Baugy (Cher)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Baugy est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
Modèle:Encadré texte Baugy est située en Champagne berrichonne, et est traversée par deux cours d'eau : l'Yèvre et la Bondonne.
Localisation
Urbanisme
Typologie
Baugy est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Baugy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web.</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques naturels
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Nobr dénombrés sur la commune en 2019, 495 sont en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on trouve Balgiacus (qui signifierait : lieu boueux ; à rapprocher du nom commun « bauge » ?) puis Baugi et Baugy dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Histoire
Époque de la Gaule romaine
L’histoire du village semble remonter à l’époque postérieure à la prise d'Avaricum par Jules César.
Une nécropole découverte en 1848-1849 au lieu-dit Alléans, à environ un kilomètre à l'est du bourg, a fourni une trentaine de stèles funéraires<ref name="1979Leday51">Modèle:Article, sur Persée, Modèle:P..</ref> Modèle:Refnec ; la plupart d'entre elles sont aujourd’hui exposées au musée du Berry à Bourges<ref name="1979Leday51"/>.
L'incinération pratiquée à Alléans a laissé de nombreuses urnes funéraires dont les plus anciennes, assez peu nombreuses, viennent d'Italie et datent de l'époque augustéenne (27 av. J.-C. - 14 apr. J.-C.). Suivent ensuite des sigillées importées du sud de la Gaule, datant de l'époque tibérienne (14-37) avec un nombre maximum daté de l'époque claudienne (41-54) et de Néron (54-68). Le plus grand nombre de poteries vient alors de l'atelier de La Graufesenque (dont les marques des potiers MACCARUS, DAMONUS et CRESTUS) ; la céramique de Montans est aussi représentée ; et celle de Lezoux pour une part minime incluant surtout des dérivées de sigillées. Les poteries du sud régressent en nombre dès Vespasien (69-79), mais la poterie de la Gaule du Centre Modèle:Incise ne prennent vraiment la relève que vers 150. Ce dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voit un accroissement considérable de verrerie compenser la décroissance de la poterie pour cette période. Mais la poterie reprend son allant dès les Modèle:Lnobr, dominée par l'atelier de Lezoux suivi de près par celui de Terre-Franche. Les céramiques de l'atelier de Gueugnon apparaissent vers la fin de cette période. Par contre il n'est signalé aucune poterie provenant de la Gaule de l'Est<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.
La conversion au christianisme de Constantin au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle amena l'abandon progressif de la religion romaine et sonna donc la fin des pratiques observées à Alléans. L'évêque de Rome ou pape envoya dans l'Empire des prédicateurs chargés de convertir les adeptes de l'ancienne religion ou païens (pagani). Dans cette région de Gaule, saint Martin de Tours fut chargé de cette mission. Le fait que l'église paroissiale de Baugy soit dédiée précisément à saint Martin indique que le changement de religion en Berry eut lieu très tôt.
À environ Modèle:Unité à l'est de cette nécropole, la parcelle dite « les Monts » a livré une enceinte en terre enfermant une surface d'environ Modèle:Unité<ref name="1979Leday51"/>.
Plus à l'est se trouve une dépression occupée par l'étang des Retraits jusque vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; et au-delà, soit à environ Modèle:Unité à l'est de la nécropole, un théâtre romain a été reconnu en 1874<ref name="1979Leday51"/>.
Autant d’éléments retrouvés laissent supposer l’existence d’une voie romaine reliant Avaricum (Bourges) et Nervinum Nevers, passant à proximité d'Alléans - Baugy.
Époque médiévale
Dès 767, après la construction d’un palais à Bourges, Pépin le Bref engage d’importants travaux de fortification dans la province. Ce n’est que vers 856 que Charles le Chauve fait don de l’église de Baugy (avec ses revenus) à l’abbaye de Saint-Sulpice de Bourges. Le village s’étend peu à peu autour de ce nouveau cœur.
Vers 1100-1101, Eudes Arpin (de Montfaucon) Modèle:Incise décide de répondre à l'appel à la croisade lancé en 1095 à Clermont-Ferrand par le pape Modèle:Lnobr. Il vend son domaine au roi [[Philippe Ier de France|Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de France]] pour financer son expédition (dont le but est de délivrer Jérusalem et les lieux saints du Christianisme occupés par les « infidèles » ie les Musulmans). Parmi les proches qui l'accompagnent, on trouve Renaud de Baugy (1). (À son retour de la croisade Modèle:Incise, Eudes Arpin se fait moine à l'abbaye de Cluny ; on le retrouve ensuite Modèle:Incise prieur de La Charité-sur-Loire jusqu'en 1130).
En 1412, l'armée royale de Charles VI de France prend le château de Baugy. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la cure de Saint-Martin de Baugy est « à la nomination » du chapitre de chanoines Saint-Aoustrille [du-Château-lez-Bourges] (c'est-à-dire : le doyen de cette collégiale propose à l'archevêque le nom du futur curé ; en outre, ces chanoines perçoivent la plus grosse part de la dîme versée par la paroisse). Lors de la fondation de la Sainte-Chapelle de Bourges par Jean de Berry, le chapitre de Saint-Aoustrille fusionna avec celui de la Sainte-Chapelle. La paroisse de Baugy passa donc sous le contrôle de cette nouvelle institution religieuse.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la seigneurie de Baugy dépend de Renaud de Montfaucon mais sa justice lui est déjà propre. De même, sur le plan religieux, la paroisse de Baugy dépend de l'archiprêtré de Montfaucon-en-Berry (qui couvre 36 paroisses).
Famille « de Baugy »
Pendant plusieurs siècles, le nom d'une famille noble du Berry est associé au toponyme « Baugy » (sans que l'on trouve trace d'un lien explicite avec le château concerné).
- Vers 850, Pierre de Baugy Modèle:Incise en serait le plus ancien représentant.
- En 1001, Renaud de Baugy prend part à la Modèle:1re.
- En 1425, Julien de Baugy est maire de Bourges.
- En 1529 et 1530, Jean de Baugy est échevin de Bourges.
- En 1571, André de Baugy, seigneur de Pallot, est contrôleur des guerres.
- Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Nicolas de Baugy Modèle:Incise est le plus illustre de toute la lignée : ambassadeur du roi Louis XIII de France et de Richelieu à Prague, Vienne, Bruxelles ; La Haye (auprès de la Cour des Habsbourg d'Autriche et des Pays-Bas, ou bien des Provinces Unies)…
- En 1687, Louis-Henri de Baugy Modèle:Incise prend part à une expédition contre les Iroquois. De retour en France, il est nommé capitaine major à Saint-Benoît-du-Sault (en Bas-Berry).
Famille « de Bar »
La famille « de Bar » marquera pendant plus d'un siècle la seigneurie de Baugy : en confortant le château, en dotant la paroisse d'un hôpital, en érigeant la chapelle Sainte-Anne dans l'église paroissiale… D'autre part, un document Modèle:Incise nous est parvenu ; il est intitulé Compte des recettes et dépenses de la terre de Baugy ; il laisse un aperçu de ce qu'étaient les revenus agricoles de l'époque.
Voici la lignée des « de Bar » (de Baugy) :
- Jean IV de Bar (fils de Jean III de Bar, seigneur de Villemenard, valet de chambre du roi) Modèle:Incise se rend adjudicataire des terres de Baugy et Chaumoux, le Modèle:Date-. Il est aussi seigneur de La Guierche et d'Etréchy. Il est nommé « Grand bailli » de Touraine en 1460 ;
- Jean V de Bar (fils du précédent), est d'abord chanoine de la Sainte-Chapelle de Bourges ; il est ensuite nommé Modèle:Incise évêque de Beauvais, sur intervention de Modèle:Nobr ;
- Denis de Bar (autre fils de Jean IV de Bar), est d'abord chanoine de la cathédrale de Bourges puis Grand archidiacre de Narbonne. En 1468, il est promu évêque de Saint-Papoul (Languedoc) puis Modèle:Incise de Tulle et en troisième lieu Modèle:Incise de Saint-Papoul de 1495 à 1510. Il fait ériger la chapelle de Bar de la cathédrale Saint-Étienne de Bourges en 1517 Modèle:Incise (voir informations complémentaires sur ce dernier site) ;
- Charles de Bar, d'abord abbé de Loroy puis successeur du précédent sur le siège épiscopal de Saint-Papoul Modèle:Incise serait le frère (pour d'autres le neveu ou le cousin) des évêques Jean et Denis de Bar ;
- Charlotte de Bar (1443-1485) (fille de Jean IV de Bar) épouse de Guillaume de Varie, collaborateur direct de Jacques Cœur ;
- Robert de Bar (fils de Jean IV de Bar) député de la Noblesse aux États de Tours en 1484. Décédé en 1498 et enseveli dans l'église de Baugy ;
- François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Bar (fils de Robert de Bar) seigneur de Baugy, de Chanteloup, des Essarts (à Saligny), baron de La Guierche, vicomte de Savigny et du Préau… Il est maître d'hôtel de la Maison du Roi. On le trouve trésorier du Roi en Lauragais (Languedoc). C'est le fondateur de l'hôpital de Baugy. Il décède vers 1530. Il avait épousé Renée de Montb(e)ron, fille de René et petite-fille de Guichard de Montbron, prince de Mortagne et baron d'Avoir, lui-même petit-fils du maréchal Jacques. Sa sœur Magdeleine de Bar (Modèle:Nobr), dame de Plancy et de L'Hermite, épouse en 1494/1495 Modèle:Nobr de Courtenay-Bléneau (1465-1511) ;
- François II de Bar (fils du précédent et possédant les mêmes titres), il épouse en 1545 Catherine de Chabannes, arrière-arrière-petite-fille de [[Jacques Ier de Chabannes de La Palice|Jacques {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] de la Palice (issue de son Modèle:2e Gilbert de Curton) ; il décède sans laisser de postérité mâle. Avec lui s'éteint la branche aînée des « de Bar de Baugy ». Les droits sur Baugy passent à sa fille Louise de Bar (dite dame de Baugy ; Postérité), et à sa sœur Jeanne-Françoise de Bar, dame d'Etréchy (Modèle:Nobr ; femme de Jean de Jaucourt ci-dessous).
Château de Baugy
- Le duc Jean de Berry a séjourné à plusieurs reprises au château de Baugy.
- En 1462, Michel Colombe reçoit à Baugy commande de cinq statues en pierre d'Apremont de la part de Jean de Bar, chambellan du roi Louis XI et bailli de Touraine (statues de saint André, saint Jacques, sainte Catherine, La Madeleine, ainsi qu'une de la Vierge de Modèle:Nobr de long).
- En 1591, il est occupé par les royalistes qui, selon Raynal, y firent « élever de redoutables fortifications ».
- Il devient en 1602/1603-1611 propriété de Maximilien de Béthune, duc de Sully, célèbre ministre de Henri IV, par saisie sur les Jaucourt de Villarnoult (Jean de Jaucourt de Villarnoult avait épousé Jeanne-Françoise de Bar de Baugy et d'Etréchy, Modèle:Nobr, sœur de Modèle:Nobr de Bar vu ci-dessus ; leur fille Louise de Jaucourt, femme de François de Courtenay-La Ferté-Loupière-Bontin, était la mère d'Anne de Courtenay, la Modèle:1re du ministre Sully)<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; Sully fait remonter la muraille et ajouter quatre tours d’angle à l’édifice.
- Par la suite, les prince de Condé Henri II et son fils Louis II de Bourbon-Condé, comtes de Sancerre et ducs de Châteauroux, gouverneurs et lieutenants généraux du Berry, acquièrent de nombreuses places fortes par acquisition/échange avec Sully, dont Culan, Montrond et Baugy, dont ils renforcent alors les défenses.
- Lors de la Fronde, le château de Baugy fut un des plus importants points d’appui des frondeurs. Il passa plusieurs fois aux mains des troupes royales, guidées par le maréchal de Palluau et fut repris par Condé, qui connaîtra finalement la défaite.
- Tirant les enseignements de la fronde d'une partie de la noblesse contre le pouvoir royal, Mazarin Modèle:Incise ordonne, en 1653, la destruction de nombreux lieux fortifiés en Berry, tels la « Grosse Tour » de Bourges, Montrond, Culan, Le Châtelet, Baugy. De ce dernier château, il ne reste aujourd’hui que les larges douves, qui en laissent toujours deviner le plan carré et le volume.
Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle
- Le 24 janvier 1505, fondation de l'hôpital de Baugy par François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Bar, seigneur du lieu (voir plus haut).
- En 1570, pendant les guerres de Religion, le maréchal de la Châtre Modèle:Incise enlève le château de Baugy aux protestants dirigés par le ministre Renty.
- En 1596 Modèle:Incise les huguenots disposent dans le Berry de six églises : Sancerre, Issoudun, Argenton, Baugy, Vierzon, Aubigny.
Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle
- En 1666, Montfaucon-en-Berry devient Villequiers.
- En 1687, Louis-Henri de Baugy (voir plus haut la famille de Baugy), chevalier originaire du Berry, prend part à une expédition en Nouvelle-France contre les Iroquois.
Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle
- Entre 1755 et 1761, Baugy est décrite comme étant « une paroisse composée de Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, de Modèle:Nobr… » (Archives du Cher, C318).
- En 1793, pendant la Révolution française, le citoyen Bonneau Modèle:Incise est arrêté pour avoir refusé de prêter le serment prévu par la Constitution civile du clergé.
Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle
Le Modèle:Date-, Baugy absorbe Laverdines et Saligny-le-Vif pour devenir une commune nouvelle dont la création est actée par un arrêté préfectoral du Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>.
Baugy, une ville marchande
- La paix revenue (en particulier après la guerre de Cent Ans), Baugy accueille huit foires pour le négoce des chevaux (les 10 janvier, 22 février, 25 avril, 11 juin, Modèle:Date- (plus foire aux laines), foires aux poulains les Modèle:Date- (saint Mathieu) et Modèle:Date- enfin Modèle:Date-].
- En 1681, la paroisse s’enrichit Modèle:Incise d’un marché hebdomadaire, le mercredi (marché qui se tenait auparavant à Villequiers).
- Le marché de Noël est le plus grand marché de Noël du Cher.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin
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source : https://patrimoinebalgycien.fr/notre-histoire/les-maires-de-la-commune-de-baugy/
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin (nef Modèle:S mini-, clocher et chœur Modèle:S mini-, chapelle des Bar).
- La place du Commerce.
- L'ancien château.
- L'ancienne halle aux Grains (1885).
Personnalités liées à la commune
- Gabriel Ranvier, surnommé « le Christ de Belleville », né à Baugy en 1828. Blanquiste, membre du Conseil de la Commune de Paris, maire du Modèle:20e. À la fin de la Commune, Ranvier est condamné à mort mais il réussit à s'évader ; il s'exile à Londres où il rencontre Karl Marx. Amnistié, il rentre en France juste avant de s'éteindre à Paris, en 1879.
- Henri Boursin (1873-1926), ouvrier cuisinier né à Baugy, a travaillé dans plusieurs grands restaurants d'Europe et du pourtour méditerranéen à la Belle Époque. Sa vie est racontée à travers ses notes et des archives dans un livre écrit par son petit-fils, Bernard Epailly et intitulé « Les aventures d'un cuisinier berrichon à la Belle-Époque ».
- Paul Morlon (1912-1993), officier du [[1er régiment d'artillerie de marine|Modèle:1er Régiment d'Artillerie coloniale]], Compagnon de la Libération<ref>Fiche sur le site de l'Ordre de la Libération.</ref>.
- Juliette Darle (1921-2013), poétesse, est née à Saligny-le-Vif, village rataché à la commune
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Notes et références
Notes
Notes cartes
<references group="Carte"/>
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Gaspar Thaumas de la Thaumassière, Histoire de Berry (pour la famille de Bar ; consultable en ligne).
- Charles Delettre, Histoire du diocèse de Beauvais depuis son établissement au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 1843 (à propos de l'évêque Jean de Bar).
- Chevalier de Baugy, Journal d'une expédition contre les Iroquois en 1687.
- Baugy des Gaulois à nos jours, Association pour la promotion des études et de la recherche archéologique dans le canton de Baugy, Baugy, 1981. Modèle:Plume