Layrac-sur-Tarn

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Layrac-sur-Tarn est une commune française située dans le Sud-Ouest de la France, dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. La ville fait partie de la région historique de l'Occitanie et du pays traditionnel du Haut-Languedoc.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays Montalbanais, un territoire aux confins des anciennes provinces du Rouergue, de la Guyenne et du Languedoc et correspondant à la partie méridionale du Bas Quercy. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le Crève-Cor, le ruisseau de Rieu Tort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Layrac-sur-Tarn est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Layracois ou Layracoises.

La commune est située dans le nord-est de la Haute-Garonne, aux frontières du Tarn.

Les habitants de Layrac-sur-Tarn sont appelés les Layracois.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne

La commune de Layrac-sur-Tarn se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Villemur-sur-Tarn<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Villemur-sur-Tarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Villemur-sur-Tarn<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Bondigoux (Modèle:Unité), Mirepoix-sur-Tarn (Modèle:Unité), La Magdelaine-sur-Tarn (Modèle:Unité), Villematier (Modèle:Unité), Montvalen (Modèle:Unité), Villemur-sur-Tarn (Modèle:Unité), Bessières (Modèle:Unité), Le Born (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Layrac-sur-Tarn fait partie du pays Montalbanais, un territoire aux confins des anciennes provinces du Rouergue, de la Guyenne et du Languedoc et correspondant à la partie méridionale du Bas Quercy<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Layrac-sur-Tarn est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département du Tarn. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Le relief de la commune est plat au sud, le long du Tarn jusqu'au centre-village, alors qu'on compte un relief important dans le nord du territoire communal, notamment entre le centre-village et la frontière avec Montvalen et le département du Tarn.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Layrac-sur-Tarn.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Tarn, le Crève-Cor, le ruisseau de Rieu Tort, le Faurou, le ruisseau de Saute-Gous et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Tarn, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 12,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villematier », sur la commune de Villematier, mise en service en 1994<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Fichier:31288-Layrac-sur-Tarn-Natura2000.png
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, s'étendent sur Modèle:Unité dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:31288-Layrac-sur-Tarn-ZNIEFF1.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : l'« ancienne sablière de Valette à Layrac-sur-Tarn » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : la « basse vallée du Tarn » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Layrac-sur-Tarn est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), forêts (1,2 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 158, alors qu'il était de 151 en 2009.

Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 9,5 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,7 % des appartements.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,4 %, en très légère baisse par rapport à 2009 (87,8 %). En 2014 comme en 2009, il n'y avait pas de logements HLM sur la commune.

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune est traversée par la route départementale 15, qui relie le quartier Barrière de Paris de Toulouse au nord de Layrac, en passant par Aucamville, Villariès et La-Magdelaine-sur-Tarn. La commune est également traversée par la route départementale 22, qui relie Villemur-sur-Tarn à Mirepoix-sur-Tarn en passant par le centre-village.

La commune est accessible par l'autoroute A68, qui relie Albi à Toulouse, et qui est accessible depuis la sortie Modèle:Sortie, située à une dizaine de kilomètres de la commune.

Transports en commun

La ligne 355 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse ou à la station Borderouge du métro de Toulouse depuis Villemur-sur-Tarn, et la ligne 375 relie la commune au lycée de Fronton depuis Buzet-sur-Tarn.

La gare la plus proche de Layrac-sur-Tarn est la gare de Buzet-Roquesérière, située à une dizaine de kilomètres, sur la ligne de Brive-la-Gaillarde à Toulouse.

Enfin, l'aéroport le plus proche est l'aéroport de Toulouse-Blagnac, situé à une quarantaine de kilomètres.

Risques naturels et technologiques

La commune est concernée par un risque important d'inondations, du fait du passage du Tarn au sud du territoire communal.

Il existe également un risque de séisme très faible sur la commune (1/5).

La centrale nucléaire de Golfech étant située à une soixantaine de kilomètres, cela représente un risque, même si ce risque reste limité.

Toponymie

Le nom de la commune viendrait de villa et de Larius ou Hilarius, qui serait un propriétaire de la commune<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>. L’appellation sur-Tarn proviendrait évidemment du passage du Tarn au sud de la commune, et aurait été ajoutée plus tard.

Histoire

Les premières présences humaines à Layrac remonteraient au paléolithique, où les hommes préhistoriques y trouvent un bon terrain de chasse<ref name=":0" />.

Alphonse de Poitiers fonde la bastide en 1271. A l'époque elle dépendait de Villemur-sur-Tarn, et deviendra une commune à part entière en 1790<ref name=":0" />.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

La commune semble avoir une sensibilité de droite.

A titre d'exemple, lors de l'élection présidentielle de 2017, à Layrac-sur-Tarn, au premier tour, c'est Emmanuel Macron qui l'avait emporté avec 25,79 % des voix, suivi par Marine Le Pen et par François Fillon avec tous deux 22,17 % des voix. Au second tour, c'est Emmanuel Macron qui l'avait emporté avec 60,64 % des voix, suivi par Marine Le Pen avec 39,36 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Rattachements administratifs et électoraux

Layrac-sur-Tarn fait partie du canton de Villemur-sur-Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Layrac-sur-Tarn faisait partie de l'ex-canton de Montastruc-la-Conseillère). Layrac est également rattaché à l'arrondissement de Toulouse.

Le village fait également partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, qui englobe une partie du nord-est du département.

Enfin, Layrac fait partie de la communauté de communes de Val'Aïgo, qui regroupe des communes toutes situées entre Villemur-sur-Tarn et Bessières.

Politique environnementale

Le ramassage des déchets ménagers, plastiques et vert est assuré par la communauté de communes de Val'Aïgo.

La déchetterie la plus proche est celle de Pechnauquié, à Villemur-sur-Tarn.

Finances locales

Modèle:Section vide ou incomplète

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Layrac-sur-Tarn fait partie de l'académie de Toulouse.

Une crèche est présente sur la commune. Il y a aussi une école maternelle sur la commune de Bondigoux et une école primaire sur la commune de Mirepoix-sur-Tarn<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du secteur du collège Albert Camus de Villemur-sur-Tarn<ref>Modèle:Article.</ref>, ainsi que du lycée Pierre Bourdieu de Fronton.

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:Section vide ou incomplète

Santé

Le médecin généraliste le plus proche se situe à Bondigoux, et les pharmacies les plus proches à Villemur-sur-Tarn et Bessières.

Les hôpitaux les plus proches sont situées sur Toulouse et Montauban. On compte cependant une clinique spécialisée à Bondigoux.

Activités sportives

Chasse, randonnée,

Médias

Layrac est couverte par le journal La Dépêche du Midi et son édition locale nord-est de la Haute-Garonne, ainsi que par l'édition Toulouse Métropole de France 3 Occitanie.

Cultes

Il y a une église catholique, l'église Saint-Blaise, sur la commune.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (72,8 % ayant un emploi et 4,6 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 27 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 129, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 129 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 94,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 1,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

13 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Layrac-sur-Tarn au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 13 entreprises implantées à Layrac-sur-Tarn), contre 12 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 19 en 2000 puis à 14 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 15 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 32 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 43 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Layrac-sur-Tarn L'église.jpg
L'église.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:Section vide ou incomplète

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail