6,0 % | 166 |
Forêts mélangées | 11,0 % | 302 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 3,5 % | 96 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
Toponymie
Modèle:Langue en breton<ref name=Ofis> Modèle:Lien web.</ref>,<ref> Modèle:Lien web.</ref> est attesté sous les formes Ecclesia Santi Inanni en 1184<ref>dans les archives du duché de Rohan-Chabot</ref>, 1194 et 1221, Sant Iuan en 1630, Sant Inan en 1654<ref name=Ofis/>.
Le saint inconnu (Modèle:Langue) à l'origine du nom de la paroisse a été francisé par l'église catholique et remplacé par un saint connu du catalogue romain : saint Aignan<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
Préhistoire
Un camp protohistorique de type éperon barré a existé dans la rive convexe très pentue du méandre du Blavet à Castel-Finans.
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Le camp protohistorique du Castel-Finans : vue générale.
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Le camp protohistorique du Castel-Finans : détail.
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Le camp protohistorique du Castel-Finans : détail.
Selon François-Marie Cayot Délandre, qui écrit en 1847, « la tradition disait que Finans, haut et puissant seigneur du pays, avait son château sur cette montagne et que, par l'intermédiaire de saint Gildas, il obtint en mariage une jeune princesse d'une grande beauté, nommée Trifine (sainte Triphine). Peu après l'avoir épousée, il forma le projet de l'assassiner. Trifine, soupçonnant son dessein, prit la fuite sur un cheval auquel elle avait fait placer des fers à rebours pour mieux tromper les recherches. Finans parvint pourtant à l'atteindre et la tua. Le père de Trifine, désespéré de cette mort, se rendit auprès de saint Gildas pour lui adresser des reproches. Le saint ressucita Trifine et, pour punir son abominable mari, il se rendit sur une montagne située de l'autre côté du Blavet, et là, saisissant une poignée de terre, il la lança de toutes sa force sur le château, qui s'écroula aussitôt et écrasa Finans et tout son monde »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Cette légende ne fait que reprendre celle de Conomor et la légende de Sainte-Tréphine, à qui est substitué ici Finans, en transposant l'histoire à cet endroit. En fait rien n'indique qu'il y ait eu à cet endroit un château, par contre un éperon barré y est probable. Il s'y trouvait un retranchement dont les parapets, construits en pierres brutes, sont de nos jours écroulés, formant encore une imposante ceinture de pierre.
Moyen Âge
La motte castrale du Corboulo, qui surplombe la vallée du Blavet, daterait, selon une datation au carbone 14, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (époque carolingienne ; le site pourrait être associé au roi Morvan car le site est dénommé traditionnellement en breton Motten Morvan), mais le site aurait abandonné avant l'an mil. Le site aurait été réoccupé ensuite et fortifié, probablement à la demande du vicomte Alain II de Rohan vers 1150 durant la crise de succession à la couronne ducale ouverte par la mort de Conan III en 1148, face à Henry Plantagenêt<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les premières mentions de la paroisse sont liées à l’abbaye Notre-Dame de Bon-Repos<ref>Page Histoire du site officiel de la commune</ref>.
Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Gouarec, un des trois membres de la vicomté de Rohan, « s'étendait sur treize paroisses ou trèves : Plouray, Mellionec, Plouguernével, Saint-Gilles, Gouarec, Plélauf, Lescouët, Penret ou Perret, Sainte-Brigitte, Silfiac, Cléguérec (partie nord), Saint-Aignan, Saint-Caradec, Trégomel. La résidence seigneuriale, dans cette châtellenie, était le château de Penret, aussi appelé le château des Salles<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en Sainte-Brigitte »<ref>Modèle:Article.</ref>.
Temps modernes
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Aignan en 1845 : Modèle:Citation bloc
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
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La rue centrale de Saint-Aignan vers 1910 (carte postale).
Le bourg de Saint-Aignan est décrit en 1913 comme étant « perdu sur la lisière de la forêt où il forme une sorte de cul-de-sac. Mais son église, d'aspect chétif, minable même, mérite une mention. La nef a été entièrement restaurée ; on a consrvé le portail méridioan avec ses contreforts : il porte la date de 1558. On y remarque un écusson soutenu par un ange et portant des armoiries. Une vieille pierre a été encastrée dans le soubassement du clocher : des macles et divers signes héraldiques y ont été dessinés. Mais ce qui doit retenir le plus notre attention, ce sont les retables que nous offrant les deux transepts. Celui de gauche représente un Arbre de Jessé (....). Celui de droite, en bois également, figure la Trinité, avec les quatre Évangélistes en médaillon (...) »<ref>Modèle:Article.</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Aignan porte les noms de Modèle:Nobr morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 4 sont morts sur le front belge, dont 3 (Mathurin Guillou, Joseph Jégo et Joseph Le Ralle) dès le Modèle:Date- à Maissin et Pierre Ruban à Langemarck le Modèle:Date- ; 2 (Mathurin Corniquel et Jean Jouan) sont morts dans l'actuelle Macédoine du Nord et Mathurin Le Fresne en Grèce, tous les trois en 1916 dans le cadre de l'expédition de Salonique ; Jean Le Ralle est mort en captivité en Allemagne ; les autres sont morts sur le sol français, dont Pierre Le Gallo, décoré de la Légion d'honneur et Joseph Bernard, décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>.
L'Entre-deux-guerres
La construction du barrage de Guerlédan entre 1925 et 1929 modifie les paysages et les activités de Saint-Aignan.
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L'église paroissiale et la recette buraliste vers 1920 (carte postale).
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Station Hydro-Électrique de Guerlédan. -Vue générale. - État actuel des Travaux de Barrage (1925).
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Barrage de Guerlédan, entre Mûr, Saint-Aignan et Caurel. Le Blavet canalisé à la sortie du barrage (carte postale, vers 1930).
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Le barrage de Guerlédan et l'usine hydroélectrique vus depuis la pointe de Sainte-Tréphine.
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Le lac de Guerlédan vu depuis Saint-Aignan vers 1935.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Aignan porte les noms de Modèle:Nobr mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles deux (Albert Le Mouellic et Jean Le Ralle) sont des soldats morts au printemps 1940 lors de la Bataille de France ; Julien Servel, quartier-maître à bord du contre-torpilleur Le Malin , est mort des suites de ses blessures lors de l'attaque américaine de Casablanca (Maroc) en novembre 1942 dans le cadre de l'opération Torch<ref name=":0"/>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2009, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
En 2008, la commune de Saint-Aignan comptait Modèle:Nobr<ref> Modèle:Lien web.</ref> dont Modèle:Nobr salariés. Le nombre de demandeurs d’emploi (catégories ABC) au Modèle:Date était de 31<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
L’économie de la commune est essentiellement tournée vers le tourisme. On trouve de nombreux gites ainsi que deux restaurants et une épicerie<ref>Page Restauration sur le site officiel de la commune.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte trois monuments historiques :
- le camp protohistorique du Castel-Finans, classé en 1971<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> situé sur un éperon barré au-dessus du Blavet et dont il ne reste que des traces ; selon la légende, dont la véracité est douteuse, Conomor (dénommé ici Finans), époux de sainte Triphine, y aurait vécu<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- le site archéologique du Corboulo, dit Motten-Morvan, inscrit en 1995<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>. L’ensemble médiéval fortifié qui occupe un éperon dominant la vallée du Blavet est constitué d’une motte féodale de Modèle:Nobr de circonférence à sa base et d’une basse-cour en fer à cheval délimitée par une levée de terre précédée d’un fossé sec. La motte tronconique de Modèle:Nobr de haut est protégée par un fossé à l’est et à l’ouest. Des fouilles au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont mis au jour les fondations d’un donjon sur la plateforme sommitale<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Selon la tradition, évoquée par Louis Rosenzweig, le lieu aurait été habité par des Templiers<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, mais cela est douteux car, selon Joseph-Marie Le Mené, les restes de fortifications sont antérieures à leur époque<ref name=":1" />.
- la ferme du Corboulo, inscrite en 1987<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
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La ferme du Corboulo.
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La ferme du Corboulo.
Ainsi que vingt-trois monuments inventoriés :
- l'église Saint-Aignan, sous l'invocation de saint Aignan, remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ; elle contient quatre objets classés monuments historiques (une Vierge de Pitié<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>, un Arbre de Jessé<ref>Modèle:Base POP Palissy</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et deux retables<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>,<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>), dont celui de la Trinité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'église a été restaurée en 1894.
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L'église paroissiale de Saint-Aignan vers 1930 (carte postale).
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Église Saint-Aignan : chevet et flanc nord.
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Armes timbrant le pignon méridional du porche Sud.
- Église paroissiale Saint-Aignan : l'Arbre de Jessé
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Vue d'ensemble.
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Vue partielle (Ève).
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Vue partielle (Asa).
- des chapelles :
- la chapelle Saint-Marc de 1689 dans la forêt de Quénécan<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- la chapelle Saint Ignace du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> et son mobilier (autel, retable, et trois statues<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>) ;
- la chapelle Sainte-Tréphine construite en 1897 sur le site du camp de Castel-Finans<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- Chapelle Sainte-Tréphine
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Chapelle Sainte-Tréphine : vue estérieure d'ensemble.
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La façade.
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Le clocher.
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Le tabernacle.
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Statues de sainte Tréphine et saint Trémeur.
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Vitrail de sainte Tréphine et saint Trémeur.
- Manoir de Bot Pléven (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Base POP Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- des fermes, des maisons du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
}}<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>Modèle:Etc.
On y trouve sept croix<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> :
- une croix de cimetière de 1718<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin de 1749 au Bot Nohen<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin de 1753 au Botcol<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin de 1760 au Pléguélen<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Goasnejon<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin de 1826 au Touldren<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> ;
- une croix de chemin de 1826 au Corboulo<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
Patrimoine naturel
La commune se trouve le long du lac artificiel de Guerlédan et son barrage. Située le long du GR341, l’anse de Sordan est le point d’accès le plus facile de la rive sud du lac.
Au niveau des zones protégées, on trouve deux zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) sur le territoire de la commune :
- la forêt de Quénécan (Modèle:Unité, no 530005961<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>)
- le Blavet aval de Guerlédan (Modèle:Unité, no 530015507<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>)
On trouve aussi le bois du Pouldu le long du lac et ceux de Toul er Roc’h et de Brons de part et d’autre du ruisseau du Corboulo (affluent du Blavet).
Saint-Aignan est une station verte<ref>Fiche Station Verte de Saint-Aignan</ref>.
Légende
- La légende de sainte Tréphine :
Modèle:Citation bloc Castel-Finans ne fut peut-être jamais un château ; tout au plus les quelques pierres qui le surmontent ont-elles servi à former des retranchements (il pourrait s'agir des restes du camp ou château de Conomor, le seigneur concerné par cette légende). Le site a été modifié depuis que ce texte a été écrit par la construction de la chapelle Sainte-Tréphine en 1897.
Héraldique
Ce blason est identique à celui de la commune homonyme de Saint-Aignan-Grandlieu en Loire-Atlantique<ref name="Froger"/>.