Victor Cousin

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Victor Cousin est un philosophe et homme politique français, né le Modèle:Date de naissance à Paris et mort le Modèle:Date de décès à Cannes.

Philosophe spiritualiste, chef de l'école éclectique, il édita les œuvres de Descartes, traduisit Platon et Proclus, écrivit une Histoire de la philosophie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1829), Du Vrai, du Beau et du Bien (1853), et plusieurs monographies sur les femmes célèbres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En assumant, au long de sa carrière, les prestigieuses fonctions de professeur de philosophie à l’École normale supérieure, pair de France, conseiller d’État, directeur de l’École normale supérieure, recteur de l’Université et ministre de l’Instruction publique, il put acquérir en son temps un magistère qui lui permit d’établir le spiritualisme éclectique comme la « doctrine officielle de l’Université » durant la monarchie de Juillet<ref>Émile Bréhier, Histoire de la philosophie, t. III, XIXe-XXe siècles (1932), Paris, Presses universitaires de France, nouvelle édition, 1981, p. 578.</ref>.

Il est considéré en France comme le fondateur de la tradition des études d'histoire de la philosophie et le réformateur de l'enseignement philosophique dans les lycées<ref>Denis Huisman : De Socrate à Foucault (pages célèbres de la philosophie occidentale), Perrin, Paris, 1989.</ref>.

Biographie

Années de formation et de jeunesse (1792-1815)

Victor Cousin est le fils d'un ouvrier joaillier au Marché-Neuf et d'une repasseuse. Il est né dans le faubourg Saint-Antoine, au moment de la Révolution française, dont il est à sa manière un héritier<ref name="Macherey, 1991">Macherey, 1991.</ref>. Mais c'est le régime scolaire impérial qui permet son éducation et favorise son ascension sociale. À l'âge de Modèle:Nobr il est envoyé au lycée Charlemagne, où il fait de brillantes études jusqu’à l’âge de dix-huit ans. Bachelier à quatorze ans, il est agrégé de lettres à Modèle:Nobr. La formation classique reçue au lycée lui donne un goût vif pour la littérature. Déjà, il est réputé parmi ses camarades pour sa connaissance du grec. Il obtient le prix d'honneur au Concours général de 1810, ce qui lui permet d'être exempté du service militaire et admis de droit au Pensionnat normal. Il se lie alors avec Guizot et Villemain.

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Philippon, Charles (1800-1862), Cousin (Bibliothèque de la Sorbonne, NuBIS)

Pierre Laromiguière était alors chargé du cours de philosophie. Dans la deuxième préface aux Fragments philosophiques, où il expose avec franchise les diverses influences philosophiques qui ont marqué sa vie, Cousin parle avec émotion de la reconnaissance qu’il éprouvait en se souvenant de ce jour où il avait entendu Laromiguière pour la première fois. Il prétend que ce jour avait décidé de sa vie entière, car Laromiguière enseignait la philosophie de Locke et de Condillac, en la modifiant intelligemment sur certains points, avec une clarté et une grâce qui, au moins en apparence, faisaient disparaître les difficultés, et avec un charme et une bonhomie spirituelle qui pénétraient et soumettaient.

Cousin, après avoir refusé le poste d'auditeur au Conseil d'État que lui offrait le comte de Montalivet, voulut lui aussi enseigner la philosophie : il fut nommé professeur au lycée Napoléon et obtint rapidement un poste de maître de conférences à l’École normale. Ses premiers élèves sont Jean-Philibert Damiron et Théodore Simon Jouffroy.

La deuxième grande influence philosophique dans sa vie est l'enseignement de Pierre-Paul Royer-Collard. Cet enseignant, dit-il, par la sévérité de sa logique, la gravité et le poids de chacun de ses mots, l’avait peu à peu détourné, mais non sans résistance, des sentiers battus de Condillac, pour le mener dans la voie qui devait devenir si facile, mais qui était alors pénible à suivre et peu fréquentée, celle de la philosophie du bon sens du philosophe écossais Thomas Reid.

Professeur suppléant à la Sorbonne (1815-1821)

Cousin est nommé suppléant de Royer-Collard dans la chaire d’histoire de la philosophie moderne de la Sorbonne (1815-1821). Honoré de Balzac est l'un de ses élèves les plus admiratifs de 1816 à 1819<ref>Graham Robb, Balzac, a biography, Norton & Company, New York, 1994, Modèle:P. Modèle:ISBN</ref> (les cours de cette période 1815-1820 seront publiés en six volumes entre 1836 et 1842). Cousin est attaché à combattre le scepticisme et entend fonder la philosophie sur le sens commun. Il prend appui, pour sa méthode, sur la psychologie. La métaphysique est réduite à un ensemble de faits intellectuels dont il faut rendre compte. Il entreprend alors de se détacher de l'école écossaise du sens commun et d'étudier la philosophie de Kant (qu'il lit dans une traduction latine) dont il est ainsi question pour la première fois dans l'université française.

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Victor Cousin, Cours inédit de philosophie en douze leçons, décembre 1819-février 1820 (extrait), Bibliothèque de la Sorbonne, NuBIS, cote MS 1906.

Victor Cousin fit un premier voyage en Allemagne, pendant ses vacances de l'été 1817, au cours duquel il se lia avec Hegel à Heidelberg et d'autres philosophes contemporains. Ce voyage fait suite, d'une part, à un intérêt pour la pensée allemande après Leibniz, intérêt manifeste dans le cours de 1815-1816, et, d'autre part, à une rencontre avec Auguste Schlegel et Madame de Staël pendant l'hiver 1816-1817<ref>Victor Cousin, « Souvenirs d'Allemagne », dans Mélanges philosophiques, V, Paris, 1862, cité dans Cotten 1992, Modèle:P., 220 : Victor Cousin cite Fichte et Schelling dès 1815-1816.</ref>. Madame de Staël avait écrit dans De l'Allemagne que « la nation allemande peut être considérée comme la nation métaphysique par excellence<ref name="Macherey, 1991"/> ». Hegel dit que Cousin est venu en Allemagne faire des « courses philosophiques<ref name="Macherey, 1991"/> ». Il lui offre un exemplaire de son Encyclopédie des sciences philosophiques. Les deux hommes ont des vues politiques qui les rapprochent (la lutte contre le cléricalisme et le conservatisme, la monarchie constitutionnelle, l'héritage révolutionnaire et impérial).

À son retour, Cousin se détourne de la philosophie écossaise pour se tourner vers la métaphysique de Kant, Fichte, Schelling et Hegel. Il introduit les notions d'absolu et d'idéal dans la philosophie française. Il concilie la métaphysique et la psychologie en prenant le moi comme principe.

Un autre penseur qui l'influença dans cette première période fut Maine de Biran, dont Cousin considérait qu’il était de son temps en France un observateur psychologique hors pair.

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Victor Cousin
(photographié par Nadar).

En 1817, il prononce son cours sur le beau, à l'École normale puis à la faculté des lettres de Paris, qui lui assure une audience considérable parmi ses contemporains. Ce cours imprimé par la suite sous le titre Du Vrai, du Beau et du Bien et constamment revu par la suite reste son ouvrage le plus célèbre et l'exposé le plus général de sa philosophie, bien qu'il soit depuis lors tombé dans l'oubli.

Il y expose sa méthode de l'éclectisme qui consiste à étudier les différents systèmes de l'histoire de la philosophie et à les juger et pour en distinguer les éléments de vrai et de faux et parvenir à un système valable du point de vue d'une raison impersonnelle. Il ne s'agit donc pas de concilier entre elles toutes les écoles de philosophie, mais il ne s'agit pas non plus, comme pour Hegel, de considérer le faux comme un moment du vrai. La méthode éclectique est en ce sens le contraire de la méthode dialectique<ref name="Macherey, 1991"/>.

L'éloquence de Cousin excite un vif enthousiasme parmi la jeunesse. Son cours est suspendu à cause de ses idées libérales en 1821.

Traducteur, éditeur, voyage en Allemagne (1821-1828)

Victor Cousin, privé de tout emploi public par suite du licenciement de l'École normale, doit devenir précepteur d'un des fils du maréchal Lannes, et s'occupe alors à des éditions des œuvres inédites de Proclos (texte grec avec commentaire latin, 1820-1827, 6 vol. in-8 ; Modèle:2e., 1865, 1 vol. in-4) et des œuvres complètes de Descartes (1826, 11 vol. in-8) ainsi qu'à une traduction des œuvres complètes de Platon (1825-1840, 13 vol. in-8).

Il fait un second voyage en Allemagne où, accusé de carbonarisme<ref>Victor Cousin, sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques.</ref>, il fut arrêté à Dresde (1824) sur dénonciation des autorités françaises et transféré à Berlin avant d'être libéré, grâce à l'intervention de Hegel et sur les instances du représentant diplomatique de la France<ref>André Stanguennec, Hegel : une philosophie de la raison vivante, Paris, Vrin, 1997, Modèle:P..</ref>. Assigné à résidence à Berlin jusqu'en Modèle:Date-, il fréquente plus assidument Hegel et fait la connaissance de ses disciples comme Eduard Gans ou Heinrich Gustav Hotho. Il obtient des cahiers de cours de Hegel sur la philosophie de l'histoire, l'histoire de la philosophie et l'esthétique qu'il mettra à profit pour son propre enseignement<ref>Hegel, Esthétique. Cahier de notes inédit de Victor Cousin, éd. Alain Patrick Olivier, Paris, Vrin, Modèle:P. [1].</ref>.

Cousin revient néanmoins en France assez découragé<ref>« Je trouve les affaires publiques si déplorablement conduites que je ne veux pas m'en occuper. Pythagore m'occupe plus que M. de Villèle, et j'en suis à ne pas comprendre M. Royer-Collard, mon meilleur ami politique, qui essaye de se placer entre deux partis aveugles qui ne le comprennent pas. » (Victor Cousin à Félicité de Lamennais, Modèle:Date, cité par le Dictionnaire des parlementaires français).</ref>.

Professeur titulaire à la Sorbonne, académicien, ministre (1828-1855)

Le ministère libéral dirigé par Martignac lui permit de retrouver sa chaire d'Histoire de la philosophie moderne en Sorbonne (Modèle:Date) aux côtés de Villemain et de Guizot. Il prononce un cours célèbre qui marque sa réapparition triomphale sur la scène académique et qui est peut-être un manifeste de politique libérale autant qu'un cours de philosophie<ref>D'après Jean-Pierre Cotten, « Hegel dans la voix de Cousin », L'Humanité, 06/10/2005 [2].</ref>.

C'est à cette période que se rapporte ce témoignage de Jules Barthélemy-Saint-Hilaire<ref>Jules Barthélemy-Saint-Hilaire (1805-1895) sera l'exécuteur testamentaire de Victor Cousin.</ref> : Modèle:Début citationLa personne de l'orateur devait contribuer à la magie qu'il exerçait. M. Cousin avait alors trente-six ans. Il était dans toute sa virilité. Sa taille était assez élevée, et il était très bien fait ; ses yeux lançaient à tout moment des éclairs ; les traits de la figure étaient réguliers, et d'une beauté sculpturale ; la physionomie très expressive et mobile, attestait l'habitude de la pensée et du travail ; quelques rides sur le front et des joues amaigries étaient loin de déparer l'ensemble. La voix était sonore, d'un timbre qui n'était, ni trop grave, ni trop aigu ; elle n'avait rien de précipité, et elle n'était pas lente. Elle se faisait entendre dans toutes les parties de la salle ; pas un mot n'était perdu. Une chevelure très brune et très abondante surmontait le visage, qu'encadrait un collier de barbe allant sous le menton. Le costume était l'habit et le pantalon noirs. Le geste était sobre ; et comme il n'était pas fréquent, il ne pouvait pas détourner l'attention des auditeurs<ref>in : M. Cousin, sa vie, sa correspondance, Paris, Hachette, 3 vol. in-8, Modèle:P.. Le témoignage de Paul-François Dubois (1793-1874) va dans le même sens : « M. Cousin, debout dans sa chaire, dominant tout l'auditoire, paraissait tirer des profondeurs de la méditation ses pensées, trahies seulement par le feu de son regard noir et flamboyant, montant pour ainsi dire tout armées, ou se dégageant dans le trajet, pour tomber comme des perles dans l'écrin d'une phrase accomplie. »</ref>. Modèle:Fin citation

Après la Révolution de 1830, Victor Cousin est nommé professeur titulaire à la Sorbonne, membre du Conseil royal de l'Instruction publique, commandeur de la Légion d'honneur, directeur de l'École normale, conseiller d'État et pair de France (Modèle:Date). On dit qu'il devient le « roi des philosophes » comme Modèle:Souverain2 devient le « roi des Français<ref>Cité par Éric Puisais, La Naissance de l'hégélianisme français, Paris, L'Harmattan, 2005, Modèle:P..</ref> ».

Il écrit alors à Schelling : Modèle:Citation

Élu à l'Académie française en remplacement du baron Joseph Fourier le Modèle:Date, après avoir battu Benjamin Constant, il est reçu par l'abbé de Feletz le Modèle:Date. Académicien, il soutient les candidatures de Victor Hugo, de Falloux et Lacordaire et fait partie de la Commission du Dictionnaire. Il fut également nommé à l'Académie des sciences morales et politiques en 1832 lors de sa réorganisation.

Après avoir rempli des missions scientifiques en Prusse et aux Pays-Bas, il devient ministre de l'Instruction publique dans le second ministère Thiers du [[1er mars|Modèle:Abréviation discrète mars]] au Modèle:Date. Son influence est immense et on peut le considérer comme l'instigateur de l'œuvre scolaire qui sera accomplie par la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} république. Président du jury de l'agrégation de philosophie à partir de 1840, il exerce un pouvoir absolu sur l'enseignement de cette discipline dont il contrôle aussi bien le contenu doctrinal que la transmission<ref>Denis Huisman : « De Socrate à Foucault (pages célèbres de la philosophie occidentale) » Perrin Paris 1989.</ref>. Il attache son nom au nouveau programme de philosophie et prend quelquefois la parole à la Chambre des pairs sur des questions d'éducation.

En 1844, il prononce ainsi un discours sur la Défense de l'université et de la philosophie à propos de la loi sur l'instruction secondaire<ref>Défense de l'université et de la philosophie, Paris, Joubert, 1845.</ref>. Les pairs veulent supprimer l'enseignement de la philosophie dans les collèges, car ils s'inquiètent que l'on mette la jeunesse en contact avec la philosophie<ref>Jacques Derrida, Du Droit à la philosophie, Galilée, 1990, Modèle:P..</ref>. Cousin répond en disant que l'on peut enseigner la métaphysique dès l'âge de quinze ans. Il déclare que la philosophie de Descartes, que le duc de Broglie considère appropriée pour l'université, n'est pas dangereuse, que le doute cartésien vise seulement à établir l'existence de l'âme et celle de Dieu tout comme Fénelon et Bossuet. Cousin fait certes un amalgame historique assez grossier, mais il dénote, comme l'explique Derrida, une « habilité oratoire et une rhétorique politique très sûres » et sans équivalent parlementaire<ref>Derrida, 1990, Modèle:P..</ref>.

Les années de vieillesse

Sous le Second Empire, Cousin se consacre exclusivement aux lettres, est nommé professeur honoraire à la Sorbonne en novembre 1855 et se retire à Cannes. Il se plonge dans l'étude de l'histoire des femmes célèbres du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Il meurt en 1867 et est enterré au cimetière du Père-Lachaise (division 4).

Œuvre

Éclectisme

La philosophie de Victor Cousin est exposée de façon systématique dans son cours de philosophie de 1818 intitulé Du Vrai, du Beau, du Bien (publié en 1836). Cousin définit la méthode de l'éclectisme en histoire de la philosophie et prend position par rapport aux différentes écoles philosophiques du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il défend une forme de spiritualisme qu'il considère comme un rationalisme distingué à la fois de l'empirisme et du mysticisme. Il s'interroge sur le fondement des idées absolues du vrai, du beau et du bien, fondement qu'il appelle Dieu.

Il considère que la religion chrétienne est la philosophie du peuple, mais que Modèle:Citation Il souhaite également que Modèle:Citation et que la philosophie se mêle de Modèle:Citation

Cousin a publié en outre de nombreux travaux rassemblés dans les différents volumes de Mélanges.

Histoire de la philosophie

Il a participé au renouveau des études sur Platon et sur Aristote. Il a traduit en français l'œuvre de Platon et il a édité également les œuvres de Proclus et de Descartes. Il a fait connaître en France la philosophie de l'idéalisme allemand et encouragé les traductions des œuvres de Kant, de Fichte, de Hegel et de Schelling. En tant qu'historien, il a étudié particulièrement le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle français et a contribué de façon originale à l'histoire de la littérature avec ses études sur les femmes écrivains.

Institutions

Son œuvre la moins négligeable et la plus durable est certainement sa politique de l'enseignement et l'organisation de l'institution philosophique en France dont il fut l'un des principaux artisans mais qui est également contestée.

L'image de Victor Cousin qui a fini par s'imposer, d'après Pierre Macherey, est généralement négative<ref>Pierre Macherey, « Les Débuts philosophiques de Victor Cousin », Corpus, 1991, Modèle:P..</ref>. Le nom même de « philosophie » est mis en question pour désigner une œuvre qui relèverait plus de la « politique » et du « conformisme ». Il n'en reste pas moins que Victor Cousin représente une forme de « philosophie à la française » qu'il s'agit d'étudier à la fois « dans sa dimension théorique et pratique » comme « ensemble d'appareils et d'institutions », de dispositifs de « transmission des idées » qui « subsistent encore de nos jours<ref>Pierre Macherey, 1991, Modèle:P..</ref> ».

Jugements

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Bibliothèque Victor-Cousin

Le legs fait le Modèle:Date- à l'université de Paris par Victor Cousin a constitué le fonds Victor-Cousin à la bibliothèque de la Sorbonne. Le fonds contenait environ, à l'origine, Modèle:Unité dont :

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  • les papiers du philosophe.

Divers

Odonymie

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La rue Victor-Cousin à Paris : façade ouest de l'université de la Sorbonne.

On trouve :

Bibliographie

Œuvres de Victor Cousin

  • 1820 - 1827 : Procli philosophi Platonici opera, 6 vol.
  • 1826 : Fragments philosophiques
  • 1827 : Eunape, pour servir à l'histoire de la philosophie d'Alexandrie
  • 1828 : Nouveaux fragments philosophiques. Cours de l'histoire de la philosophie
  • 1829 : Histoire de la philosophie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 2 vol.
  • 1833 : De l'instruction publique en Allemagne, et notamment en Prusse, 2 vol.
  • 1835 : De la métaphysique d'Aristote
  • 1836 : Ouvrages inédits d'Abélard pour servir à l'histoire de la philosophie scolastique en France
  • 1837 : De l'instruction publique en Hollande
  • 1840 : Cours de philosophie morale. Philosophie scolastique
  • 1841 : Cours d'histoire de la philosophie moderne. Recueil des actes du ministère de l'Instruction publique du Modèle:1er mars au Modèle:Date-. Cours d'histoire de la philosophie morale au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 5 vol.
  • 1842 : Leçons sur la philosophie de Kant. Des pensées de Pascal
  • 1843 : Introduction aux œuvres du père André. Fragments littéraires
  • 1844 : Du scepticisme de Pascal. Défense de l'université et de la philosophie
  • 1845 : Jacqueline Pascal
  • 1845 : Fragments de philosophie cartésienne<ref>Lire en ligne.</ref>.
  • 1846 : Œuvres de Platon
  • 1846 : Philosophie populaire
  • 1848 : Justice et charité
  • 1850 : De l'enseignement et de l'exercice de la médecine et de la pharmacie
  • 1852 : La jeunesse de Modèle:Mme de Longueville
  • 1853 : Modèle:Mme de Longueville pendant la Fronde
  • 1854 : [[Madeleine de Souvré|Modèle:Mme de Sablé]] - Nouvelles études sur les femmes illustres et la société du XVIIe siècle
  • 1855 : Premiers essais de philosophie
  • 1856 : [[Marie de Rohan|Modèle:Mme de Chevreuse]]. Modèle:Mme de Hautefort
  • 1857 : Fragments et souvenirs littéraires
  • 1857 : Philosophie de Kant (Modèle:3e éd) - Cours Modèle:1er semestre 1820 en huit leçons + esquisse d'un système de philosophie morale et politique
  • 1858 : Du vrai, du beau et du bien (Cours de philosophie professé à la Faculté des lettres pendant l'année 1818 par Victor Cousin sur le fondement des idées absolues du vrai, du beau et du bien, publié par Adolphe Garnier, original : Du vrai, du beau et du bien, Paris 1836)
  • 1858 : La société française au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d'après "Le grand Cyrus" de Modèle:Mlle de Scudéry, 2 vol
  • 1861 : Philosophie de Locke
  • 1862 : Philosophie écossaise
  • 1863 : Philosophie sensualiste au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
  • 1864 : Philosophie de Kant (Modèle:4e éd)
  • 1865 : La Jeunesse de Mazarin

Textes sur Victor Cousin

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Liens externes

Articles connexes

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