Lautenbach
Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Lautenbach est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Localisation
Lautenbach est un village du Haut-Rhin, dans le canton de Guebwiller et l'arrondissement de Thann-Guebwiller, situé sur la route entre Guebwiller et Linthal et sur la rive gauche de la Lauch, qui sépare la commune de celle de Lautenbachzell.
C'est une des 201 communes réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône<ref>Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, Modèle:3e Charte 2012 - 2027</ref> du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes de la Région de Guebwiller.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Écarts et lieux-dits
- Durrenbach ;
- Saint-Gangolph ;
- Lerchenfeld ;
- Schweighouse (hameau).
Géologie et relief
- Le chaudron du Diable<ref>Le chaudron du Diable</ref>.
- Le" Langrücken" (longue crête)<ref>Du chemin creux au Langrücken</ref>.
- Le Hasenbroch (la lande aux lièvres)<ref>Le Hasenbroch</ref>.
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, par le BRGM :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée<ref>Informations sur les risques naturels, miniers et technologiques, la pollution des sols et le potentiel radon</ref>.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau traversant la commune :
- La Lauch (rivière)<ref>La Lauch</ref> ;
- le Kreutzbach ;
- La rivière La Vieille Thur<ref>Rivière La Vieille Thur</ref>
- le ruisseau Durren-Bach<ref>Le ruisseau Durren-Bach</ref> ;
- le ruisseau Kleine-Sulzbach<ref>* FRCR77 LAUCH 1 A1510450 RUISSEAU KLEINE SULZBACH Le ruisseau Kleine Sulzbach; * FRCR77 LAUCH 1 A1510410 Ruisseau Gross-Sulbach : Le ruisseau Grosse Sulzbach de sa source jusqu’à la confluence avec la Lauch</ref>,<ref>Ruisseau Kleine Sulzbach</ref> ;
- le ruisseau Grosse-Sulbach<ref>Ruisseau Grosse Sulzbach</ref>.
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger<ref>Ensoleillement et climat</ref>.
Voies de communications et transports
Voies routières
L'accès au village se fait par l'est, en empruntant la route départementale 430 par Guebwiller ou depuis la route nationale 83 par l'ouest, en allant vers la route des Crêtes par le Markstein.
- A35, aussi appelée autoroute des cigognes ou l'Alsacienne : Échangeurs Niederentz, Niederhergheim.
- A36, surnommée La Comtoise : Échangeurs Pfastatt - Lutterbach - Mulhouse Dornach, Mulhouse le Coteau.
Transports en commun
SNCF
- Gare de Metzeral.
- Gare de Breitenbach.
- Gare de Muhlbach-sur-Munster.
- Gare de Luttenbach-près-Munster.
- Gare de Munster-Badischhof.
- Ligne de Bollwiller à Lautenbach.
Urbanisme
Typologie
Lautenbach est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Guebwiller, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (86,4 %), zones urbanisées (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme<ref>PLU, sur Géoportail</ref>,<ref>PLU en vigueur</ref>.
Histoire
En 810, Beatus, abbé de Honau, près de Strasbourg, fonda à Lautenbach un couvent qui fut érigé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle en collégiale. Le village de Lautenbach s'est édifié ensuite autour du monastère<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Les moines irlandais ont commencé à défricher la vallée sur les bords de la Lauch, puis à construire la première église sous le patronage de saint Michel. C'est à Mathias de Neuenbourg ou Neufchâtel, chanoine de cette collégiale, que l'on doit une chronique rédigée sous le règne de l'empereur [[Rodolphe Ier du Saint-Empire|Rodolphe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] (1273) et achevée en 1350. Cette chronique fut poursuivie entre 1350 et 1378 par Albert de Strasbourg.
La patrie de Manegold de Lautenbach
C'est à Lautenbach qu'un célèbre théologien et philosophe connu sous le nom de Manegold de Lautenbach naquit vers 1030. Il enseigna et forma de nombreux disciples, dont le plus illustre fut Théoger de Metz (1050-1120), plus tard correcteur de manuscrits à l'Abbaye de Hirsau et évêque de Metz. Manegold se rendit dans plusieurs pays pour y enseigner la doctrine de la foi<ref>Chronicon, Hanoverae, 1698</ref>. Il fut l'un des plus prestigieux docteurs de la foi français du milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Histoire de l'univers, Paris, 1665, t.1, Modèle:P..</ref>.
On suppose que c'est à Paris que Manegold étudia les savoirs qu'il transmit à ses disciples. Il fut notamment l'un des maîtres de Guillaume de Champeaux (1070-1122) et de Gérard de Loudux. Il était marié et son épouse était elle-même une illustre enseignante. Il avait des filles qu'il forma à l'écriture sainte et qui plus tard enseignèrent à leur tour le savoir appris de leur père. Après la mort de son épouse, Manegold revint à Lautenbach dont le monastère érigé en collégiale le reçut au nombre de ses chanoines. La lettre de Ghebard de Salzbourg à Hermann de Metz sur l'excommunication de Henri IV fut très appréciée par sa pondération par Manegold de Lautenbach. En 1082, Modèle:Lien<ref>ou Winric (ou Weinrich) de Trêves</ref> lança contre le pape Grégoire VII une virulente diatribe dans une lettre adressée à Thierry de Verdun, à propos de la querelle des Investitures qui opposa la papauté et le Saint-Empire romain germanique entre 1075 et 1122. Cette prise de position lui vaut alors l'évêché de Verceil<ref>Verceil, ville italienne dans la région du Piémont. Sous l'empire français, 1802-1814, Verceil fut annexée à la France, puis retourna au Royaume de Sardaigne à la Restauration</ref>.
Manegold prend alors la défense du pape et condamne sévèrement les agissements de cet écolâtre. Il rédige un pamphlet qu'il adresse à l'évêque Ghebard de Salzbourg dans lequel il s'élève avec force contre l'offense faite au Saint-Siège. Il réfute point par point les calomnies proférées en Allemagne par les partisans de Henri IV et démontre le bien-fondé des décrets réformateurs de Grégoire VII sur la simonie, le nicolaïsme et l'investiture laïque. Dans le même document, il condamne aussi les prétentions de l'empereur Henri IV qui nomme sans le consentement de l'Église les prélats. Ces écrits lui valent de nombreux ennemis et en premier lieu celui de l'empereur qui jure de le retrouver mort ou vif. Henri IV fait mettre à sac toute la vallée de la Lauch en 1082-1083 et fait mettre le feu au monastère de Lautenbach. Manegold a juste le temps de fuir et de se réfugier dans la montagne en attendant que la colère de l'empereur s'apaise. Manegold trouvera en 1085 asile à l'abbaye de Rottenbuch qu'il connaît déjà pour y avoir été prieur. C'est là qu'en 1094 Burckard de Gueberschwihr le découvre et lui propose de prendre en main les destinées de l'abbaye de Marbach qu'il vient de fonder cinq ans auparavant. Il accepte et emmène avec lui de nombreux disciples de Rottenbuch. Il y introduit la réforme de Saint Yves, évêque de Chartres, un de ses amis. L'abbaye de Marbach, célèbre dans toute l'Europe, devint le siège des Augustins en Alsace. Manegold est l'auteur de plusieurs manuscrits : Magistri Mangaldi contra Wolfelmum Coloniensem pusculum, Réponse à Winric pour Grégoire VII<ref>l'abbé Grandidier a découvert ce manuscrit à Karlsruhe dans la bibliothèque du margrave de Bade</ref> ; Un troisième écrit pour Grégoire VII ; Manigaldi Teutonicorum doctoris glossarium super Psalterrium<ref>Ce manuscrit se trouvait selon Grandidier à l'abbaye de Saint-Allire de Clermont en Auvergne</ref> ; Histoire universelle, ms de la bibliothèque de l'Escurial, etc. En 1098, l'empereur Henri IV, apprenant que Manegold se trouve à Marbach, prépare sa vengeance. Il envoie des hommes qui le font prisonnier et l'empereur le fait enfermer. Il meurt le Modèle:Date des suites des privations et de souffrance<ref>Le jour du décès de Manegold est mentionné par le nécrologe de Zwiefalden (Wurtemberg) le 24 mai 1103</ref>.
La communauté se reconstitue en chapitre de chanoines augustins
Après la destruction de la vallée par les troupes impériales de Henri IV, la communauté dispersée se reconstitua en Chapitre de chanoines augustins réguliers. La communauté entreprit la construction d'une nouvelle église collégiale vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le chapitre confie le patronage de l'église à Saint-MichelModèle:Lequel et Saint Gangolphe. Les chanoines habitent une maison canoniale<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, juste à côté de l'église. Selon Jean-Daniel Schoepflin<ref>Alsatia Illustrata, t. 2, Modèle:P..</ref>, la reconstruction de la collégiale remonte au comte Werner de Habsbourg au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, qui reçut l'approbation du pape Innocent II en 1137. Il aurait été en quelque sorte le bienfaiteur. L'abbé Philippe André Grandidier place la fondation de Lautenbach en 811. Il se base sur des textes des archives du chapitre extraits d'un ouvrage où figurent les dix-huit noms des religieux venus de Honau avec l'abbé Béatus. Une charte de l'année 786, en faveur de l'abbaye de Murbach, mentionne « une terre de Saint-Michel », située à Ungersheim. Le chapitre possédait des biens dans cette localité depuis 1183. En 1212, la collégiale de Lautenbach conclut des accords avec les chapitres de Marbach et de Schwartzethann<ref>Le couvent de Schwartzethann se trouvait autrefois dans le hameau de Wintzfelden, près de Soultzmatt. Le couvent est aujourd'hui complètement ruiné</ref>.
Les Habsbourg, protecteurs du chapitre collégial
Sous le règne des Habsbourg<ref>Les Habsbourg sont connus aussi sous le nom de Maison d'Autriche</ref>, ses avoués, le chapitre de Lautenbach connut une certaine prospérité. Cette aisance financière lui permit de construire d'autres églises, notamment dans les villages d'Ungersheim, Soultzmatt, Wintzfelden et Gundolsheim. Vers 1367, le Chapitre se porta acquéreur des biens de l'avouerie dans la commune et devint ainsi par la même occasion le seigneur temporel de la vallée qui s'étendit de la rive gauche de la Lauch jusqu'à la crête des montagnes. Une ferme dépendant du Chapitre est installée dans le hameau de Schweighouse où l'on élève et engraisse les bovins, d'où le nom du hameau, qui fait aujourd'hui partie intégrante de la commune.
Le chapitre est supprimé à la Révolution
Les chanoines furent propriétaires de la vallée de la Lauch jusqu'à la Révolution. Son territoire fut partagé entre les communes de Lautenbach et de Linthal. À cette époque, la culture était largement répandue et les habitants vivaient chichement de leur travail. Les autres biens de la collégiale furent vendus à des particuliers.
L'implantation de la première manufacture
La vallée est faiblement industrialisé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Pourtant vers 1835 un industriel anglais, Maurice De Jongh fait le pari de d'implanter une usine là où il trouve une main d'œuvre bon marché et laborieuse. À son apogée vers 1900, l'industrie textile se développe à un point tel que la population culmine à Modèle:Unité. Une ligne de chemin de fer est alors construite en 1884 : elle relie Lautenbach à Guebwiller, cette dernière ville étant reliée à Bollwiller depuis les premiers travaux ferroviaires en vallée de la Lauch entre 1869 et 1870<ref>Historique rappelé au plan d'occupation des sols, page 15 : Dans son “étude sur lʼutilisation de la force hydraulique”, le Parc naturel régional des Ballons des Vosges analyse les sites industriels à valeur patrimoniale</ref>.
Mais survient la crise du textile dans les décennies qui suivent les années 1930 puis 1960, la population chute fortement et la ligne de chemin de fer est déclassée en 1991.
La Première Guerre mondiale
La commune a été décorée le Modèle:Date- de la croix de guerre 1914-1918<ref>Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918</ref>.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Le vallon de Saint-Gangolf
Ce lieu est ainsi dénommé parce qu'il se trouve près d'une source et d'une chapelle consacrées à ce saint. À l'emplacement de la chapelle a dû figurer primitivement une croix grecque, mais l'un des bras est absent et l'arcade où il devait s'ajuster forme aujourd'hui l'entrée de cet édifice rustique. Une dalle devant le maître-autel marque l'endroit où jaillit la source; de là par des conduits souterrains elle se rend à une jolie fontaine portant sur une colonne basse l'image du saint. chaque deuxième dimanche du mois de Mai, Le Saint est célébré, avec le concours des fidèles lors d'une messe en plein air. autrefois, le prêtre célébrait cette office du haut d'une chaire extérieure. Saint Gangolf d'Avallon était un chevalier burgonde qui vivait à Varennes près de Langres, au temps de Pépin le Bref. En passant par la Champagne pour retourner chez lui, il s'arrêta au bord d'une source dont les eaux étaient si pures et bonnes à boire. Il proposa au paysan qui en était le possesseur de la lui acheter; celui-ci rit sous cape, espérant vendre sa source et la posséder tout de même; bref Gangolf d'Avallon lui fit compter cent sous et, de retour à Varennes, raconta son achat à sa femme qui rit à son tour et qui d'ailleurs le trompait avec un clerc. Gangolf planta ensuite son bâton dans le voisinage de sa demeure; le lendemain, manquant d'eau pour se laver, il ordonna à un de ses domestiques de retirer le bâton et d'apporter l'eau qui coulerait dessous. Le domestique obéit et recueillit l'eau de source qui n'était autre que celle du paysan. Gangolf cependant se sépara de sa femme et se retira dans sa propriété d'Avau, à deux lieues au nord de Varennes, mais le clerc son rival vint le trouver et l'assassina.
Ses deux tantes, Willetrude et Willegise firent rapporter son corps à Varennes. Les Acta sanctorum (tome II, Modèle:P.642) ne placent aucune mention de leur récit en Alsace ; cette province n'est désignée que dans la légende orale recueillie par M. Ingold et insérée par M. Stoeber dans l'Alsatia de 1864. D'après cette légende, lorsque Gangolf eut découvert l'infidélité de sa femme, il fit refluer la source dans son bâton et voyagea par monts et par vaux jusqu'à ce qu'il arriva sur une prairie couverte de plantes aromatiques et entourée de vertes forêts, dans le pays d'Alsace. Là il laissa couler la source et se bâtit une cellule bientôt visitée par de nombreux pèlerins.
Monastère Saint-Michel de Lautenbach
En 840, Beatus, abbé de Honau, fonda à Lautenbach un couvent, qui fut érigé en collégiale à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Mathias de Neuenbourg, chanoine de cette collégiale, rédigea une chronique qui commence sous le règne de l'empereur [[Rodolphe Ier du Saint-Empire|Rodolphe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} du Saint-Empire]] (1273) et finit à l'année 1350. De 1350 à 1378, la chronique continua sous Albert de Strasbourg. Daniel Schoepflin affirme que la fondation du monastère Saint-Michel est une création du comte Werner de Habsbourg au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il se base sur une lettre du pape Innocent II de 1137. Il pourrait en réalité n'être qu'un bienfaiteur ou le reconstructeur.
Une charte en faveur de l'abbaye de Murbach mentionne « une terre de Saint-Michel » située à Ungersheim. Le chapitre de Lautenbach possédait des biens dans cette localité depuis 1183.
Politique et administration
Budget et fiscalité 2021
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,17 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 73,03 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Entreprises et commerces
Agriculture, exploitation forestière
- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses<ref>Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche</ref>.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Exploitation forestière.
- Élevage d'autres animaux.
Tourisme
- Hébergements et restauration<ref>Hébergements et restauration</ref>.
Commerces
- Commerces et services de proximité<ref>Commerces et services de proximité</ref>.
Liste des maires
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Modèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Pyramide des âges
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- Écoles maternelles et primaires.
- Collèges à Buhl, Guebwiller, Issenheim, Soultz-Haut-Rhin.
- Lycées à Guebwiller.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins à Lautenbach, Buhl, Guebwiller.
- Pharmacies à Lautenbach, Buhl, Guebwiller.
- Hôpitaux à Guebwiller, Rouffach, Munster, Gunsbach, Stosswihr, Oderen, Cernay.
Cultes
- Culte catholique, Communauté de paroisses Haut Florival<ref>Communauté de paroisses Haut Florival</ref>, Diocèse de Strasbourg<ref>La paroisse Saint-Michel de Lautenbach</ref>.
Lieux et monuments
Collégiale Saint-Michel et Saint-Gangolphe de Lautenbach
Modèle:Article détaillé Modèle:Galerie détaillée
Date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Classée monument historique, son porche est un chef œuvre de l'art roman. Contient en sus de nombreuses œuvres d'art religieux de diverses époques (stalles, verrières et Vierge du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), un remarquable mobilier baroque, dont une chaire sculptée du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Palissy Chaire à prêcher</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy chaire à prêcher : saint Michel, évangélistes, Vierge à l'Enfant, Bon Pasteur</ref>,<ref>La collégiale Saint Michel et Saint Gangolphe</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
C'est à partir du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle que fut construite l'église canoniale occupée par des chanoines augustins qui fut entourée de maisons de l'époque qui témoignent du rayonnement de « l'insigne chapitre collégiale Saint-Michel » et saint Gangolphe, seigneur de la vallée de Lautenbach <ref>Extraits d'une documentation qui se trouve à l'intérieur de l'église de Lautenbach et qui est mis à la disposition des paroissiens et des touristes</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
L'église de Lautenbach est un édifice d'architecture romane de l'époque ottonienne construite à partir d'une basilique à trois nefs et d'un vaste chœur carré. Le côté ouest abritait le porche ou narthex de style roman et les restes d'un beau cloître de la dernière époque du style ogival. Le porche est surmonté d'une chapelle supérieure consacrée à saint Michel, autrefois voûtée qui donnait sur la nef. L'église est dotée d'un clocher qui date de 1862 qui remplace celle du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle qui occupait la tour centrale gothique. La duchesse de Bade, une parente de Napoléon III y a apporté son aide financière dont l'aigle figurant sur la Tour (fortification) rappelle l'inauguration. Le carillon installé sur le clocher date de 1924. Les murs de l'église, sur le bas côté, sont très anciens et pourraient dater du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ce sont les anciens vestiges de l'église primitive dont on trouve encore des sculptures d'époque et au sud, un linteau roman. Dans la nef se trouve une cloche de 1671 du fondeur J. Rodt de Bâle. L'intérieur de l'église a subi depuis des transformations. On y admire encore de beaux vitraux. La chaire possède de belles sculptures; elle est une des plus intéressantes d'Alsace. On y voit le bon pasteur et les quatre Évangélistes, dominés par un saint Michel pesant les âmes debout sur l'abat-voix. C'est un des chefs-d'œuvre de l'art allemand du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Une chapelle gothique que l'on voit encore sur le cimetière, formait le chœur de l'ancienne église paroissiale.
- Le porche ou Narthex :
- C'est la partie la plus remarquable de l'église romane<ref>Collégiale Saint-Michel et Saint-Gangolphe : Le porche</ref>. Il date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et tire sa réputation des formes élaborées et des proportions harmonieuses de l'ensemble. À gauche du porche on remarque des frises qui illustrent le péché de l'adultère et à droite l'homme en proie aux passions. À l'angle sud-ouest du porche on trouve des personnages qui attendent le jugement réservés aux pêcheurs. Le tympan, martelé à la Révolution comportait un Christ dans une mandorle entouré des saints patrons de l'église : saint Michel et saint Gangolphe (martyre de la fidélité conjugale). Le porche est surmonté d'une chapelle supérieure dédiée à saint Michel.
- Le clocher :
- Il date de 1865, et remplace la lourde tour centrale gothique du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Les aigles du couronnement rappellent l'aide qu'a apportée une parente de Napoléon III. Le carillon date de 1924.
- Le transept :
- Sur son bras sud on aperçoit encore les vestiges d'une abside démolie au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Dans le jardinet qui le remplace sont exposés des sarcophages romans découverts lors des fouilles aux pieds du chœur. On y distingue sur l'une des dalles mortuaires la gargouille à bonnet juif. Au nord l'abside a cédé la place à une sacristie du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, rectangulaire à voûtes d'arêtes surmontée de la chapelle dite « des archives ».
- Le chœur :
- À chevet plat et de style gothique, ses frises tréflés et ses hautes fenêtres à lancettes, datent également du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Les murs des bas côtés
- Il s'agit de la partie la plus intéressante de l'église (fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle). On y trouve des pierres sculptées d'entrelacs: ce sont des remplois de l'église primitive, tout comme, au sud, un linteau roman d'interprétation malaisée.
- Restauration de la collégiale :
- La collégiale a subi au cours de son histoire plusieurs campagnes de restauration dont la plus récente entre 1989 et 2001 pour redorer les décors datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La restauration précédente en 1931 avait rendu à la nef ses colonnes et ses arcades romanes, recouvertes de stuc au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour les harmoniser avec le mobilier baroque.
- Monuments funéraires dans le transept :
- Plusieurs tombes sont situées dans le transept droite. On reconnaît notamment les dalles funéraires du chanoine Meisterzheim, curé réfractaire de la paroisse sous la Révolution, décédé en 1801. Au sol on remarque les dalles funéraires des chanoines du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVIII
}}. À gauche dans le transept il y a la dalle mortuaire du prévôt A.I. Muller (1684-1750)<ref>Modèle:Base Palissy Dalle funéraire d'Antoine Ignace Müller</ref>, à côté de l'autel de Saint Wendelin, patron des bergers et bouviers avec un bas relief du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Un peu plus loin se trouve l'autel de la déposition daté de 1726 avec les statues de Saint Pierre à gauche et Saint Paul à droite, Saint Jean Népomucène (martyr de la confession) en médaillon<ref>Modèle:Base Palissy Tableau : saint Jean Népomucène embrassant la croix</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy autel retable de la Déposition, 2 statues : saint Pierre, saint Paul de Tarse, 2 tableaux : saint Jean Népomucène, Déploration</ref>, puis un peu plus loin un reliquaire du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Dans transept gauche, on trouve l'autel du rosaire édifié en 1718, la statue de Catherine d'Alexandrie à gauche<ref>Modèle:Base Palissy autel du Rosaire, tabernacle, retable, 2 groupes sculptés : Remise du Rosaire par la Vierge et l'Enfant à Saint Dominique et à Catherine de Sienne, Sainte Parenté, 15 tableaux : mystères du Rosaire, 2 statues : sainte Catherine d'Alexandrie, sainte Barbe</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy 2 statues : sainte Barbe, sainte Catherine d'Alexandrie</ref>, sainte Barbe à droite autour de la Vierge en médaillon. En continuant on remarque l'autel du précieux sang de 1719<ref>Modèle:Base Palissy autel du précieux sang, retable : calvaire</ref>. Plus loin se trouve la pierre tombale du chanoine Burkard Rechburger dont le décès remonte à 1513<ref>Modèle:Base Palissy Monument funéraire de Burkard Rechburger</ref>.
- L'église a été réaménagée au Modèle:S mini:
- Elle comporte de nombreux objets classés ou inscrits monuments historiques : orgue<ref>Modèle:Base Palissy orgue de tribune : buffet d'orgue</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy orgue de tribune</ref>,<ref>Inventaire de l'orgue</ref>, autels, chaire.
-
Porche roman. -
Chapiteau roman du porche. -
Sarcophages romans découverts lors des fouilles aux pieds du chœur de l'église et exposés dans le jardinet qui se trouve à l'extérieur. -
Pierres sculptées d'entrelacs faisant partie de l'église primitive. -
Dalle funéraire (Modèle:S mini-Modèle:S mini) des chanoines de la collégiale située à droite du transept. -
Dalle funéraire des chanoines de la collégiale. -
Clocher néo-roman (Modèle:S mini).
-
Vue intérieure de la nef vers le chœur. -
Maître-autel (1706). -
Autel du Rosaire (1718). -
Autel du Précieux-Sang (1719). -
Autel de Saint-Wendelin (1719). -
Vue intérieure de la nef vers la tribune d'orgue. -
Chaire à prêcher (Modèle:S mini). -
Orgue de tribune Toussaint (1771).
Église Saint-Michel (Schweighouse)
- L’église St Michel de Schweighouse a été construite en 1884 à l’instigation du curé Erbland de Lautenbach<ref>Haut-florival-schweighouse. La Paroisse Saint-Michel de Schweighouse</ref>,<ref>Église Saint-Michel (Schweighouse)</ref>.
Le monument aux morts
- Monument aux morts : Conflits commémorés Guerres 1914-1918 - 1939-1945<ref>Monument aux morts</ref>.
- Monument aux morts du hameau de Schweighouse, près de l'église<ref>Monument aux Morts du hameau de Schweighouse</ref>,<ref>Les monuments aux morts de Lautenbach, Histoire, par Michel Wagner, pages 6 et 7</ref>,<ref>Monumentqs aux morts </ref>.
Tilleul de Lautenbach
Devant la collégiale, on peut admirer les fameux tilleuls de Lautenbach dont l'un aurait été planté lors de la révolution française de 1848.
Lavoir et fontaines
- Le lavoir de l'Ewerdorf<ref>Rechercher d'autres petits patrimoines - Page précédente Tweeter Le lavoir de l'Ewerdorf</ref>.
- La fontaine près de la collégiale Saint-Michel et Saint-Gangolphe<ref>La fontaine</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La fontaine Saint-Gangolphe<ref>La fontaine Saint-Gangolphe</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La fontaine à colonne, le "Stockbrunna"<ref>Les fontaines de Schweighouse</ref>.
Les chapelles
- Chapelle Saint-Gangolphe<ref>La chapelle Saint-Gangolphe</ref>.
- Près du hameau de Schweighouse se trouve le pèlerinage de Saint Gangolphe (ou Gangolf) <ref>Ce noble guerrier a participé aux opérations militaires menées par Pépin le Bref entre 741 et 768. Il apparaît dans un contrat datant de 762 sous Pépin le Bref évoquant « Gangolf de Bourgogne ».</ref> dont le saint est considéré comme un martyr de la fidélité conjugale. Le chapitre fit élever à cet endroit une chapelle dont la construction fut achevée en 1446. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la chapelle est victime d'un incendie. Cependant, le chœur qui abrite des peintures de 1450 richement décorées a été épargné. La petite chapelle présente encore deux statues à l'image de Saint Gangolphe. Grâce aux bénévoles des Amis de Saint-Gangolphe, la chapelle est ouverte uniquement les dimanches entre 15 heures et 18 heures jusqu'au Modèle:Date-. Non loin du pèlerinage, le hameau de Saint Gangolphe s’est constitué autour de l’ancienne tuilerie du Chapitre.
- Oratoire du Kreutzbach.
- Oratoire construit (reconstruit ?) en 1724<ref>L'oratoire du Kreuzbach</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle du cimetière, ancienne église Saint-Jean-Baptiste.
- Chapelle gothique au milieu du cimetière, vestige du chœur de l'ancienne église paroissiale dédiée à saint Jean-Baptiste<ref>Chapelle du cimetière, ancienne église Saint-Jean-Baptiste</ref>,<ref>Chapelle cimetière</ref>,<ref>L'ancienne église Saint-Jean-Baptiste</ref>.
- Ancienne chapelle Saint-Jacques.
- Eléments réemployés dans la Collégiale Saint-Michel, Saint-Gangolphe, actuellement église paroissiale Saint-Jean-Baptiste : Autel et retable du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; niche et groupe sculpté commandés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le chapitre de Lautenbach pour la chapelle Saint-Jacques détruite<ref>Modèle:Base Palissy</ref>.
- Chapelle-école
- Chapelle du Baltisrunz
Les oratoires
- L'oratoire du Kreuzbach<ref>L'oratoire du Kreuzbach</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'oratoire près de la chapelle Saint-Gangolphe<ref>L'oratoire près de la chapelle Saint-Gangolphe</ref>.
Les vestiges de châteaux dans les environs
- Château du Hohrupf<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>.
- Château de Lacbeck. Château fort détruit en 1316<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>.
Mairie
En contournant les bâtiments de la mairie, dont l'édifice faisait partie de l'ancienne prévôté du chapitre, on accède à une porte à arc brisé aux restes d'un cloître gothique daté de 1517 (inscription au-dessus de la porte)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
-
Mairie. -
Ancien bâtiment conventuel (1517), aujourd'hui mairie. -
Porche et galerie du cloître. -
Fenêtre et relief « St-Michel » du cloître.
Personnalités liées à la commune
- Manegold de Lautenbach (v. 1030 - 1103) : chanoine, théologien.
- Jean Egen : écrivain et journaliste.
- Edmond Gerrer (1919-1996) : natif de Lautenbach et maire de Colmar. Inhumé à Lautenbach.
Voir aussi
Bibliographie
- Inventaire du patrimoine par le service régional
- Lautenbach-Schweighouse
- Baquol: L'Alsace ancienne et moderne: dictionnaire topographique, historique et statistique du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, 1865
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage
- Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse, no 4, 1982, no 787 : Guebwiller et le Florival,
- Chatillon, François : Revue du Moyen Âge latin 9, 1953, Modèle:P.153-170
- Chatillon, François : Recherches critiques sur le différents personnages nommés Manegold, Revue du moyen âge latin 9, 1956
- Fabricius, J.A : Bibliotheca latina mediae et infimae aetis, 5 (1736) S. 13 ff (Bibliothèque nationale, Paris)
- Nuss, Philippe : Les Habsbourg en Alsace, des origines à 1213. Recherche pour une histoire de l'Alsatia Habsburgica. Société d'Histoire du Sundgau, Altkirch, 2002, 542 pages
- Stintzi, P. & Haaby, Charles : Murbach und Lautenbach, Alsatia, Sélestat, 1961, 20 pages (en allemand)
- Wilfried Hartmann : Manegold Von Lautenbach - Liber Contra Wolfelmum, Hermann Böhlaus Nachfolger. Weimar, 1972 (ouvrage en latin)
- Lautenbach, sur geneawiki.com/
- Cavités souterraines : ouvrages civils
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Liste des communes du Haut-Rhin
- Liste des monuments historiques du Haut-Rhin
- Schweighouse, ancienne commune faisant à présent partie de la commune de Lautenbach.
Liens externes
- Site de la mairie de Lautenbach
- Lautenbach sur le site de l'Institut géographique national
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)