Varilhes

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Modèle:Infobox Commune de France

Varilhes (prononcer Modèle:MSAPI Varilles, de l'occitan Varilhas) est une commune française située dans le département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de Foix, composé de la partie centrale du Plantaurel, du massif de l'Arize et d'un tronçon de la vallée de l'Ariège avec ses quelques affluents.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Dalou, la Fage, le ruisseau d'Artix, le ruisseau de la Galage et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (le « cours de l'Ariège ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Varilhes est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Pamiers et fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers. Ses habitants sont appelés les Varilhois ou Varilhoises.

Elle est le bureau centralisateur du canton du Val d'Ariège et membre de la communauté d'agglomération pays Foix-Varilhes depuis le Modèle:Date-.

Géographie

Localisation

Fichier:Vue d'ensemble Varilhes2.jpg
Vue panoramique.

Varilhes est une commune de l'aire d'attraction de Pamiers située dans son agglomération au sud de la ville-centre, sur l'Ariège, en piémont pyrénéen et en plaine d'Ariège. Elle est bordée à l'ouest par les plus hautes collines du Terrefort ariégeois, et au sud par les plis du massif du Plantaurel.

Proche du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, elle se situe à mi-chemin entre Foix et Pamiers.

Communes limitrophes

Varilhes est limitrophe de neuf autres communes. Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a Modèle:Nobr d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1057 - Pamiers » de la carte géologique harmonisée au Modèle:Nobr du département de l'Ariège<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint Modèle:Unité. L'altitude du territoire varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Varilhes est située à la jonction de la plaine de l'Ariège et des dernières formations des Pyrénées. Les molasses tertiaires non plissées qui constituent une grande partie des coteaux du terrefort des vallées de l'Hers, de l'Ariège et de la Garonne n'apparaissent pas à Varilhes.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Varilhes.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau de Dalou, la Fage, le ruisseau d'Artix, le ruisseau de la Galage, un bras de l'Ariège, un bras de l'Ariège, un bras de l'Ariège, un bras de l'Ariège, le ruisseau de Peyre Blanque et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Ariège, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le ruisseau de Dalou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Gudas et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Varilhes jouit d'un climat océanique malgré la proximité relative de la Méditerranée.

Elle a connu Modèle:Nombre d'ensoleillement en 2016, contre une moyenne nationale des villes de Modèle:Nombre de soleil<ref name="linternaute 09324/2016"> Modèle:Lien web.</ref>.

Elle a également connu Modèle:Nobr de pluie en 2016, contre une moyenne nationale des villes de Modèle:Nobr de précipitations<ref name="linternaute 09324/2016" />.

Le vent dominant est celui qui vient de l'océan atlantique et apporte les nuages et la pluie. Du sud-est souffle l'autan, vent sec qui dégage le ciel et donne une grande luminosité avant que la pluie ne survienne par l'ouest, en général dans les trois jours.

Urbanisme

Typologie

Varilhes est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Pamiers, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,1 %), zones urbanisées (16,9 %), forêts (11,5 %), terres arables (9 %), mines, décharges et chantiers (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 847, alors qu'il était de 1 743 en 2013 et de 1 525 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 87,6 % étaient des résidences principales, 3,6 % des résidences secondaires et 8,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,4 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Varilhes en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,6 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63,6 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Varilhes en 2018.
Typologie Varilhes<ref name="LogT2" group="I"/> Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 87,6 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,6 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 8,8 9,7 8,2

Voies de communication et transports

Fichier:La Gare de Varilhes.jpg
La gare de Varilhes (en Modèle:Date-).

Transport routier

La ville est directement reliée à Toulouse par voie express (jusqu'à Pamiers) puis par autoroute (autoroute A66).

Varilhes est à Modèle:Nobr de Foix, Modèle:Nobr de Pamiers, Modèle:Nobr de Toulouse, Modèle:Nobr de Carcassonne, Modèle:Nobr d'Andorre-la-Vieille, Modèle:Nobr de Montpellier, Modèle:Nobr de Barcelone, Modèle:Nobr de Bordeaux, Modèle:Nobr de Bayonne, Modèle:Nobr de Paris, Modèle:Nobr de Lyon et Modèle:Nobr de Nantes.

Transport ferroviaire

Gare de Varilhes sur la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière) qui permet de relier Toulouse et Latour-de-Carol en liaison directe.

Transports en commun

Le « transport à la demande » (TAD) est un dispositif de transport public de voyageurs permettant de relier Varilhes, Pamiers, Foix et Mirepoix.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Varilhes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:09324-Varilhes-argile.png
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Varilhes.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Ariège, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le cours d'eau de l'Ariège figurent la crue torrentielle de 1982 et les inondations de plaine de 1996 et de 2005 de la Basse vallée de l'Ariège<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Varilhes<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Varilhes<ref name="DDRM-Ind" />. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS" />.

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 15 mai 2006<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref name=DDRM-TMD>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Modèle:...

Histoire

Le château du Moyen Âge, attesté dès 1034 et rasé le Modèle:Date-, n'a laissé aucune trace. Le château et ses annexes occupaient une sorte de triangle délimité en 2017 par la rue du Quai, l’Ariège, la place du Pont et la rue du Bailh. Il était entouré de murailles du côté de l’Ariège et protégé vers la ville par un fossé probablement sec. Le premier édifice en bois fut brûlé lors de la croisade des albigeois en 1211. Reconstruit dans le cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il était au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le plus beau château du comté de Foix puisqu’il était attribué comme demeure à Jeanne d’Artois, parente du roi de France, qui venait d’épouser Gaston de Foix en 1301. Il possédait naturellement une chapelle, attestée en 1324 et 1391<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Varilhes est membre de la communauté d'agglomération Pays Foix-Varilhes<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Foix. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Val d'Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Modèle:Lien web.</ref> : Ségolène Royal 58,21 % (PS) / Nicolas Sarkozy 41,79 % (UMP)

Modèle:Lien web.</ref> : Frédérique Massat (PS) 65,91 % / Jacqueline Rouge (UMP) 34,09 %

Modèle:Lien web.</ref> : Liste « Changer l'Europe, maintenant » Kader Arif (PS) 28,33 % / Liste « Quand l'Europe veut, l'Europe peut » Dominique Baudis (UMP) 21,24 % / Liste « Front de gauche pour changer l'Europe » Jean-Luc Mélenchon 12,77 %

Modèle:Lien web.</ref> : Martin Malvy (PS) 71,38 % / Brigitte Barèges (Liste d'union et de rassemblement) 28,62 %

Modèle:Lien web.</ref> : François Hollande 62,77 % (PS) / Nicolas Sarkozy 37,23 % (UMP) / Abstention 17,48 %

Modèle:Lien web.</ref> : Frédérique Massat (PS) 51,69 % / Nicole Gerona (UMP) 15,83 %

Modèle:Lien web.</ref> : Liste « Ensemble, réussir Varilhes » Martine Esteban 100 % (seule liste proposée aux électeurs)

Modèle:Lien web.</ref> : Emmanuel Macron (En marche !) 60,09 % / Marine Le Pen (Front national) 39,91 %

Modèle:Lien web.</ref> : Bénédicte Taurine (La France insoumise) 50,28 % / Jérôme Azema (La République en marche !) 49,72 %

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Depuis 1987, la gestion des déchets est assurée par le syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures ménagères (Smectom) du Plantaurel, principal acteur de la gestion des déchets ménagers et assimilés dans le département de l’Ariège<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Sécurité

La commune dispose d'une gendarmerie et d'un centre de secours.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section
Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Située dans l'académie de Toulouse, la commune administre deux écoles comprenant chacune une école maternelle et une école élémentaire<ref> Modèle:Lien web.</ref> : l'école primaire publique Laborie regroupe Modèle:Nobr (données 2016-2017)<ref> Modèle:Lien web.</ref> et l'école primaire publique groupe Paul Delpech regroupe Modèle:Nobr (données 2016-2017)<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

L'école primaire publique Laborie comprend quatre classes maternelles et élémentaires. L'école primaire publique groupe Paul-Delpech comprend neuf classes maternelles et élémentaires ; une section d’enseignement spécifique pour enfants autistes a ouvert une classe maternelle à la rentrée 2016.Modèle:Refnec

Manifestations culturelles et festivités

Bal Trad' : mars, festival du jeu en mars, accueil des nouveaux arrivants en avril, grand vide-greniers le Modèle:1er mai, quartiers d'été en juin, fête des hameaux en juin, fête locale en août, fête des associations en septembre, festival d'orgues de Barbarie et musiques mécaniques en septembre tous les deux ans, lotos et belotes plusieurs fois par mois, concerts de l'Harmonie Foix Varilhes plusieurs fois par an, concours photos plusieurs fois par an.

Santé

La commune administre une maison médicale, et le centre hospitalier du Val d'Ariège se situe à Modèle:Unité.

Sports

Varilhes possède son propre club de football, qui évolue en départemental 1 durant la saison 2020-2021.

Équipements

Terrain de football au stade Henri Laporte, gymnase multisport pour la pratique du basket, du football en salle et du handball, piscine municipale, dojo pour la pratique du judo, de l'aïkido, du yoga, complexe de tennis, complexe de pétanque.

Associations sportives

Basket club Varilhois, entente Varilhes Saint-Jean-de-Verges, les Passejaïres, la Boule amicale Varilhoise, tennis club Varilhois, la truite Varilhoise, le club Mouche, association communale de chasse agréée (ACCA), Énergie Danse, Texas dancers 09, gymnastique adultes, ludus fight, ski club Varilhois, foyer des Jeunes et d'éducation populaire.

Médias

Modèle:…

Cultes

Modèle:…

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:…

Emploi

Modèle:…

Entreprises et commerces

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments et objets remarquables

La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et un monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Par ailleurs, elle compte un objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et deux objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.

La maison Aynié, située à l'angle de la rue de Toulouse et de la rue du Pont, est constituée de deux parties : celle du sud remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, celle du nord au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les façades sur rues et la toiture de la partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont été inscrites à l'inventaire des monuments historiques le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. De style gothique à colombages, elle est la plus ancienne de Varilhes : poteau cornier en forme de faisceau de colonnettes, croix de saint André à intervalles remplis de briques, meneaux en bois aux fenêtres du second étage, vaste galerie ouverte au sud sous le toit.

La maison voisine, qui actuellement ne fait qu'un avec la partie la plus ancienne, est élevée suivant les mêmes principes. Sa façade et sa toiture ont également été inscrites à l'inventaire des monuments historiques le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918, de la guerre de 1939-1945 et de la guerre de 1954-1962 a été élevé en 1922 sur les plans de l'architecte Lescure et du sculpteur Faurès, tous deux toulousains. Il représente en très fort relief la Victoire ailée, tenant la palme de la paix et couronnant un poilu debout tourné vers elle, appuyé sur son fusil. Le groupe est entouré d'une arcade où sont inscrits les mots « Morts pour la patrie »<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le groupe sculpté représentant une Victoire ailée couronnant un Poilu quittant le champ de bataille est répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

La sculpture en bois taillé représentant le Christ en croix, située à l'intérieur de l'église paroissiale, est classée à l'inventaire des monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Dans cette même église, deux plaques commémoratives des morts de la guerre de 1914-1918 et deux statues, Notre-Dame des Prisonniers (statuette) et Jeanne d'Arc (petite nature) sur sa console, sont répertoriées à à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Autres monuments

L'église Notre-Dame
Fichier:Eglise Varilhes2.jpg
Église de Varilhes (en Modèle:Date-).

L'église paroissiale est dédiée à Notre-Dame de l'Assomption. Il y a peu de documents concernant sa construction. De l'église citée en 1162, il ne reste rien. La visite épiscopale de Jean de Régert signale des réparations en 1551, celle de François de Caulet en 1674 prescrit de continuer à élever les voûtes. Puis c'est le silence jusqu'aux travaux de l'époque moderne.

Varilhes avait plusieurs cloches avant la Révolution qui ont été envoyées à la fonte en 1793. La plus ancienne cloche subsistante date de 1545 et a été classée monument historique le Modèle:Date-. Mais elle ne se trouve plus à Varilhes, ayant été échangée avec celle de Malléon qui était cassée lors des réquisitions révolutionnaires. Il y a actuellement quatre cloches, deux venant de Martin fondeur à Foix et deux données par Modèle:Mlle en 1951.

La chapelle de Vals
Fichier:Vals Varilhes.jpg
Chapelle de Vals (en Modèle:Date-).

La chapelle Notre-Dame de Vals est dédiée à la Vierge de douleur. Elle est citée dès 1006 et devient prieuré de Saint-Antonin de Frédelas avant 1215. Aucun document ne concerne la construction du Moyen Âge. L'église est plus ou moins ruinée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, abandonnée aux {{#switch: e

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}}

}} et rétablie au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1715-1717). Acquise comme bien national sous la Révolution, elle est restaurée en 1856 par ses propriétaires qui en font don à la fabrique de l'église paroissiale en 1866. La partie la plus ancienne est la nef (début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) à laquelle ont été ajoutés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le chœur, la façade et le porche.

Autres maisons à colombages

Une autre maison située rue de Vilotte (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), est bâtie comme la maison Aynié sur un rez-de-chaussée de galets de l'Ariège recouverts d'un crépi, percé d'une porte sans caractère récemment restaurée et d'une fenêtre qui a disparu lors de travaux de rénovation du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de Jean-Baptiste Cassaing. L'immeuble qui porte les numéros Modèle:Nobr est du même type que les précédents, mais a été exécuté avec moins de soin. La partie la plus ancienne, sans numéro, est située à l'angle de la rue de l’Église et de la place du même nom. La rue de l’église a été pendant tout l'Ancien Régime la rue principale de Varilhes et n'a perdu son importance qu'avec l'ouverture de la route royale à l'emplacement de la rue du Four. Elle a porté successivement les noms de carrera d'Abalh, rue d'Abalh, rue Madame, rue des Morts, enfin rue de l’Église.

Les maisons en pierre

Il n'y a pas de maison en pierre de taille à Varilhes, mais il subsiste d'assez nombreuses habitations aux murs épais de Modèle:Unité environ, construits en galets noyés dans du mortier, dont les ouvertures, portes et fenêtres, sont en pierre taillée et plus tard en briques. La pierre est fournie par les carrières proches, celle de Vernajoul en particulier, de couleur grise, gréseuse et très gélive. Les propriétaires ont souvent fait graver la date de construction, leur nom ou un décor au claveau central de la porte principale.

La plus ancienne pierre datée conservée en place sur une maison varilhoise est de 1783. Mais une pierre de petite taille remployée dans un mur au Modèle:N° de la rue de Louxo porte la date de 1614.

Le château fort et les remparts

Du château fort rasé par ordre de Marie de Médicis en 1623, il ne subsiste à peu près que des noms de rues : la rue du Bail qui suivait les fossés, la rue de la Glacière, qui tire son nom de la glacière aménagée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans les souterrains de l'édifice détruit. Il s'étendait entre l'Ariège, l'église paroissiale, la rue du Bail et la place du Vieux-Pont. Le plus important pan de mur, épais de Modèle:Nobr environ, se dresse entre la place du Vieux-Pont et le pont actuel. Il est construit en galets avec des chaînages de briques et percé d'ouvertures du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou plus récentes.

Les remparts de la ville partaient de l'Ariège, englobaient l'église, suivaient la place Saint-Michel, l'avenue Jacques-Carrié, la place de la Poste et la galage. Ils étaient percés de trois portes : la porte d'Amont, la porte Saint-Michel ou d'Abailh et la porte False, qui toutes ont disparu à la Révolution.

Le pont

Le pont en bois, situé en amont du pont actuel et fréquemment emporté par les crues, a disparu en 1875. On apercevait encore par basses eaux il y a peu d'annéesModèle:Quand les pieux des fondations au milieu de la rivière en face de la place du Vieux-Pont. Le pont actuel se compose de trois arches en maçonnerie de Modèle:Unité d'ouverture, séparées par de massifs piliers dont les fondations reposent sur le tuf ; il a été bâti de 1875 à 1879.

La mairie

L'édifice actuel a remplacé la mairie révolutionnaire établie à peu près à l'angle nord-est de la place dans une maison appartenant aux régentes de Mirepoix. Il se compose de deux parties : à l'est une première mairie fut élevée de 1825 à 1830 avec un couvert servant de halle sur les côtés est et sud ; elle a été restaurée et agrandie en 1879, après la décision de construire le pont de pierre et de créer une nouvelle voie, pour y loger les salles de classe. Six arcades en plein cintre au sud et trois à l'est portent les deux étages percés de six fenêtres rectangulaires en façade et de trois sur les côtés. Des deux portes cintrées de la façade celle de l'est remonte à 1879, l'autre ne date que de 1973 ; du côté de la rue de l’Église subsiste la porte de l'école des garçons.

Le groupe scolaire Paul-Delpech

Le groupe scolaire a été élevé de 1931 à 1938 sur les plans de l'architecte Irénée Cros de Foix. Il comprenait alors une école de filles et une école de garçons séparées, une classe enfantine et des bains douches, sans compter les logements d'instituteurs. Avec ses hauts toits d'ardoise et ses multiples décrochements, il avait été surnommé le château scolaire, car il semblait trop important pour le nombre d'écoliers attendus. Mais il s'est révélé trop petit dans les années 1960.

Il a reçu le nom de Paul Delpech, lieutenant au Modèle:23e d'artillerie, mort au champ d'honneur le Modèle:Date-. Ce sont des membres de sa famille, Noël Auguste et Jacques Delpech, qui ont vendu à la commune la propriété du château où a été édifié le groupe scolaire<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Les fontaines et lavoirs

Avant l'installation des canalisations d'eau potable, les habitants puisaient l'eau dans leur puits ou venaient en chercher aux fontaines publiques. Celle de la place Saint-Michel existe au moins depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais elle a été rénovée en 1932 après qu'ait été réalisée la première adduction d'eau courante. Elle n'a plus seulement un but utilitaire, mais a un rôle d'agrément que traduit la vasque en fonte bronzée.

Les fontaines de Laborie et du Courbas remontent à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et ont été construites en pierre par les habitants eux-mêmes. La fontaine principale de Laborie, élevée entre 1881 et 1885, comporte un bassin circulaire d'environ six mètres de diamètre servant d'abreuvoir et deux fontaines, l'une placée à l'intérieur du bassin, formée d'une pyramide sur un socle cubique mouluré, pourvue d'un robinet au-dessus de deux barres de fer permettant de placer un récipient, l'autre diamétralement opposée, mais à l'extérieur du bassin et sans caractère monumental.

La fontaine du Courbas a été édifiée entre 1884 et 1886, elle est du même type que celles de Laborie : bassin circulaire alimenté par un robinet placé dans une borne rectangulaire coiffée d'une pyramide tronquée sommée d'une boule.

Le lavoir de Varilhes a été élevé en 1930 en remplacement de celui construit en 1869. Il est fermé au nord et à l'est par un mur et couvert de tuiles canal. Le grand bassin ovale en ciment est divisé en huit compartiments entourés d'une partie en pente remplaçant la planche à laver, à bonne hauteur pour permettre de laver le linge et de le battre avec le battoir en bois. Il n'est plus alimenté en eau et hors d'usage.

Patrimoine naturel

Modèle:…

Équipements culturels

La commune administre une ludothèque et une médiathèque.

Situé avenue des Pyrénées, le Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation met en relation objets, photos et discours sur l'occupation allemande et la résistance locale à cette invasion ayant entraîné des déportations.

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Bibliographie

  • Jeanne Bayle, Varilhes, histoire d'un village ariégeois, 1989.
  • Louis Claeys, Deux siècles de vie politique dans le département de l'Ariège 1789-1989, Pamiers, 1994.
  • Varilhes dans la Résistance 1940-1944, communauté des communes du canton de Varilhes, 2012.

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

Notes

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Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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