Mûr-de-Bretagne
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ancienne commune de France
Mûr-de-Bretagne ({{#ifeq:1|0|[myʁ də bʁətaɲ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}) est une ancienne commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Cette commune a fusionné au Modèle:Date- avec la commune de Saint-Guen pour devenir la commune de Guerlédan<ref>Commune nouvelle. Feu vert pour le nom "Guerlédan", Le Télégramme, 4 novembre 2016</ref>.
Géographie
Situation
Située en Argoat, Mûr-de-Bretagne est une petite ville avec des commerces, située à l’est du lac de Guerlédan. L'axe central breton (RN 164) passe au nord du village.
Géologie
Les schistes noirs ardoisiers ((« schistes à Modèle:Lien » des auteurs anciens) datant de l'ordovicien moyen (-470 et -453 millions d’années) ont été exploités en particulier à Saint-Gelven, Caurel et Mûr-de-Bretagne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. En 1884 Alphonse Debauve écrit que les carrières de Saint-Gelven fournissent alors environ 5 millions d'ardoises par an et celles de Mûr-de-Bretagne et Caurel environ 3 millions<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Mur en 1280, parrochia de Mur en 1283 et en 1284<ref name=infobretagne>Modèle:Lien web</ref>, Mur vers 1330, Mur en 1516, Mur en 1536, Meur en 1630<ref>Modèle:Lien web</ref>, Mur en 1793, Mûr en 1861, Mur-de-Bretagne en 1856 et enfin Mûr-de-Bretagne à partir de 1957 (décret du Modèle:Date-)<ref name=infobretagne/>.
Le sens de mur est ici « muraille qui ceint une ville ou une place forte »<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, Librairie Droz, Genève 1991, page 1474.</ref> .
Le nom de la commune en breton est Modèle:Lang<ref name=Ofis>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Préhistoire
Une allée couverte se trouve à Coët-Correc ; elle a été surmontée vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par un calvaire en pierre sèche, construit par le propriétaire du terrain, et qui a été démantelé lors des fouilles archéologiques menées en 1984-1985<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Mûr-de-Bretagne : l'ancien calvaire en pierre sèche désormais disparu de Coët-Correc qui se trouvait au-dessus de l'allée couverte.
Moyen-Âge
Mûr-de-Bretagne est un démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Neulliac. La paroisse de Mûr est citée pour la première fois en 1368 comme bénéfice du diocèse de Quimper.
Selon un aveu de 1471, Mûr était au sein de la vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan<ref>Modèle:Article.</ref>.
Jean-Baptiste Ogée écrit que « la seigneurie de Mur est très ancienne », qu'elle « appartint d'abord aux comtes de Cornouaille », que ceux qui détenaient cette seigneurie étaient aussi « sires de Corlai » et étaient ordinairement connus sous le nom de comtes de Launay-Mur ; par exemple « Christophe de Launay (né vers 1230), fils puîné de Garcin de Mur<ref group="Note">Garcin de Mûr, né en 1200, décédé en 1257, comte de Launay-Mûr, juveigneur de Rohan, seigneur de Mur et de Corlay. </ref> et de Beatrix de Rostrenen, épousa Louise (née vers 1235 à Plumaugat), fille de Thibaud [Thibault] de la Rivière<ref group=Note>Thibault de la Rivière, né vers 1195, décédé vers 1256, chevalier, seigneur de Kersaudy, de la Rivière et d'Auverné.</ref>, issu d'une famille située en la paroisse d'Auverné, diocèse de Nantes », que « son fils Geoffroi [Geffroy] prit le nom de la Rivière, que ses descendants ont toujours porté depuis », que parmi leurs descendants on trouve des hommes illustres comme Jean de La Rivière<ref group=Note>Jean de La Rivière assista en 1450 à l'hommage que rendit le duc Pierre II au roi Charles VII. Il prit part aussi, en qualité de chancelier, aux États généraux tenus à Vannes en 1451 et en 1455 et fut en 1457 capitaine de Saint-Aubin-du-Cormier.</ref>, chancelier de Bretagne en 1450 du duc Pierre II de Bretagne), Robert de La Rivière qui fut évêque de Rennes en 1457, et que les seigneurs de La Rivière étaient sergents féodés du duché de Bretagne<ref name=ogee550>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Temps modernes
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Deux moulins appartenant à la famille de Rohan existaient à Poullibet [Poulhibet], l'un pour le blé noir, l'autre pour le seigle, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Minoterie de Poullibet (Mûr-de-Bretagne fusionnée en Guerlédan en 2017)">Modèle:Lien web.</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En 1646, à Mûr-de-Bretagne, selon Julien Maunoir, même les notables « ignoraient (...) les noms des trois personnes divines », Père, Fils et Saint-Esprit<ref>Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, Modèle:ISBN</ref>.
En 1667, Yves-Olivier de la Rivière fut nommé gouverneur de Saint-Brieuc et, après lui, son fils aîné, Charles-Yves de la Rivière ; par lettres patentes en date de 1696, confirmées en date du Modèle:Date- la seigneurie de Plœuc fut érigée en comté au profit d'Yves-Olivier de la Rivière. Un comte de la Rivière fut en 1757 capitaine-lieutenant des Mousquetaires Noirs<ref name=ogee550/>.
Mûr au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Mur en 1778 : Modèle:Citation bloc
Le château de Launay-Mur : la semi-légende de Gwengrézangor
Le seigneur de Gwenguézangor, châtelain de Launay-Mûr, avait l'habitude de piller et détrousser les passants sans honte ni scrupule. Pensant que son épouse entretenait une relation amoureuse avec l'un de ses hommes d'armes, il fit emmurer vivant celui-ci dans une cheminée et enfermer son épouse dans une barrique toute garnie de clous à l'intérieur, qu'il fit jeter par-dessus les remparts dans un étang.
Jérôme-Marie Calvary-Tylan, propriétaire du château et maire de Mûr, trouva dans une cheminée murée les restes d'un homme en armes avec sa cuirasse, son casque et son épée, mais les ossements tombèrent en poussière au contact de l'air. Dans la décennie 1830, un paysan aurait trouvé un trésor non loin du château, et il se pourrait que ce soit le chevalier amoureux qui l'ait caché, lorsqu'il préparait sa fuite avec l'épouse du châtelain : cela donne une certaine véracité à cette légende<ref>Modèle:Article.</ref>.
Les ardoisières
Certaines « perrières » (ardoisières) existaient déjà, entre Gouarec et Mûr-de-Bretagne sur les rives du Blavet, exploitées depuis au moins le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle comme le prouve un aveu de 1571 de la seigneurie de La Roche Guéhennec.
Elles furent très actives entre le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, faisant vivre plusieurs centaines de familles. La Première Guerre mondiale et la mise en eau du barrage de Guerlédan précipitèrent leur déclin<ref>Jacques Garreau, Bernard Tanguy et Yves-Pascal Castel, "Bretagne intérieure", éditions Privat, 1995, Modèle:Isbn</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Mûr est concerné par la construction du Canal de Nantes à Brest (Blavet canalisé) entre 1822 et 1842 ; le Blavet à cet endroit est à la limite ouest de la commune, plusieurs écluses (dont l'écluse n° 119, dite écluse de Trévejean<ref>Modèle:Lien web.</ref> et l"écluse du Poulhibet) s'y trouvent ou sont sur le canal lui-même dont le tracé est parallèle et proche du cours naturel du Blavet, mais totalement sur le territoire communal.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Mur en 1845 : Modèle:Citation bloc
Selon Joachim Gaultier du Mottay, en 1862, Mûr possède une école de garçons accueillant 104 élèves et une école de filles recevant 75 élèves ; dans la commune se trouve aussi « l'établissement rural de Kermur, créé pour l'exploitation de 160 hectares de landes au milieu desquelles il est construit, dans la situation la plus pittoresque, sur le coteau qui forme le versant de la butte si élevée de Menez-Niez ». Il précise aussi que l'extraction des ardoises occupe alors plus de 70 ouvriers et qu'« il est à regretter que les carrières qui les produisent ne soient pas exploitées avec plus de soin et de méthode [car] elles sont d'excellente qualité et passent pour ne pas oxyder les clous qui les fixent sur les couvertures » Il ajoute que l'on vient de construire un embarcadère à Penerpont, sur le canal de Nantes à Brest<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1870 la famille Le Pottier achète les deux moulins de Poullibet, qui furent remplacés entre 1900 et 1905 par une minoterie à cylindres, puis, après a construction du barrage de Guerlédan, par une turbine hydraulique. La minoterie, toujours en activité, a été rachetée en 2011 par la société "Grands Moulins de Paris"<ref name="Minoterie de Poullibet (Mûr-de-Bretagne fusionnée en Guerlédan en 2017)" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
Gustave Geffroy décrit ainsi Mûr-de-Bretagne au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : « Mur de Bretagne (...) se hisse sur un plateau entouré de chênes et de châtaigniers et forme deux parties, dont l’une, la plus haute, est Sainte-Suzanne. Les maisons sont groupées en désordre autour d’une place où se trouve une halle »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1902 une épidémie de fièvre typhoïde survnit dans les communes de Mûr-de-Bretagne, Caurel, Saint-Caradec, Saint-Gilles-Vieux-Marché et Saint-Guen<ref>Modèle:Article.</ref>.
La commune a été desservie par le passé par la ligne ferroviaire de Carhaix à Loudéac à voie métrique du Réseau breton, ouverte en partie en 1898 (mais la section entre Rostrenen et Loudéac ne fut mise en exploitation que le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>) et fermée en 1967 (désormais reconvertie en voie verte).
En 1913 à Mur-de-Bretagne les écoles de garçons accueillaient 63 élèves pour l'école communale et 129 pour l'école privée, celles de filles 31 élèves pour l'école communale et 132 pour l'école privée<ref>Modèle:Article.</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Mûr-de-Bretagne porte les noms de 131 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref name="MémorialGenWeb Relevé">Modèle:Lien web</ref>.
L'Entre-deux-guerres
La construction entre 1923 et 1930 du barrage de Guerlédan a interrompu la navigation sur le Blavet canalisé (aussi tronçon du canal de Nantes à Brest), mais aussi entraîné la création du lac de Guerlédan (l'écluse n° 120, dite du Moulin Neuf<ref>Modèle:Lien web.</ref> a été engloutie sous les eaux du lac de Guerlédan en 1929 ; elle se trouvait au niveau des assises même du barrage ; en tout 17 écluses ont été englouties sous les eaux du lac). Ce barrage a permis la construction d'une usine hydroélectrique mise en service en 1930. Les eaux turbinées par la centrale hydroélectrique aboutissent dans un premier bassin formé derrière le "petit barrage de Guerlédan" situé à 650 m en aval du barrage, lequel permet de contrôler la variation du débit en aval et de contrôler les crues<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article détaillé Modèle:Article détaillé
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Mûr-de-Bretagne porte les noms de 19 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale<ref name="MémorialGenWeb Relevé" />.
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat originaire de Mûr-de-Bretagne est mort durant la guerre d'Indochine et un pendant la guerre d'Algérie<ref name="MémorialGenWeb Relevé" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La création de la nouvelle commune : Guerlédan
La commune nouvelle de Guerlédan est créée par la fusion, le Modèle:Date-, des communes de Mûr-de-Bretagne et Saint-Guen. Modèle:Article détaillé
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Liste des maires délégués
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Section démographie d'article de commune de France
Culture locale et patrimoine
Monuments
- La chapelle Sainte-Suzanne est classée aux monuments historiques depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Mérimée</ref>. Elle est entourée de chênes séculaires peints vers 1840-1850 par Camille Corot<ref>Modèle:Joconde</ref>.
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Camille Corot : Le portail de l'enclos, chapelle Sainte-Suzanne à Mûr-de-Bretagne, vers 1840 (huile sur toile, Musée du Louvre).
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Chapelle Sainte-Suzanne : vue extérieure d'ensemble et le monument aux morts.
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Le clocher de la chapelle Sainte-Suzanne.
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Inscription au chevet de la chapelle Sainte-Suzanne.
- Église paroissiale Saint-Pierre : à l'intérieur, autels et chaires sculptés par un artiste local. Sur la chaire, les panneaux sculptés représentent les sept péchés capitaux.
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Le clocher de l'église paroissiale Saint-Pierre vers 1920 (carte postale Émile Hamonic)
- L'allée couverte de Coët Correc, classée au titre des monuments historiques le Modèle:Date<ref>Modèle:Mérimée</ref>.
- château de La Roche-Guéhennec.
Sites naturels
- Barrage
- Lac de Guerlédan.
- Base de plein air et de loisirs de Guerlédan.
- La vallée du Blavet et ses écluses : entre le barrage et Saint-Samson, elles sont situées sur le canal latéral au Blavet, par exemple l'écluse de Trévejean<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; plus en aval, entre Saint-Samson et Pontivy, elles se trouvent sur le Blavet lui-même.
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L'écluse n°119, dite de Trévejean (photographie J. Duclos, vers 1890).
Tradition
Quand un enfant tardait à marcher seul, on lui faisait mettre un pied devant l'autre sur la tombe d'un ancien recteur de la paroisse, messire Oliman de Kernéguez (mort en 1720 en odeur de sainteté), et on lui frottait les reins avec une poignée de terre prise contre la tombe<ref>Yann Brékilien, "La vie quotidienne des paysans bretons au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle", Librairie Hachette, 1966.</ref>
Sports
Cyclisme
- Le critérium de Mûr-de-Bretagne, une ancienne course cycliste réservée aux coureurs professionnels, disputée de 1961 à 1969<ref>Critérium de Mûr-de-Bretagne sur siteducyclisme</ref>.
La côte du Menez Hiez, ou côte de Mûr, se trouve sur la route départementale 767, à la sortie nord de Mûr-de-Bretagne. Longue de Modèle:Unité, elle monte à 6,8 %, avec des passages à 15 %<ref name=france3>« La Modèle:8e étape Rennes-Mûr-de-Bretagne vue par Jean-Paul Ollivier et Bernard Hinault », sur france3-regions.francetvinfo.fr, 10 juillet 2015 (consulté le 21 septembre 2016).</ref>. Escaladée une première fois en 1938, elle devient célèbre en 1947, lors de la Modèle:19e du premier Tour de France de l'après-guerre <ref>Evanno, Yves-Marie, « Mûr-de-Bretagne et le Tour de France : une passion récente », Bretagne Culture Diversité, consulté le 2 mai 2021.</ref>. Ce contre-la-montre Vannes-Saint-Brieuc — Modèle:Unité, le plus long de l'histoire du Tour<ref name=lagrandeboucle>« Étape 19 : Vannes-Saint-Brieuc (C.L.M.) », sur lagrandeboucle.com, 2016 (consulté le 21 septembre 2016).</ref> — est marqué par un coup de théâtre : le maillot jaune et favori du Tour, Vietto, connaît une terrible défaillance dans la côte de Mûr<ref>« Arrivée d'étape à Mûr de Bretagne », sur adalea.fr (consulté le 21 septembre 2016).</ref>. Il termine à Modèle:Nobr d'Impanis, le vainqueur de l'étape<ref name=lagrandeboucle/>. Robic finit brillant deuxième, et se hisse de la cinquième à la troisième place du classement général, à Modèle:Nobr du nouveau maillot jaune Brambilla<ref>« Classement des étapes du Tour de France 1947 », sur ledicodutour.com (consulté le 21 septembre 2016).</ref>. Il reste deux étapes, et c'est Robic qui remporte finalement le Tour.
Le Tour grimpe encore la côte de Mûr en 2004 et en 2006<ref name=france3/>. Mûr-de-Bretagne est la ville d'arrivée de la [[4e étape du Tour de France 2011|Modèle:4e du Tour de France 2011]] et de la [[8e étape du Tour de France 2015|Modèle:8e du Tour de France 2015]] (Rennes – Mûr-de-Bretagne, longue de Modèle:Nombre).
Lors de la [[6e étape du Tour de France 2018|Modèle:6e du Tour de France 2018]], partant de Brest, la côte de Mûr est escaladée 2 fois, l'arrivée de l'étape se situant au sommet, après la Modèle:2e montée précédée d'une boucle passant par Saint-Mayeux et St Gilles Vieux Marché. C'est Dan Martin qui s'y imposa.
La densité du public dans le "Mûr" à chaque passage du Tour de France lui vaut le surnom « d’Alpe d’Huez de Bretagne »<ref>Evanno, Yves-Marie, « Mûr-de-Bretagne et le Tour de France : une passion récente », Bretagne Culture Diversité, consulté le 2 mai 2021.</ref>.
Les coureurs de la Bretagne Classic affrontent également la célèbre côte depuis l'édition de 2016 et le changement de format de la course qui se dispute en ligne et non plus en circuit<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
Notes et références
- Altitudes, coordonnées, superficie : IGN<ref>Mûr-de-Bretagne sur le site de l'Institut géographique national (Visualiser le lien [archive]).</ref>.