Roussillon (province)
Modèle:Coord Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ancienne entité territoriale
La province du RoussillonModèle:Note ou simplement, en l'absence d'équivoque, le Roussillon<ref>Roussillon (Pyrénées-Orientales) Modèle:BNF.</ref> (respectivement Modèle:Langue et Modèle:Langue en catalan<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Entrée Modèle:Lien web.</ref>) est une ancienne province du royaume de France, qui existe de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ses habitants sont les Roussillonnais.
La province recouvre les trois vigueries du Roussillon<ref>France. Viguerie du Roussillon Modèle:BNF.</ref>, du Conflent<ref>France. Viguerie de Conflent et Capcir Modèle:BNF.</ref> et de Cerdagne<ref>France. Viguerie de Cerdagne Modèle:BNF.</ref>, c'est-à-dire la partie du Modèle:Lien (Modèle:Langue en catalan<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Entrée Modèle:Lien web.</ref>) cédée à la France par le traité des Pyrénées.
Le Roussillon est un gouvernement<ref>France. Gouvernement de Roussillon Modèle:BNF.</ref> et une intendance<ref name="Bély (2015)">Entrée « Roussillon » dans Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>. Province frontière, il relève du secrétaire d'État de la Guerre<ref name="Bély (2015)" />.
Dépourvu d'états provinciaux, le Roussillon est un pays d'imposition<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>. Une assemblée provinciale, l'assemblée provinciale du Roussillon<ref>France. Assemblée provinciale du Roussillon Modèle:BNF.</ref>, n'est créée que le Modèle:Date<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En matière de fiscalité indirecte, la gabelle, dont [[Pierre III d'Aragon|Pierre Modèle:III d'Aragon]] avait exempté le Roussillon en Modèle:Date<ref name="Dollin du Fresnel (2012)">Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>, est rétablie dans la province par un édit du mois de Modèle:Date<ref name="Dollin du Fresnel (2012)" />. Le Roussillon devient un pays de petites gabelles<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>. Cinq greniers à sel<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref> sont créés à Perpignan, Collioure, [[Arles-sur-Tech|Arles (Modèle:Petit Arles-sur-Tech)]], Prades et Mont-Louis.
En matière douanière, le Roussillon est une province réputée étrangère<ref name="Ferrer (2002)">Modèle:Article, notamment Modèle:P. Modèle:Lire en ligne Modèle:Commentaire biblio</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref> : des droits sont perçus sur les marchandises à leur entrée et à leur sortie du Languedoc ou du comté de Foix<ref>Modèle:Ouvrage Modèle:Lire en ligne.</ref>. La province conserve ses nombreux leudes<ref name="Ferrer (2002)" />, sortes de péages internes<ref name="Ferrer (2002)" />.
En matière judiciaire, le Roussillon ne ressortit pas au Parlement de Toulouse mais d'un conseil souverain<ref name="Bély (2015)" /> : le conseil souverain du Roussillon, qui est la cour souveraine (supérieure) de la province.
Géographie
La plaine du Roussillon est irriguée par trois fleuves, du sud vers le nord, le Tech, la Têt et l'Agly. Surplombée par le célèbre pic du Canigou, ses principales ressources proviennent de l'agriculture Modèle:Refnec.
Territoire
La province de Roussillon correspondait à la partie du Gouvernement des comtés de Roussillon et Cerdagne (catalan : Governació dels comtats de Rosselló i Cerdanya), acquise par le royaume de France en vertu du traité de paix, dit traité des Pyrénées, signé le Modèle:Date, sur l'île des Faisans, située au milieu du fleuve côtier Bidassoa.
La province de Roussillon comprenait le comté de Roussillon et une partie de l'ancien comté de Cerdagne.
La partition du comté de Cerdagne : Modèle:Citation.
La liste des trente-trois villages de Cerdagne fut fixée par le traité signé à Llivia, le Modèle:Date. Il s'agit de :
- Angoustrine (catalan : Angostrina), ancienne commune réunie à Villeneuve-des-Escaldes en 1973 pour former l'actuelle commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes ;
- Bajande (catalan : Bajanda) : ancienne commune, incorporée à Estavar en 1822Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Bolquère (catalan : Bolquera) : actuelle communeModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Caldégas (catalan : Càldegues) et Onzès (catalan : Oncès), comptés pour un village ;
- Carol, « comprenant toute sa vallée avec tous les lieux qu'elle renferme », comptée pour deux villages : ancienne commune correspondant aux actuelles communes de Latour-de-CarolModèle:Cassini-Ehess/ancre, de Porta, créée en 1837Modèle:Cassini-Ehess/ancre, et de Porté-Puymorens, créée en 1860Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Dorres (catalan : Dorres) : actuelle communeModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Égat (catalan : Èguet) : actuelle communeModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Enveitg (catalan : Enveig), « comprenant tous ses coteaux et toutes ses montagnes, et toute l'étendue de sa juridiction avec tous les lieux qui en dépendent », comptés pour deux villages : actuelle commune d'EnveitgModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Estavar (catalan : Estavar) : actuelle commune d'Estavar, à l'exception de l'ancienne commune de Bajande ;
- Eyne (catalan : Eina) : actuelle commune d'EyneModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Hix (catalan : Ix) : actuelle commune de Bourg-Madame (catalan : La Guingueta d'Ix)Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- La Perche (catalan : La Perxa) : ancien village incorporé à La Cabanasse (catalan : La Cabanassa) entre 1795 et 1800Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Llo (catalan : Llo) : actuelle commune de Llo, à l'exception de l'ancienne commune de Rohet, incorporée entre 1790 et 1794Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Nahuja (catalan : Naüja) : actuelle commune de NahujaModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Odeillo (catalan : Odelló) : ancienne commune associée à Via en 1822 et ayant pris le nom Font-Romeu-Odeillo-Via depuis 1957Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Osséja (catalan : Oceja) : actuelles communes d'OsséjaModèle:Cassini-Ehess/ancre et de Valcebollère (catalan : Vallcebollera), créée en 1832, incorporée en 1972 et rétablie en 1974Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Palau (catalan : Palau) : commune de Palau-de-Cerdagne, depuis 1936Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Palmanil (catalan : Palmanill) : un lieu-dit de l'actuelle commune de Targasonne ;
- Planès (catalan : Planès), compté pour deux villages : actuelle commune de PlanèsModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Ro (catalan : Ro) : ancienne commune incorporée à Saillagouse en 1822Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Rohet (catalan : Roet) : ancienne commune, incorporée à Llo entre 1790 et 1794 ;
- Saillagouse (catalan : Sallagosa) : actuelle commune de Saillagouse, à l'exception des anciennes communes de Ro et Védrigans, incorporées en 1822Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Sainte-Léocadie (catalan : Santa Llocaia) et Llus (catalan : Llus), comptés pour un village : actuelle commune de Sainte-Léocadie ;
- Saint-Pierre-des-Forçats (catalan : Sant Pere dels Forcats) : actuelle commune de Saint-Pierre-des-Forçats ;
- Targasonne (catalan : Targasona) : pour Targasonne et Vilalta, actuelle commune de TargasonneModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Ur (catalan : Ur) et Flori (catalan : Florí), comptés pour un village : actuelle commune d'UrModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Vedrinyans (catalan : Vedrinyans) : ancienne commune, incorporée à Saillagouse en 1822Modèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Via (catalan : Vià) : ancienne commune ;
- Vilar d'Ovansa (catalan : Vilar d'Ovança) : actuelle commune de Mont-LouisModèle:Cassini-Ehess/ancre ;
- Villeneuve (catalan : Vilanova) et Les Escaldes (catalan : Les Escaldes), comptés pour un village : ancienne commune de Villeneuve-des-Escaldes, associée à Angoustrine en 1973 pour former la commune d'Angoustrine-Villeuneuve-des-EscaldesModèle:Cassini-Ehess/ancre.
Le territoire de la province de Roussillon recouvrait celui de l'actuel département des Pyrénées-Orientales, à l'exception des vingt-huit actuelles communes suivantes : Ansignan (occitan : Ancinhan), Bélesta (occitan : Belhestar), Campoussy (occitan : Camporsin), Caramany (occitan : Caramanh), Cassagnes (occitan : Cassanhes), Caudiès-de-Fenouillèdes (occitan : Caudièrs de Fenolhet), Felluns (occitan : Felhunhs), Fenouillet (occitan : Fenolhet), Fosse (occitan : Fòssa), Lansac (occitan : Lançac), Latour-de-France (occitan : La Tor de Trinhac ou La Tor de França), Lesquerde (occitan : L'Esquerda), Maury (occitan : Maurin), Montalba-le-Château (occitan : Montalban del Castelh), Pézilla-de-Conflent (occitan : Pesilhan de Conflent), Planèzes (occitan : Planesas), Prats-de-Sournia (occitan : Prats de Sornhan), Prugnanes (occitan : Prunhanas), Rabouillet (occitan : Rebolhet), Rasiguères (occitan : Rasiguèras), Saint-Arnac (occitan : Çantarnac), Saint-Martin-de-Fenouillet (occitan : Sant Martin de Fenolhet), Saint-Paul-de-Fenouillet (occitan : Sant Paul de Fenolhet), Sournia (occitan : Sornhan), Trévillach (occitan : Trevilhac), Trilla (occitan : Trilhan), Vira (occitan : Viran) et Le Vivier (occitan : Le Vivièr).
Subdivisions
La partie de la province de Roussillon correspondant à l'ancien comté de Roussillon était divisée en deux vigueries, savoir :
- La viguerie de Roussillon (catalan : vegueria de Rosselló), dont le chef-lieu était Perpignan (catalan : Perpinyà) ;
- La viguerie de Conflent (catalan : vegueria de Conflent), dont le chef-lieu était Villefranche-de-Conflent (catalan : Vilafranca de Conflent).
La viguerie de Roussillon comprenait une sous-viguerie, savoir :
- La sous-viguerie de Vallespir (catalan : sots-vegueria de Vallespir).
La viguerie de Conflent comprenait une sous-viguerie, savoir :
- La sous-viguerie de Capcir (catalan : sots-vegueria de Capcir), dont le chef-lieu était Puyvalador (catalan : Puigbalador).
La partie de l'ancien comté de Cerdagne relevant de la province de Roussillon formait une viguerie, savoir :
- La viguerie de Cerdagne (catalan : vegueria de Cerdanya), dont le chef-lieu était Saillagouse (catalan : Sallagosa)
Divisions ecclésiastiques
Les paroisses du Roussillon — à l'exception de Vingrau et de Tautavel — et du Vallespir relevaient du diocèse d'Elne, dont le siège avait été transféré à Perpignan en 1601.
Les paroisses de Vingrau et Tautavel dépendaient de l'archevêché de Narbonne.
Les paroisses de Cerdagne de la haute vallée du Sègre (catalan : Segre) relevaient du diocèse d'Urgell et, ainsi, de l'archidiocèse de Tarragone. L'évêque d'Urgell avait besoin d'une permission du roi de France pour y faire ses visites.
Les autres paroisses de Cerdagne — à savoir : Saint-Pierre-des-Forçats, Planès, La Perche et La Cabanasse — relevaient du diocèse d'Elne.
Les paroisses du Capcir — c'est-à-dire de la haute vallée de l'Aude — relevaient du diocèse d'Alet, créé par le pape Jean XXII, par démembrement du diocèse de Narbonne, le Modèle:Date.
Le clergé du Roussillon se divisait en clergé exempt et clergé non exempt.
Le clergé non exempt comprenait l'évêque, des chapitres, communautés ecclésiastiques, bénéficiers simples, curés et marguilliers. Il y avait, en Roussillon et Conflent, treize archiprêtrés.
Le clergé exempt comprenait les abbayes bénédictines de Saint-Michel de Cuxa, Sainte-Marie d'Arles, Saint-Martin du Canigou — qui appartenaient à la congrégation de Tarragone) et Saint-Génis des Fontaines — dépendance de l'abbaye Sainte-Marie de Montserrat — ainsi que le prieuré et chapitre de Corneilla-de-Conflent et autres, qu'on appelait détachés, les couvents et communautés religieuses, etc.
Par lettres patentes du Modèle:Date, le clergé exempt et le clergé non exempt furent réunis en un bureau diocésain composé de commissaires pris dans les deux corps pour la formation des rôles et la répartition des impositions.
Histoire
Autrefois intégré au royaume de Majorque et à la couronne d'Aragon (comme partie de la principauté de Catalogne), ce territoire a été rattaché à la couronne de France lors du traité des Pyrénées signé le Modèle:Date. Avant ce traité, la frontière entre les royaumes de France et d'Aragon suivait, plus au nord, la ligne des citadelles du vertige (voir châteaux forts et traité de Corbeil), comme la Forteresse de Salses.
La réunion à la France met à mal les acquis traditionnels, ce qui provoque toute une série de révoltes<ref>« Histoire du Roussillon : chronologie des évènements historiques », sur histoireduroussillon.free.fr.</ref>.
En décembre 1661, Louis XIV rétablit la gabelle, abolie depuis 1292. Les habitants de Prats-de-Mollo se révoltent, entraînant bientôt tout le Haut Vallespir. De nombreux agents du fisc et gabelous sont massacrés. Deux bataillons sont dépêchés pour rétablir l'ordre. Ils sont mis en déroute, car ils sont confrontés aux difficultés du terrain et à la proximité de la frontière, qui offre une solution de repli aux insurgés. La révolte dure de 1667 à 1675. Lorsqu'elle est enfin étouffée, la répression est terrible. On a appelé par la suite cet événement la révolte des Angelets<ref>« La révolte des Angelêts : le Vallespir entre en rébellion contre Louis XIV », sur histoireduroussillon.free.fr.</ref>.
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Paysanne du Roussillon
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Coiffe traditionnelle du Roussillon
Liste des intendants du Roussillon
- 1660 - 20 novembre 1669 : Charles Macqueron
- 16 juin 1670 - 18 janvier 1676 : Etienne Carlier, vicomte d'Olly et Pargnan en Vermandois.
- 17 février 1676 - 24 mai 1681 : Germain-Michel Camus de Beaulieu qui fut nommé en 1681 commissaire général de l'artillerie de France.
- 1er juin 1681 - 5 avril 1698 : Raymond de Trobat y Vinyes, catalan d'origine, ancien conseiller et avocat général au Conseil souverain de Roussillon.
- 1698 - 1709 : Etienne de Ponte, comte d'Albaret.
- 13 février- 10 décembre 1710 : Antoine de Barrillon d'Amoncour, marquis de Branges, vicomte de Binson, nommé intendant de Béarn et Navarre.
- 26 avril 1711 - 14 novembre 1715 : Charles Deschiens de Laneuville, seigneur de La Longue et Vialer, ancien intendant de Béarn et Navarre.
- octobre 1716 - 6 mars 1624 : Jean-Baptiste-Louis Picon, seigneur d'Andrezel, La Mothe-Saint-Méry, Montgimont. Intendant en Roussillon, Cerdagne et Pays de Foix, ainsi qu'intendant de l'armée d'Espagne (nommé le 19 mai 1719), puis est nommé ambassadeur à Constantinople.
- 17 juin 1724 - mai 1726 : François Legras, seigneur de Luart.
- 26 juillet 1727 - septembre 1729 : Philibert Orry, comte de Vignory. Nommé contrôleur général des finances en 1731.
- 10 juin 1730 - 1739 : Prosper-André Baüyn de Jallais.
- 1740 - 13 décembre 1750 : Antoine-Marie de Ponte, comte d'Albaret et de Lotoul, seigneur d'Armissan, Combelongne et Le Quatourze.
- 19 avril 1750 - 1753 : Henry-Léonard-Jean-Baptiste de Bertin, nommé contrôleur des finances de Louis XV.
- 17 avril 1754 - 28 juin 1773 : Louis-Guillaume de Bon, marquis de Saint-Hilaire, baron de Fourques, seigneur de Celleneuve et Saint-Quentin.
- 21 octobre 1773 - 23 mars 1774 : Pierre-Philippe Peironel du Tressan.
- Juillet 1774 - juillet 1775 : Jean-Etienne-Bernard de Clugny, baron de Nuys-sur-Armençon, nommé par la suite contrôleur général des finances.
- 20 août 1775 - 1778 : Jean-Baptiste-François Moulins de La Porte, seigneur de Sarzay, Belle-Fonds et sainte-Marie.
- 1778 - août 1789 : Louis-Hyacinthe Raymond de Saint-Sauveur, seigneur de la Grande-du-Milieu.
Histoire de la Catalogne Nord
Modèle:Crédit d'auteurs Jean Villanove a écrit l'histoire populaire des catalans de la Catalogne Nord en 3 tomes<ref name="Villanove">Modèle:Ouvrage</ref> :
- T 1 : des origines au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle,
- T 2 : du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à 1714,
- T 3 : de 1714 à nos jours (édition en 1981).
Notes et références
Notes
Références
Références à Cassini
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ancre Modèle:Cassini-Ehess
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Chapitre.
- Modèle:Lien web, dans Modèle:Ouvrage.
Articles connexes
- Pyrénées-Orientales
- Catalogne Nord
- Pays catalans
- Vignoble du Roussillon
- Roussillon : expression géographique
- Plaine du Roussillon
- Catalogne