La ville de Saint-Amand-Montrond a été bâtie dans une cuvette naturelle autour de la Marmande, en amont de son confluent avec le Cher. Le site s'élève au nord, en direction de Bourges, vers la Champagne berrichonne, et au sud en direction de Montluçon, juste après le canal de Berry qui traverse la ville du sud-est au sud-ouest.
La ville est la capitale du Boischaut Sud, zone de bocages et d'élevage. Elle est installée au contact de deux régions à vocations agricoles complémentaires : au sud, la région du Boischaut (bocage, bovins) ; au nord, le secteur de la Champagne berrichonne (culture de céréales). La commune se situe au pied du front de la cuesta.
Modèle:...
Saint-Amand-Montrond, commune comprise entre 148 et 312 m d'altitude, est surplombée au nord par les hauteurs de la Tour (matérialisée par la tour Malakoff), et au sud par le Petit Tertre et le Grand Tertre.
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
Modèle:...
La ville est implantée de part et d'autre du lit de la Marmande, qui se jette en aval dans le Cher. L'eau affleurant sur la commune, site d'anciens marécages, de nombreux jardins disposent d'un trou d'eau, dont le niveau varie néanmoins fortement en fonction de la pluviométrie.
La rivière du Cher délimite la frontière occidentale de la commune avec la commune voisine d'Orval, à laquelle elle est reliée par deux ponts routiers.
La commune est à proximité de l'autoroute A71. La gare de péage est située sur la commune d'Orval.
Urbanisme
Typologie
Saint-Amand-Montrond est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amand-Montrond, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
prairies (50,4 %), zones urbanisées (28,7 %), forêts (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher, le canal de Berry, la Marmande et le Chignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 4194 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe AModèle:Note et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
Le nom de la commune provient des cités préexistantes de Saint-Amand-le-Chastel et de Saint-Amand-sous-Montrond.
Saint-Amand-Montrond a été renommée Libreval durant la Révolution, lors de la Terreur, quand toute référence religieuse était prohibée<ref>Roger de Figuères, Les Noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, 1901, page 15</ref>.
Histoire de la ville
Des traces préhistoriques
Le peuplement de la région saint-amandoise remonte à l'époque préhistorique.
Jusqu’à la Révolution : une forteresse victime de la Fronde
Deux cités se partagent son territoire au Moyen Âge : Saint-Amand-le-Chastel et Saint-Amand-sous-Montrond, les deux villes sont dominées par la forteresse de Montrond qui soutint le siège de l'armée royale lors de la fronde des princes en 1652.
Pendant onze mois, l'ensemble souffrit de démolitions sur les enceintes fortifiées, le logis seigneurial magnifiquement restauré et meublé par le duc de Sully, puis par Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} et le Grand Condé, survécut dans l'indifférence de ses propriétaires jusqu'aux années 1775. Là, il servit de carrière de pierre au descendant du Grand Condé, puis à la population lors de la Révolution et dans la première moitié du Modèle:S mini s. Les lambeaux du château furent rasés vers 1830 et un parc y fut aménagé par la suite. Les ruines ressortent de terre depuis 1971 grâce à l'action de l'association locale de sauvegarde du Cercle d'Histoire et d'Archéologie du Saint-Amandois (CHASA) qui a fortement contribué à restituer les élévations de l'ancienne forteresse et y propose des visites.
Deux autres petits châteaux existaient aussi :
Le petit château de Saint-Amand le Chastel (Modèle:S mini s.) a été détruit à la fin du Modèle:S mini s. Il était le plus ancien et était un sous-fief de la seigneurie de Charenton-du-Cher.
Un sous-fief de Montrond, le château du Vernet datant du Modèle:S mini/Modèle:S mini s., s'est illustré modestement lui aussi lors de la Fronde en 1652. Bien plus tard, il abrita des soldats américains qui résidèrent entre 1918 et 1919 à Saint-Amand, puis, par ce biais fut vendu à un antiquaire parisien à destination d'un milliardaire des Amériques. Certaines pierres y auraient été remontées dans une construction moderne, le dernier petit château, aujourd'hui disparu, a été rasé en deux temps entre 1920 et 1921, une première phase de récupération des pierres de : cheminées, fenêtres, lucarnes et autre éléments architecturaux, puis destruction complète.
De cet ensemble il ne reste que la Bonne-Dame-de-la-Pitié, route de Meillant, petit oratoire du Modèle:S mini-, élevé par le seigneur Le Borgne du Lac, alors propriétaire des lieux, à son retour de Croisade, et les bâtiments agricoles et des métayers attenant au château. Pratiquement à son emplacement existe aujourd'hui le vélodrome de la ville.
En parallèle, des moines s'installent sur un site et créent la Maison Dieu (aujourd'hui la bibliothèque). Une première abbaye aurait été fondée par saint Théodulphe sur une île de la rivière de la Marmande. La cité (Saint-Amand-le-Chastel) s'est développée autour du monastère, fondé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; saint Amand, disciple de saint Colomban et évêque de Maastricht, aux Pays-Bas, a évangélisé la région et aurait vécu un temps ici.
La Révolution l'union des deux cités
Après bien des vicissitudes, la ville est intégrée au Cher lors de la création des départements. Elle est considérée actuellement comme appartenant au Berry. Les deux villes de Saint-Amand-le-Chastel et Saint-Amand-sous-Montrond, furent tantôt dans le Berry, tantôt dans le Bourbonnais, tantôt l'une en Berry alors que l'autre en Bourbonnais. Seule la Révolution mit un terme à cela et unifia les deux différentes villes qui au gré de leurs seigneurs et de ses propriétés (alliances, unions, achats, guerres) glissaient dans une province ou dans l'autre.
La Seconde Guerre mondiale : une ville résistante
Le Modèle:Date-, les troupes de résistants locaux arrêtent au siège de la milice locale, Simone Bout de l’An, épouse de Francis Bout de l’An, secrétaire général de la Milice française. Elle est retenue comme otage, ainsi que treize miliciens et six autres femmes de leurs amies<ref name="puits">Modèle:Lien web.</ref>. Le 8 juin, les troupes de soldats parachutistes allemands entrent dans la ville tôt le matin, guidées par des miliciens locaux, et incendient le centre-ville, exécutent des civils contre un mur, tirent sur la population<ref>Modèle:Article.</ref> Modèle:Refnec
Les résistants fuient et se réfugient dans le maquis de la Creuse : poursuivis par la Wehrmacht, ils échangent les six femmes contre soixante prisonniers de Saint-Amand-Montrond, puis fusillent les miliciens le Modèle:Date-<ref name="puits" />. Aussitôt, les miliciens de Saint-Amand procèdent à l’arrestation de 76 personnes dont les juifs vivant à Saint-Amand depuis la débâcle, ceux-ci étant originaires de Paris, du Nord, de Lorraine ou d’Alsace.
Après un tri, 70 sont mis en prison. Ils sont massacrés petit à petit : 36 d’entre eux sont extraits progressivement et jetés vivants dans les puits de Guerry à Savigny-en-Septaine. Leurs dépouilles ne seront retrouvées que six mois plus tard, sur le témoignage du seul survivant de ce massacre, Charles Krameisen, et seront exhumées afin de leur rendre une sépulture décente<ref name="puits" />.
Un monument construit par Georges Jeanclos, a été érigé à l'initiative du maire Thierry Vinçon, avec l’aide de Monique Audry. Il est inauguré le Modèle:Date- en présence de Georges Kiejman, « enfant caché dans le pays », Didier Cerf, délégué régional du comité français pour Yad Vashem, et Shlomo Morgan, ministre-conseiller à l’information près l’ambassade d’Israël en France.
Après-guerre et fin de la prostitution
L'année 1946 est marquée par la fermeture de la maison close du Petit Moulin Rouge, rue du Cheval-Blanc dans le quartier du Cheval-Blanc, qui fut une plaque tournante de la prostitution dans le sud du Cher. L'ancien hôtel des Trois Perdrix, alors rue d'Austerlitz, était malgré son standing l'un des autres endroits de la ville fréquentés par les prostituées<ref name="Meslon">Modèle:Lien web.
En 1971, Maurice Papon devient maire de Saint-Amand-Montrond, fonction qu'il occupe jusqu'en 1983. Se proposant comme son successeur, Serge Vinçon devient alors l'édile de la ville de 1983 à 2007, année durant laquelle ses conditions de santé l'empêchent de se représenter.
Modèle:Article connexe
Thierry Vinçon, frère cadet de Serge, conduit alors la politique de la ville jusqu'en 2020.
En 2020, Marie Blasquez et Emmanuel Riotte décident de se porter têtes de deux listes sans étiquette. C'est Emmanuel Riotte qui est élu au premier tour des élections municipales.
Sa femme et son enfant, accompagnés d'un équipage et d'un médecin, tentent de le rejoindre, mais tous périssent terrassés par la faim et la fatigue pendant le voyage, sauf Isabel qui parvient à retrouver son mari 21 ans plus tard. Jean et Isabel s'installent alors à Saint-Amand où ils vécurent jusqu'à leur mort en 1792<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Au niveau de l'enseignement primaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la ville abrite l'école maternelle Mallard, les écoles maternelles et élémentaires des Buissonnets et du Vernet, ainsi que l'école élémentaire Marceau.
Collèges et lycées
L'enseignement secondaire est assuré par plusieurs établissements :
le collège Jean-Moulin et le collège Jean-Valette<ref>Site officiel du collège</ref>. L'actuel Collège Jean-Valette a été construit en 1990, après avoir déménagé depuis ses anciens locaux situés à proximité de l'Hôtel de Ville. Celui-ci peut se servir des installations sportives aux alentours comme le gymnase Baraton, le gymnase de l'Étoile ou encore le terrain de tennis. Au centre du bâtiment se trouve le CDI (centre d'information et de documentation). Aucune classe n'est rectangulaire et il y a de grandes baies vitrées. Le « Dépit du Poète », œuvre du sculpteur Jean Valette, est la statue située sur le parking devant le collège<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ;
La ville héberge en outre un institut médico-social (APEI de Saint-Amand-Montrond).
Santé
Modèle:...La ville de Saint-Amand-Montrond possède un hôpital-clinique.
Sports
Cyclisme
Saint-Amand-Montrond se présente comme une ville de cyclisme. Elle possède son propre vélodrome, dit Gesset, et a notamment été ville d'arrivée du Tour de France, en 2001, lors de la Modèle:18e étape depuis Montluçon. Il s'agissait d'un contre-la-montre individuel de 61 km. L'étape a été remportée par l'américain Lance Armstrong (Équipe cycliste Discovery Channel).
Saint-Amand-Montrond est également à la base du Trophée d'Or féminin, course par étapes dont elle fut le départ et l'arrivée de 1997 à 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La ville héberge l'Étoile Saint Amandoise, avec en 2011, une équipe « Détente » teamgym championne de France. Cette équipe a changé de catégorie en 2013 et s'est placée vice-championne de France en catégorie passion, face à des équipes évoluant en international. L'équipe 2 teamgym elle aussi montée de catégorie et évoluant en « détente », est championne de France.
Le musée Saint-Vic et la bibliothèque municipale Isabel-Godin forment à eux deux un ensemble mettant en valeur l'histoire et la culture régionales.
Le théâtre de la Carrosserie-Mesnier, non loin de là, offre un programme culturel à un public de proximité.
En ce qui concerne le [[7e art|Modèle:7e art]], le cinéma Le Moderne dispose de deux salles de projection.
Arts
Saint-Amand-Montrond est historiquement une ville de bijouterie et d'orfèvrerie.
L'école municipale d'art Théogène-Chavaillon dispense des cours de dessin, peinture, reliure, calligraphie, sculpture, céramique et autres techniques d'arts plastiques.
En 2023, le musée du Louvre récupère La chasse au cerf sur l’île de Java, une toile de Raden Saleh que le musée a prêté à la mairie en 1912. De façon inattendue, le décrochage du tableau fait apparaitre un plan de la ville marouflé sur le mur et portant la date de 1935<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Musique
La ville possède l'école de musique municipale Jean-Ferragut, ainsi qu'une harmonie, fondée en 1920 et nommée Union Musicale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les Foires d’Orval, créées en 1431<ref>Modèle:Lien web.</ref>, se déroulent chaque année à l’automne. Elles débutent un mercredi en commençant par la course de cyclisme, dont la première édition a eu lieu en 1946. Les foires d’Orval comportent de nombreux manèges : 120 à 130 attractions comme la chenille, le musée hanté, le train fantôme, le Discovery. Il y a aussi des défilés (le défilé des attelages, le défilé des orchestres), et la grande braderie. Des concerts sont organisés à la Cité de l’Or. Le dernier dimanche une brocante vient clôturer les foires<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le festival de la magie a lieu tous les ans depuis 2012. Il se déroule à la Cité de l'or en automne. Les après-midis, il y a des ateliers pour les enfants : sculptures de ballons, ateliers de magie... Pendant ce festival, de nombreux artistes renommés viennent se présenter<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les Affouages, festival d'arts et de traditions populaires créé en 1985 à Saint-Amand-Montrond. Les Affouages reçoivent en alternance des groupes de danses folkloriques français ou étrangers. On compte déjà plus de Modèle:Nb en 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Yvonne Maëlec (1881-1971), née à Saint-Amand-Montrond, chanteuse lyrique et actrice de théâtre et de cinéma.
Amédée Ponceau (1884-1948), né à Saint-Amand-Montrond, philosophe.
Louis Lecoin (1888-1971), né à Saint-Amand-Montrond, militant pacifiste et libertaire.
Jean-Joseph-Léonce Villepelet (né le à Saint-Amand-Montrond et mort le ), est un prélat français, évêque de Nantes de 1936 à 1966.
Robert Lazurick (1896-1968), avocat, député-maire SFIO de Saint-Amand-Montrond, embarqué sur le Massilia en 1940, révoqué en 1942, puis créateur et directeur du journal L'Aurore.
Paul Mousset (1907-1981), écrivain et journaliste, né à Saint-Amand-Montrond.
Maurice Papon (1910-2007), ancien député-maire de Saint-Amand-Montrond (1971-1983), condamné en 1998 pour complicité de crime contre l'humanité.
Michel Blanc-Dumont (1948-), dessinateur de bande dessinée "Cartland", "Colby", "La jeunesse de Blueberry".
Serge Vinçon (1949-2007), professeur de collège, maire de Saint-Amand-Montrond (1983-2007), président du Conseil général du Cher (1998-2001), sénateur (1989-2007), vice-président du sénat (2001-2004), président de la commission de la défense et des affaires étrangères du sénat (2004-2007).