Saclay
Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Saclay<ref>Fiche de Saclay dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 06/08/2012.</ref> (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située à dix-neuf kilomètres au sud-ouest de Paris, dans le département de l'Essonne, en région Île-de-France.
La commune se trouve au cœur du plateau de Saclay, qui accueille depuis l'après-guerre un grand nombre d'institutions de recherche scientifique et de grandes écoles. La commune est le siège du centre CEA de Saclay. Elle est également au cœur d'une vaste opération d'aménagement visant à créer une grappe industrielle nommée Paris-Saclay.
Ses habitants sont appelés les Saclaysiens<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.</ref>.
Géographie
Situation
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 15,8 % | 216,99 |
Espace urbain non construit | 7,8 % | 106,94 |
Espace rural | 76,5 % | 1 051,80 |
Source : Iaurif<ref>Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 16/11/2010.</ref> |
Saclay s'étend sur le plateau du même nom qui constitue encore aujourd'hui, aux portes de Paris, une grande surface agricole.
Saclay est située à dix-neuf kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame<ref>Orthodromie entre Saclay et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, point zéro des routes de France, vingt-deux kilomètres au nord-ouest d'Évry<ref>Orthodromie entre Saclay et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, cinq kilomètres à l'ouest de Palaiseau<ref>Orthodromie entre Saclay et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, douze kilomètres au nord-ouest de Montlhéry<ref>Orthodromie entre Saclay et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, dix-sept kilomètres au nord-ouest d'Arpajon<ref>Orthodromie entre Saclay et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes<ref>Orthodromie entre Saclay et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-est de Dourdan<ref>Orthodromie entre Saclay et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, trente kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais<ref>Orthodromie entre Saclay et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, trente-trois kilomètres au nord d'Étampes<ref>Orthodromie entre Saclay et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>, quarante-deux kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Saclay et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 12/11/2012.</ref>.
Hydrographie
Relief et géologie
Communes limitrophes
Rose des vents | Toussus-le-Noble (Yvelines) |
Jouy-en-Josas (Yvelines) |
Bièvres | Rose des vents |
Villiers-le-Bâcle | Modèle:Abréviation discrète | Vauhallan | ||
Modèle:Abréviation discrète Saclay Modèle:Abréviation discrète | ||||
Modèle:Abréviation discrète | ||||
Gif-sur-Yvette Saint-Aubin |
Orsay | Palaiseau{{#if:| | ||
Enclave : }} |
Climat
Modèle:Article connexe Saclay, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé. En moyenne annuelle, la température relevée s'établit à Modèle:Unité avec une moyenne maximale de Modèle:Unité et une moyenne minimale de Modèle:Unité. La température réelle maximale intervient en juillet avec Modèle:Unité et la réelle minimale en janvier avec Modèle:Unité. Elle se distingue de Paris par un écart constant négatif de Modèle:Unité, qui s'explique notamment par la différence de densité urbaine entre la capitale et sa banlieue. L'influence du climat continental engendre des records extrêmes avec Modèle:Unité relevés le Modèle:Date et Modèle:Unité enregistrés le Modèle:Date. L'ensoleillement est comparable aux régions du nord de la Loire avec Modèle:Nombre en moyenne sur l'année, et les précipitations sont également réparties avec une moyenne de cinquante millimètres par mois et un total de Modèle:Unité de pluie sur l'année. Le record de précipitations a été établi le Modèle:Date avec Modèle:Unité tombés en vingt-quatre heures.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes 91.10 et 91.11 de la société de transport Albatrans, les lignes 11, 103 et 104 du réseau de bus de Vélizy Vallées et par les lignes 9, 10, 16 et 91-06 du réseau de bus Paris-Saclay.
Un service de vélos électriques partagés Zoov<ref>Modèle:Article.</ref> est proposé sur le Plateau de Saclay depuis janvier 2019<ref>Modèle:Article.</ref>.
La commune sera aussi desservie par la ligne 18 du métro de Paris à la station CEA Saint-Aubin.
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune est découpée en deux villages :
- le Bourg & Le Christ-de-Saclay
- le Val d'Albian.
Urbanisme
Typologie
Saclay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 8,4 % | 115 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 15,5 % | 212 |
Équipements sportifs et de loisirs | 1,1 % | 15 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 64,9 % | 890 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 2,8 % | 39 |
Forêts de feuillus | 2,5 % | 34 |
Plans d'eau | 4,8 % | 66 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sarclitas au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Mulon">Marianne Mulon, Noms de lieux d’Ile-de-France (avril 97)</ref>, Sarcleyum en 1232<ref name="Cocheris">Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Sacleyum<ref name="Cocheris" />, Sarcleium<ref name="Cocheris" />, Sarcleya<ref name="Cocheris" />, Sarcleyo au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Michel Roblin, Le terroir de ParisauxModèle:Quoi époques gallo-romaine et franqueModèle:Référence incomplète.</ref>, Sarcloi<ref name="Cocheris" />, Saclé<ref name="Cocheris" />.
La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel<ref name="Cassini"/>.
On attribue parfois à Saclay, la forme Salioclitæ du Modèle:S mini- -Modèle:S mini- siècle de l'Itinéraire d'Antonin, mais il semble plutôt qu'il s'agisse de Saclas (Essonne, Sarclitas en 635) dont les formes anciennes montrent qu'elle partage la même étymologie<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Selon toute vraisemblance, c'est une formation toponymique gauloise, mais les éléments qui la composent n'ont pas pu être identifié avec certitude et le sens exact du toponyme nous échappe.
On décompose généralement en Salio-clita. Albert Dauzat considère le premier élément Salio- comme obscur et propose sans conviction le gaulois clita « haie », Marianne Mulon donne une signification un peu différente à cet élément gaulois *clita (qu'elle estime non attesté) qui a abouti à claie<ref name="Mulon" />, mot français ayant (eu) divers sens « treillis servant à divers usages » ou encore « treillage qui ferme un champ, un pâturage »<ref name=cnrtl>Modèle:Lien web.</ref> (dérivés clayon, clayonnage « claie formée de pieux et de branchages entrelacés servant à soutenir les terres, à fermer un passage ou à lutter contre l'action érosive des eaux sur les berges des rivières »)
Ces deux auteurs restituent ce mot gaulois de manière inexacte, il s'agit de *clēta<ref>Georges Dottin, La langue gauloise : grammaire, textes et glossaire, Paris : C. Klincksieck, 1920, Modèle:P. (lire en ligne) [1]</ref>,Modèle:Sfn et non de clita qui est une forme du latin médiéval (conjointement à clida et cleda chez Du Cange). On reconstruit aussi *klēta ce qui revient au même<ref name=cnrtl/>. Ce mot gaulois a des correspondances dans toutes les langues celtiques : ancien irlandais cliath « claie, rangée », gallois clwyd « barrière », moyen cornique cluit « cleta », breton kloued(enn) « haie ». Il se poursuit également dans la quasi-totalité des langues et des dialectes romans.
Camille Jullian voyait dans Salio-clita un « trou salé », comme le plateau en contient encore<ref>Alain Guyot, Toponymes de notre région, Bulletin Modèle:N°, année 1999, page 12</ref>. Il identifie dans Salio-, le mot signifiant « sel », suivi par Xavier DelamarreModèle:Sfn. En revanche, il n'y a pas de terme clita signifiant « trou », mais un *clita, *clitos voulant dire « pilier »Modèle:Sfn, d'où le sens global de « pilier de sel », parallèle selon cet auteur à *isarno-clitos (isarnou-clitos, Vichy) « pilier de fer ». Trou se disait *clutso- en gauloisModèle:Sfn, terme ayant des correspondances en celtique insulaire au sens d'« oreille ». Il s'est en outre perpétué dans certaines langues romanes, notamment en France pour se fixer également dans la toponymie en tant que le Clot, Clot, la Clotte, etc.
La mention relativement tardive de la forme Salioclita, peut cependant laisser supposer la forme évoluée d'un plus ancien Salicocleta, avec l'amuïssement du c de salico- « saule », d'où le sens global de « claie en (bois de) saule ».
Histoire
L'ingénieur Gobert, intendant des bâtiments du roi Louis XIV, eut l'idée de recueillir les eaux de pluie tombant sur le plateau de Saclay d'altitude plus élevée que celle de Versailles, pour alimenter les bassins de son château.
Ainsi, des rigoles y furent établies pour alimenter les bassins du parc de Versailles<ref>Chronologie du dispositif hydraulique mis en place pour alimenter les eaux de Versailles sur le site officiel du château.</ref>. Ces dispositifs sont dénommés la rivière du Roi Soleil.
En 1648, Louis XIV y fit creuser un étang (« Étang vieux ») où s'écoulent les eaux des environs, et un canal qui les conduit à Versailles.
En 1680, Vauban (qui succéda à Gobert en 1684), créa une digue avec chaussée de Modèle:Unité et l'eau put arriver à Versailles par les aqueducs de Villedomble, du Plessis et de Buc (encore visible). Il fit construire l'étang de Villiers qui fut réuni à l’étang de Saclay (« Étang vieux ») par l'aqueduc "des mineurs". C'est aussi à cette époque que l'on creusa un deuxième étang, appelé « Étang neuf ». Le roi fit construire un pavillon et, sur la digue, un rendez-vous de chasse.
L'église date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 82 % du territoire est agricole. À l'écart du chemin de fer et des voies de communication, Saclay n'a pas été gagné par l'urbanisation galopante.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle il y avait deux distilleries<ref name="D">Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti</ref>.
En 1945, le général de Gaulle décide la création du Commissariat à l'énergie atomique<ref>Les origines du CEA sur le site http://www.charles-de-gaulle.org Modèle:Lien archive.</ref>. Dès 1947, la construction du centre CEA de Saclay commence. L'architecte du centre est Auguste Perret. Le centre d'études nucléaires du CEA-Saclay compte actuellement plus de Modèle:Nombre (il a frôlé les Modèle:Nombre dans les années 1960).
En 1946, le fort de Villeras, construit en 1870, accueille le centre d'essai des propulseurs.
En 1995, la caisse nationale militaire de Sécurité sociale développa l'établissement de santé de La Martinière.
Depuis 2006, Saclay se trouve au cœur du projet de grappe industrielle Paris-Saclay, engagée par l’État dans le cadre des investissements d'avenir. L'objectif est de réaliser une Silicon Valley française, mêlant recherche de pointe et entreprises pour créer l'un des plus grands pôles d'innovation au monde. L'Université Paris-Saclay regroupera plus de Modèle:Nombre étudiants et Modèle:Nombre, et accueillera de nouveaux établissements dans les années à venir, comme l’École centrale Paris, AgroParisTech ou l'ENS Cachan.
Le 12 juillet 2017, le site de Paris-Saclay est choisi par le gouvernement pour accueillir l'exposition universelle de 2025<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui se tiendra finalement à Osaka.
Les Hospitaliers
L'origine de la commanderie de Saclay remonte à 1194 quand la noble dame Osanne la Vilaine fit don aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de tout ce qu'elle possédait à Saclay pour Modèle:Nb<ref>Archives nationales S 5124, supplément n. 3</ref>,Modèle:Sfn. En Modèle:Date-, Gaudefroy et Adeline Pasquier de Vaucresson renoncent à leur droit et permettent à Guillaume de Saclay de donner sa terre de Saclay aux Hospitaliers<ref>Archives nationales S 5124 supplément n. 10</ref>,Modèle:Sfn. En 1228, Amauray d'Issy fait don de Modèle:Nb de terre avec les droits de champart et de cens à Saclay<ref>Archives nationales S 5124, supplément n. 8 et 9</ref>,Modèle:Sfn. En 1234, Milon de Repenti donne la dime des Arpentis et en 1306, Modèle:Nb de terre à Villedomble avec Modèle:Nb et Modèle:Nb par an à prendre sur Villiers-sous-ChâteaufortModèle:Sfn.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le membre de Saclay, du prieuré de Saint-Jean de Latran consistait en un ferme avec Modèle:Nb de terre. Elle est détruite par un incendie en 1633 et ne fut jamais reconstruite. Les terres affermées rapportaient en 1757, Modèle:NbModèle:Sfn.
Politique et administration
Politique locale
La commune de Saclay est rattachée au canton de Gif-sur-Yvette, représenté par les conseillers départementaux Michel Bournat (DVD) et Laure Darcos (LR), à l'arrondissement de Palaiseau et à la cinquième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Cédric Villani (LREM).
L'Insee attribue à la commune le code Modèle:Nobr<ref>Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 13/01/2010.</ref>. La commune de Saclay est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 105 343. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z<ref>Fiche entreprise de la commune de Saclay sur le site verif.com Consulté le 21/04/2011.</ref>.
Liste | Tendance | Président | Effectif | Statut | |
---|---|---|---|---|---|
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | « Vivre Saclay » | SE | Michel Senot | 22 | Majorité |
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | « Saclay avenir » | SE | Eric Raimond | 5 | Opposition |
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Tendances et résultats politiques
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 88,47 % pour Jacques Chirac (RPR), 11,53 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,93 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 54,90 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,10 % pour Ségolène Royal (PS), 90,57 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 53,64 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 46,36 % pour François Hollande (PS), 87,36 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.</ref>.
- Élection présidentielle de 2017 : 80,82 % pour Emmanuel Macron (LREM), 19,18 % pour Marine Le Pen (FN), 82,81 % de participation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 58,62 % pour Pierre Lasbordes (UMP), 41,38 % pour Stéphane Pocrain (Les Verts), 67,93 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 57,09 % pour Pierre Lasbordes (UMP), 42,91 % pour Maud Olivier (PS), 63,97 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 51,91 % pour Hervé Hocquard (UMP), 48,09 % pour Maud Olivier (PS), 67,61 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/06/2012.</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 68,69 % pour Cédric Villani (LREM), 31,31 % pour Laure Darcos (LR), 52,18 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 27,47 % pour Harlem Désir (PS), 16,16 % pour Patrick Gaubert (UMP), 54,04 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 28,56 % pour Michel Barnier (UMP), 23,88 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 52,03 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 24,02 % pour Brice Hortefeux (UMP), 15,07 % pour Jean-Paul Denanot (PS), 53,49 % de participation.
- Élections européennes de 2019 : 35,34 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 18,09 % pour Yannick Jadot (EELV), 62,79 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 49,20 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 43,53 % pour Jean-François Copé (UMP), 74,18 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 58,60 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 41,40 % pour Valérie Pécresse (UMP), 58,93 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/04/2010.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 49,88 % pour Valérie Pécresse (LR), 39,26 % pour Claude Bartolone (PS), 67,12 % de participation.
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 : 46,27 % pour Thomas Joly (DVD) élu au premier tour, 28,25 % pour Pierre Guyard (PS), 61,03 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 58,01 % pour Michel Bournat et Laure Darcos (UMP), 41,99 % pour Yvan Lubraneski (PS) et Céline Ramstein (EELV), 52,28 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : Modèle:Nombre pour Michel Le Goff, Modèle:Nombre pour Anny Brizard, 61,08 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 28/01/2013.</ref>.
- Élections municipales de 2014 : 100,00 % pour Christian Page (DVD) élu au premier tour, 51,93 % de participation.
- Élections municipales de 2020 : 61,47 % pour Michel Senot (SE) élu au premier tour, 38,53 % pour Eric Raimond (SE), 50,85 % de participation.
Référendums :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 74,74 % pour le Oui, 25,26 % pour le Non, 38,08 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 19/08/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 60,93 % pour le Oui, 39,07 % pour le Non, 79,75 % de participation<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/08/2009.</ref>.
Jumelages
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|200px|Localisation des villes jumelées avec Saclay.]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte
Saclay a développé des associations de jumelage avec :
- Modèle:Jumelage, en irlandais Baile an Chollaigh, en anglais Ballincollig, située à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 09/01/2013.</ref>.
- Modèle:Jumelage, en allemand Mechterstädt, située à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 09/01/2013.</ref>.
Politique environnementale
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/introduction Modèle:Population de France/tableau Modèle:Population de France/graphique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 39,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 17,8 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Les élèves de Saclay sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose sur son territoire des écoles maternelles du Bourg et du Val d'Albian et des écoles élémentaires Irène-et -Frédéric-Joliot-Curie et Victor Hugo<ref>Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 28/09/2010.</ref>. Modèle:Référence nécessaire.
Santé
La commune accueille l'établissement de santé La Martinière<ref>La Martinière</ref> qui dispose de cent vingt lits dont quatre-vingt de soins de suite (SSR) et quarante de maison de retraite (EHPAD)<ref>Site officiel du centre de la Martinière.</ref> certifié par la haute autorité en santé<ref>Site officiel de la Haute autorité en santé.</ref>.
Sports
Lieux de culte
La paroisse catholique de Saclay est rattachée au secteur pastoral de l'Yvette-Gif-Orsay et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Germain<ref>Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 01/12/2009.</ref>.
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Saclay est le lieu de fabrication des fils métalliques d'iridium 192, utilisés en curiethérapie.
Le centre CEA de Saclay est le plus grand centre de recherches civil du Commissariat à l'Énergie Atomique (plus de Modèle:Nombre permanents).
Un hôtel Novotel Saclay est situé sur la commune.
Emplois, revenus et niveau de vie
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait la commune au 86e parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole et au onzième rang départemental<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Saclay | 0,2 % | 1,7 % | 38,0 % | 28,2 % | 16,2 % | 15,7 % |
Zone d’emploi d’Orsay | 0,2 % | 3,7 % | 36,2 % | 26,2 % | 21,4 % | 12,3 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Saclay | 3,1 % | 7,6 % | 9,2 % | 5,0 % | 60,1 % | 3,7 % |
Zone d’emploi d’Orsay | 1,0 % | 13,4 % | 3,8 % | 18,1 % | 30,5 % | 5,4 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 30/05/2010.</ref>,<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 30/05/2010.</ref>,<ref>Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
L'IDH-2 de Saclay en 2013 est de 0,687/1<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:…
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
La commune a été récompensée par une fleur au palmarès 2011 du concours des villes et villages fleuris<ref>Fiche de Saclay sur le site officiel du CNVVF. Consulté le 04/03/2012.</ref>. L'étang au centre du territoire et ses berges boisées ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne<ref>Carte des ENS de Saclay sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 14/02/2013.</ref>.
Les étangs de Saclay, appartiennent au ministère de la Défense. L'Étang Vieux est classé réserve ornithologique. Ce lieu de refuge abrite de nombreuses espèces d'oiseaux (au cours des dix dernières années Modèle:Nobr ont été aperçues sur les 328 existant en France). Ces oiseaux peuvent être visibles de la digue qui sépare les deux étangs.
Patrimoine architectural
- Le pavillon de l'Étang daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été classé aux monuments historiques le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 31/03/2010.</ref>.
- Église Saint-Germain : Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, remaniée ensuite.
- Christ de Saclay (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : placé au carrefour le plus important, il est démonté à la Révolution après avoir été criblé de plomb. Une copie le remplace aujourd'hui.
- Tour Saint-Germain : échauguette du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle marquant l'ancien périmètre du village ; probablement, un des plus vieux bâtiments civils de l'endroit.
- Le manoir d'Orsigny
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Étangs de Saclay.
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Christ de Saclay.
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La maison à échauguette.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Saclay :
- Gib Grossac (1927-1980), acteur y est mort.
- Raymond Stora (1930-2015), physicien y exerça.
- Till Fechner (1968 ), artiste lyrique y a vécu au 51 rue Curie de 1965 à 1982.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Saclay dans les arts et la culture
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Plateau de Saclay
- Hydraulique du parc du château de Versailles
- Paris-Saclay
- Centre CEA de Saclay
- Liste des communes de l'Essonne