Charenton-du-Cher

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Charenton-du-Cher est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Charenton-du-Cher est un village faisant partie de la région Centre, dans le département du Cher. Chef-lieu de canton, il regroupe 9 communes (Charenton compris). Pour une superficie de Modèle:Unité, la cité compte 1 154 habitants. Charenton comprend deux hameaux : Laugère et les Perrons.

Le bourg de 750 habitants s'étire sur la route de Saint-Amand-Montrond à Sancoins et est compris entre la Marmande et l'ancien canal de Berry. La partie centrale du bourg date des époques gallo-romaine (Carento-Magus) et mérovingienne et est limitée par l'ancienne enceinte.

Localisation

Urbanisme

Typologie

Charenton-du-Cher est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,5 %), forêts (29,9 %), terres arables (17,8 %), zones urbanisées (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Charenton-du-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:18052-Charenton-du-Cher-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Charenton-du-Cher.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 628 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

La commune est en outre située en aval du barrage de l'étang de Goule, de classe BModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Attestée sous les formes vicaria Carintominse en 818, Carentonium en 1327, du nom propre gaulois Carantus et -ó-magos<ref>Ernest Nègre Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 193</ref>. Les Gaulois mettaient l'accent tonique sur la dernière voyelle -o- du premier élément : les finales en -ômagos se sont donc transformées en -ômos pour finalement être réduites au simple son -on, -an ou -en.
Le mot gaulois magos a d'abord désigné un simple champ, puis un champ de foire, un marché et enfin le village ou la ville qui se développe autour de ce marché.

Histoire

Origines

Carento Magus est le nom gaulois de Charenton. Ce toponyme de Magus correspond aux bourgs commerçants établis aux carrefours des grands axes routiers. Magus signifie originellement « champ », puis « marché » et enfin « ville ». Carento pouvant signifier ami, il s'agirait du « champ d'un ami ». Cette appellation est liée à la présence d'une fontaine bénéfique comme à Nerimagus ou à Argentomagus. À l'époque gallo-romaine, Carento-magus relève de l'Aquitaine Première et est situé en territoire des Bituriges sur le chemin reliant Avaricum à Bourbon.

Moyen Âge

La famille de Sancerre possédera la baronnie de Charenton jusqu'en 1402. La comtesse de Sancerre, Marguerite, † 1418, laissant une descendance dans les dauphins d'Auvergne-comtes de Clermont (elle fut la Modèle:2e femme du dauphin Béraud II), ses héritiers se disputeront les terres jusqu'en 1454. La seigneurie de Charenton revient alors à Anne de Bueil, dame d'Aubijoux, épouse de Pierre Ier d'Amboise de Chaumont, fille de Jean IV de Bueil et de Marguerite d'Auvergne-Sancerre (fille benjamine de la comtesse Marguerite et du dauphin Béraud). L'un de ses fils, le cardinal Georges d'Amboise financera l'embellissement de leur demeure de Meillant ainsi que la réfection de l'abbaye bénédictine féminine à Charenton.

Vicairie et seigneurs

Charenton est au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une vicairie et forme au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une baronnie comprenant Orval, Bruère, le château fort de Saint-Amand, Épineuil, Vallon, Blet, Ainay, Meillant, et très probablement Chalivoy, Neuilly, Sancoins (avec Jouy), Sagonne... Il a longtemps été admis, suivant La Thaumassière, que cet ensemble féodal composait l'apanage d'une branche cadette — apparentée aux La Châtre — de la très puissante maison des princes de Déols et de Château-Raoul (cf. Déols, Châteauroux), laquelle joua un rôle brillant au Moyen Âge mais dont le rayon d'action se trouvait plus à l'ouest, dans le Bas-Berry (l'Indre).

Il semble davantage aujourd'hui que les princes de Charenton ont une origine bourguignonne/nivernaise ou bourbonnaise : les princes de Charenton portent d'ailleurs le nom d'Ebe (le site MedLands indexé plus bas les appelle Ebles), donc pas tout à fait Ebbe(s) comme certains princes de Déols (mais en fait on trouve indifféremment en latin Ebo ou Ebbo, et l'historien du Berry Guy Devailly — né en 1924 — les nomme Ebbes) ; surtout on ne trouve pas chez eux le nom de Raoul, un marqueur des Déols qui a forgé le nom de Château-Raoul/Châteauroux, ni de mention des Déols dans leurs actes.

Cela n'empêche pas des liens étroits avec les Déols, peut-être très anciens, ni bien sûr le mariage d'Agnès de Charenton dame de Meillant, avec Raoul VI de Déols dans la Modèle:2e moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

A noter : Guillaume de Saint-Amand, Saint-Amand le Chastel fondé par les seigneurs de Charenton, était vassal des Bourbons en 1095/96, puisqu'il fut convoqué par Archambaud V de Bourbon avec d'autres vassaux à une réunion avec le pape Urbain II. À cette époque cette région était dans la zone d'influence du Bourbonnais, y compris Charenton.

Les seigneurs princes de Charenton aux {{#switch: XIII

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Le partage successoral de mai 1250 accorde alors Charenton aux Courtenay-Champignelles, Agnès de Toucy — fille d'Anséric II de Toucy de Bazarnes et d'Agnès de Montfaucon-Charenton qu'on vient d'évoquer — ayant épousé Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Courtenay-Champignelles (1228-1280 ; dernier fils de Robert et de Mahaut de Mehun), et ayant été déclarée en 1264 héritière de tous les biens de sa mère Guillerme de Montfaucon-Charenton hormis Champroux). En 1265, un accord entre les Courtenay-Champignelles et les Sancerre accorda les biens hérités par Agnès de Toucy et qui constituaient sa dot, à son grand-cousin et beau-frère Louis de Sancerre ci-dessus, en échange de La Ferté-Loupière : la cohérence ou cohésion géographique l'emportait !

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Charenton est donc une possession des Maisons de Sancerre, puis d'Amboise jusqu'en 1540 (les Sancerre étant aussi seigneurs de Montfaucon, environ de 1329 à 1483). En effet, comme on vient de le voir, un échange entre les Sancerre et les Courtenay-Champignelles a fait passer vers 1265/1266 Charenton aux comtes de Sancerre ([[Louis Ier de Sancerre|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] ci-dessus, époux de Blanche de Courtenay-Champignelles, une sœur de Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Courtenay : deux des enfants de Robert de Courtenay), les Courtenay obtenant en contrepartie La Ferté-Loupière.

Puis Anne de Bueil-Sancerre (1405-1458), dame d'Aubijoux, Charenton, Meillant, Sagonne, Jouy..., fille de Jean IV de Bueil et Marguerite-Dauphine d'Auvergne (héritière de Sancerre), sœur du comte de Sancerre Jean V de Bueil, épouse en 1428 Pierre de Chaumont d'Amboise. Les Chaumont d'Amboise tiendront Charenton jusqu'à Antoinette (1495-1552 ; aussi dame de Chaumont, Meillant, Sagonne, Ravel et Li(g)nières), qui transmet ses fiefs à son mari épousé en 1518, Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux (1471-1537). Leur fils Charles de La Rochefoucauld-Barbezieux (1520-1583) cède Linières, Meillant et Charenton à sa deuxième fille Antoinette de La Rochefoucauld, † 1627, femme en 1577 d'Antoine de Brichanteau marquis de Nangis, amiral de France (1552-1617) : leur arrière-arrière-petite-fille Louise-Madeleine-Thérèse de Brichanteau, † 1713, mariée sans postérité en 1710 à Pierre-François Gorge d'Antraigues, est la dernière dame de Meillant et de Charenton en lignée héréditaire. Voir alors la succession de la baronnie de Charenton ci-dessous et aux articles Brichanteau et Meillant, jusqu'à Armand-Joseph de Béthune, duc de Chârost (1738-1800).

Charenton dépendra jusqu'à la Révolution de la châtellenie d'Ainay-le-Château et de l'élection de Saint-Amand. Sa coutume était particulière et fortement influencée par celle du Bourbonnais.

sarcophage en pierre couvercle à demi-soulevé. Divers motifs gravés : deux lions, un paon, un symbole christique, une fontaine
Le sarcophage de saint Chalan (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

L'abbaye royale de Bellavaux de Charenton dédiée à Notre-Dame était une abbaye bénédictine féminine qui à son origine, en 620, avait suivi la règle de saint Colomban. Elle avait, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le Roi comme collateur et l'archevêque de Bourges pour patron. L'abbaye de Charenton possédait un sarcophage en marbre blanc attribué à saint Chalan<ref>Saint Chalan sur portal amisaintcolomban.org</ref> (visible au musée du Berry à Bourges).

Les plus anciens vestiges trouvés à Charenton lors des travaux d'adduction d'eau en 1963 sont de l'époque romaine (tégula, monnaie, sols...) et surtout mérovingienne (mobilier, boucles de ceinture, sarcophages, lampe à huile en terre cuite...). Sous l'actuelle place de l'Église, il existe un cimetière daté du haut Moyen Âge.

Temps modernes

  • 1651-1652 : durant la Fronde et le siège de Montrond, Charenton est occupé par les troupes royales comprenant plus de 500 cavaliers et chevaux, les pillages sont nombreux. La ville et la campagne avoisinante sont ruinées.
  • 1675-1697 : l'abbesse Renée de Mesgrigny fait faire d'importants travaux de rénovation à l'abbaye avec la construction d'un logis abbatial.
  • 1710 : à la suite de la faillite économique de la famille de Brichanteau, vente par adjudication des terres charentonnaises (Charenton et Meillant) à M. Pierre Gorge d'Entraigues de Roise, dont le fils cadet Pierre-François Gorge d'Antraigues s'est marié sans postérité avec l'héritière Louis-Madeleine-Thérèse de Brichanteau († 1713, dernière dame de Meillant et Charenton en lignée héréditaire), et dont la fille Julie-Christine-Régine Gorge a épousé Paul-François de Béthune-Charost.
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : le duc de Béthune-Charost Armand-Joseph (1738-1800), fils de François-Joseph (1719-1739), petit-fils du duc Paul-François (1682-1759) et de Julie-Christine-Régine Gorge d'Antraigues, féru d'agronomie et de philanthropie, introduit les béliers mérinos, le tabac, le colza... et développe les forges.

Révolution

  • 1790 : fondation de la commune de Charenton rattachée au département du Cher, district de Libreval (alias St-Amand-Montrond ; cf. Geneawiki : Noms des communes du Cher sous la Révolution française). Charenton quitte le Bourbonnais pour le Berry.
  • Démantèlement de l'abbaye : 1791 vente des biens mobiliers, en août 1792 vente des cloches, en septembre évacuation du couvent par les religieuses, en 1793 martèlement des écussons, en mai vente des biens meubles de l'appartement de l'abbesse, installation du comité de surveillance jusqu'au 10 octobre 1797, en 1794 division en lots de l'enclos abbatial, en 1795 vente de l'enclos abbatial à Pierre Barbarin pour 15 570 francs, en 1817 les pierres brisées provenant de la démolition de l'abbatiale servent à remettre en état les chemins et la butée du pont de pierre.
  • 1805 : premier conseil municipal - Gaston Bouzique est maire et Pierre Alexandre Duliège son adjoint.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • 1825 : installation provisoire d'une prison dans l'ancien logis abbatial.
  • 1826 : percement du canal de Berry.
  • 1836 : organisation des sapeurs-pompiers.
  • 1832 : organisation du bureau de bienfaisance.
  • 1839 : en juillet, décision de la démolition de la porte sud dite « Saint-Priest » prise par le conseil municipal avec alignement de la maison dite « La Verrye » pour élargir l'abord du marché avec échange de terrains et construction d'un mur partant de l'angle du midi de la façade de la maison jusqu'au poirier du jardin.
  • 1840 : percement de la route Angoulême - Nevers, les remparts sont éventrés, le donjon démoli ainsi que la chapelle Notre-Dame-de-Grâce qui sera reconstruite dans le narthex de l'ancienne abbatiale.
  • 1851 : arrivée de la maréchaussée et du bureau de poste.
  • 1858 : installation d'une école dans les locaux du couvent.
  • 1860 : fermeture des forges.
  • 1869 : arrivée du télégraphe.
  • 1891 : le 6 septembre, inauguration du « tacot », chemin de fer économique.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • 1900 : la cité est dotée de 13 réverbères allumés d'octobre à mars de 5 h à 10 h et le soir du lundi de Pâques.
  • 1929 : transfert du cimetière à la sortie du bourg, route de Coust.
  • 1938 : fermeture de la tuilerie.
  • 1945 : fermeture du canal de Berry.
  • 1955 : Le canal de Berry est déclassé et aliéné.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

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Annexes

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Bibliographie

  • Archives départementales du Cher - séries H, Q et L
  • Archives communales de Charenton du Cher
  • Bulletins de la société archéologique et historique du Berry
  • Histoire du Berry - Raynal
  • Histoire du Berry - Chaumeau
  • Histoire du Berry - Thomas de la Thomassière
  • Générale description du Bourbonnais - Nicolas de Nicolay
  • Histoire et statistique monumentale du département du Cher - M Buhot de Kersers
  • Le Berry du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au milieu du Modèle:S mini- - Guy Devailly
  • Dictionnaire toponymique - H Boyer
  • Le diocèse de Bourges - sous la direction de G Devailly
  • Le Culte de la Vierge en Berry - Villepelet
  • L'église de Bourges avant Charlemagne - M de Laugardière

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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