Central Intelligence Agency

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Langue du titre Modèle:Redirect Modèle:Confusion Modèle:Infobox Agence gouvernementale

La Modèle:Langue (CIA, « agence centrale de renseignement » en français)<ref group="note">Anciennement désignée comme le CIA, au masculin, par exemple dans les films James Bond contre Dr No ou Le Serpent, ou encore le générique de la série Destination danger.</ref>, fondée en 1947 par le National Security Act, est l'une des agences de renseignement les plus connues des États-Unis. Elle est chargée de l'acquisition du renseignement (notamment par l'espionnage) et de la plupart des opérations clandestines effectuées hors du sol américain.

La CIA a le statut juridique d'agence indépendante du gouvernement des États-Unis et dépend du directeur du renseignement national.

Présentation

Fichier:2430 E Street.png
Emblème figurant sur le premier bâtiment de la CIA à Washington, D.C..

La CIA, fondée dans le cadre du National Security Act entré en vigueur le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, a son quartier général depuis 1961 sur le site de Langley, dans la ville de McLean en Virginie, aux États-Unis, à environ Modèle:Unité de Washington. Auparavant elle occupait des bâtiments délabrés connus sous le nom de Foggy Bottom, situés au 2430 E Street à Washington. Elle a le droit de garder secrètes la plupart de ses caractéristiques : nombre d'employés, budget<ref name="employes_budget_classified"/>,<ref group="note">Le chiffre de 28 milliards est parfois cité car révélé en 1987 mais il s'agit du budget de toute l'Intelligence Community, dont la part de la CIA à l'époque n'était que d'un milliard.</ref>, etc.

D'après un document fourni par Edward Snowden, le budget alloué à la CIA pour l'année 2012 s'élève à 15,3 milliards de dollars<ref name="spy budget"/>. Son budget en 2010 avait été évalué à 10 milliards de dollars américains, sur un programme de renseignement national s'élevant à 53 milliards<ref>DNI Releases Budget Figure for 2007 National Intelligence Program.</ref>. En 2009, l'ensemble des seize agences - aujourd'hui dix-sept - de l'Intelligence Community avait un budget annuel de 75 milliards de dollars et employait quelque Modèle:Nombre dans le monde, y compris des entrepreneurs privés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Organisation

La CIA s'organise en quatre directions principales<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Organigramme d'ensemble en 2009 sur le site web de la CIA.</ref> :

  • la direction de l'Analyse (Directorate of Analysis, ex-Directorate of Intelligence), qui constitue la branche analyse de la CIA et qui est responsable de l’exploitation et de la diffusion du renseignement ;
  • la direction de la science et technologie, qui a pour mission de concevoir de nouvelles technologies pour l’aide à la recherche du renseignement ;
  • la direction des Opérations, qui est responsable de la collecte du renseignement. Cette direction est également responsable du recrutement, de la formation et du suivi des agents de renseignements en poste à l’étranger. Sa Special Activities Division est responsable de la conduite des opérations clandestines ;
  • la direction du soutien qui est responsable de tout le soutien de la CIA (communications, sécurité, logistique, services médicaux et financiers).

À l'étranger, les antennes de la direction des opérations sont habituellement basées dans les missions diplomatiques américaines. On distingue les postes (stations), typiquement une par pays et basée dans l'ambassade américaine située dans la capitale du pays hôte, et les bases, antennes plus petites situées dans d'autres grandes villes. Le chef de poste de la CIA a autorité sur les éventuelles bases situées dans le même pays.

Parallèlement aux officiers opérant sous couverture diplomatique, la CIA utilise également des officiers utilisant d'autres couvertures (par exemple celles d'hommes d'affaires) dites nonofficial cover (NOC). Bien que présenté comme le type d'agent idéal à la situation de l'après-guerre-froide dans la presse<ref>Modèle:Article ; Modèle:Article.</ref>, l'expérience de la CIA avec les NOC a été mitigée, car ils ne sont pas forcément plus efficaces pour approcher ses cibles, sont très coûteux, plus exposés, ce qui n'incite pas à les mêler à des opérations risquées<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 2004, la CIA avait environ Modèle:Nombre traitants en service dans le monde, dont environ 160 NOC et 100 DCO (diversified cover officers, contractuels travaillant outre-mer)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Loch K. Johnson, « Evaluating “Humint”: The Role of Foreign Agents in U.S. Security », papier présenté à la 50th Annual Convention « Exploring the Past, Anticipating the Future » de l'International Studies Association (ISA), New York, février 2009 Modèle:Lire en ligne. Un article du même titre a par la suite été publié : {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Loch Johnson, « Evaluating “Humint”: The Role of Foreign Agents in U.S. Security », dans Comparative Strategy, vol. 29, no 4, 2010, Modèle:P..</ref>.

Présence sur le territoire des États-Unis

La CIA n'est pas autorisée à espionner des Américains. Elle effectue des opérations sur le territoire des États-Unis depuis au minimum les années 1960. Parmi ces opérations : le recrutement clandestin de citoyens étrangers se trouvant en territoire américain pour qu'ils fournissent des renseignements sur leur pays d'origine ou des pays tiers. Par exemple, un cas fut rendu public vers 1983-1984 concernant un Afghan recruté sur le territoire américain. Revenu en Afghanistan, il a été retourné par les services secrets afghans et soviétiques. L'opération a abouti à l'expulsion de son officier traitant, Richard Vandiver. Ces activités tendent à être coordonnées avec le FBI. Dans les années 1980, le FBI et la CIA ont ainsi collaboré dans le programme Courtship, concernant les opérations de recrutement et de traitement de Soviétiques en territoire américain. Aldrich Ames a en particulier traité deux informateurs soviétiques de la CIA à New York, Sergueï Fedorenko et Arkadi Chevtchenko, puis tenté de recruter des Soviétiques aux États-Unis<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} The Cold War's Last Spy, U.S. News & World Report, Brian Duffy, 26 février 1995 ; {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rhodri Jeffreys-Jones, The FBI: a history, Yale University Press, 2007 Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Un autre rôle de la CIA aux Etats-Unis consiste à interroger (« débriefer ») des citoyens américains lui fournissant volontairement des informations, typiquement des personnes revenant d'un voyage dans un pays étranger<ref>Modèle:Article ; Steve Coll, Ghost Wars, Modèle:P..</ref>.

En 2001, ces activités étaient regroupées dans la National Resources (NR) Division qui comptait environ 500 officiers dans 36 grandes villes<ref>« Business Travel: When The CIA Calls ». Auparavant, ces deux rôles étaient séparés : le débriefing d'Américains était géré par le Domestic Contact Service (DCS) (dossier des « Family Jewels » Modèle:P., 536) renommé successivement Domestic Contact Division (DCD) et National Collection Division (NCD), tandis que le recrutement d'étrangers sur le territoire était conduit par une autre division qui porta les noms de Domestic Operations Division (DOD) puis Foreign Resources Division (FRD) (Modèle:Ouvrage).</ref>. Des stations de la CIA ont été signalées entre autres à New York, Washington, Seattle, Dallas<ref>Milton Bearden et James Risen, CIA-KGB : le dernier combat, Modèle:P..</ref>, Houston<ref>Steve Coll, Ghost Wars, Modèle:P..</ref>, Pittsburgh<ref>James Risen, État de guerre, Modèle:P..</ref> et Chicago. Leurs couvertures sont soit commerciales, soit, à New York, sous couvert de l'ONU, diplomatiques.

Effectifs, recrutement et formation

Fichier:New Headquarters Building (NHB) - Flickr - The Central Intelligence Agency (1).jpg
Vue du siège de la CIA.

Le personnel de la CIA était prévu à Modèle:Nombre en 2012, en augmentation depuis le [[Attentats du 11 septembre 2001|Modèle:Date-]] où il était estimé à 17 000.

En 2003, la plus importante promotion de nouveaux agents de la CIA depuis 50 ans est arrivée. Elle est composée à 70 % de civils n'ayant jamais travaillé pour le gouvernement et d'un tiers de femmes, 12 % des recrutés sont issus de minorités ethniques et presque tous pratiquent avec aisance une langue étrangère.

Formées durant un an au centre d'entraînement de la CIA à Camp Peary baptisé « La Ferme », ces recrues ont intégré le siège de Langley avec un salaire de départ de 45 000 à Modèle:Monnaie. Ces personnes ont été choisies parmi les Modèle:Nombre que l'agence a reçus entre 2001 et 2002, un quart provenant de l'étranger, le plus souvent de citoyens européens. Seuls les citoyens américains peuvent postuler à la CIA.

Installations

Rôles

La CIA est chargée de deux rôles : d'une part fournir et analyser des informations sur les gouvernements, les entreprises et les individus de tous les pays du monde pour le compte du gouvernement américain, d'autre part conduire des opérations clandestines à l'étranger. Ces dernières, bien que souvent citées, ne représenteraient qu'environ 3 % des dépenses de l'agence<ref name=Baud>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Son efficacité dans l'accomplissement de ces deux fonctions est critiquée.

En ce qui concerne la fonction informative, on peut relever que la CIA a été incapable de prévenir le président de nombreux évènements tels que Modèle:Citation Elle a surestimé les capacités militaires soviétiques dans les années 1950 puis les a sous-estimées dans les années 1970. Le bilan des opérations secrètes est également très critiquable. Le Modèle:Citation était tenu en piètre estime par plusieurs présidents dont Richard Nixon qui disait de ses analystes qu'ils étaient Modèle:Citation<ref>Article de The Economist, On top of everything else, not very good at its job, Books and art, Modèle:P., 18/08/2007 ; critique du livre Des cendres en héritage de Tim Weiner.</ref>. La CIA n'a pas pu non plus avoir des informations précises les jours précédant les [[attentats du 11 septembre 2001|attentats du Modèle:Date-]] contre le World Trade Center, le Pentagone et Shanksville.

Concernant la partie des actions clandestines, si elle a bénéficié d'une réussite favorisée par des conditions spécifique au cours des années 1950, au Guatemala avec l'opération PB Success, puis en Iran pour rétablir le Shah d'Iran pour protéger les investissements des compagnies pétrolières, elle a en revanche montré un grave niveau d'incompétence à partir des années 60 et notamment lors de l'opération de débarquement de la Baie des Cochons, planifiée sous Dwight Eisenhower et exécutée sur le mandat de John F Kennedy, en avril 1961, qui visait la neutralisation du régime de Fidel Castro sur l'ile de Cuba. L'opération qui fut un désastre militaire, politique et diplomatique fut qualifiée de "perfect failure" ou échec parfait<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Législation

Actuellement la CIA est sérieusement réglementée et surveillée par les pouvoirs exécutifs et législatifs américains, bien que ce ne fut pas toujours le cas par le passé. Elle conclut en 1954 avec le ministère de la Justice un accord afin d’empêcher toute poursuite à l'encontre des agents qui auraient commis des crimes et pourraient faire des révélations confidentielles lors d'une éventuelle audience<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Depuis la création de la CIA jusqu'au milieu des années 1970, aucun contrôle parlementaire n'a été établi sur « l'agence » (ni sur les autres services de renseignements américains)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} La loi sur la délégation parlementaire au renseignement en France n'a été adopté que le 25 septembre 2007.</ref>. En 1975, deux commissions d'enquête parlementaires, dites commissions Church et Pike, auront droit d'enquêter sur les activités passées des services de renseignement.

Depuis 1975, le Congrès maintient deux commissions chargées de superviser les activités des services de renseignement américains, l'une, le SSCI (Senate Select Committee on Intelligence)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Site du Senate Select Committee on Intelligence.</ref> dépendant du Sénat, l'autre, le HPSCI (House Permanent Select Committee on Intelligence), constituée par des membres de la chambre des représentants. Depuis cette époque, l'exécutif américain a établi un certain nombre de lois restreignant notamment les possibilités de mener des opérations clandestines, notamment par des Executive Orders émis par les présidents Gerald Ford (Executive Order 11 905), Jimmy Carter (E.O. 12 036) et Ronald Reagan (E.O. 12 333). La CIA n'a actuellement pas le droit de mener des actions sur le territoire des États-Unis, de mener des opérations clandestines sans en informer préalablement les commissions parlementaires, et, sauf ordre spécial du président des États-Unis, de mener ou contribuer à un assassinat.

Histoire

Fichier:CIA OHB Lobby Memorial Wall.jpg
Le Memorial Wall de la CIA honorant la mémoire des officiers de la CIA morts durant leur service, une étoile représente une personne. En 1997, il y avait 70 étoiles, 79 en 2002, 83 en 2004, 102 au 1er juin 2010, et 137 en mai 2021.

Modèle:Article détailléLa CIA est l'héritière de l'Office of Strategic Services, service de renseignement en temps de guerre, créé par Franklin Delano Roosevelt après l'attaque de Pearl Harbor. La CIA est créée par le président Harry S. Truman en 1946 afin d'assurer à l'Amérique en service de renseignement efficace en temps de paix comme de guerre<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref>. Avec l'arrivée de l'administration Obama, Michael Hayden, directeur sortant, a écrit une liste de préoccupations par ordre d'importance pour la CIA en 2009<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} NOTES D'ACTUALITÉ no 160 ETATS-UNIS : LE TESTAMENT DE L'EX-DIRECTEUR DE LA CIA, 7 février 2009.</ref> :

  1. Al-Qaïda et ses franchises restent le danger numéro un pour les États-Unis.
  2. La lutte contre les narcotrafiquants au Mexique.
  3. Le programme d'armes de destruction massive en Iran.
  4. Les approches de plus en plus divergentes entre l'Europe et les États-Unis concernant la « guerre contre le terrorisme ».
  5. L'instabilité provoquée par le faible prix du pétrole sur des États producteurs comme le Venezuela et l'Iran.
  6. La situation au Pakistan, qualifié de « pays ami », qui est en butte à des difficultés internes très importantes.
  7. L'Afghanistan et la traque de Ben Laden (effectué).
  8. La Corée du Nord et son arsenal nucléaire.
  9. La République populaire de Chine et sa réaction face à la crise économique de 2008-2009.
  10. Le Proche-Orient qui reste une zone de tension extrêmement importante.

Opérations à l'étranger

Opérations de renseignement

  • Opération PBJointly ou opération Gold : un tunnel creusé à partir de Berlin-Ouest pour mettre sur écoute des câbles souterrains de communications militaires soviétiques sous Berlin-Est<ref>The Berlin Tunnel Operation, 1952-1956.</ref> ;
  • Projet Aquatone : programme de l'avion Lockheed U-2 ;
  • Projet Coldfeet : fouille d'une base arctique soviétique abandonnée en 1962<ref>Modèle:Article.</ref> ;
  • Projet Corona : premiers satellites espions de la série Corona ;
  • Projet Jennifer : tentative de récupération en 1974 d'un sous-marin soviétique qui avait coulé près d'Hawaï ;
  • Projet Oxcart : programme de l'avion Lockheed A-12.
  • Opération Rubicon : 120 gouvernements à travers le monde s'en sont remis à l'entreprise suisse Crypto AG pour assurer la confidentialité des communications de leurs espions, militaires et diplomates. Propriété de la CIA et des renseignements ouest-allemands, l'entreprise a permis à ces deux services de déchiffrer les messages codés entre les années 1960 et 2010. L'Union soviétique et la Chine, méfiantes, n'ont jamais compté parmi les clients de Crypto. La CIA a cependant pu prendre connaissance d'une partie de leurs échanges grâce à des pays tiers munis d'appareils trafiqués. La CIA estime avoir pu lire 80 à 90 % des messages codés iraniens envoyés à la fin des années 1980. Elle a également pu espionner les communications égyptiennes lors des négociations de Camp David en 1978, les messages argentins pendant la guerre des Malouines en 1982, ou encore collecter des informations décisives lors de l'invasion du Panama en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Actions politiques

La CIA a influencé parfois de façon décisive l'histoire politique des États dans lesquels elle est intervenue au nom des intérêts des États-Unis. Elle a créé ou soutenu plusieurs mouvements insurrectionnels, qu'ils soient armés ou non (particulièrement en Amérique latine, dans le monde arabe ou en Asie).

Parmi les opérations connues :

Actions culturelles

Directeurs

Fichier:CIA Director Burns.jpg
William Joseph Burns, directeur de la CIA de 2021 à 2024.

Le directeur (Director of Central Intelligence, DCI) dirige la CIA et toute la communauté du renseignement.

À partir d'Modèle:Date-, conformément à l'Intelligence Reform and Terrorism Prevention Act de 2004, le poste de directeur est remplacé par ceux de directeur de la CIA (Director of the Central Intelligence Agency) et de directeur du renseignement national (Director of National Intelligence, DNI, directeur de la communauté du renseignement).

Directeurs adjoints

Fichier:David cohen 2021.jpg
David S. Cohen directeur adjoint de la CIA de 2021 à 2024.

Le directeur adjoint (Deputy Director of Central Intelligence, DDCI) est le sous-directeur de la CIA. Le premier, Kingman Douglass, avait été nommé par le directeur. En avril 1953, le Congrès a amendé le National Security Act pour permettre au président des États-Unis de nommer lui-même le directeur adjoint. L'amendement stipule que le directeur et le directeur adjoint ne peuvent être simultanément des officiers militaires. Avec l'adoption de l'Intelligence Reform and Terrorism Prevention Act en 2004, cette fonction est supprimée.

Le directeur adjoint de la CIA (Deputy Director of the Central Intelligence Agency, DD/CIA) remplace le directeur adjoint de l'agence et a pour mission d'assister le directeur et de le remplacer en cas d'indisponibilité ou par intérim.

CIA World Factbook

Le CIA World Factbook est une source documentaire sur les pays du monde éditée par la CIA, libre de droits<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Unless a copyright is indicated, information on the Central Intelligence Agency Web site is in the public domain and may be reproduced, published or otherwise used without the Central Intelligence Agency's permission. : Modèle:Citation.</ref>.

Dans la fiction

La saga cinématographique Jason Bourne (2002-2016) a pour toile de fond des programmes secrets de la CIA. Elle se base sur les romans de Robert Ludlum.

La série Homeland (8 saisons de 2012 à 2020) avec les acteurs principaux Claire Danes et Mandy Patinkin se veut hyperréaliste dans l’écriture du scénario avec des agents de la CIA qui font face aux défis du monde actuel.

The Company est une mini-série américaine en trois épisodes, créée par Robert Littell, d'après son roman La Compagnie : le grand roman de la CIA, qui met en scène une histoire fictive de trois espions en pleine guerre froide.

Des agents de la CIA sont jouables dans le mode zombie de Call of Duty: Black Ops II.

La CIA apparaît dans Grand Theft Auto IV, Grand Theft Auto V et Grand Theft Auto Online, sous le nom de International Affairs Agency (IAA)

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Fichier:Kryptos sculptor.jpg
Kryptos, en 1991.

Bibliographie

Modèle:Légende plume

  • Comment sera le monde en 2020 ?, rapport de la CIA présenté par Adler Alexandre, Hel Guedj Johan-Frédérik, Éditions Robert Laffont, 2005. Modèle:ISBN
  • Philip Agee, Journal d'un agent secret : dix ans dans la CIA, Seuil 1976. Modèle:ISBN
  • Robert Baer, La Chute de la CIA, Les Mémoires d'un guerrier de l'ombre sur les fronts de l'islamisme, JC Lattès, 2002.
  • Modèle:Ouvrage
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gary Berntsen et Ralph Pezzullo, Jawbreaker: The Attack on Bin Laden and Al-Qaeda: A Personal Account by the CIA's Key Field Commander, Three Rivers Press, New York, 2006 Modèle:ISBN (première édition Crown, 2005) Modèle:Plume
  • William Blum, Les Guerres scélérates : les interventions de l'armée américaine et de la CIA depuis 1945, Parangon, 2004. Modèle:ISBN
  • Frédéric Charpier, La CIA en France. 60 ans d'ingérence dans les affaires françaises, Seuil, 2008, 365 pages, Modèle:ISBN
  • Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
  • Modèle:Ouvrage
  • Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
  • John K. Cooley, CIA et Jihad, 1950-2001 : contre l'URSS, une désastreuse alliance, Autrement, 2002.
  • Franck Daninos, La Double Défaite du renseignement américain, Ellipses, 2006
  • Franck Daninos, CIA : une histoire politique (1947-2007), Tallandier, 2007, Modèle:ISBN
  • Yvonnick Denoël, Le Livre noir de la CIA : les archives dévoilées, Nouveau Monde éditions, 2007. Modèle:ISBN
  • Catherine Durandin, La CIA en guerre : Allende, Gorbatchev, Ben Laden, Saddam Hussein, Grancher, 2003. Modèle:ISBN Modèle:Plume
  • Catherine Durandin, CIA : cinq années de colère, Paris, Armand Colin, 176 pages, 2007, Modèle:ISBN
  • Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
  • Larry J. Kolb, Overworld : confessions d'un espion malgré lui, Albin Michel, 2005.
  • Joël Kotek, La Jeune Garde, Éditions du Seuil, 1998.
  • Frédéric Lert, Les Ailes de la CIA, Histoire & Collection, 1998. Modèle:ISBN
  • Victor Marchetti et John D. Marks, La CIA et le culte du renseignement [« The CIA and the Cult of Intelligence »], Robert Laffont, coll. « Notre époque », 1975
  • Trevor Paglen, A. C. Thompson, Kidnappés par la CIA : Les charters de la torture, Saint-Simon, 2007
  • Jean-Marc Pillas, Nos agents à La Havane, Albin Michel, 1995 Modèle:Plume
  • John Prados, Histoire de la CIA, Perrin, 2019.
  • Raphaël Ramos, De l'OSS à la CIA : la centralisation du renseignement américain au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à travers l'expérience du Central Intelligence Group, Publications de l'université Paul-Valéry Montpellier-III, 2006? Modèle:ISBN
  • Modèle:Ouvrage
  • Frances Stonor Saunders, Qui mène la danse ? La CIA et la guerre froide culturelle, Denoël, 2003, 506 p.
  • Gordon Thomas, Les Armes secrètes de la CIA, tortures, manipulation et armes chimiques, Nouveau Monde, 2006. Modèle:ISBN
  • Andrew Tully, CIA. L'histoire révélée du contre-espionnage américain, Stock, 1962.
  • Tim Weiner, Des cendres en héritage : l'histoire de la CIA [« Legacy of Ashes: The History of the CIA »], éditions de Fallois, 2009
  • Bob Woodward, CIA. Guerres secrètes 1981-1987, Stock, 1987. Modèle:ISBN Modèle:Plume
  • Mark Zepezauer, Les Sales Coups de la CIA, L'esprit frappeur, 144 pages, 2002. Modèle:ISBN

Dans la fiction cinématographique

Documentaires

Liens externes

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