Marguerite Yourcenar

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Autre Modèle:Voir famille Modèle:Infobox Biographie2 Marguerite Yourcenar<ref group="alpha">Yourcenar est une anagramme imparfaite de son nom de famille, Crayencour.</ref>, pseudonyme de Marguerite Cleenewerck de Crayencour, née le Modèle:Date de naissance- à Bruxelles (Belgique) et morte le Modèle:Date de décès- à Bar Harbor dans l'État du Maine (États-Unis), est une femme de lettres et académicienne française (naturalisée américaine en 1947). Romancière, nouvelliste et autobiographe, elle est aussi poétesse, traductrice, essayiste et critique littéraire.

Elle est la première femme élue membre de l'Académie française en 1980.

Biographie

Jeunesse

Marguerite Antoinette Jeanne Marie Ghislaine Cleenewerck de Crayencour Modèle:Incise est née dans une maison de l'avenue Louise, à Bruxelles, d'un père originaire de la Flandre française et issu d'une famille de l'ancienne bourgeoisie<ref>Ce n'est qu'en 1925 qu'une branche de la famille Cleenewerck de Crayencour sera anoblie en Belgique.</ref>, Michel Cleenewerck de Crayencour, et d'une mère issue de la noblesse belge, Fernande de Cartier de Marchienne, qui meurt dix jours<ref>Marguerite Yourcenar Josyane Savigneau, Gallimard, 1990, p. 27.</ref> après la naissance de l'enfant<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Une vieille photographie noir et blanc d'un château.
Mont-Noir, en Flandres, château de la famille Dufresne construit en 1824 par l'arrière-grand-père de Marguerite Yourcenar, Amable Dufresne (1801-1875).
Il restera la propriété de la famille Dufresne jusqu'à la mort de Noémie en 1909. Michel Cleenewerck de Crayencour, le père de Marguerite Yourcenar, le vend en 1913, peu de temps après en avoir hérité de sa mère.

Marguerite est élevée chez sa grand-mère paternelle Noémie Dufresne (dont elle fait, dans Archives du Nord, un portrait acide) par son père, anticonformiste cultivé et grand voyageur. Elle passe ses hivers dans l'hôtel particulier de sa grand-mère rue Marais à Lille et ses étés, jusqu'à la Première Guerre mondiale, dans le château familial situé au sommet du mont Noir dans la commune de Saint-Jans-Cappel (Nord), construit en 1824 par son arrière-grand-père Amable Dufresne (1801-1875) et qui restera la propriété de la famille Dufresne jusqu'à la mort de Noémie en 1909. Michel Cleenewerck de Crayencour, le père de Marguerite Yourcenar, le vend en 1913, peu de temps après en avoir hérité. Le château sera détruit lors des combats de la Première Guerre mondiale<ref>Modèle:Cf villa Marguerite-Yourcenar.</ref>.

Elle valide la première partie de son baccalauréat à Nice, sans avoir fréquenté l'école. Son premier poème dialogué, Le Jardin des chimères, est publié à compte d'auteur en 1921 et signé MargYourcenar.

Yourcenar, anagramme de Crayencour à l'omission d'un C près, est le pseudonyme qu'elle s'est donné avec l'aide et l'accord de son père et qui deviendra son patronyme légal en 1947 lorsqu'elle recevra la nationalité américaine<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Elle accompagne son père dans ses voyages : Londres pendant la Première Guerre mondiale, le Midi de la France, la Suisse, l'Italie où elle découvre avec lui la villa d'Hadrien à Tivoli. Elle l'observe, assiste à ses amours dont elle fera la trame de Quoi ? L'Éternité.

Débuts littéraires

En 1929, elle publie son premier roman, inspiré d'André Gide<ref>Dans la préface d’Alexis ou le Traité du vain combat, rédigée en 1963, Marguerite Yourcenar affirme que, si le titre fait bien écho au Traité du vain désir de Gide, l'influence de ce dernier fut en réalité faible et surtout formelle, l'empreinte essentielle étant plutôt celle de Rilke.</ref>, d'un style précis et classique : Alexis ou le Traité du vain combat. Il s'agit d'une longue lettre dans laquelle un homme, musicien renommé, confie à son épouse son homosexualité et sa décision de la quitter dans un souci de vérité et de franchise. La « Monique » du texte n'est autre que le grand amour du père de Yourcenar, par ailleurs ancienne condisciple de sa mère, Jeanne de Vietinghoff.

Après le décès de son père en 1929 (il a cependant eu le temps de lire le premier roman de sa fille), Marguerite Yourcenar mène une vie bohème entre Paris, Lausanne, Athènes, les îles grecques, Istanbul, Bruxelles, etc. Bisexuelle<ref>Présentation de Vous, Marguerite Yourcenar. La passion et ses masques, un livre de Michèle Sarde.</ref>,<ref name="biographie">Proches et amis de Marguerite Yourcenar sur le site du Centre international de documentation Marguerite Yourcenar.</ref>, elle aime des femmes et tombe amoureuse d'un homme homosexuel, André Fraigneau<ref name=biographie/>, écrivain et éditeur chez Grasset.

Elle publie Nouvelles orientales, écho de ses voyages, Feux, composées de textes d'inspiration mythologique ou religieuse entrecoupées d'apophtegmes, où l'autrice traite sur différents modes le thème du désespoir amoureux et des souffrances sentimentales ; repris plus tard dans Le Coup de grâce (1939), court roman sur un trio amoureux ayant pour cadre la Courlande en 1919 pendant la guerre d'indépendance lettonne et la lutte des corps francs allemands contre les forces bolcheviques.

Départ pour les États-Unis

En 1939, alors que l'Europe s'achemine visiblement vers la guerre, Marguerite Yourcenar part pour les États-Unis rejoindre Grace Frick<ref>12 janvier 1903 - 18 novembre 1979, sans lien de parenté avec Henry Frick à l'origine de la collection du même nom (Michèle Sarde, Vous, Marguerite Yourcenar, Robert Laffont, 1995, Modèle:P..</ref>, alors professeure de littérature britannique à New York et sa compagne depuis une rencontre fortuite à Paris, en février 1937, à l'hôtel Wagram<ref name=biographie/>. Pendant la guerre, l'autrice ne publie que quelques articles qui paraissent au sein de Les Lettres françaises qui est à l'époque sous la direction de Roger Caillois<ref>Modèle:Article.</ref>. Elle écrit pendant cette période trois pièces ayant toutes pour sujet un élément de la pensée grecque, à savoir, Le mystère d’Alceste (1942), Électre ou la Chute des masques (1943), Qui n’a pas son Minotaure ? (1947). Elle traduit également une grande quantité de « Negro Spirituals », rassemblés ultérieurement sous le titre de Fleuve Profond, Sombre Rivière<ref>Modèle:Article.</ref>.

Grace Frick renonce à sa carrière universitaire. Elle soutient financièrement et psychologiquement Marguerite Yourcenar pendant la guerre et devient la traductrice de son œuvre en anglais<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Elles s'installent à partir de 1950 sur l'île des Monts Déserts (Mount Desert Island, dans le Maine), qu'elles avaient découverte ensemble en 1942, et nomment leur maison Petite Plaisance. Yourcenar y passera le reste de sa vie. Naturalisée américaine en 1947, elle enseigne la littérature française et l'histoire de l'art jusqu'en 1953. Elle rencontre notamment Isabel García Lorca au Sarah Lawrence College<ref>Modèle:Lien web</ref> et devient l'une des premières à effectuer des recherches sur l'assassinat du poète<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Grace Frick organise leur vie, ne se plaint pas après son ablation du sein en 1958, et doit rassurer sa compagne hypocondriaque et sujette à la dépression<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les deux femmes vivent ensemble jusqu'à la mort de Frick de son cancer du sein en 1979<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Grands romans

Yourcenar s’est voulue Modèle:" — de quelqu’un d’autrefois, à partir d’aujourd’hui<ref>« Yourcenar, décidément », France Culture, Concordance des temps, par Jean-Noël Jeanneney avec Henriette Levillain, le Modèle:Date-.</ref>.

Ainsi, pour son roman Mémoires d'Hadrien, elle dit avoir longtemps hésité, pour le choix de son sujet, entre l'empereur Hadrien et le savant persan du Moyen Âge Omar Khayyam. Paru en 1951, Mémoires d'Hadrien connaît un succès mondial et établit définitivement sa réputation d'écrivain majeur, consacrée en 1970 par son élection à l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.

Citation gravée dans la pierre : "Je ne cesserai jamais de m'émerveiller que cette chair soutenue par ses vertèbres, ce tronc joint à la tête par l'isthme du cou et disposant autour de lui symétriquement ses membres, contiennent et peut-être produisent un esprit qui tire parti de mes yeux pour voir et de mes mouvements pour palper… J'en sais les limites, et que le temps lui manquera pour aller plus loin, et la force, si par hasard lui était accordé le temps. Mais il est, et, en ce moment, il est Celui qui Est. - Marguerite Yourcenar"
Citation<ref>Modèle:Citation bloc</ref> tirée de L'Œuvre au noir dans le parc d'Egmont, à Bruxelles.

Le roman L'Œuvre au noir, commencé dès 1923-1924, paraît en 1968 et fait figure de clé de voûte de l'œuvre de Yourcenar : Modèle:Citation bloc

Zénon incarne l'esprit de la Renaissance, à la fois de son époque par son désir de connaissance et de liberté mais en avance sur elle au point d'être broyé par ce qui reste en elle d'obscurantisme. Par là, Zénon transcende son époque et représente une position universelle et intemporelle, celle du héros socratique, qui donne plus de prix à sa liberté qu'à sa vie et décide d'affronter la mort en face. Il incarne surtout celui qui est Modèle:", pour qui la quête de sens transite nécessairement par Modèle:". À l'encontre d'un type d'abîme où s'effondre Hans Castorp chez Thomas Mann : Modèle:"<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, la quête yourcenarienne est celle de l'Être héraclitéen éternellement en devenir.

Tels sont les protagonistes majeurs qui parcourent l'œuvre de Yourcenar. Depuis la traduction de la quête de La Nature de l'identité si bien rendue dans Les Vagues de Virginia Woolf, les paradoxes de la sexualité dans Le Coup de grâce, en passant par Le Tour de la prison et deux vaines tentatives personnelles de se rendre au Népal<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Yourcenar élabore Le Labyrinthe du Monde, qui transmue l'œuvre d'une vie en épopée littéraire. L'écrivaine affirme<ref>Modèle:Ouvrage</ref> ainsi sa propre identité : Modèle:Citation bloc

Élection à l'Académie française

En 1980, son élection à l'Académie française<ref>Modèle:Lien web</ref> est notamment soutenue par Jean d'Ormesson. Première femme à siéger à l'Académie française<ref>Modèle:Lien web.</ref>, elle succède à Roger Caillois auquel elle a consacré un essai<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, son discours du récipiendaire<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, à « L’homme qui aimait les pierres »<ref>Modèle:Article</ref>.

Fin de vie

Fichier:Marguerite Yourcenar (buste).jpg
Buste dans le square de l'église Saint-Vaast, à Bailleul, où Marguerite Yourcenar passait les étés de son enfance<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La dernière partie de sa vie se partage entre l'écriture dans l'isolement de l'île des Monts-Déserts et de longs voyages. Elle fait quelques périples à travers le monde avec le jeune réalisateur américain Jerry Wilson, son dernier secrétaire et compagnon dont les photographies en couleur illustrent La Voix des Choses, choix de textes par l'écrivaine. Jerry Wilson meurt du sida le Modèle:Date-<ref>Marthe Peyroux, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Marguerite Yourcenar meurt le Modèle:Date- à Bar Harbor. Ses cendres sont déposées au cimetière de Brookside à Somesville, un des villages de la municipalité de Mount Desert à côté de la petite maison en rondins qu'elle avait louée avec Grace Frick pendant les trois premiers étés du couple dans le Maine.

Trois dalles funéraires s'y trouvent : la première, réservée à Grace Frick, porte l'inscription, reprise de Mémoires d'Hadrien, « Modèle:Petites capitales » (« hôte et compagne »). La deuxième, à la mémoire de Jerry Wilson, porte sur la tranche l'inscription en grec « Modèle:Grec ancien » (ce qui signifie selon Yourcenar : « le calme et intelligent amour »). Enfin, la troisième, gravée partiellement avant son décès, est celle qui recouvre ses cendres<ref>Philippe Landru, « YOURCENAR Marguerite (Marguerite Cleenewerck de Crayencour : 1903-1987). Cimetière Brookside de Somesville, Maine - États-Unis », 23 février 2014.</ref> et porte une épitaphe tirée de L'Œuvre au noir : Modèle:Citation bloc

Postérité

Des romans historiques aux mémoires autobiographiques, l'œuvre de Yourcenar se caractérise d'abord par l'élaboration esthétique de sa langue, au style épuré et classique, et par le privilège donné à la narration. Inspirée à la fois par la sagesse orientale et la philosophie gréco-latine, la pensée de l'écrivaine se reconnaît notamment dans l'humanisme de la Renaissance entendu comme curiosité universelle nourrie par la lecture des livres anciens :

Modèle:Citation bloc

Yourcenar lisait couramment le grec ancien et le latin et avait une vaste connaissance de la littérature antique. Pour la rédaction des Mémoires d'Hadrien, elle rassemble une documentation exhaustive et lit toute la littérature conservée de l'époque d'Hadrien<ref>Entretiens avec Mathieu Galey.</ref>.

Son abondante correspondance a été publiée partiellement sous le titre Lettres à ses amis et quelques autres (Gallimard, 1995). Une édition complète est en cours chez ce même éditeur<ref>Quatre volumes parus à ce jour pour la période de 1951 à 1963.</ref>.

Œuvre

Poésie

Romans, nouvelles, contes

Mémoires

Essais

Théâtre

  • 1954 : Électre ou la Chute des masques, Plon
  • 1963 : Le Mystère d'Alceste
  • 1963 : Qui n'a pas son Minotaure ?
  • 1971 : Théâtre I (Rendre à César, La Petite Sirène et Le Dialogue dans le marécage)
  • 1971 : Théâtre II (Électre ou la Chute des masques, Le Mystère d'Alceste et Qui n'a pas son Minotaure ?)

Traductions

Correspondance

  • 1995 : Lettres à ses amis et quelques autres
  • 2004 : D'Hadrien à Zénon - Correspondance 1951-1956
  • 2007 : Une volonté sans fléchissement - Correspondance 1957-1960
  • 2011 : Persévérer dans l'être - Correspondance 1961-1963

Entretiens

Discours

  • 1971 : Réception de Madame Marguerite Yourcenar à l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique - Discours de M. Carlo Bronne et de Mme Marguerite Yourcenar
  • 1981 : Discours de réception de Madame Marguerite Yourcenar à l'Académie française et réponse de Monsieur Jean d'Ormesson<ref>Discours de réception et réponse.</ref>

Œuvres complètes

Actions pour la protection de l'environnement

Le combat écologique de l'écrivaine présent dans son œuvre littéraire<ref>Modèle:Ouvrage</ref> se concrétise par la création en 1982, selon un souhait formulé par elle-même, de la fondation Marguerite-Yourcenar, placée sous l'égide de la Fondation de France<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Cette fondation à caractère écologique, reconnue d'intérêt général<ref>Modèle:Lien web.</ref>, a pour but de protéger la faune et la flore sauvages<ref>Fondation Marguerite-Yourcenar sur le site de la Fondation de France, consulté le 5 juillet 2017.</ref>, et a contribué à la création d'une petite réserve naturelle dans les monts des Flandres près du château familial de son enfance situé au sommet du mont Noir<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Hommages

Modèle:…

Décoration

Note et références

Note

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Études sur l'œuvre

Il existe plusieurs milliers d'études sur l'œuvre de Marguerite Yourcenar, disponibles dans les bibliothèques des associations yourcenariennes.

  • 1980 : Marguerite Yourcenar, Jean Blot, éditions Seghers.
  • Depuis 1987 (n° 1) : Bulletin de la Société internationale d’études yourcenariennes (semestriel, puis annuel) : sur yourcenariana.org,
    • ainsi qu'une vingtaine d’actes de colloques publiés par la Société.
  • 1995 :
    • Roman, histoire et mythe dans l'œuvre de Marguerite Yourcenar, actes du colloque d'Anvers, Modèle:Date-, Simone et Maurice Delcroix, éditions Tours, 524 p. Modèle:ISBN.
    • Giorgetto Giorgi, Mito, Storia, Scrittura, nell’opera di Marguerite Yourcenar, Milano, Bompiani, 1995, 70 p. Modèle:ISBN.
    • Rémy Poignault, L’Antiquité dans l’œuvre de Marguerite Yourcenar. Littérature, mythe et histoire, Bruxelles, Latomus, 1995, 1096 p. Modèle:ISBN.
  • 1996 : Donata Spadaro, « Marguerite Yourcenar et l'écriture autobiographique : Le Labyrinthe du monde », bull. SIEY, Modèle:N°, décembre, Modèle:P. à 83.
  • 2002 : La Promesse du seuil : un voyage avec Marguerite Yourcenar de Christian Dumais-Lvowski, photographies de Saddri Derradji, Actes Sud, Modèle:Coll
  • 2003 : Bérengère Deprez, Marguerite Yourcenar. Écriture, maternité, démiurgie, essai, Bruxelles, Archives et musée de la littérature/PIE-Peter Lang, Modèle:Coll, 330 p.
  • 2008 : Antoine Gavory, Marguerite Yourcenar : itinéraire d'un écrivain solitaire, Flagrant d'élie.
  • 2009 : {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Bérengère Deprez, Marguerite Yourcenar and the United States. From Prophecy to Protest, Peter Lang, Modèle:Coll, 180 p.
  • 2012 : Bérengère Deprez, Marguerite Yourcenar et les États-Unis. Du nageur à la vague, Éditions Racine, 192 p.
  • 2014 :
    • Donata Spadaro, Marguerite Yourcenar e l'autobiografia, ADP.
    • Modèle:Ouvrage.

Filmographie

  • 1975 : Dans l'île du Mont-Désert chez Marguerite Yourcenar, documentaire de Philippe Dasnoy et Jean Antoine, diffusé en Modèle:Date-
  • 2013 : Marguerite Yourcenar, alchimie du paysage, documentaire de Jacques Lœuille, diffusé en 2014 sur France Télévisions ; voir sur youtube.com

Articles connexes

Liens externes

Notices et ressources


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