Sainte-Foy-lès-Lyon

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Sainte-Foy-lès-Lyon est une commune française située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants s'appellent les Fidésiens<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 8 août 2015.</ref>.

Géographie

Sainte-Foy-lès-Lyon surplombe Lyon par l'ouest, juste au sud de la basilique Notre-Dame de Fourvière, au-dessus du confluent du Rhône et de la Saône à l'est et de la vallée de l'Yzeron à l'ouest et au sud, en limite des communes de Francheville et Oullins.

Elle se distingue par son Modèle:Passage évasif agréable, très vert, voire champêtre. Sainte-Foy-lès-Lyon est considéré comme le poumon vert le plus proche de Lyon.

Le centre-ville de Sainte-Foy est à 15 minutes en voiture de la presqu'île lyonnaise. La ville est mitoyenne, au Nord, du [[5e arrondissement de Lyon|Modèle:5e de Lyon]], à l'Est, de La Mulatière, à l'Ouest, de Francheville, au Sud d'Oullins et de Chaponost.

Transports et communications

Transports en commun

La ville est desservie par plusieurs bus du réseau des transports en commun lyonnais<ref>8, 14, 29, 49, 103)</ref>.

  • C19 - Perrache <> Franchevile Taffignon
  • C20 - Bellecour Le Viste <> Francheville Taffignon / Fort de Bruissin
  • 11 - Gorge de Loup <> Thurins Mairie
  • 12 - Gare d'Oullins <> St Genis 2
  • 14 - Gare d'Oullins <> Gorge de Loup
  • 17 - Sainte-Foy Place Saint Luc <> Saint Genis 2 / Saint Genis Lycée Descartes
  • 45 - Croix Rousse <> Valdo
  • 49 - Perrache - Sainte-Foy Châtelain
  • 65 - Gorge de Loup <> Charcot La Source
  • 90 - Valmy Place Ferber <> Sainte-Foy Châtelain

Communications

Modèle:...

Urbanisme

Typologie

Sainte-Foy-lès-Lyon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (95 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (90,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), forêts (0,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Fichier:Martyr de Ste Foy.jpg
Martyre de sainte Foy

Le nom de la commune est constitué de Foy, martyre qui serait morte à Agen au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et d'une référence à sa proximité avec Lyon<ref>lès, dérivé du bas latin latus, « à côté de » Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales | étymologie de lès</ref>, différenciant ainsi la ville de ses Modèle:Page h.

Histoire

Époque romaine

Modèle:Article détaillé Le site, proche de la capitale des Gaules Lugdunum, connaît une activité intense à l'époque romaine<ref>Walker St., L'habitat rural dans la région Rhône-Alpes ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} s. av. J. C.-{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:|  }} }} s. ap. J.-C.), 1981, Modèle:P..</ref>. Le territoire situé dans le prolongement sud de la ville antique est traversé par deux voies romaines au moins : celle reliant Lugdunum à Vienne par la rive droite du Rhône, située sous l'actuel chemin des Fontanières<ref>Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, Modèle:ISBN, Modèle:P. et 367</ref>, et une autre voie supposée en direction de Saint-Symphorien-sur-Coise qui emprunterait le chemin de Chantegrillet<ref>Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. L'aqueduc romain du Gier a laissé des vestiges en sept points différents du territoire actuel : le siphon de l'Yzeron et son réservoir terminal<ref>Au 194, boulevard Baron-du-Marais</ref>, la tranchée dite « de Narcel »<ref>En parallèle du boulevard de Narcel</ref>, les arches du chemin de Narcel<ref>il y aurait eu au moins 28 arches dont les vestiges peuvent être observés dans les murs bordant la rue de Narcel</ref>, le tunnel du Vingtain, entièrement détruit, la tranchée du Fort, les arches de la rue Georges Clemenceau et la tranchée de Chavril<ref>Détail des vestiges et de leur emplacement exact dans Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, Modèle:ISBN, Modèle:P. et 366</ref>. D'autres vestiges ont été observés, notamment des fosses datant de l'Antiquité tardive ou du haut Moyen Âge, des tegulae et céramiques antiques, un fragment de sarcophage, des traces de bâtiments dont la fonction est inconnue<ref>Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, Modèle:ISBN, Modèle:P. et 368</ref> et une habitation gallo-romaine<ref>J. F Artaud, Lyon souterrain ou observations archéologiques et géologiques faites dans cette ville depuis 1794 jusqu'en 1836, Lyon, 1846, cité dans Odile Faure-Brac, Carte archéologique de la Gaule - Le Rhône, 69/1, Modèle:ISBN, Modèle:P. (bibliographie) et Modèle:P. et 368 (détails)</ref>.

Sainte-Foy en 1170

C'est en 1170 qu'apparaît la plus ancienne mention connue de Sainte-Foy qui appartient aux chanoines de Saint-JustModèle:Référence nécessaire. En 1189, elle passe sous la dépendance du chapitre de Saint-Jean jusqu'à la Révolution.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Bonnefey et de Mont-Chalier<ref name=Cassini/>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:GB - Ste-FOY-les-LYON - L'Arret du Tramway.JPG
L'arrêt du tramway

Dès 1834, une mairie-école est construite et, l'année suivante, est créé un service d'omnibus à chevaux. En 1840, un marché hebdomadaire voit le jour et trois ans plus tard l'église paroissiale est reconstruite après la démolition complète de l'ancien édifice. L'année suivante est marquée par la mort de Laurent Mourguet, le créateur de Guignol, époux d'une Fidésienne, Jeanne-Marie Trigon, dont la maison natale est devenue un cinéma d'art et d'essai portant son nom d'épouse (Cinéma Jeanne Mourguet).

En 1871, on perce l'avenue Valioud. À partir de 1880, la viticulture, ruinée par le phylloxera, laisse peu à peu place à l'arboriculture et aux propriétés résidentielles. En 1885, La Mulatière est détachée de Sainte-Foy et devient une commune indépendante.

Dans les années 1870, la commission chargée par la ville de Lyon de trouver l'emplacement de son futur observatoire astronomique choisit un site sur la commune de Sainte-Foy. Cependant, Charles André, fondateur et premier directeur de l'établissement, ignorera ces travaux et choisira de construire l'observatoire à Saint-Genis-Laval<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 1893, un hôpital est créé par le Modèle:Dr Barral, cependant que la même année une ligne de tramways électriques de la Société du tramway de Sainte Foy est mise en service, avant d'être reprise en 1898 par le Fourvière Ouest-Lyonnais, lui-même absorbé en 1911 par l'OTL. L'éclairage des rues est installé en 1894.

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}}

}} === L'activité économique de Sainte-Foy-Lès-Lyon a principalement été tournée autour de l'agriculture au début et milieu du XXe siècle, avec entre autres les exploitations maraichères de la famille Moyroud.

En 1968, la ville est jumelée avec Limburg an der Lahn en Allemagne de l'Ouest. L'année suivante, la commune entre dans la communauté urbaine de Lyon (COURLY).

La vie économique est marquée par l'installation des Laboratoires Boiron en 1974 et la vie religieuse par la visite du pape Jean-Paul II en Modèle:Date-.

En 2006 est inauguré le troisième gymnase en présence de Jean-François Lamour.

Le Modèle:Date-, la commune quitte le département du Rhône et rejoint la collectivité territoriale de la métropole de Lyon qui remplace la communauté urbaine.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre Modèle:Nombre et Modèle:Nombre, le nombre de membres du conseil municipal est de trente-cinq<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Le bourg agricole qui ne compte que 5 335 habitants en 1936 a laissé place à une cité de 22 151 habitants en 2007, forte de 130 associations et de 350 entreprises. Sa population ne cesse de s'accroître du fait du cadre de vie attractif et de la proximité de Lyon.

  • Autres données (2005)
    • 24,8 % de la population a moins de 20 ans
    • 23,3 % de la population a plus de 60 ans
    • 5,1 % d'étrangers
    • 3 Fidésiens sur 5 habitent la commune depuis 1990
    • 73,5 % de la population vit en immeuble collectif
    • 86,2 % des immeubles ont été construits après 1945

Enseignement

Sainte-Foy-lès-Lyon est située dans l'académie de Lyon. La ville est pourvue de 10 écoles primaires, dont 2 sont privées, la plupart accueillant également un cycle pré-élémentaire (maternelle). La ville n'accueille en revanche qu'un seul établissement de cycle secondaire, le collège du Plan du Loup, les plus proches étant le collège Saint-Marc, le collège Charcot, le collège-lycée La Favorite Sainte-Thérèse, le lycée Saint-Just. Le séminaire Saint-Irénée accueillant l'École supérieure de Philosophie et de Théologie était également basé à Sainte-Foy-lès-Lyon (les bâtiments, inscrits en 2007 monument historique, ont été cédés à un promoteur immobilier en 2010).

La ville possède un Conservatoire de musique et de danse, agréé par l'état comme conservatoire à rayonnement communal. Il compte 24 professeurs et 500 élèves, et propose l'enseignement de 21 disciplines instrumentales, et de nombreux ensembles de pratique collective. Il propose une quarantaine de rendez-vous musicaux et chorégraphiques publics par an<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>. Il fait des échanges avec les villes de Limburg an der Lahn (Allemagne), Doncaster et Lichfield (Angleterre). L'école dépend de la mairie, mais son administration et une partie importante de ses cours sont 92, chemin des Fonts. Les lieux suivants sont également utilisés pour les cours : l’école Robert-Schumann (24, rue de Chavril) et pour les répétitions des orchestres et des percussions, la salle de l'Ellipse (24, rue Sainte-Barbe).

Manifestations culturelles et festivités

Le Conservatoire de musique et de danse propose une quarantaine de concerts par an. Plusieurs chorales résidant à Sainte-Foy produisent également des concerts. La bibliothèque Léopold Sédar Senghor, œuvre de l'architecte Grange-Chavanis, située au 20 de la rue du Châtelain, est un bâtiment de Modèle:Unité, fédérant, en plus de sa fonction de bibliothèque de nombreuses manifestations et expositions<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>. La MJC Marcel Achard<ref>Modèle:Lien web.</ref> très grosse association regroupant Modèle:Nombre en plus de ses nombreuses activités culturelles et musicales, accueille également régulièrement des spectacles dans sa salle. Enfin, la ville de Sainte-Foy-lès-Lyon propose également depuis 2014 des rendez-vous culturels variés.

Depuis 1988, la ville possède également un cinéma, initialement appelé le Cinéma Jeanne Mourguet avant d'être renommé Ciné Mourguet<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bâti au 43 Grande Rue, avec une salle, il a déménagé le Modèle:Date- dans de nouveaux locaux, avec deux salles neuves (de 200 et Modèle:Nombre), au 15 rue Deshay. Classé « Art et Essai » avec les labels « Jeune Public » et « Patrimoine et Répertoire », il se distingue par ses nombreuses séances jeune public et ses multiples débats avec invités (plus de 40 par an). Le cinéma, en partenariat avec le CCCF et la Ville de Sainte-Foy-lès-Lyon, organise depuis 1991 une biennale consacrée aux cinémas et aux cultures africaines : Caravane des Cinémas d'Afrique<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La Modèle:14e, en Modèle:Date-, célèbre les Modèle:Nombre du festival.

Santé

Sainte-Foy-lès-Lyon possède un hôpital au 78 chemin de Montray, et une clinique privée, la clinique Charcot, au 51-53 avenue du commandant Charcot.

L’hôpital<ref>Modèle:Lien web.</ref> possède 170 lits répartis en

  • 33 lits de maternité et chirurgie gynécologique
  • 16 lits de médecine gériatrique
  • 16 lits de soins de suite et de réadaptation (SSR)
  • 105 lits de maison de retraite médicalisée

La clinique Charcot<ref>Modèle:Lien web.</ref> possède 106 lits avec

  • un service ambulatoire
  • deux unités de chirurgie et une unité de chirurgie de semaine
  • un service de médecine
  • une unité de chimiothérapie ambulatoire et de médecine de jour
  • un service de soins continus

Elle accueille par ailleurs

  • un laboratoire biologie ouvert au public
  • une centre d'imagerie médicale (radiologie, IRM, échographie, scanner)
  • un centre de radiothérapie
  • un centre de dialyse de 72 lits

Dix pharmacies sont réparties dans les différents quartiers de Sainte-Foy.

Deux vétérinaires dont une clinique vétérinaire existent également sur le territoire de la commune.

Sports

À Sainte Foy, l'activité sportive est dynamique avec un office municipal des sports, et 35 associations sportives y possèdent leurs sièges<ref>http://www.saintefoyleslyon.fr/index.php?rubrique=82</ref>. Elles totalisent Modèle:Unité. L'une d'elles (basket) se distingue par son appartenance à la division nationale 2.

La commune accueille un club de tir à l'arc<ref group="Note">Club des Archers de l'ouest</ref> depuis 1989, affilié aux fédérations FFTA et FFH ainsi qu'un club de pétanque<ref group="Note">Sainte-Foy-Pétanque</ref>.

Une école de Rugby League (Rugby XIII) est créée en 2014 avec le soutien du Comité Rhône-Alpes de Rugby XIII et compte plus de Modèle:Unité.

Le Club Sportif Charcot compte plus de Modèle:Unité dont plus de 200 pour le tennis de table. En Modèle:Date-, le club a fêté ses cinquante ans d'existence ainsi que le jubilé de Christophe Durand plusieurs fois médaillé d'or en tennis de table aux jeux paralympiques. Guy Tisserand ancien président du club de tennis de table CS Charcot a été aussi plusieurs fois médaillé d'or aux jeux paralympiques. Il compte Modèle:Unité nationaux et Modèle:Unité internationaux.

La municipalité entretient une piscine<ref>http://www.saintefoyleslyon.fr/index.php?rubrique=337</ref> située 6, avenue du Modèle:Date-.

Environnement

Sainte Foy offre un cadre vie nature remarquable avec 20 % de son territoire (Modèle:Unité) en espaces verts. Des jeux d'enfants et des agrès sportifs y sont entretenus.

La commune est particulièrement fleurie sur Modèle:Unité où se répartissent Modèle:Unité de fleurs répartis entre les parcs, squares et jardins, les ronds points et autres îlots de voirie, avec Modèle:Unité. Plus de Modèle:Unité sont ainsi entretenues chaque année dont certaines demandent deux arrosages par semaine<ref>http://www.saintefoyleslyon.fr/index.php?rubrique=13</ref>.

Tous les Modèle:Date-, le vallon du chemin des prés se transforme en marché aux fleurs et produits du terroir<ref>http://www.saintefoyleslyon.fr/index.php?rubrique=318</ref>. Cet endroit constitue toute l'année un espace de promenade verdoyant pour les vélos et les rollers. Il se prolonge par le chemin des Hauts du Bois dominant le domaine forestier plus sauvage du Vallon des Sources, bordé d'un pré où paissent des bovins.

Voir aussi

Cadre de vie

La proportion de logements sociaux est faible : 8,4 % de HLM en 2006Modèle:Référence nécessaire. La proximité du centre-ville de Lyon, accessible en moins de 20 minutes grâce aux lignes C19, C20 et 49 des transports en commun de Lyon notamment et le nombre important de demeures « de prestige » explique l'attrait des hauts-revenus lyonnais pour cette ville. La ville révèle plusieurs facettes : des quartiers populaires de Saint-Luc aux quartiers résidentiels de Châtelain ou du Vallon, du Centre ou de l'Hormet, la ville est une mosaïque sociale assez restreinte néanmoins car l'image « d'un havre pour les riches lyonnais en recherche d'un peu d'espace et de verdure »Modèle:Référence nécessaire persiste, aussi bien dans les faits que dans les esprits. Modèle:Référence nécessaire

Culture locale et patrimoine

Fichier:Pont-siphon de l'Yzeron - Sainte-Foy-lès-Lyon. 008.JPG
Vestiges du pont-siphon de l'Yzeron de l'aqueduc romain du Gier Au lieu-dit de Beaunant à Sainte-Foy-lès-Lyon

Patrimoine architectural

Fichier:Château de la Bachasse 2.jpg
Château de la Bachasse

Héraldique et logotype

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Modèle:Blason-ville-fr

Personnalités liées à la commune

  • Clair Tisseur (1827-1895), écrivain et architecte, auteur du Littré de la Grand'Côte, est natif de la commune et y a été inhumé.
  • Ferdinand Arnodin (1845-1924), ingénieur et industriel, constructeur de très nombreux ponts suspendus ou transbordeurs, y est né.
  • Alexis Carrel, (1873-1944), chirurgien et biologiste, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1912, s'est fait mondialement connaître par la publication de L'Homme, cet inconnu, en 1935, favorable à l'eugénisme et membre du PPF, parti pro-nazi de Jacques Doriot durant l'Occupation, est né à Sainte-Foy-lès-Lyon. Une rue de la commune porte son nom. Une petite sculpture commémorative en bronze est érigée esplanade Lichfield jouxtant l'église.
  • René Leriche (1879-1955), chirurgien, repose au cimetière.
  • Émile Zeizig (1887-1944), né à Sainte-Foy-lès-Lyon où il était commerçant, place Xavier-Ricard, il est une des sept victimes de l'exécution des sept Juifs au cimetière de Rillieux. Une rue de la commune porte son nom.
  • Marcel Achard (1899-1974), académicien, écrivain, homme de cinéma et de théâtre, y est né. Sa maison natale se trouve place Xavier Ricard.
  • Alban Vistel (1905-1994), éditeur de bandes dessinées, écrivain, historien, commandant militaire de la région de Lyon pendant la Résistance et Compagnon de la Libération, est mort dans la commune et y est inhumé.
  • Pierre Molaine (1906-2000), écrivain, Prix Renaudot en 1950, est inhumé dans le cimetière de la commune.
  • Frédéric Dard (1921-2000), alias San-Antonio, écrivain, a vécu dans le quartier de la Plaine durant l'occupation<ref>Frédéric Dard écrit "Georges et la Dame seule" à Sainte-Foy-Lès-Lyon</ref>.
  • Patrice Dard (1944-), écrivain, fils de Frédéric Dard, y est né.
  • Bernard Preynat (1945-), prêtre de la commune, accusé d'avoir abusé sexuellement d’enfants entre 1972 et 1991, lors de l’organisation de camps scouts.
  • Éric-Emmanuel Schmitt (1960-), dramaturge, nouvelliste, romancier et réalisateur français naturalisé belge en 2008, y est né.
  • Fernand Fédronic (1964-), patineur français de patinage artistique, y est né.
  • Florian Maurice (1974-), footballeur international, y est né.
  • Frédéric Kanouté (1977-), footballeur franco-malien, international malien et vainqueur de 2 coupes d'Europe (Coupe de l'UEFA 2006, 2007), y est né.
  • Florent Balmont (1980-), footballeur, y est né.
  • Ȼôme (1987-), musicien français.
  • Jean-Baptiste Maunier (1990-), chanteur, acteur et mannequin révélé par le film Les Choristes, a passé sa jeunesse à Sainte-Foy-lès-Lyon.
  • Astrid Veillon (1971-), comédienne, y est née
  • Mehdi Zeffane (1992-), footballeur franco-algérien, international algérien et vainqueur de la Coupe d'Afrique des Nations 2019, y est né.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 088 € ce qui plaçait Sainte-Foy-lès-Lyon au 4 463e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Emploi

En 2005, 44,4 % de la population est active, 21,5 % des Fidésiens travaillent dans la commune, 4 Fidésiennes (25 à 59 ans) sur 5 travaillent (3 sur 4 en 1990) et le taux de chômage s'élève à 7 %, inférieur à la moyenne du Grand Lyon (11,4 %) et du département (13 %).

Entreprises et commerces

Entreprise fidésienne de réputation internationale, les Laboratoires Boiron, leader mondial de l'homéopathie, sont installés sur la commune depuis 1974 et y emploient 550 salariés.

Jumelages et partenariats

Modèle:Début d'illustration Modèle:Début de carte [[Fichier:Modèle:Géolocalisation/Europe|200px|Localisation des villes jumelées avec Sainte-Foy-lès-Lyon]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte Modèle:Fin d'illustration

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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