Roger-Gérard Schwartzenberg
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique
Roger-Gérard Schwartzenberg, né le Modèle:Date de naissance à Pau (Basses-Pyrénées), est un juriste, politologue et homme politique français, qui a été président du Mouvement des radicaux de gauche (MRG), devenu le Parti radical de gauche (PRG), dont il est co-président d'honneur.
D'abord député au Parlement européen (1979-1983), il est député à l'Assemblée nationale de 1986 à 2007 et de 2012 à 2017 ; il préside depuis la même année le groupe radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP) à l'Assemblée nationale. Il est par ailleurs membre du gouvernement français entre 1983 et 1986, puis à nouveau entre 2000 et 2002.
Biographie
Roger-Gérard Schwartzenberg est le fils d'André Schwartzenberg et de Simone Schwartzenberg née Gutelman<ref>Modèle:Lien web</ref>, nés l'un et l'autre à Paris, respectivement en 1906 et en 1913. Son père avait une entreprise industrielle de bonneterie, située à Paris et à Rouen, en association avec son frère aîné Simon Schwartzenberg, père du professeur Léon Schwartzenberg.
Il est agrégé de droit public dès l'âge de Modèle:Nombre, en 1968 : il est alors le plus jeune professeur de faculté de France, en poste d'abord à Orléans. L'année suivante, il est élu à Modèle:Nombre professeur à la faculté de droit de Paris (devenue [[Université Panthéon-Assas|université Paris-Modèle:II]] Panthéon-Assas). Simultanément, il est professeur à l'Institut d'études politiques de Paris de 1972 à 1983 et y crée le premier cours de politique comparée. En Modèle:Date-, le titre de professeur émérite lui est conféré par l'université de Paris-Modèle:II<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Spécialiste de droit constitutionnel et de science politique, il est l'auteur d'une dizaine de livres dont La campagne présidentielle de 1965 (1967), La guerre de succession ou l'élection présidentielle de 1969, Sociologie politique (1971, Modèle:5e : 1998), L'État spectacle (1977), La Droite absolue (1981), La Politique mensonge (1998), 1788 : Essai sur la maldémocratie (2006), L'État spectacle 2 (2009).
Faisant le compte-rendu de La Droite absolue dans Le Monde en Modèle:Date-, François Mitterrand conclut : Modèle:Citation<ref>François Mitterrand, « Le triangle du pouvoir », Le Monde du 11 février 1981.</ref>.
Publiée dès 1977, la première version de L’État spectacle a pour sous-titre Essai sur et contre le star system en politique. Elle analyse la mutation de la vie publique sous l'effet des médias : désormais, le profil supplante le projet et l'image remplace le message. L’État spectacle a été traduit aux États-Unis, en Allemagne, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Roumanie et au Brésil<ref>L'État spectacle a été traduit :
- aux Pays-Bas (Modèle:Langue, Standaard Uitgeverig, 1977) ;
- en Espagne (Modèle:Langue, Dopesa, 1978) ;
- au Brésil (Modèle:Langue, 1978) ;
- aux États-Unis (Modèle:Langue, Barron's-Woodbury, 1980) ;
- en Italie (Modèle:Langue, Editori Riuniti, 1980) ;
- en Allemagne (Modèle:Langue, Econ Verlag, 1980) ;
- en Roumanie (Modèle:Langue, Scripta).</ref>.
Par ailleurs, éditorialiste au Monde (1971-1976) et à L'Express (de 1971 à 1974), Roger-Gérard Schwartzenberg y a préconisé plusieurs réformes institutionnelles qui seront adoptées postérieurement, dans les années 1990 et 2000 : instauration du quinquennat, limitation du cumul des mandats, plafonnement des dépenses électorales, aide de l'État au financement des partis politiques, statut parlementaire de l'opposition, etc.<ref>Modèle:Cf. notamment Roger-Gérard Schwartzenberg :
- « Libertés nouvelles », Le Monde du 12 février 1978 ;
- « Réformer l'Assemblée », L'Express du 26 mars 1973 ;
- « Changer la vie publique », Le Monde du 23 mai 1974 ;
- « L'opposition de 1978 », Le Monde du 4 juin 1977 ;
- « Les mots et les choses », Le Monde du 24 novembre 1978.</ref>
Candidat à Modèle:Nombre pour un siège à l'Académie française, à la suite du décès de Georges Vedel qui occupait le fauteuil Modèle:N°, fauteuil qui avait été l'objet auparavant d'une élection blanche en 2003. Lors du vote du Modèle:Date, il obtient au premier tour, sur 30 votants, dix voix face à Jean-Claude Pecker, professeur d'astrophysique au Collège de France, membre de l'Académie des Sciences (neuf voix) et à Michel Tack (une voix). Après deux autres tours de scrutin, aucun candidat n'obtint la majorité absolue<ref>Académie française - Élection blanche au fauteuil de M. Georges Vedel (F5), 15 janvier 2004. Consulté le 12 janvier 2016.</ref> Roger-Gérard Schwartzenberg, ne se représentant pas, l'élection au fauteuil de Georges Vedel donne lieu à deux nouvelles élections blanches en 2004, avant d'être pourvu seulement en Modèle:Date- par Assia Djebar. En 2018, il est candidat au fauteuil d'Alain Decaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, mais retire sa candidature peu avant le scrutin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Roger-Gérard Schwartzenberg est le cousin-germain du professeur Léon Schwartzenberg, spécialiste de cancérologie. Leurs pères respectifs étaient frères.
Carrière politique
Au sein des radicaux de gauche
Sur le plan politique, il devient en 1976 délégué général du Mouvement des radicaux de gauche (MRG), vice-président en 1978, et en est élu en 1981 président. Il reste à leur tête jusqu'à son entrée au gouvernement en mars 1983.
En 2007, Roger-Gérard Schwartzenberg et François Loos se sont rencontrés pour discuter de la perspective d'une éventuelle réunification du PRG et du Parti radical valoisien<ref>« Difficile mariage entre Rossinot et Baylet », La Lettre A, 7 septembre 2007</ref>.
L'initiateur des primaires
Roger-Gérard Schwartzenberg est le premier à gauche à avoir préconisé l'instauration de primaires présidentielles. Il le fait dans un discours à l'université d'été du Parti radical de gauche (PRG) le Modèle:Date- et dans une tribune publiée dans Le Monde du Modèle:Date-, intitulée « Pour des primaires à gauche ».
Afin de définir leurs modalités juridiques et techniques, il dépose à l'Assemblée nationale, le Modèle:Date-, une « proposition de loi relative à l'organisation d'élections primaires en vue de la désignation des candidats à l'élection présidentielle »<ref>Proposition de loi Modèle:N°, Assemblée nationale, {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:| }} }} législature.</ref>.
En outre, il est favorable à l'idée que le PRG ne présente pas de candidat à l'élection présidentielle de 2007 et apporte son soutien au candidat de la primaire socialiste dès le premier tour du scrutin présidentiel, afin de limiter l'émiettement électoral qui avait porté préjudice à la gauche en 2002<ref>« Les radicaux de gauche entre cœur et raison », Ouest France, 22 octobre 2006.</ref>.
Cette double idée — primaires ouvertes aux électeurs et communes à plusieurs partis de gauche —, lancée en 2004, sera adoptée à son tour par le PS à sa Convention nationale du Modèle:Date-, consacrée à sa rénovation.
Carrière parlementaire
En 1979, le Parlement européen est désigné pour la première fois au suffrage universel direct. Il y est élu député sur la liste PS-MRG, conduite par François Mitterrand et comprenant notamment Pierre Mauroy, Maurice Faure, Édith Cresson et Jacques Delors.
Le Modèle:Date-, alors que la peine de mort est en vigueur en France, il dépose une proposition de résolution pour son abolition dans l'ensemble de la Communauté européenne. Le Parlement européen adopte cette résolution le Modèle:Date-<ref>Parlement européen, document de séance 1-65/ 1981.</ref>. La peine capitale sera abolie en France par la loi du Modèle:Date-.
Roger-Gérard Schwartzenberg est ensuite élu député à en 1986, 1988, 1993, 1997 et 2002 ([[Troisième circonscription du Val-de-Marne|Modèle:3e du Val-de-Marne]]). À l'Assemblée nationale, il est vice-président du groupe socialiste de 1988 à 1997, puis de 2002 à 2007. Dans l'intervalle, il est en 1999-2000, jusqu'à son retour au gouvernement, président du groupe Radical, citoyen et vert (RCV), qui rassemble les députés de gauche n'étant ni communistes, ni socialistes, et qui font partie de la gauche plurielle.
Lors des élections législatives de 2007, il obtient 49,8 % des voix et perd son mandat de Modèle:Nombre sur Modèle:Unité face à Didier Gonzales, maire de Villeneuve-le-Roi. Devant l'étroitesse de l'écart de voix Modèle:Incise, il dépose un recours auprès du Conseil constitutionnel, qui valide pourtant l'élection le Modèle:Date-<ref>Décision du Conseil constitutionnel du 13 décembre 2007.</ref>.
Il se représente aux législatives de juin 2012 dans sa circonscription d'origine (la Modèle:3e du Val-de-Marne) avec l'investiture du PRG et du PS. Il est élu le Modèle:Date- et prend l'initiative de créer le groupe radical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP), dont il est élu président.
Le Modèle:Date-, il annonce lors d'un entretien au journal Le Parisien, qu'il sera pas candidat à sa réélection aux élections législatives de 2017.
Carrière municipale
Il est maire de Villeneuve-Saint-Georges de 1989 à 1995, puis de 2001 à 2008. En 2001, sa liste l'emporte dès le Modèle:1er avec 52,84 % des voix, la liste des Verts conduite par Jean-Charles Germany et Cécile Duflot obtenant par ailleurs 8,03 %. Pour les municipales de 2008, il conduit lui-même les négociations PRG-PS- MRC-Verts, Cécile Duflot acceptant d'être no 2 de la liste. Mais ne souhaitant pas être maire une troisième fois, il annonce début Modèle:Date- son intention de ne pas se représenter personnellement à la mairie<ref>Pourquoi Roger-Gérard Schwartzenberg renonce, Le Parisien, consulté le 7 octobre 2016</ref>. La liste est donc conduite par Laurent Dutheil (PS), qui avait été son premier adjoint. Toutefois, la liste Dutheil-Duflot est devancée au Modèle:1er des municipales de Modèle:Date- par la liste de Sylvie Altman (PCF), alors qu'au Modèle:1er des législatives de Modèle:Date- neuf mois auparavant, Roger-Gérard Schwartzenberg avait devancé Sylvie Altman de Modèle:Nombre à Villeneuve-Saint-Georges.
Carrière ministérielle
Roger-Gérard Schwartzenberg a appartenu à trois gouvernements de gauche ([[Gouvernement Pierre Mauroy (3)|Mauroy Modèle:III]], Fabius et Jospin), comme secrétaire d’État à l'Éducation nationale (1983-1984), secrétaire d'État aux Universités (1984-1986) et ministre de la Recherche (2000-2002).
Comme ministre de la Recherche, il est à l'origine de la deuxième loi de bioéthique, de la fondation du Consortium national pour la recherche en génomique, de la création du synchrotron SOLEIL à Saclay, de la relance du projet ITER et du projet GALILEO, du lancement du programme Ariane 5 plus, qui précède Ariane 6.
Par ailleurs, il crée l'Institut de la vision (dirigé par le Modèle:Pr José-Alain Sahel), l'Institut de la longévité et du vieillissement (animé par le Modèle:Pr Étienne-Émile Baulieu) et l'Institut des maladies rares (dirigé par le Modèle:Pr Alain Fischer).
Prises de positions
Affaires économiques
- Énergie
Durant son passage au ministère de la Recherche et après, Roger-Gérard Schwartzenberg a soutenu le projet ITER<ref>« ITER - Les réactions », Nouvel Obs, 28 juin 2005.</ref>.
Affaires sociales
- Emploi
En Modèle:Date-, Roger-Gérard Schwartzenberg a proposé au président de la République, Jacques Chirac, d'organiser un référendum pour sortir de la crise du contrat première embauche (CPE)<ref>« Roger-Gérard Schwartzenberg (PRG) pour un référendum », Le Figaro, 3 avril 2006</ref>. Cette proposition intervient le lendemain de la décision du Conseil constitutionnel, que Roger-Gérard Schwartzenberg avait saisi avec d'autres parlementaires pour s'opposer au CPE (article 8 de la loi pour l'égalité des chances), et qui avait déclaré le CPE conforme à la Constitution<ref>Décision Modèle:N° DC du 30 mars 2006.</ref>.
Europe
- Convergence européenne
Lors de la campagne référendaire portant sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, Roger-Gérard Schwartzenberg invite en Modèle:Date- le Président de la République, Jacques Chirac, en cas de victoire du oui, à lancer une initiative pour « élaborer des critères de convergence entre les législations sociales et fiscales des différents pays de l'Union »<ref>Guillaume Perrault, « Quand les socialistes conseillent le président », Le Figaro, 26 mai 2005.</ref>, pour éviter le dumping social et fiscal.
- Contrôle national
Roger-Gérard Schwartzenberg soutient en Modèle:Date- l'adoption de « l'amendement Balladur » (tout comme les députés de l'UDF et une partie de ceux de l'UMP)<ref>Sophie Huet, « L’amendement Balladur divise le groupe UMP », Le Figaro, 13 janvier 2005.</ref>, qui prévoit que le gouvernement soumette au Parlement un texte européen sur demande du Président de l’Assemblée nationale ou du Sénat, du Président d’une des commissions permanentes de ces assemblées, ou de soixante députés ou soixante sénateurs<ref>« ASSEMBLEE NATIONALE, 18 janvier 2005, MODIFICATION DU TITRE XV DE LA CONSTITUTION - (Modèle:N°), AMENDEMENT Modèle:N°, présenté par MM. BALLADUR, de CHARETTE et BLUM ».</ref> ; il explique sa position en affirmant que Modèle:Citation. L'amendent n'a pas été adopté.
Politique étrangère
- Chine
Opposé à l'invitation du président chinois, Hu Jintao, de la part du président de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, à s'exprimer devant les députés, Roger-Gérard Schwartzenberg est absent lors de sa venue le Modèle:Date-<ref>« Plus de Modèle:Nombre pourraient boycotter le discours de Hu Jintao à l'Assemblée », AP French Worldstream, 27 janvier 2004</ref>, pour marquer son hostilité aux atteintes aux droits de l'homme en Chine et au Tibet.
Questions sociétales
- Bioéthique
En Modèle:Date-, il prend position en faveur de la recherche en matière de clonage thérapeutique<ref>Modèle:Article.</ref>, notamment à travers le dépôt d'une proposition de loi<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Euthanasie
Il est favorable à l'assistance médicalisée pour la fin de vie, pour laquelle il dépose une proposition de loi en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Laïcité
Il manifeste son opposition en Modèle:Date- au port du voile islamique par les parents accompagnant les sorties scolaires, considérant qu'elles font partie du temps scolaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Nationalité
Dans le débat sur la déchéance de nationalité des terroristes binationaux, durant l'hiver 2015-2016, Roger-Gérard Schwartzenberg propose de recourir à la peine complémentaire de l'interdiction des droits civiques, civils et de famille, c'est-à-dire à la déchéance de la citoyenneté et non à la déchéance de la nationalité, cette peine complémentaire pouvant concerner tant les Français mononationaux que les binationaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Vie politique
- Alliances partisanes
Roger-Gérard Schwartzenberg envisage en Modèle:Date- une alliance ponctuelle d'opposition parlementaire avec l'UDF à la suite des votes et critiques des députés centristes contre la politique du gouvernement Villepin (budget pour l'année 2006, CPE, motion de censure)<ref>Nouvel Obs, « Schwartzenberg veut s'unir avec l'UDF », 16 mai 2006</ref>.
En Modèle:Date-, il s'oppose à la proposition du président du PRG, Jean-Michel Baylet, de dialoguer avec le Parti radical valoisien, à la suite de l'idée d'un rapprochement entre la gauche et les centristes, en déclarant que « dialoguer avec les valoisiens qui sont officiellement membres de l’UMP et dont l’un des principaux dirigeants n’est autre que le ministre d'État Jean-Louis Borloo, ce n’est pas comme discuter avec le MoDem, qui n’est ni dans la majorité ni dans l’opposition »<ref>Rodolphe Geisler, « Les retrouvailles entre radicaux attendront », Le Figaro, 9 juillet 2007.</ref>.
- Élections
En Modèle:Date-, Roger-Gérard Schwartzenberg exprime sa réticence quant à l'usage du vote électronique pour les élections, qui, selon lui, pourrait entacher la sincérité des scrutins<ref>« Forte suspicion autour du vote électronique pour la présidentielle », La Tribune.fr, 15 avril 2007.</ref>.
- Gouvernement Raffarin
En Modèle:Date-, dans un tout premier temps, il juge positivement la nomination de Claudie Haigneré, qui lui succède comme ministre délégué à la Recherche et aux Technologies du [[Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2)|Modèle:2e Raffarin]]<ref>« Claudie Haigneré : l’apprentissage a été rude pour la « bac + 17 » », Le Figaro, 2 avril 2004.</ref>.
- Responsabilité politique
À l'issue du jugement de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris en Modèle:Date-, jugement critiqué par plusieurs ministres, Roger-Gérard Schwartzenberg demande dans une lettre au garde des Sceaux, ministre de la Justice, Dominique Perben, que les membres du gouvernement qui contestent une décision judiciaire soient poursuivis en justice<ref>« Juges - la gauche entretient la polémique », Le Figaro, 9 février 2004</ref>.
Mandats et fonctions
Mandats locaux
- Modèle:Date - Modèle:Date : maire de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne)
- Modèle:Date - Modèle:Date : conseiller municipal d'opposition de Villeneuve-Saint-Georges
- Modèle:Date - Modèle:Date : maire de Villeneuve-Saint-Georges
Mandats législatifs
- Modèle:Date - Modèle:Date : député européen
- Modèle:Date - Modèle:Date : député
- Modèle:Date - Modèle:Date : député
- Modèle:Date - Modèle:Date : député
- Modèle:Date - Modèle:Date : député
- Modèle:Date - Modèle:Date : Président du groupe parlementaire RCV à l'Assemblée nationale
- Modèle:Date - Modèle:Date : député
- Modèle:Date - Modèle:Date: député<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Modèle:Date - Modèle:Date : Président du groupe parlementaire Radical, républicain, démocrate et progressiste à l'Assemblée nationale
Fonctions gouvernementales
- Modèle:Date - Modèle:Date : Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale
- Modèle:Date - Modèle:Date : Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, chargé des Universités
- Modèle:Date - Modèle:Date : Ministre de la Recherche du Gouvernement Lionel Jospin
Livres
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage, Modèle:5e éd. 1998.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
Décorations
- Modèle:Décoration par le décret du Modèle:Date<ref>Modèle:Légifrance</ref>
- Modèle:Déco Chevalier de la Légion d'honneur le Modèle:Date
- Modèle:Déco (Allemagne)
- Grande décoration d'honneur de la République d'Autriche
Notes et références
Liens externes
- Radioscopies de Roger-Gérard Schwartzenberg Ina Archives Télé