Tartonne

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Modèle:Infobox Commune de France

Tartonne est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Tartonnais<ref name="tresor"/>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Localisation

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Tartonne et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Géologie et relief

Le paysage est marquée par la robine, une roche sédimentaire de couleur noire qui est très molle et friable à l'air, mais qui est très solide en sous-sol.

La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit seulement 4,5 % de sa superficie<ref name="tresor"/>.

Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Tartonne.

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :

Voies de communication et transports

Voies routières

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le percement de la clue de la Peine permet le passage de convois plus importants, et raccourcit le trajet (Modèle:Nobr au lieu de Modèle:Nobr). Cette route est abandonnée dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec l'arrivée de l’automobile et la création de routes départementales.

Le village est desservi par les départementales 8, 19 et 219.

Transports en commun

Modèle:…

Climat

Modèle:Article connexe Le village de Tartonne se situe en fond de vallée, à Modèle:Nobr d’altitude<ref name="La Torre"/>, ce qui influence énormément le climat ; les différences de températures dans la même journée sont très importantes : en 2004, l'amplitude moyenne des températures était de Modèle:Unité. Modèle:Refnec

Habitat et hameaux

Comme sa voisine Clumanc, Tartonne ne correspond pas à une agglomération précise, ce qui est assez peu commun.

L'habitat est très dispersé, et l'on peut distinguer 7 hameaux très éloignés les uns des autres :

Cet éloignement s'explique par la pauvreté du terroir, et la difficulté de construire : les fortes dénivellations, la présence de nombreux cours d'eau et l'instabilité du terrain font que plus de 85 % du territoire de la commune est inconstructible.

Risques majeurs

La commune de Tartonne est exposée à trois risques naturels<ref name="prim"/> :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.

La commune de Tartonne n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture<ref name="ppr"/> et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> ; le Dicrim existe depuis 2011<ref name="dicrim"/>.

La commune a été l’objet d’arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011<ref name="prim"/>.

Sismicité

Aucune des 198 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. L'ancien canton de Barrême auquel appartenait Tartonne est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en Modèle:Nobr (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>.

Toponymie

Le nom de la localité (Tortona en 1199, Tartona en 1200), serait formé sur la racine préceltique *Tortona, d’origine et de sens inconnus selon Ernest Nègre<ref name="TGF"/>, attribué par Charles Rostaing à une racine en *Tar, désignant la pierre<ref name="Rostaing"/> et par le couple Fénié à un oronyme (caractérisant le relief)<ref name="Fénié-25"/>. Nègre est contesté par Raymond Sindou, qui juge peu probable une absence d’évolution du toponyme pendant Modèle:Unité, et propose de comparer, sans avancer de sens, Tortona à Dertosa en Tarraconaise et à Dertona en Gaule cisalpine<ref>Raymond Sindou, « Ernest Nègre. — Toponymie générale de la France. Étymologie de 35000 noms de lieux, 1990/91, 3 vol. », Cahiers de civilisation médiévale, 1993, volume 36, Modèle:N°144, Modèle:P.419.</ref>.

Le nom du sommet du Cucuyon (Modèle:Unité), est formé sur la racine préceltique *Kug-, autre oronyme, avec redoublement et ajout d’un suffixe diminutif<ref name="Fénié-20"/>.

Histoire

Antiquité

Les premières traces d’occupation datent de l'époque gallo-romaine à l'emplacement actuel du hameau du Petit Défend. Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Tartonne dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Modèle:Page h') ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés avec la disparition de l’évêché de Thorame<ref name="beaujard-22"/>.

Moyen Âge

Les deux communautés, de La Peine et de Tartonne, sont signalées dans les chartes au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>. En 1342, les deux communautés de Tartonne et de La Peine sont rattachées à la viguerie de Castellane par le comte de Provence<ref name="histo_sous-pref"/>. Ce n'est qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle que le village commence à se développer, dans la mesure où le village est situé sur la route reliant Digne-les-Bains à Colmars en passant par Thorame, et qu'une source d'eau salée a été trouvée, permettant aux habitants de ne pas payer la gabelle. Le village vit principalement de l'agriculture (Modèle:Référence nécessaire, ovins) et de la récolte du sel, grâce à la source salée concédée par la reine Jeanne en 1402<ref name="Mérimée021"/>.

Durant tout le Moyen Âge, le village est rasé plusieurs fois. La communauté La Pène (ou la Peine) est fortement dépeuplée par la crise du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Tartonne au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="AHP"/>, mais continue de constituer un fief distinct<ref>Baratier, Duby & Hildesheimer, Modèle:Opcit, p. 189</ref>. Il était constitué de bâtiments civils et d'un monastère abandonné avant la Révolution. La seule trace de cette présence monastique est l’oratoire à Saint-Gervais qui a été installé à l'entrée du hameau, à l'endroit où les villageois avaient installé la croix de bois de la chapelle du monastère, après son démantèlement. Ce monastère et les bâtiments civils ont appartenu à la famille du célèbre philosophe dignois Gassendi. Tartonne n’est pas épargnée par les guerres de religion (avec un pillage en 1574<ref name="La Torre"/>) : la population passe d'environ Modèle:Nobr. Le modeste château de Maladrech est construit en 1642, à proximité de la route menant vers Digne.

Période moderne

Les seigneurs successifs sont les Baux (du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), les d’Agoult aux {{#switch: XV

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}}, les Villeneuve aux {{#switch: XVII

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}}, et enfin les Gassendi jusqu’à la Révolution<ref name="AHP">Modèle:Atlas historique de la Provence, Modèle:P.202.</ref>. À la fin de l’Ancien Régime, la communauté est rattachée à la viguerie du Val de Barrême<ref name="archeo-provence"/>.

Révolution française

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref name="club">Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, Modèle:N°307, Modèle:1er 1989, Modèle:108e, Modèle:P.296-298.</ref>.

Époque contemporaine

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du Modèle:Nobr précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Tartonne est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.

Tartonne est occupée durant la Seconde Guerre mondiale par les troupes italiennes dès 1940. L'environnement, de nombreux parachutages d'armes et l'instauration du STO (qui conduit beaucoup de jeunes à venir dans les environs) permettent aux résistants de mener des actions d'envergure contre l'armée allemande, qui occupe la région dès 1942. En représailles, de nombreuses maisons sont incendiées et le château de Maladrech, qui servait de cache, détruit.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Budget et fiscalité 2016

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 12,98 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,75 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 83,88 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 30,63 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.

Intercommunalité

Tartonne a fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes du Moyen Verdon. Depuis le Modèle:Date-, elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

Urbanisme

Typologie

Tartonne est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date avec effet le Modèle:Date, regroupe désormais Modèle:Nobr. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (48,1 %), forêts (29,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (13,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe


Modèle:Population de France/section

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L’histoire démographique de Tartonne, après la saignée des {{#switch: XV

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}} et le long mouvement de croissance jusqu’au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population, qui plus est un mouvement de longue durée. Dès 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population (par rapport au maximum historique)<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.287.</ref>. Le mouvement de baisse s'interrompt dans les années 1970 et s'inverse jusqu'à nos jours.

Enseignement

Comme de nombreuses communes du département, Tartonne se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de Modèle:Nobr<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à Modèle:Nobr, ne concernent Tartonne<ref name="labadie18"/> ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de la commune sont régulièrement scolarisées.

Santé

Modèle:…

Cultes

Modèle:…

Économie

Modèle:...

Entreprises et commerces

Agriculture

Tourisme

Commerces

Lieux et monuments

Fichier:Tartonne Cadran solaire.jpg
Cadran solaire de l'église Notre-Dame d'Entraigues.
Fichier:Tartonne - panoramio.jpg
Vue panoramique du village.
Fichier:Col du Deffens.JPG
Col du Deffens.

Église Notre-Dame d'Entraigues

Modèle:Article détaillé L’église paroissiale est placée sous le vocable de Notre-Dame d’Entraigues et sous le patronage de saint Michel<ref name="archeo-provence"/>. Elle est construite à l’écart du village, et entourée du cimetière<ref name="archeo-provence"/>. Le clocher-tour date de 1564, sauf le dernier étage ajouté en 1865. La nef, construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, compte trois travées couvertes d’une voûte en berceau, refaite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis en 1830. Le chœur, sous une travée courte, précède l’abside arrondie (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ; quelques chapiteaux sont sculptés, avec notamment un atlante. Un projet de bas-côté sur le côté sud a été abandonné ; du côté nord, les deux chapelles datent du Modèle:S mini-). C’est un monument historique inscrit depuis le 12 avril 1972<ref name="Mérimée500"/>. Elle a été restaurée dans les années 1970 (notamment avec la coulée d’une dalle de béton sur la voûte, qui avait tendance à se déformer)<ref name="collier115"/>,<ref name="Mérimée721"/>. D'autres travaux ont été effectués par une association de sauvegarde de l'édifice : dallage, toit, mur, cadran solaire<ref name="provence-14-04-13"/>.

Le mobilier comprend notamment deux cloches, dont une qui daterait du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et l’autre de 1771<ref name="liste-mobilier"/>. L'église possède plusieurs tableaux, dont une Donation du Rosaire de Patritti (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), un saint Blaise de Sébaste (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle également) et un saint Michel terrassant le dragon, ainsi que la statue de Notre-Dame-d'Entraigues (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name="provence-14-04-13"/>.

Autres monuments

Le château de Maladrech, avec deux pigeonniers ronds<ref name="collier262"/> (1644) ; Maladrech signifie mauvais lieu. Une chapelle lui a été ajoutée entre 1764 et 1779, mais est tombée en ruines à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>. Le reste du bâtiment a été partiellement détruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Mérimée727"/>. Comprenant deux corps de bâtiment, il comporte également une ferme. La décoration intérieure comprend plafonds à la française, cheminée de gypserie ; de l’extérieur, on peut voir des croisées et un cadran solaire de 1642<ref name="Mérimée727"/>.

Autres lieux

  • Col du Défens ;
  • la clue de la Peine ;
  • la source salée de la Salaou, couverte sous une voûte, est un monument historique inscrit depuis le Modèle:1er avril 1993<ref name="Mérimée021"/>
  • la chapelle Saint-Jean-Baptiste, ancienne Notre-Dame du Rosaire (1787), au Plan-de-Chaude, au Thouron<ref name="Mérimée721"/> ;
  • la chapelle Sainte-Anne, au Thouron, est construite au milieu Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par les habitants du village<ref name="merimee-steanne"/>,<ref name="archeo-provence"/>, restaurée dans les années 1830. De petites dimensions, la nef mesure Modèle:Unité de long sur Modèle:Unité à Modèle:Unité de large<ref name="merimee-steanne"/>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail