100e régiment d'infanterie

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Titre mis en forme {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Unité militaire Le Modèle:100e d'infanterie (Modèle:100e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française, à double héritage, créé sous la Révolution à partir du régiment de Rheinach, un régiment d'infanterie suisse au service du Royaume de France, et du [[25e régiment d'infanterie légère|Modèle:25e d'infanterie légère]] créé à partir de la [[Réorganisation des corps d'infanterie français (1796)#25e demi-brigade légère|Modèle:25e légère de deuxième formation]]. Modèle:Loupe

Création et différentes dénominations

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Colonels/chefs de brigade du Modèle:100e RI

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Modèle:Section vide ou incomplète

Colonels tués et blessés à la tête du Modèle:100e :

Officiers tués et blessés durant leur service au Modèle:100e Régiment d'Infanterie de Ligne entre 1804 et 1815 :

  • Officiers tués : 24
  • Officiers morts de leurs blessures : 10
  • Officiers blessés : 142
Fichier:Infanterie-béret.gif
insigne de béret d'infanterie

(*) Officier qui devint par la suite général de brigade.
(**) Officier qui devint par la suite général de division.

Historique des garnisons, combats et batailles du Modèle:100e RI

Ancien Régime

Modèle:Loupe

Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Rheinach (1791-1792)

Révolution Française

[[Réorganisation des corps d'infanterie français (1791)|L'ordonnance du Modèle:1er janvier 1791]] fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le terme ci-devant, comme Modèle:100e d'infanterie ci-devant Rheinach.

Après les évènements de Paris en 1791, il retourna à Maubeuge et eut quelques démêlés avec le régiment d'Orléans, qui partageait avec lui la garnison de Maubeuge.
La même année, le Modèle:100e d'infanterie ci-devant Rheinach, fut accusé d'avoir failli commencer les hostilités avec l'Autriche sans déclaration de guerre. Il était alors en garnison à Maubeuge.
Des soldats du régiment rencontrèrent, sur la route de Mons, des recruteurs autrichiens qui tentèrent de les débaucher. Les hommes du régiment de Rheinach refusèrent et il y eut un échange de quelques coup de fusil. Les soldats suisses furent accusés d'avoir tiré les premiers, et le régiment de Rheinach fut envoyé en garnison à Arras.

Le [[100e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:100e d'infanterie de ligne]] est licencié le Modèle:Date.

Modèle:Boîte déroulante/début

Licenciement du Régiment - Loi Relative aux régiments suisses du Modèle:Date, l'an 4 de la liberté.

L'assemblée nationale, après avoir entendu la commission extraordinaire et les comités diplomatique et militaire, considérant qu’il importe, dans les circonstances actuelles, de fixer promptement le sort des régiments suisses au service de la France, et que les capitulations de la plupart d’entre eux sont expirées, décrite qu'il y a urgence.
L’assemblée nationale, après avoir décrété l’urgence, décrète ce qui suit :

Article I

L’assemblée nationale fidèle aux principes de la liberté française, qui ne lui permettent pas de tenir au service de la France des troupes étrangères sous un régime particulier et différent de celui des troupes françaises et vu d’ailleurs l’expiration du terme des capitulations décrète que les régiments suisses, ou de pays alliés de la suisse cessent d’être, comme tels, au service de la France.

Article II

Le pouvoir exécutif est chargé de témoigner aux cantons helvétiques, au nom de la nation française sa reconnaissance pour les services rendus à la France par les suisses dans l’armée Française.

Article III

Tout officier, sous-officier ou soldat servant actuellement dans les régiments suisses pourra, s’il le préfère rester au service de la France ; et dans ce cas, il y sera employé dans le grade qu’il occupe maintenant, suivant le mode qui sera incessamment décrété. Jusqu’à leur remplacement, ils recevront la paye de leur grade.

Article IV

Tout officier, sous officier ou soldat suisse qui voudra rester au service de la nation, sera tenu de faire la déclaration à la municipalité du lieu de la résidence du régiment ou du poste où il se trouvera, immédiatement après la publication du présent décret et d’y prêter le serment du 10 août, il sera ensuite accordé à chaque sergent, à titre de gratification et d’engagement, une somme de trois cents livres, à chaque caporal une de deux cents livres, à chaque soldat une de cent cinquante livres dont la moitié sera payée à l’instant même de la prestation du serment et l’autre moitié après l’incorporation avec les troupes françaises.

Article V

Le comité militaire présentera dans la séance de demain un mode d’incorporation des individus ou de formation des corps qui pourront recevoir cette incorporation, tel que les sous-officiers et soldats suisses puissent y conserver leurs grades et leurs droits à l’avancement sans que les corps où ils seraient incorporés perdent rien des mêmes avantages.

Article VI

Les retraites, pensions des officiers et indemnités pour les capitaines propriétaires de compagnies, les pensions pour les sous-officiers et soldats suisses qui voudront se retirer seront fixées conformément à l’esprit des capitulations et à la générosité qui caractérise la nation française et qu’elle doit toujours témoigner à des fidèles alliés.
Ces retraites pensions et indemnités seront payées en argent comme par le passé, ainsi que celles arrêtées dans les états des suisses retirés et pensionnés jusqu’à ce jour.

Article VII

Le pouvoir exécutif est chargé de pouvoir à la sûreté de tous les officiers et soldats suisses qui voudront se retirer et de veiller à ce qu’ils soient traités comme d’anciens alliés ; mais ils ne pourront se rendre aux frontières que par détachements qui n’excéderont pas vingt hommes, et ils seront sans armes. Le prix des armes sera remboursé par le pouvoir exécutif à qui de droit.

Article VIII

Le pouvoir exécutif nommera des commissaires pour veiller dans chaque régiment à la prompte exécution de la présente loi, qui sera lue à la tête de chaque compagnie par la municipalité du lieu, pour y recevoir concurremment avec les municipalités des lieux où se trouveront les régiments suisses, les déclarations de ceux qui voudront se retirer ou prendre du service, dresser le tableau des indemnités et pensions de ceux qui voudront se retirer et quant aux autres veiller à leur incorporation ou formation en corps, sauf à rendre compte à l’assemblée nationale des difficultés que pourra faire naître la fixation des indemnités et retraites.

Article IX

L’assemblée nationale charge le pouvoir exécutif de faire déclarer aux cantons helvétiques, par l’ambassadeur de France, les intentions de la nation française d’entretenir avec eux toutes les relations d’amitié, de fraternité, de commerce et de bon voisinage, conformément au traité d’alliance du 28 mai 1777.

Article X

Le pouvoir exécutif est chargé de faire traduire en allemand et en italien le présent décret et de le faire distribuer immédiatement dans les régiments suisses.
Au nom de la nation, le conseil exécutif provisoire mande et ordonne à tous les corps administratifs et tribunaux, que les présentes ils fassent consigner dans leurs registres, lire, publier et afficher dans leurs départements respectifs et exécuter comme loi.
En foi de quoi nous avons signé ces présentes auxquelles nous avons fait apposer le sceau de l’État.

A Paris le vingt deuxième jour du mois d’Août mil sept cent quatre vingt douze.
L’an quatrième de la liberté
Signé : Roland, contre signé Danton et scellé du sceau de l'État.Modèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:100e de première formation (1793-1796)

Guerres de la Révolution

En 1793, lors du premier amalgame la [[Réorganisation des corps d'infanterie français (1793)#100e demi-brigade|Modèle:100e de première formation]] est formée avec les :

La Modèle:100e, fait les campagnes de l'an II, de l'an III et de l'an IV à l'armée d'Italie avec laquelle il participe, en 1794 à la bataille de Saorge, en 1795 à la bataille de Loano et l'année suivante à la bataille de Borghetto.

En l'an V il rejoint l'armée de Moselle qui deviendra l'armée de Sambre-et-Meuse.

Modèle:100e de deuxième formation (1796-1803)

Guerres de la Révolution et de l'Empire

La [[Deuxième amalgame de l'armée sous la Révolution#100e demi-brigade|Modèle:100e de deuxième formation]] est formée le Modèle:Date républicaine par l'amalgame des :

  • [[6e demi-brigade de première formation|Modèle:1er de la Modèle:6e]] de première formation ([[3e régiment d'infanterie (France)|Modèle:2e du Modèle:3e d'infanterie]] (ci-devant Piémont), [[2e bataillon de volontaires de l'Aube|Modèle:2e de volontaires de l'Aube]], [[10e bataillon de volontaires des Vosges|Modèle:10e de volontaires des Vosges]], [[13e bataillon de la formation d'Orléans|Modèle:13e de la formation d'Orléans]], [[14e bataillon de volontaires de Paris|Modèle:14e de volontaires de Paris]] également appelé [[14e bataillon de volontaires de la République|Modèle:14e de volontaires de la République]] ou [[14e bataillon des piques|Modèle:14e des piques]] ou encore [[14e bataillon des piquiers|Modèle:14e des piquiers]] et [[24e bataillon de volontaires de la Charente|Modèle:24e de volontaires de la Charente]])
  • [[203e demi-brigade de première formation|Modèle:203e]] de première formation ([[1er bataillon des Fédérés Nationaux|Modèle:1er des Fédérés Nationaux]], [[7e bataillon de volontaires de la Drôme|Modèle:7e de volontaires de la Drôme]] et [[1er bataillon bis de volontaires de Maine-et-Loire|Modèle:1er bis de volontaires de Maine-et-Loire]])

De l'an VI à l'an X, la demi-brigade est attachée à l'armée de Rhin-et-Moselle qui deviendra l'armée d'Allemagne avec laquelle il fait la campagne d'Allemagne dans la [[4e division d'infanterie (France)|Modèle:4e division]] du général Duhesme<ref>avec le [[17e régiment d'infanterie (France)|Modèle:17e régiment d'infanterie]]</ref>. En 1796, la demi-brigade se trouve aux batailles de Neresheim et de Friedberg (Modèle:1er et Modèle:Date-) et en novembre et décembre elle participe dans la défense du fort de Kehl.

En 1797, la Modèle:100e demi-brigade, rattachée à la division Desaix, cantonne à Molsheim. En décembre, il fait partie de l'armée d'Allemagne formée de la réunion de l'armée de Rhin-et-Moselle et de l'armée de Sambre-et-Meuse.

En 1798 sous le commandement du général Schauenburg, les Modèle:1er et Modèle:2e participent à la campagne de Suisse et participent, en 1799, aux batailles de Stockach, de Zurich de Diessenhofen et de Hohenlinden.

De 1801 à 1803, il entre dans la composition de l'armée de l'Ouest.

En Modèle:Date-, elle arrive à Breda pour aller à Nimègue afin de rejoindre la division Frère et prend part à la capture de l'armée de Hanovre.
En septembre la Modèle:100e devient le Modèle:100e d'infanterie de ligne et reste en garnison à Hanovre.

Modèle:100e d'infanterie de ligne (1803-1815)

Guerres de l'Empire

Fichier:Shako plaque-P4140323-black.jpg
Plaque de shako su Modèle:100e Régiment d'Infanterie, Modèle:1er Empire

En 1805, le Modèle:100e d'infanterie de ligne participe à la campagne d'Allemagne dans la Modèle:2e<ref>La Modèle:2e était formée du 4e régiment d'infanterie légère, des 3 bataillons du Modèle:100e de ligne et du [[103e régiment d'infanterie|Modèle:103e de ligne]] </ref> du 5e corps de la Grande Armée commandé par le général Gazan. Le régiment combat lors des batailles d'Elchingen, d' Ulm et de Dürenstein.
Après la bataille d'Austerlitz, à laquelle il ne participe pas, il est envoyé à occuper la principauté d'Ansbach.

En 1806, dans le cadre de la Campagne de Prusse et de Pologne, les [[Ordre de bataille lors de la bataille d'Iéna|3 bataillons du Modèle:100e]], commandés par le colonel Joachim Jérôme Quiot du Passage, s'illustrent lors des batailles d'Iéna et de Pultusk<ref name="batalla">Historique du Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne</ref>.

En 1807, le régiment participe aux batailles d'Eylau et d'Ostrolenka<ref>NB : Le drapeau indique qu'il s'est illustré lors de la bataille de Friedland. Il ne s'agit pas du Modèle:100e régiment d'infanterie de 1807 qui participe à cette bataille, mais du 25e régiment d'infanterie légère</ref>. Les trois premier bataillons du régiment sont envoyés ensuite en direction de l'Espagne, le Modèle:4e restant en Allemagne.

En 1808, le régiment, rattaché au [[Armée d'Espagne (Premier Empire)|Modèle:5e corps de l'armée d'Espagne]] du maréchal Mortier, Modèle:2e division du général Gazan et Modèle:1re brigade du général Guérin<ref>La Modèle:1re brigade était composée des 3 premiers bataillons du Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne et des Modèle:2e et Modèle:3e bataillon du 21e régiment d'infanterie légère</ref> participe à la campagne d'Espagne

Le Modèle:Date un parti de guérilleros attaqua, aux environs de Caparroso, une colonne, de 400 hommes, du Modèle:100e RI qui menait un convoi d'uniformes. À la vue des guérilleros, les Français s'enfuirent, se réfugiant dans la place fortifiée de Caparroso, laissant plusieurs morts sur le terrain et le convoi aux mains des guérilleros. En février il est au siège de Saragosse ou, avec le Modèle:5e corps, il a la mission de bloquer et prendre le faubourg situé sur la rive gauche de l'Èbre pour couper les communications avec la Catalogne.
Le Modèle:Date-, Mortier ordonne au Modèle:100e avec quatre canons, de la chasser les insurgés des alentours de Salamanque. La plus grande partie du régiment restera en garnison dans cette ville, jusqu'en juillet, où il se rend à Madrid.
Le Modèle:Date- le régiment est au combat d'Arzobispo puis il se concentre à Tolède. Le Modèle:Date-, les Modèle:1er et Modèle:2e bataillons sont en garnison à Mocejón et le Modèle:3e bataillon à Illescas.
Le Modèle:Date-, les trois bataillons participent à la bataille d'Ocana.
Pendant ce temps le Modèle:4e, resté en Allemagne, rattaché au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIe{{#if:|  }} }} corps du général Oudinot, Modèle:2e du général Frère, brigade Ficatier participe aux batailles d'Ebersberg (Modèle:Date-) d'Essling (Modèle:Date-) et de Wagram (5 et 6 juillet).

En mars 1810, le régiment envoyé en colonne mobile se trouve à Séville, et, le Modèle:Date- il se trouve à un combat près de Berlanga.

En 1811, il se trouve à la bataille de Gebora puis il prend garnison à Badajoz à partir du Modèle:Date-. Le Modèle:Date- il quitte Badajoz en direction Campo Maior avec une colonne, composée par une brigade de cavalerie, d'une partie du train de siège ayant servi au siège de Badajoz, 3 bataillons du [[28e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:28e de ligne]], des 3 bataillons du Modèle:100e de ligne (Modèle:Nombre) et de 3 bataillons du [[103e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:103e de ligne]] commandée par le général Gazan. Le Modèle:Date- le Modèle:100e RIL se trouve au combat de Campo Maior puis il prend garnison de la place, sous les ordres de Latour-Maubourg, avec 150 cavaliers du [[26e régiment de dragons|Modèle:26e dragons]], 300 du [[2e régiment de hussards|Modèle:2e hussards]], 350 du [[10e régiment de hussards|Modèle:10e hussards]], 80 chasseurs Espagnols et 300 artilleurs et troupes du Génie.
Le Modèle:Date- il tombe dans une embuscade en escortant un convoi, et se trouve, le Modèle:Date-, à la défense de Badajoz et participe le Modèle:Date- à la bataille d'Albuera.
Il ensuite placé dans la Modèle:2e brigade de la Modèle:2e division<ref>La Modèle:2e division était formée de la Modèle:1re brigade (3 bataillons du [[28e régiment d'infanterie légère|Modèle:28e léger]] et 3 bataillons du [[103e régiment d'infanterie|Modèle:103e de ligne]]) et de la Modèle:2e brigade (2 bataillons du [[21e régiment d'infanterie légère|Modèle:21e léger]] et 2 bataillons du 100 de ligne)</ref> du général Gazan au Modèle:5e corps du maréchal Soult.

En 1812, le dépôt du régiment, qui se trouve à Metz dans le département de l'Ourthe, est renforcé par 200 conscrits des classes 1803 et 1804.
Les bataillons engagés en Espagne prennent part, le 17 novembre, au combat de San Muñoz<ref>Tony Broughton : French Infantry Regiments and the Colonels who Led Them: 1791 to 1815 - Part X: Modèle:91e - Modèle:100e Regiments</ref>

En 1813, le régiment est rattaché à l'armée du Midi sous les ordres du général Gazan, Modèle:6e division du général Darricau<ref>La Modèle:6e division était formée de la Modèle:1re brigade ([[21e régiment d'infanterie légère|Modèle:21e léger]] et [[28e régiment d'infanterie légère|Modèle:28e léger]]) et de la Modèle:2e brigade (Modèle:100e de ligne et [[103e régiment d'infanterie|Modèle:103e de ligne]])</ref>, brigade Baille de Saint Pol et se trouve, le Modèle:Date-, au combat près de Miranda et le Modèle:Date- à la bataille de Vittoria.
Le Modèle:Date-, les 23 officiers et Modèle:Nombre du régiment passent à l'armée des Pyrénées commandée par le général Drouet d'Erlon, Modèle:6e division du général Darricau, brigade Mocquery et prennent part, le Modèle:Date-, au combat du col de Maya. En garnison à Bayonne le Modèle:1er septembre le régiment est engagé, le Modèle:Date-, dans la bataille de Saint-Pierre-d'Irube<ref>La bataille de Saint-Pierre-d'Irube 13 décembre 1813</ref>.
Le Modèle:4e engagé dans la campagne de Saxe et affecté au 6e corps de la Grande Armée sous les ordres du maréchal Marmont, [[43e division d'infanterie (France)|Modèle:43e division]] du général Claparède, Modèle:1re brigade du général Godart<ref>La Modèle:1re brigade du général Godart était composée des [[27e régiment d’infanterie légère|Modèle:27e léger]] et Modèle:100e de ligne</ref> participe le Modèle:Date-, dans le combat de Pirna puis dans la bataille de Dresde puis le Modèle:Date- au combat de Krems dans le cadre de la bataille de Dürenstein.

Le Modèle:Date, le régiment réduit à 1 bataillon de 666 hommes, participe à la bataille d'Aire-sur-l'Adour - Orthez puis le Modèle:Date- à la bataille de Toulouse.
Le Modèle:4e se trouve quant à lui, le Modèle:Date-, à la défense de Luxembourg.

Après l'abdication et l'exil de [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] à l'île d'Elbe, Louis XVIII [[Réorganisation des corps d'infanterie français (1814)|réorganise l'infanterie et le Modèle:100e prend le no 81]], jusqu'au retour de Napoléon qui prend un décret qui rend aux anciens régiments d'infanterie de ligne les numéros qu'ils avaient perdus, et incorpore le [[17e régiment d'infanterie légère|Modèle:5e du Modèle:17e d'infanterie légère]].

Pour la campagne de 1815, rattaché au Modèle:2e corps du général Reille, Modèle:9e division du général Foy, Modèle:2e brigade du général Jamin le Modèle:100e de ligne <ref>Au début de la campagne de 1815, le Modèle:100e régiment d'infanterie était composé d'un état major de 7 officiers et 18 hommes et . Le Modèle:1er bataillon comptait 17 officiers et 406 hommes, le Modèle:2e bataillon 18 officiers et 406 hommes, le Modèle:3e bataillon 9 officiers et 237 hommes soit 44 officiers et Modèle:Nombre</ref> participe le 16 juin à la bataille de Quatre-Bras puis le Modèle:Date- à la bataille de Waterloo.

Après ces deux batailles, il reste 10 officiers et 152 hommes.

Après la seconde abdication de l'Empereur, Louis XVIII réorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire du Premier Empire.
A cet effet une ordonnance du Modèle:Date licencie l'ensemble des unités militaires françaises.
Le no 100 n'est pas recréé et devient vacant jusqu'en 1854.

Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne

Second Empire

Le décret du 24 octobre 1854 réorganise les régiments d'infanterie légère les corps de l'armée française. À cet effet le 25e régiment d'infanterie légère prend le numéro 100 et devient le Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne. Modèle:Loupe

En 1855, après sa création, le Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne est envoyé en Crimée et participe à la prise du Mamelon vert, à la bataille de Tratkir et au Siège de Sébastopol.

Le régiment rentre en France en 1856.

En 1859, le régiment est engagé dans la campagne d'Italie et participe aux batailles de Magenta et de Solférino.

En 1864, un bataillon est en garnison à Reims.

Durant la guerre franco-allemande de 1870, le régiment se trouve enfermé dans Metz, et participe aux batailles de Rezonville, de Saint-Privat et de Bellevue. Comme le reste de l'armée impériale française, le régiment sera fait prisonnier de guerre

1871-1914

Le Modèle:Date, le Modèle:4e bataillon, formé pour la plupart de nouveaux arrivants, quitte le dépôt pour créer le [[114e régiment d'infanterie|Modèle:14e de marche]] qui formera la Modèle:1re de la Modèle:3e du [[13e corps d'armée (France)|Modèle:13e d'armée]]<ref name="Vinoy">Opération du [[13e corps d'armée (France)|Modèle:13e]] et de la Modèle:3e durant le Siège de Paris (1870) par le général Vinoy, pages 7 et 15</ref> Modèle:Loupe

En 1881, le Modèle:3e bataillon fait partie du corps expéditionnaire pour la campagne de Tunisie.
Ce bataillon reste en Algérie jusqu'en 1888<ref>Historique sous le IInd Empire et la République : Les régiments d'infanterie (num 91 à 105) </ref>.

En 1907, le régiment est en garnison à Narbonne. Durant la révolte des vignerons du Languedoc en 1907, il est consigné cinq dimanches de suite et son colonel, Louis Nicolas Marmet est mis d'office à la retraite<ref name="Marmet1"/>,<ref name="Marmet2"/>. Cependant, des groupes d’appelés acclament les manifestants et entonnent l'Internationale. Les 3 bataillons du régiment sont ensuite envoyé en manœuvres au camp du Larzac, puis envoyés en garnison à Tulle où ils restent jusqu'au début de la Première Guerre mondiale<ref>G. Guiraudet, La Révolte des vignerons de 1907, bulletin Modèle:N° de la SSH, 1992, en ligne sommieresetsonhistoire.org, consulté le 3 août 2008</ref>,<ref name="TCF">Tulle- Conférence historique du Modèle:100e R.I.</ref>,<ref>Béziers. Les soldats du Modèle:17e, crosses en l’air sur humanite.fr</ref>.

Modèle:100e régiment d'infanterie

Fichier:Photographie de Jean Jancoux en uniforme du 100e régiment d'infanterie.jpg
Photographie d'un soldat du Modèle:100e en 1914.

Première Guerre mondiale

Affectation : casernement Tulle, Modèle:48e DI, Modèle:24e DI, Modèle:12e d'armée.

1914

Bataille de Vitry

1915
1916

Bataille de Verdun

Le régiment est actif dans le secteur de Fleury en juillet 1916, date à laquelle le site https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr répertorie des morts à Fleury-devant-Douaumont.

1917
1918

Bataille de Reims

Bataille de l'Aisne

Entre les deux guerres

Le Modèle:Date le régiment réintègre sa garnison de Tulle.

Le régiment est dissous en Modèle:Date-<ref name="TCF"/>

Seconde Guerre mondiale

Fichier:Cutry (Meurthe-et-M.) monument aux morts (02).JPG
Monument du Modèle:100e R.I. à Cutry, département Meurthe-et-Moselle.

Formé le Modèle:Date par le CMI 12 (Centre Mobilisateur d'Infanterie Modèle:N°) et le Bataillon Madeline du Modèle:43e Régiment d'infanterie sous le commandement du Colonel Fortet, il appartient à la [[51e division d'infanterie (France)|Modèle:51e d'infanterie]]. Il est composé de trois bataillons puis de la Modèle:14e CDAC (Modèle:14e Compagnie divisionnaire antichar).

Engagé dans la défense de l'agglomération lilloise en Modèle:Date-, le régiment est transféré le Modèle:1er décembre en Lorraine où il occupe des positions défensives dans le Saillant de Longwy ; il y livre de très durs combats pendant les cinq premier jours de l'offensive allemande. Le Modèle:Date-, il se replie sur ordre en direction de Toul dont il assure la défense à partir du Modèle:Date-. Compris dans la reddition du groupement Dubuisson, le Modèle:100e RI est fait prisonnier tout entier le Modèle:Date- au Sud de Toul.Modèle:Section vide ou incomplète

1945 à nos jours

Modèle:Section vide ou incomplète

Régiment de réserve, dérivé du [[126e régiment d'infanterie|Modèle:126e Régiment d'Infanterie]] de Brive, le régiment est créé puis dissous plusieurs fois. Sa dernière recréation date de 1986 et il est de nouveau dissous en 1998.

Drapeau

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes<ref> Décision Modèle:N°/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, Modèle:N°, 9 novembre 2007</ref>,<ref>La bataille de Friedland provient du 25e régiment d'infanterie de ligne</ref> :

Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918

drapeau du Modèle:100e d'infanterie de ligne

Décorations

Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec trois citations à l'ordre de l'armée.

Il a le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.

Survivance, cette cravate portait aussi la médaille en or de la ville de Milan 1859, remise en 1909, disparue depuis, dont le port n'est actuellement plus autorisé.

Insigne

Modèle:Section vide ou incomplète

Devise

N'a peur de rien et comme Cambronne il le dit bien

Pro Rege et Patria!

Nous sommes tous grenadiers!

Personnages célèbres ayant servi au Modèle:100e RI

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Notes et références

<references />

Sources et bibliographie

Modèle:25e léger

Colonels/chefs de brigade du Modèle:25e léger

Historique des garnisons, combats et batailles du Modèle:25e léger

Guerres de l'Empire

En 1807, le Modèle:25e léger s'illustre durant la bataille de Friedland.

En 1850, les Modèle:2e et Modèle:3e bataillons sont à la division d'occupation en Italie tandis que le Modèle:1er bataillon et son dépôt étaient à Digne.

1815 à 1852

Modèle:25e régiment d'infanterie légère

1849 : prise de Rome

Second Empire

Le décret du 24 octobre 1854 réorganise les régiments d'infanterie légère les corps de l'armée française. À cet effet le 25e régiment d'infanterie légère prend le numéro 100 et devient le Modèle:100e régiment d'infanterie de ligne.

Liens externes

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Régiments d'infanterie français Modèle:Portail

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