Union démocratique bretonne

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Modèle:Infobox modulaire/Début Modèle:Infobox Parti politique Modèle:Infobox Parti politique/Représentation Modèle:Infobox modulaire/Fin L’Union démocratique bretonne (UDB) (Modèle:En lang) est un parti politique breton créé en 1964. Située à gauche de l'échiquier politique, l'UDB a pour objectifs l'autonomie politique de la Bretagne — c'est-à-dire une forte décentralisation — et l'écologie politique comme moyens d'action pour parvenir au projet de société qu'elle propose.

Mouvement passé d’un discours assez radical à sa création à un programme modéré aujourd'hui, l'Union démocratique bretonne est devenue l'un des partis régionaux les plus importants en France métropolitaine et le premier à avoir participé à un exécutif régional. Principale formation autonomiste en Bretagne, l'UDB est présente dans les institutions depuis ses débuts, avec un premier élu dès 1965 au Guilvinec. Elle est entrée au Conseil régional de Bretagne en 2004, à l'Assemblée nationale en 2012, au Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine en 2021<ref name="crape" group="SI">Modèle:Lien web.</ref> et au Parlement européen en 2023.

Dotée d'une organisation politique structurée, et présente sur le terrain comme dans les mouvements sociaux, l’UDB a disposé à plusieurs moments de son histoire d’un nombre non négligeable de militants. Mais si elle rencontre un certain succès dans la diffusion de ses idées, dans une région à l'identité affirmée<ref group="L">Modèle:Ouvrage.</ref> et aspirant à un pouvoir régional renforcé<ref group="L">Modèle:Harvsp.</ref>, son impact électoral reste faible. Ainsi, paradoxalement, l'Union démocratique bretonne apparaît toujours comme un mouvement politique en devenir<ref name="crape" group="SI" />,<ref name="pas114" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>.

Positionnement politique

Charte de l'Union démocratique bretonne

Charte d’adhésion à l'UDB, mise à jour et adoptée lors de la Convention nationale du Modèle:Date à Plœmeur<ref group="N">Modèle:Harvsp.</ref> :

  • Article 1 : l’Union démocratique bretonne (UDB) est un parti politique qui rassemble les Bretons d’origine ou d’adoption et les amis de la Bretagne conscients de l’existence du peuple breton. L’UDB agit pour la reconnaissance des droits du peuple breton au niveau de l’État français, de l’Union européenne et des instances internationales.
  • Article 2 : l’UDB agit dans l’ensemble de la Bretagne et milite pour sa réunification administrative.
  • Article 3 : l’UDB agit pour la construction d’une Europe fédérale et solidaire des peuples et des régions.
  • Article 4 : l’UDB agit pour les droits culturels du peuple breton, notamment le droit effectif pour tout Breton d’accéder à la connaissance de son histoire, de sa culture et des langues de Bretagne.
  • Article 5 : l’UDB agit pour que la Bretagne soit dotée d’institutions autonomes et des moyens de son développement.
  • Article 6 : l’UDB condamne toute forme de dégradation de la personne humaine, notamment le racisme, le fascisme et les totalitarismes de toute nature. Elle œuvre pour l’établissement d’un régime résolument démocratique tant sur le plan individuel que collectif.
  • Article 7 : l’UDB situe son action politique dans le cadre du débat démocratique, excluant tout recours à des moyens violents.
  • Article 8 : l’UDB affirme la primauté de la personne humaine et du travail sur le capital et la nécessité d’une régulation et d’une orientation de l’économie de marché par la puissance publique et l’action citoyenne.
  • Article 9 : l’UDB affirme le rôle primordial des organisations syndicales et professionnelles et des associations pour plus de démocratie dans l’économie.
  • Article 10 : l’UDB œuvre pour l’établissement d’une société solidaire, ce qui implique la redistribution des richesses entre individus, entre régions et entre peuples au niveau européen comme au niveau mondial.
  • Article 11 : l’UDB œuvre pour un développement durable qui préserve l’avenir de la planète et des générations futures. Ceci suppose la démocratisation et le renforcement des structures internationales, tant européennes que mondiales.
  • Article 12 : l’UDB est solidaire des peuples qui luttent pour leur liberté politique, économique et culturelle.
  • Article 13 : l’UDB, hostile au militarisme, agit pour le désarmement généralisé et en priorité pour la dénucléarisation. Elle défend le devoir d’ingérence, sous le contrôle d’instances internationales démocratiques, pour mettre fin aux violations massives des droits de l’homme dans les conflits internationaux ou internes aux États.

Histoire

Modèle:Article détaillé Créée en 1964, l’Union démocratique bretonne est l'un des plus anciens partis politiques de France<ref group="Note">Après le Parti radical (1901), le Parti communiste français (PCF, 1920) et le Centre national des indépendants et paysans (CNIP, 1949).</ref> et le plus ancien parti « régionaliste » de l'hexagone<ref group="Note">Si l’on excepte le Parti nationaliste basque (EAJ-PNB, 1895) et Modèle:Lang (ERC, 1931) qui ont été fondés sur le territoire espagnol.</ref>. Scission du Mouvement pour l'organisation de la Bretagne (MOB), l’UDB affirmera tout au long de son histoire son ancrage à gauche. Proche successivement des mouvances communiste, socialiste puis écologiste, elle n’en développera pas moins une idéologie originale qui, malgré une histoire tourmentée où s'alternent périodes de crise et périodes d'essor, permettra à l'UDB de s'implanter durablement dans le paysage politique régional et de s'inscrire dans l’histoire de la Bretagne<ref name="crape" group="SI" />.

Organisation

Structure interne

Les militants de l'Union démocratique bretonne sont organisés en sections locales. Celles-ci correspondent à des communes ou des bassins de vie en fonction du nombre d’adhérents et de l’organisation du territoire. Les sections locales sont le relais entre les militants et la direction du parti. Elles sont regroupées en fédérations.

Les fédérations sont au nombre de sept : Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique, Morbihan, Rance-Penthièvre, Trégor-Goëlo et la fédération extérieure (dénommée aussi « émigration ») dont le siège est à Paris. Chaque fédération élit son bureau fédéral composé de six membres : un responsable fédéral, un second représentant, un secrétaire, un trésorier, un responsable presse et un responsable des affaires extérieures. Les deux premiers siègent de droit au bureau politique.

C’est le bureau politique qui dirige le parti. Il est composé de Modèle:Nombre : le responsable de l'UDB Jeunes, les 14 représentants fédéraux et Modèle:Nombre élus tous les deux ans par le congrès.

Le congrès national est un rendez-vous majeur du parti. Il réunit tous les deux ans l’ensemble des adhérents de l’UDB. Sa mission est de faire le bilan des deux années passées, d’analyser la situation politique du moment et d’établir en conséquence la stratégie pour les années à venir. Il renouvelle le bureau politique et le mandate pour mettre en œuvre les orientations choisies<ref group="SP">Modèle:Lien web.</ref>.
L’actualité politique peut, entre deux congrès, provoquer l’organisation de conventions nationales : leur rôle, ponctuel, est de répondre à un questionnement spécifique. Exemple : la convention nationale du Modèle:Date- pour arrêter les positions de l’UDB aux élections de 2012<ref name="udbconvention" group="SP">Modèle:Lien web.</ref>.

Le bureau politique ainsi formé en congrès désigne un responsable des affaires internes (RAI) et un responsable des affaires extérieures (RAE). Ce dernier a la charge de porte-parole de l’UDB.
Le porte-parole est la voix et le visage du parti. Il dispose cependant d’une influence limitée en interne : l’UDB a souhaité dès sa fondation éviter la monopolisation du pouvoir par un chef en privilégiant un fonctionnement collégial<ref name="pas119" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>.

Identité visuelle

En 1964, lorsque Modèle:Lien dessine à la main le nom du journal Le Peuple breton, il incruste le sigle de trois lettres capitales « UDB » sur le disque noir figurant la lettre « o ». Il fait ainsi apparaître ce qui deviendra le premier logo de l'Union démocratique bretonne. Celui-ci évoluera au cours des années, se dotera de la couleur, s'accompagnera d'un symbole.

Début 2012, le logotype est remodelé pour apparaître dans une nouvelle version sur les documents de communication en Modèle:Date-. La principale modification concerne l'emblématique colombe celtique<ref group="Note">Le créateur de cette colombe celtique est Marcel Marc, ancien conseiller municipal UDB de Couëron (Loire-Atlantique).</ref> dont les entrelacs ont laissé place à un drapeau breton stylisé puis, en juillet 2021, à un fond jaune uni :

Personnalités

Modèle:Catégorie principale

Portrait d'Ana Sohier
En 2008, Ana Sohier devient la première élue de France à recevoir une délégation au titre du « patrimoine culturel immatériel » (ici, à Bruz en septembre 2014).

Liste de personnalités membres de l'UDB ou qui s'en disent proches : Modèle:Colonnes

Mouvement des jeunes Modèle:Lang (UDBy)

Modèle:Article détaillé L'Modèle:Lang (UDBy), ou UDB Jeunes en langue française, est la structure animée par les adhérents de l'UDB ayant moins de Modèle:Nombre. Créé en 2007, le mouvement revendique une centaine d'adhérents en 2011. Ses membres disposent de leur propre organisation et élisent eux-mêmes leurs représentants. Le responsable de l'UDBy est membre d'office au bureau de l'UDB. L'UDB Jeunes est présent dans les manifestations sociales de la région et organise régulièrement ses propres actions militantes. Mobilisés lors des élections, certains membres ont pu se voir élire conseillers municipaux et conseillers communautaires<ref group="Note">Texte tiré de l'article UDB Jeunes.</ref>.

Association des élus progressistes de Bretagne (AEPB)

Portrait de Nelly Fruchard
Nelly Fruchard le 19 février 2011, après son élection à la tête de l'AEPB.
Logo de l'association des élus progressistes de Bretagne
Logo officiel de l'AEPB, apparu sur les supports de communication en juillet 2012.

L'Association des élus progressistes de Bretagne (AEPB), ou Modèle:Lang (EDAB) en breton, est la structure rassemblant les élus UDB ou sans étiquette politique, proches de ce qui est appelé Modèle:Citation<ref name="pb534" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="cad2013p11" group="L">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref group="Note">Site officiel de l'AEPB : Aepb.over-blog.com</ref>.

Créée à l'automne 1978<ref name="mon25" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, elle s'est tout d'abord dénommée AEMB : association des élus municipaux bretons. Puis lors d'une assemblée générale organisée Modèle:Nombre plus tard le Modèle:Date- à Pontivy, les élus ont souhaité permettre l'adhésion des conseillers régionaux élus en 2004. Si ce changement de dénomination se justifie par une nécessité technique, le choix du terme « progressistes » s'explique par une volonté politique, comme le précise Herri Gourmelen, président de l'association jusqu'en 2008, et décédé en Modèle:Date- : Modèle:Citation<ref name="pb534" group="PB" />.

L'objectif de l'AEPB est de proposer à ses membres un outil de concertation, de formation et de communication. Elle apporte un soutien dans leur action politique, notamment Modèle:Citation<ref name="mon25" group="M" />, <ref name="pb534" group="PB" />.

Son bureau respecte la parité hommes-femmes. Il est composé de huit membres issus de la Bretagne historique et représente aussi bien les grandes villes et les villes moyennes que les petites communes. L'AEPB comptait 150 élus membres en 2008, dont 1/3 non encarté à l'UDB<ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>. Elle semble inactive depuis 2015.

Liste des présidents successifs de l'AEPB-EDAB
Période Nom Commentaire
2011 – 2014 Nelly Fruchard (DVG), maire de Plescop Élue le Modèle:Date- lors de l'assemblée générale de Pontivy<ref group="PPR">Modèle:Article,</ref>,<ref group="SP">Modèle:Lien web.</ref>.
2008 – 2011 Georges Cadiou (UDB), adjoint au maire de Quimper Élu le Modèle:Date- lors de l'assemblée générale de Pontivy.
1978 – 2008 Herri Gourmelen (UDB), conseiller municipal de Saint-Malo Élu à l'automne 1978 lors de la création de l'association.

Représentation en France et en Europe

Photographie de Paul Molac
Le député Paul Molac à Lorient en août 2013.

Modèle:Article détaillé

Au niveau hexagonal, l'UDB a été l'un des partis fondateurs de la fédération Régions et peuples solidaires (R&PS) en Modèle:Date-. R&PS est une coalition de partis régionalistes, autonomistes ou indépendantistes présents sur le territoire de la République française. Depuis son élection en Modèle:Date-, le député breton Paul Molac (RPS-UDB puis LREM puis sans étiquette) représente la fédération sur les bancs de l'Assemblée nationale<ref group="SP">Modèle:Lien web.</ref>, <ref name="cad2013p378" group="L">Modèle:Harvsp.</ref>.

Au niveau européen, l'Union démocratique bretonne a intégré l'Alliance libre européenne (ALE) en 1987. L'ALE est un parti politique européen qui rassemble des partis régionalistes, autonomistes ou indépendantistes présents sur le territoire de l'Union européenne. Au Parlement européen, ses eurodéputés siègent au côté des eurodéputés verts pour former le groupe Verts/ALE. Entre 2009 et 2014, puis depuis Modèle:Date-, le Corse François Alfonsi (RPS-PNC) est élu eurodéputé et représente la fédération Régions et peuples solidaires — et donc l'Union démocratique bretonne — sur les bancs du Parlement européen. Bruno Le Clainche, membre de l'UDB, est l'un de ses assistants parlementaires à Bruxelles<ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>, <ref name="cad2013p15" group="L">Modèle:Harvsp.</ref>.

Élections

Des années 1970 aux années 2000, l'Union démocratique bretonne ne parvient à capter qu'une part modeste de l'électorat breton<ref name="pas121" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>. L'universitaire Romain Pasquier constate qu'elle obtient des résultats significatifs aux élections locales, entre 5 et 10 % des suffrages exprimés, mais franchit rarement la barre des 3 % lors des élections nationales<ref name="pas125" group="P" />.

L'une des raisons se trouve dans le mode de scrutin majoritaire à deux tours largement pratiqué en France et qui a considérablement limité la possibilité de l'UDB d'obtenir des élus<ref name="pas121" group="P" />. Or, il est important pour le parti d'être représenté dans les assemblées explique l'ancien porte-parole Ronan Divard : Modèle:Citation<ref name="cha144" group="L">Modèle:Harvsp.</ref>. Il y a aussi la volonté de Modèle:Citation<ref name="cha145" group="L">Modèle:Harvsp.</ref>.
Cet obstacle institutionnel a amené le parti autonomiste à rechercher, notamment lors des élections locales, des alliances avec d'autres partis de gauche<ref name="pas121" group="P" />. C'est là une critique faite par les détracteurs de l'UDB qui n'hésitent pas, de l'aveu même de Ronan Divard, à taxer ses militants de Modèle:Citation, même si ces alliances ne sont pas systématiques<ref name="cha145" group="L" />, <ref name="pas125" group="P" />.

Modèle:Citation selon Romain Pasquier. Avec le changement du mode de scrutin des élections régionales et l'entrée de l'UDB au Conseil régional de Bretagne, ajouté à une alliance fructueuse et régulière avec Europe Écologie Les Verts, le parti autonomiste progresse en électorat et en nombre d'élus<ref name="pas125" group="P" />.

Des cycles électoraux et des alliances qui évoluent

Engagée dans la compétition électorale depuis ses débuts, l'Union démocratique bretonne a vécu quatre décennies politiques qui constituent des cycles électoraux distincts avec des stratégies d'alliances différentes<ref name="pas123" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>.

La décennie 1970 marque un cycle d'expansion de l'UDB. Après des débuts électoraux difficiles au milieu des années 1960, un décollage électoral s'opère au début des années 1970 pendant lesquelles l'UDB s'engage dans les combats sociaux et profite de l'essor du mouvement culturel breton qu'elle contribue à structurer<ref name="pas123" group="P" />, <ref name="pas124" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>.
Les élections législatives de 1973 voient les cinq candidats UDB obtenir 2,10 % des voix en moyenne. Les cantonales de 1976 montrent une progression avec une moyenne de 5,27 % pour les neuf candidats UDB en lice. En participant aux listes d'Union de la gauche lors des municipales de 1977, l'UDB obtient 35 élus dont 11 dans sept villes de plus de Modèle:Nombre. Les 34 candidats aux cantonales de 1979 (trois fois plus qu'en 1976) obtiennent 5,63 % en moyenne, plusieurs candidats dépassant les 10 %. Aux municipales de 1983, l'UDB présente des candidats dans 130 communes et double son implantation en remportant 80 conseillers municipaux dans 60 communes<ref name="pas124" group="P" />.

La décennie 1980 est un cycle de reflux pour l'UDB. Le vote des lois de décentralisation, un vieillissement de ses mots d'ordre idéologiques (« Bretagne = colonie ») et des dissensions internes affaiblissent l'UDB électoralement. Déjà lors des législatives de 1978, l'UDB avait connu un certain recul : alors qu'elle s'engage dans la moitié des circonscriptions bretonnes, ses candidats obtiennent 1,91 % des voix en moyenne. Aux législatives de 1981, l'UDB passe un accord avec le Parti socialiste (PS) et finit par se noyer dans la marée rose<ref group="Note">En 1981, le PS devient majoritaire en nombre de députés en Bretagne : Modèle:Nombre sur 33.</ref>. Les élections cantonales de 1982 et surtout 1985 connaissent une baisse du vote autonomiste. Les premières élections régionales en 1986 sont également très décevantes pour l'UDB qui, avec seulement 1,55 % des voix, échoue à se voir représentée à la première assemblée régionale démocratiquement élue. L'Union démocratique bretonne souffre à la fois de l'augmentation du nombre de candidats lors des élections et de la bipolarisation de la vie politique locale, régionale et nationale. Ses résultats négatifs entraînent une profonde crise au sein de l'UDB et remettent en cause son « alliance naturelle » avec le PS ou le PCF : à partir de la fin des années 1980, ces alliances ne sont plus automatiques et varient selon les scrutins<ref name="pas124" group="P" />.

Conséquence d'une refonte organisationnelle et idéologique opérée à partir de la fin des années 1980, la décennie 1990 est pour l'UDB une période de stabilisation du nombre de ses élus au niveau communal et de légère progression dans l'électorat. Lors des régionales de 1992, le parti obtient 2,07 % des voix. Aux législatives de 1993 et 1997, il obtient respectivement 2,51 % avec sept candidats et 1,97 % avec 22 candidats. En Modèle:Date-, l'UDB développe sa philosophie d'un fédéralisme social et adopte un programme de 44 propositions pour la Bretagne dans l'optique des élections cantonales et régionales à venir. Aux régionales de 1998, le parti est en net progrès avec 3,14 % des suffrages exprimés mais ne réussit nulle part à franchir la barre des 5 % permettant sa représentation au Conseil régional<ref name="pas125" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>.

La décennie 1990 est aussi l'occasion d'initier de nouvelles stratégies d'alliances. C'est sous l'étiquette « Régions et peuples solidaire » (R&PS), une fédération de partis régionalistes en France dont l'UDB est l'un des initiateurs, que le parti autonomiste présente ou soutient des candidats aux législatives de 2002. Le but de cette alliance est de couvrir électoralement l'ensemble de la Bretagne et cela fonctionne : R&PS présente des candidats dans 34 des 36 circonscriptions bretonnes. Mais le résultat est très décevant pour les candidats : ils obtiennent 1,53 % des suffrages, soit un demi point de moins qu'en 1997 (1,97 %) et un point de moins qu'en 1993 (2,51 %)<ref name="pas125" group="P" />.

Pendant la décennie 2000, ce renouvellement des alliances est davantage payant et permet à l'UDB de réaliser une réelle percée dans le paysage politique breton. À l'occasion des élections régionales de 2004, l'UDB s'allie aux Verts et obtient au premier tour 9,70 % des suffrages, un Modèle:Citation écrit l'universitaire Romain Pasquier. En fusionnant avec la liste majoritaire de gauche, l'UDB réussi pour la première fois de son histoire à obtenir trois sièges au Conseil régional de Bretagne dont une vice-présidence attribuée au porte-parole de l'UDB, Christian Guyonvarc'h<ref name="pas125" group="P" />. Aux régionales de 2010, l'alliance écolo-régionaliste se poursuit et obtient 12,21 % au premier tour. En se maintenant au second tour dans le cadre d'une triangulaire, elle gagne encore des voix pour remporter 17,37 % des suffrages et bénéficier cette fois-ci de quatre sièges au Conseil régional de Bretagne, mais dans l'opposition<ref name="interieur" group="SI">Modèle:Lien web.</ref>.

Aux élections municipales de 2001 et 2008, l'UDB présente plus de 200 candidats dont près de la moitié est élue. En 2008, les élus UDB accroissent leurs responsabilités en obtenant davantage de postes d'adjoints au maires, de conseillers délégués et de conseillers communautaires<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref group="PB">Modèle:Article.</ref>. Aux cantonales de 2011, l'UDB augmente ses résultats en obtenant 9,57 % des voix en moyenne<ref name="pb042011p7" group="PB">Modèle:Article.</ref>.

Ce soutien réciproque et de non concurrence<ref name="pb042004p7" group="PB">Modèle:Article.</ref> entre écologie et régionalisme peut fonctionner aussi au niveau hexagonal : lors des législatives de 2012, l'alliance entre Europe Écologie Les Verts (EELV) et Régions et peuples solidaire (R&PS) permet au morbihannais Paul Molac de devenir le premier député UDB à siéger sur les bancs de l'Assemblée nationale<ref name="afp_molac" group="EL">Modèle:Lien web.</ref>.

Quelques mois après, eu égard à l'élection d'un nouveau président de région (Pierrick Massiot) et du nouveau contexte national, l'UDB rejoint la majorité au conseil régional, laissant les verts seuls dans l'opposition de gauche : Christian Guyonvarc'h devient poste de rapporteur général du budget et Herri Gourmelen entre dans bureau de l'exécutif<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lors des élections européennes de 2014, le parti présente une liste « La Bretagne pour une Europe sociale - Breizhiz dorn-ha-dorn gant pobloù Europa » menée par Christian Guyonvarc'h dans les 5 départements bretons. Malgré le soutien de Régions et peuples solidaires, la liste n'obtient qu'1,01 %, largement distancé par l'autre liste régionaliste (MBP-PB), menée par Christian Troadec, qui obtient 3,05 %.

Autre stratégie également lors des départementales de 2015. L'UDB soutient 30 candidatures et présente 22 quadrinôme autonomes, la Loire-Atlantique étant le département avec le plus de candidats UDB puisque 7 quadrinômes se présentent. Dans d'autres cantons le parti est allié à EELV, le PS, le Mouvement Bretagne et Progrès, voire avec EELV et le PCF<ref>Les candidatures UDB aux départementales, CP sur le site officiel, février 2015</ref>. Plusieurs candidatures soutenues par l'UDB sont victorieuse mais le parti ressort sans aucun élu, quand le Mouvement Bretagne et progrès emporte deux cantons.

Lors des élections régionales de 2015 l'UDB est présente dans deux régions, à chaque fois dans une coalition de régionales. En Pays-de-la-Loire ils soutiennent la liste « Choisir nos régions et Réunifier la Bretagne » menée par l'ex-conseiller général EELV Gilles Denigot. Malgré le soutien de toutes les mouvances politiques régionalistes (UDB, MBP, PB et Breizhistance) et des bulletins dans tous les départements, la liste n'obtient qu'1,27 % (2,67 % en Loire-Atlantique. En Bretagne les listes autonomistes et indépendantistes sont séparées en trois listes : une de Breizhistance, une du Parti Breton et « Oui la Bretagne », soutenue par l'UDB et le Mouvement Bretagne et Progrès, menée par Christian Troadec. Avant le premier tour, huit membres de l'UDB dont la porte-parole et conseillère régionale Mona Bras et le député Paul Molac, appellent à soutenir Jean-Yves Le Drian<ref>« Élections régionales. Huit membres de l'Union démocratique suspendus », Ouest-France, septembre 2015.</ref>. À la suite de ces exclusions Henri Gourmelen (élu régional et président du groupe UDB) quitte le parti en signe de protestation, le soir du premier tour la liste « Oui la Bretagne » obtient 6,71 % (10,63 % dans le Finistère), un score significatif mais ne permettant pas de se maintenir, Jean-Yves le Drian refusant de fusionner Christian Troadec coupe court aux négociations en début de soirée et aucune consigne de vote n'est donnée<ref>« Pas de consigne de vote pour Oui la Bretagne », Ouest-France, 8 décembre 2015</ref>. À la suite de ces élections l'UDB n'a donc plus d'élu régionaux, même si Mona Bras est réélue et que Paul Molac fait son entrée au conseil.

Aux élections régionales de 2021 l'UDB, en alliance avec EÉLV, retrouve quatre élus qui forment le groupe Breizh a-gleiz du Conseil régional de Bretagne en compagnie de deux membres d'ESNT (Ensemble sur nos territoires). Dans le même temps le parti obtient un élu au Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine aux départementales de 2021, aussi en alliance avec EÉLV.

Élections municipales

Modèle:Boîte déroulante début

Résultats Nbr
élus 		dont
maires
2020 En 2020, 56 candidats UDB sont élus conseillers municipaux en Bretagne (53 membres encartés, 3 apparentés), dont 6 dans le département de Loire-Atlantique. 25 sont nommés adjoints au maire ou conseillers avec délégation de responsabilités. 4 sont également élus conseillers communautaires ou métropolitains. Enfin, Patrick L'Heréec est réélu maire à Plounérin, Fabrice Dalino est élu maire à Montfort-sur-Meu et l'apparenté Lionel Henry est élu maire à Montreuil-le-Gast<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>,<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>. 56 3
2014 ? ?
2008 Présentation de plus de 200 candidats dont près de la moitié est élue. En 2008, les élus UDB accroissent leurs responsabilités en obtenant davantage de postes d'adjoints au maires, de conseillers délégués et de conseillers communautaires. 78 ?
2001 ? ?
1995 ? ?
1989 ? ?
1983 L'UDB présente des candidats dans 130 communes et double son implantation en remportant 80 conseillers municipaux dans 60 communes 80 ?
1977 En participant aux listes d'Union de la gauche lors des municipales de 1977, l'UDB obtient 35 élus dont 11 dans sept villes de plus de 30 000 habitants. 35 ?
1971 ? ?
1965 Modèle:... 1 0

Modèle:Boîte déroulante fin

Élections cantonales puis départementales

Modèle:Boîte déroulante début

Côtes-d'Armor (22) Finistère (29) Ille-et-Vilaine (35) Loire-Atlantique (44) Morbihan (56) Total Bretagne
Cantons Voix % Cantons Voix % Cantons Voix % Cantons Voix % Cantons Voix % Nbr candidats titulaires Voix % Sièges
2021 Bégard
Paimpol<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Rostrenen<ref group="Note" name="EELV-UDB" /> 		460
729
1 117 		7,13
10,74
17,17 		Brest-1<ref group="Note">Dans le Finistère, candidatures communes EELV-UDB sauf à Pont-de-Buis-lès-Quimerch.</ref>
Brest-4
Brest-5
Carhaix-Plouguer
Landivisiau
Plouigneau
Pont-de-Buis-lès-Quimerch<ref group="Note">Candidature commune UDB-G·s.</ref>
Quimper-1
Quimperlé 		1 503
1 390
1 332
1 368
1 102
1 235
1 851
1 871
1 669 		44,64
16,20
20,84
18,04
14,26
14,65
23,15
19,80
19,21 		Dol-de-Bretagne<ref group="Note">En Ille-et-Vilaine, candidatures communes EELV-UDB.</ref>
Le Rheu
Rennes-2
Saint-Malo-2 		1 571
2 048
3 432
4 916 		14,55
19,34
53,78
36,86 		Rezé-2<ref group="Note">Candidature commune PS-UDB face à une liste DVG.</ref> 3 103 40,73 Auray
Guidel<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Hennebont<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Pontivy 		533
1 701
5 086
1 265 		6,29
15,45
48,03
12,54 		24 39 282 22,54 1
2015
<ref name="interieur" group="SI" /> 		Guingamp
Mûr-de-Bretagne<ref group="Note" name="PS-UDB" />
Paimpol<ref group="Note" name="PS-UDB" />
Perros-Guirec<ref group="Note">Candidature commune EELV-PS-UDB.</ref>
Plérin<ref group="Note" name="PS-UDB" />
Rostrenen
Saint-Brieuc-2<ref group="Note">Candidature commune UDB-PCF-EELV.</ref>
Tréguier 		475
2 588
2 719
4 018
3 532
905
1 226
324 		5,02
31,12
30,61
34,04
35,30
11,24
16,88
3,10 		Brest-5
Douarnenez 		235
403 		2,41
2,74 		Combourg
Melesse<ref group="Note" name="DVG-UDB" />
Montfort-sur-Meu<ref group="Note">Candidature commune UDB-EELV.</ref>
Rennes-3
Rennes-5 		417
1 913
1 884
243
382 		3,55
16,66
14,25
1,93
3,64 		Modèle:Nobr
Blain
Modèle:Nobr
Nantes-4
Rezé-2
Saint-Herblain-2
Saint-Nazaire-1 		705
884
399
276
370
427
646 		3,70
5,25
2,11
2,29
3,30
2,61
4,36 		Gourin<ref group="Note">Candidature commune Nous te ferons Bretagne (NTFB)-UDB.</ref>
Guidel
Hennebont
Lanester
Lorient-2
Pontivy
Vannes-2 		3 636
433
807
446
253
575
944 		25,59
2,78
5,28
4,28
2,58
3,70
6,08 		47 32 065 9,87 0
2014 Redécoupage des cantons et modification du mode de scrutin pour les élections cantonales qui deviennent « élections départementales » à la suite de la réforme territoriale de 2013.
2011
<ref name="interieur" group="SI" />, <ref name="pb042011p7" group="PB" /> 		Modèle:Nobr
Langueux
Modèle:Nobr
Moncontour
Paimpol<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Plouagat
Plouha
Rostrenen<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="EELV-UDB" /> 		327
800
324
450
1 284
492
417
365
592 		15,18
11,23
13,52
10,11
18,08
17,73
13,72
9,42
12,32 		Arzano
Bannalec
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Modèle:Nobr
Daoulas<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Pleyben<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Ploudalmézeau<ref group="Note" name="EELV-UDB" />
Plouescat
Modèle:Nobr
Rosporden 		72
297
518
280
919
364
1 552
309
656
199
175
780 		3,30
11,11
11,91
10,97
18,91
5,48
17,18
8,93
10,33
6,22
2,53
18,28 		Bécherel
Combourg
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="EELV-UDB" /> 		258
272
258
795 		6,43
5,77
7,17
11,04 		Ancenis
Modèle:Nobr
Savenay
Vertou 		274
111
227
250 		3,41
2,49
3,27
2,54 		Gourin
Lanester
Locminé
Plœmeur
Pluvigner
Pontivy
Quiberon
Sarzeau 		188
718
415
859
676
646
423
785 		4,57
10,47
7,04
9,19
9,00
7,30
6,28
11,80 		37 18 327 9,57 0
2008
<ref name="interieur" group="SI" />, <ref group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref group="PB">Modèle:Article.</ref> 		Bégard
Guingamp
Lannion
Ploufragan<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Tréguier 		345
510
658
1 519
367
833
583 		6,65
4,41
5,38
14,27
6,74
14,22
7,81 		Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		360
814
527
1 541 		5,91
10,28
5,08
9,06 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Apparentés_UDB" /> 		129
136
612 		2,34
2,44
11,16 		Le Croisic
Ligné
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Rezé 		348
127
342
1 366
282 		4,62
2,29
3,33
11,45
2,38 		Modèle:Nobr
Hennebont
Modèle:Nobr
Malestroit
Plouay
Modèle:Nobr 		203
645
293
420
1 340
1 044 		6,77
4,48
4,15
4,64
18,49
5,40 		25 15 344 6,95 0
2004
<ref name="pb022004p6" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="pb042004p7" group="PB" />, <ref name="interieur" group="SI" />, <ref name="OFcantonales2004" group="EL">Modèle:Lien web.</ref>, <ref group="SP">Modèle:Lien web.</ref> 		Châtelaudren
Modèle:Nobr
Paimpol
Modèle:Nobr
Plérin
Plouha 		214
197
550
1 126
1 092
285 		4,84
6,20
5,84
8,07
10,90
7,42 		Arzano
Bannalec
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/AG" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/AG" />
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/FB" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Modèle:Nobr<ref group="Note">Candidature d'ouverture dans le cadre de la candidature commune Les Verts-UDB-Frankiz Breizh-L'Autre gauche intitulée « Bretagne verte, unie et solidaire » (BVUS).</ref>
Concarneau<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Crozon<ref group="Note" name="BVUS/AG" />
Fouesnant<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Lanmeur<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Lannilis<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Le Guilvinec
Plabennec<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Ploudalmézeau<ref group="Note" name="BVUS/FB" />
Plouescat<ref group="Note" name="BVUS/FB" />
Plouzévédé
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="BVUS/Verts" />
Rosporden
Modèle:Nobr 		201
338
892
483
788
371
792
368
684
351
2 783
897
917
1 206
860
523
850
1 176
702
235
234
207
688
557
691 		7,10
7,18
10,94
9,59
11,51
7,37
10,79
7,58
8,35
7,29
31,14
7,33
10,55
8,88
12,65
6,13
8,52
12,57
8,27
5,17
4,65
2,18
7,34
8,14
7,07 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Cancale 		510
493
1 895
400 		4,82
7,02
9,11
5,53 		Ancenis
Blain
Carquefou
Herbignac
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Les_Alternatifs" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Les_Alternatifs" />
Orvault
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Savenay
Vertou 		301
137
244
267
199
188
193
205
206
184
145
283
256
187
244
158
185 		2,92
1,75
1,40
4,23
1,53
1,99
2,20
2,47
1,78
2,61
2,36
1,88
1,68
2,52
2,93
1,75
1,37 		Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Lanester<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Locminé
Muzillac
Plœmeur
Pluvigner
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Questembert
Sarzeau 		345
823
528
362
900
779
785
296
719 		4,92
8,44
7,50
5,83
6,54
9,18
5,86
3,90
9,90 		61 33 675 6,51 0
2001
<ref name="pb032001p2" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="pb042001p2" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 		Guingamp
Lannion
Lézardrieux
Plouaret
Modèle:Nobr
Tréguier 		980
808
123
564
187
532 		9,06
7,34
2,23
5,13
3,81
7,37 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note">Sur le canton de Brest-Centre, l'UDB était en concurrence avec une candidature Frankiz Breizh qui a obtenu Modèle:Nombre, soit 2,99 % des suffrages.</ref>
Châteaulin
Modèle:Nobr
Douarnenez
Ploudiry
Modèle:Nobr
Quimper-1
Quimper-2
Quimper-3
Quimperlé
Modèle:Nobr
Taulé 		88
155
651
419
494
96
378
264
272
377
332
746
160 		2,26
2,73
6,84
5,18
4,15
3,96
4,33
2,62
2,25
3,85
3,34
5,05
2,91 		Redon
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		801
123
104
218
275 		9,78
2,55
2,01
2,54
2,27 		Bouaye
Guérande
Modèle:Nobr
Le Croisic
Le Pellerin
Nantes-2
Nantes-4
Nantes-6
Nantes-7
Nantes-8
Nantes-10
Nozay
Pontchâteau
Rezé
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		308
476
555
140
380
334
253
369
208
250
279
259
580
650
242
454
315
128 		1,80
3,75
3,80
2,13
3,57
3,46
2,54
4,53
3,58
3,28
2,02
4,22
6,05
6,65
4,10
5,81
4,55
2,32 		Elven
Modèle:Nobr
Hennebont
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Plouay
Pont-Scorff
Modèle:Nobr 		309
256
377
148
447
374
548
1 068 		3,93
3,12
2,88
3,12
6,46
5,28
3,50
3,65 		50 18 854 4,07 0
1998
<ref name="pb041998p16" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon40" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="interieur" group="SI" /> 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Apparentés_UDB" />
Paimpol
Modèle:Nobr
Plouha
Pontrieux 		250
233
460
913
248
75 		6,20
6,44
5,42
7,39
7,04
1,67 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="frankiz" />
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Plabennec<ref group="Note" name="frankiz" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Apparentés_UDB" />
Rosporden 		291
683
150
664
313
266
332 		5,52
8,99
3,01
7,84
3,71
3,30
5,35 		Bruz
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		446
221
551
489 		3,38
3,74
3,45
5,22 		Nantes-5
Nantes-9
Orvault
Modèle:Nobr 		389
272
516
358 		5,55
2,84
4,02
4,96 		Gourin
Lanester
Modèle:Nobr
Muzillac
Plœmeur
Pontivy
Modèle:Nobr
Ploërmel
Pluvigner
Quiberon
Modèle:Nobr
Sarzeau
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		165
456
304
213
446
324
543
296
344
361
145
508
538
432 		3,07
4,83
4,00
4,33
3,67
2,79
4,64
5,03
4,77
4,42
2,77
8,79
6,24
3,80 		35 13 195 4,80 0
1994
<ref name="pb031994p8" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="pb041994p18" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon38" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="interieur" group="SI" /> 		Bégard
Lannion<ref group="Note" name="DVG-UDB" />
Lézardrieux
Plouaret
Modèle:Nobr
Tréguier 		288
421
202
498
156
376 		6,58
4,13
3,82
8,90
2,79
5,60 		Modèle:Nobr<ref group="Note">Candidature Frankiz Breizh soutenue par l'UDB et Les Verts.</ref>
Quimper-3<ref group="Note" name="DVG-UDB-Verts" />
Taulé 		382
477
91 		6,48
5,11
1,93 		Redon<ref group="Note" name="DVG-UDB-Verts" />
Rennes-Nord-Ouest 		492
216 		6,58
3,03 		Modèle:Nobr
Nantes-6
Modèle:Nobr 		808
240
131 		7,34
3,37
2,15 		Auray
Baud
Elven
Modèle:Nobr
Hennebont
Josselin
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Modèle:Nobr
Plouay
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" />
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="Verts-UDB" /> 		697
253
364
370
836
291
236
814
403
850
1 167 		5,82
3,48
5,75
5,49
6,81
5,22
4,49
10,64
6,43
6,44
9,20 		25 11 059 5,50 0
1992
<ref name="pb041992p6" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon37" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="interieur" group="SI" /> 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Paimpol
Plérin
Plouha 		420
146
442
733
213 		3,84
4,47
4,45
7,97
5,52 		Arzano
Modèle:Nobr<ref group="Note" name="frankiz" />
Modèle:Nobr
Ploudalmézeau<ref group="Note" name="frankiz" />
Rosporden 		51
415
953
324
397 		1,77
4,38
10,47
3,86
5,61 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		102
290 		1,95
3,49 		Nantes-3
Nantes 5
Nantes-9
Orvault
Modèle:Nobr 		184
288
242
378
222 		2,49
3,67
2,38
2,73
2,90 		Lanester
Modèle:Nobr
Pluvigner
Pontivy
Sarzeau 		414
378
361
315
341 		3,98
4,43
4,71
2,62
6,44 		22 7 609 4,28 0
1988
<ref name="mon35" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 		Bégard
Lannion
Plouaret
Tréguier 		243
530
346
357 		5,75
6,83
6,73
6,00 		Ø - - Ø - - Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Rezé
Modèle:Nobr 		141
128
157
198
105 		1,95
2,25
1,80
2,87
1,87 		Modèle:Nobr
Malestroit 		429
789 		7,61
15,61 		11 3 423 5,39 0
1985
<ref name="pb031985p4" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="pb041985p4" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon33" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 		Modèle:Nobr
Bourbriac
Paimpol
Modèle:Nobr
Plérin
Modèle:Nobr
Plouha
Rostrenen
Modèle:Nobr 		?
91
368
516
278
175
216
103
194 		1,99
2,99
3,73
4,29
3,34
2,97
5,25
1,65
2,81 		Brest-4<ref group="Note" name="frankiz" />
Brest-6<ref group="Note" name="frankiz" />
Modèle:Nobr
Le Guilvinec
Ploudalmézeau<ref group="Note" name="frankiz" />
Rosporden 		304
112
892
405
322
185 		3,02
1,61
9,54
3,79
3,96
2,53 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		72
76
443 		1,23
1,27
5,22 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Nantes-5
Nantes-7
Nantes-9
Nantes-11
Orvault
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		624
246
197
114
112
115
533
204
150
156 		8,52
2,32
2,55
2,03
1,30
1,70
4,69
2,34
1,82
1,96 		Gourin
Modèle:Nobr
Lanester
Modèle:Nobr
Sarzeau
Modèle:Nobr 		226
136
574
266
327
165 		3,66
2,55
6,09
3,46
7,42
1,86 		34 > 8 897 3,40 0
1982
<ref name="pb041982p19" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon29" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 		Bégard
Modèle:Nobr
Guingamp
Lamballe
Lannion
Lanvollon
Lézardrieux
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Tréguier 		371
365
771
280
971
220
263
243
?
243
535 		8,59
9,53
6,80
3,17
11,89
4,90
4,53
3,51
4,98
3,65
7,57 		Brest-III
Brest-V
Brest-VII
Briec
Douarnenez
Huelgoat
Lesneven
Ouessant
Modèle:Nobr
Quimper-I
Modèle:Nobr
Sizun 		180
369
?
180
556
97
728
42
468
615
472
41 		1,91
4,08
3,46
3,83
3,84
2,13
6,44
4,91
4,53
4,07
4,32
1,59 		Rennes-III
Rennes-IV
Modèle:Nobr 		267
?
208 		3,64
2,69
1,43 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Nantes-II
Nantes-IV
Nantes-VI
Nantes-VIII
Orvault
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Vallet 		188
198
226
179
260
235
?
100
?
263
148 		2,12
2,09
1,91
1,64
2,34
4,12
4,81
1,62
2,84
2,89
2,59 		Auray
Baud
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Malestroit
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr 		403
243
246
199
?
588
503
516
? 		3,52
3,10
3,87
2,71
4,47
6,47
6,45
4,83
1,34 		46 15 258
<ref group="Note">L'addition des suffrages de cette colonne pour l'année 1982 représente Modèle:Nombre mais ne compte pas les résultats de sept cantons qui ne sont pas recensés dans la base TERE. Le total de Modèle:Nombre retenu ici est tiré de l'article du Peuple breton d'avril 1982<ref name="pb041982p19" group="PB" />,<ref name="TERE" group="EL" />.</ref> 		4,08 0
1979
<ref name="pb041979p15" group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref name="mon26" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 		Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Paimpol
Modèle:Nobr
Modèle:Nobr
Plouha
Modèle:Nobr 		307
166
353
383
895
233
333
? 		3,04
2,82
10,07
4,03
7,79
4,00
8,56
3,60 		Brest-I
Brest-IV
Brest-VI
Modèle:Nobr
Concarneau
Crozon
Plabennec
Pleyben
Ploudalmézeau
Plouescat
Rosporden
Modèle:Nobr 		705
787
932
555
814
347
531
318
390
721
255
188 		6,49
7,52
10,14
5,77
6,98
4,44
7,00
5,69
5,01
12,81
3,74
4,68 		Rennes-VII
Rennes-VIII
Modèle:Nobr
 815
292
374 		6,38
2,54
4,76 		Carquefou
Herbignac
Nantes-V
Nantes-IX
Modèle:Nobr 		253
116
348
275
836 		3,40
2,53
3,21
3,65
5,36 		Gourin
Modèle:Nobr
Lorient-II
Modèle:Nobr
Quiberon
Modèle:Nobr 		469
408
1 996
?
341
292 		7,40
7,24
7,22
6,57
4,73
2,44 		34 17 918
<ref group="Note">L'addition des suffrages de cette colonne pour l'année 1979 représente Modèle:Nombre mais ne compte pas les résultats des cantons de Saint-Brieuc-Nord et Pont-Scorff qui ne sont pas recensés dans la base TERE. Le total de Modèle:Nombre retenu ici est tiré de l'article du Peuple breton d'avril 1979<ref name="pb041979p15" group="PB" />,<ref name="TERE" group="EL" />.</ref> 		5,64 0
1976
<ref name="TERE" group="EL">Base de données Traitement et exploitation des résultats électoraux (TERE) du site Internet du journal Le Monde.</ref>, <ref name="mon21" group="M">Modèle:Harvsp.</ref> 		Lannion 596 6,56 Brest-III
Huelgoat
Morlaix 		510
448
308 		5,48
11,17
2,64 		Rennes-V 447 7,85 Guérande
Modèle:Nobr 		329
? 		2,45
2,41 		Auray
Le Faouët 		601
186 		6,32
2,59 		9 > 3 425 5,27 0
1974 (partielle)
<ref group="PPN">Modèle:Article.</ref> 		X X X X Le Faouët 203 3,11 1 203 3,11 0
1973
<ref name="mon18" group="M">Modèle:Harvsp.</ref> 		Modèle:Nobr ? 3,7 Brest-I
Brest-IV
Modèle:Nobr 		?
?
? 		5,9
6,2
3,8 		Rennes-X ? 3,6 Nantes-V
Nantes-VI 		?
? 		2,7
3,1 		Lorient-I ? 6,7 8 ? 4,45 0
1970 Ø Ø Ø Ø Ø - - - -
1967 Ø Ø Ø Ø Ø - - - -
1964 Ø Ø Ø Ø Ø - - - -

Modèle:Boîte déroulante fin

Élections régionales

Modèle:Boîte déroulante début

<ref name="interieur" group="SI" />, <ref name="pas123" group="P" /> 1986
<ref group="Note">Candidature commune UDB-PSU-Skol an emsav sous le rassemblement « Kemper Breizh - Convergence bretonne ». Listes intitulées « Vivre et décider en Bretagne » dans la région Bretagne et « Convergence démocratique et socialiste » dans la Loire-Atlantique.</ref> 		1992
<ref group="Note">Candidature commune UDB-POBL. Liste intitulée « Peuple breton, peuple d'Europe ».</ref> 		1998
<ref group="Note">Candidature autonome UDB. Liste intitulée « Réussir ensemble la Bretagne ».</ref> 		2004
<ref group="Note">Candidature commune Les Verts-UDB-Frankiz Breizh.</ref> 		2010
<ref group="Note" name="EELV-UDB" /> 		2015
<ref group="Note">Candidature commune UDB-MBP. Liste intitulée « Oui la Bretagne - Breizh evel just ».</ref> 		2021
<ref group="Note">Candidature commune EELV-UDB. Liste intitulée « Bretagne d'avenir - Dazont Breizh ».</ref>
Voix % Voix % Voix % Voix % Voix % Voix % Voix %
Côtes-d'Armor (22) 7 729 2,39 6 381 2,23 10 329 4,08 26 870 9,78 41 927 17,21 15 911 6,64 30 740 17,51
Finistère (29) 9 250 1,97 8 310 2,03 9 979 2,77 38 202 9,67 56 068 16,29 36 159 10,63 49 968 20,44
Ille-et-Vilaine (35) 1 500 0,38 6 062 1,72 7 807 2,52 39 459 10,54 64 682 19,36 12 431 3,68 59 244 23,56
Loire-Atlantique (44) 5 060 1,01 7 685 1,68 10 383 2,47 Pas de liste Pas de liste 12 497 2,67<ref group="Note">Candidature commune UDB-MBP-Breizhistance-Parti breton. Liste d'union du mouvement breton intitulée « Choisir nos régions et réunifier la Bretagne ». Résultats dans les autres départements de la région Pays-de-la-Loire : Maine-et-Loire, Modèle:Nombre (0,40 %) ; Mayenne, Modèle:Nombre (0,64 %) ; Sarthe, Modèle:Nombre (0,66 %) ; Vendée, Modèle:Nombre (0,27 %).</ref> 55 440 18,00<ref group="Note">Candidature d'union de la gauche (dont 3 UDB) face à, entre autres, une liste EELV-LFI qui obtiendra 22,71 % et mènera la liste rassemblée au Modèle:2nd tour (dont 1 UDB), sans succès face à la droite.</ref>
Morbihan (56) 6 672 2,02 8 086 2,69 10 835 3,87 26 990 8,65 44 758 16,44 16 226 5,71 36 815 18,15
Total Bretagne 30 211 1,55 36 524 2,07 49 333 3,14 131 521 9,70 207 435 17,37 93 224 5,58 176 767 20,22
Nombre de sièges 0 0 0 3 4 0 4

Modèle:Boîte déroulante fin

Élections législatives

Modèle:Boîte déroulante début

1967 1968 1973<ref name="mon17" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="pb114" group="PB">Modèle:Article.</ref> 1978<ref name="mon24" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" />, <ref name="pb173" group="PB">Modèle:Article.</ref> 1981<ref name="mon28" group="M">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 1986<ref name="pas122" group="P">Modèle:Harvsp.</ref>, <ref name="TERE" group="EL" /> 1988<ref name="pas122" group="P" /> 1993<ref name="pas122" group="P" />, <ref name="mon38" group="M" /> 1997<ref name="pas122" group="P" />, <ref name="mon39" group="M">Modèle:Harvsp.</ref> 2002<ref name="TERE" group="EL" />, <ref name="interieur" group="SI" /> 2007<ref group="SP">Modèle:Lien web.</ref>, <ref name="interieur" group="SI" /> 2012<ref name="interieur" group="SI" /> 2017<ref group="PB">Modèle:Article.</ref> 2022<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>
Côtes-d'Armor (22)
[[Première circonscription des Côtes-d'Armor|Modèle:1re circ.]] Ø Ø Ø 1,15 Ø Pas de liste
<ref group="Note">Les élections législatives de 1986 adoptent un mode de scrutin proportionnel dans un cadre départemental.</ref> 		Ø Ø 2,20 1,53 Ø 5,66 2,19 1,65
[[Deuxième circonscription des Côtes-d'Armor|Modèle:2e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 0,93 Ø Ø 1,04 Ø
[[Troisième circonscription des Côtes-d'Armor|Modèle:3e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 1,01 Ø Ø 0,98 Ø
[[Quatrième circonscription des Côtes-d'Armor|Modèle:4e circ.]] Ø Ø Ø 1,65 2,42 Ø Ø 2,20 2,23 4,93 Ø 2,16 1,49
[[Cinquième circonscription des Côtes-d'Armor|Modèle:5e circ.]] Ø Ø Ø 2,75 3,92 Ø 2,11 3,11 2,23 2,20 2,18 2,32 2,13
Finistère (29)
[[Première circonscription du Finistère|Modèle:1re circ.]] Ø Ø Ø 2,05 Ø Pas de liste Ø Ø Ø 1,31 Ø Ø 2,03 2,47
[[Deuxième circonscription du Finistère|Modèle:2e circ.]] Ø Ø 2,51 2,55 3,37 Ø Ø 1,88<ref group="Note" name="frankiz" /> 1,32 1,25<ref group="Note" name="frankiz" /> 1,57 1,06 2,01
[[Troisième circonscription du Finistère|Modèle:3e circ.]] Ø Ø 2,95 3,48 3,29 Ø Ø 1,48<ref group="Note" name="frankiz" /> 1,17<ref group="Note" name="frankiz" /> Ø Ø Ø Ø
[[Quatrième circonscription du Finistère|Modèle:4e circ.]] Ø Ø Ø 1,40 Ø Ø Ø 2,00 1,11 Ø Ø 1,63 2,21
[[Cinquième circonscription du Finistère|Modèle:5e circ.]] Ø Ø Ø Ø 2,77 Ø Ø Ø 1,55<ref group="Note" name="frankiz" /> Ø Ø 2,83 3,33
[[Sixième circonscription du Finistère|Modèle:6e circ.]] Ø Ø Ø 3,44 3,09 Ø Ø 3,20 11,28 12,41 Ø 13,88 3,05
[[Septième circonscription du Finistère|Modèle:7e circ.]] Ø Ø Ø 1,84 3,06<ref group="Note">Candidature commune PSU-UDB<ref group="N">Modèle:Harvsp.</ref>.</ref> Ø Ø Ø 1,30 Ø Ø 2,75 4,76
[[Huitième circonscription du Finistère|Modèle:8e circ.]] Ø Ø Ø 2,29 1,59 Ø Ø 2,22 1,48 2,98 1,27 2,30 Ø
Ille-et-Vilaine (35)
[[Première circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:1re circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Pas de liste Ø Ø Ø 0,60 Ø Ø 0,74 2,11
[[Deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:2e circ.]] Ø Ø 1,06 1,54 1,08 Ø Ø Ø 0,87 Ø Ø 1,18 2,11
[[Troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:3e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø 1,40 1,50 0,78 Ø 0,91 0,57 Ø
[[Quatrième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:4e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 2,33 2,17 Ø 4,46<ref group="Note">Candidature commune Breizhistance-UDB.</ref> Ø 1,61
[[Cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:5e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 0,90 3,57 Ø 0,57 Ø
[[Sixième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:6e circ.]] Ø Ø Ø 1,11 1,47 Ø Ø Ø 1,47 Ø Ø 0,84 Ø
[[Septième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:7e circ.]] (créée en 1986) X X X X X Ø 2,09 2,22 1,44 2,97 Ø 0,74 1,29
[[Huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:8e circ.]] (créée en 2012) X X X X X X X X X X X Ø 0,70 1,75
Loire-Atlantique (44)
[[Première circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:1re circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Pas de liste Ø 1,89 Ø 0,74 1,08 Ø 0,84 Ø
[[Deuxième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:2e circ.]] Ø Ø 0,80 0,81 0,96 Ø Ø 1,20 0,76 0,79 Ø 0,51 Ø
[[Troisième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:3e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 1,30 0,95 Ø Ø 0,98 2,73
[[Quatrième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:4e circ.]] Ø Ø Ø Ø 1,88 Ø Ø Ø 0,68 Ø 2,26 0,69 Ø
[[Cinquième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:5e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 1,35 1,16 Ø 1,02 1,03 Ø
[[Sixième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:6e circ.]] Ø Ø Ø Ø 1,53 Ø Ø 1,63 0,99 0,82 Ø 1,01 Ø
[[Septième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:7e circ.]] Ø Ø Ø 0,67 Ø<ref group="Note">Dans l'ouvrage de J.-J. Monnier édité en 1998, il est mentionné une candidature dans la circonscription de Guérande or la base de données TERE ne fait mention ni d'une candidature UDB ni d'ailleurs d'une candidature PSU.</ref> Ø 1,32 1,10 1,62 0,81 Ø 1,44 Ø
[[Huitième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:8e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 1,19 1,29 0,89 Ø 1,23 1,42
[[Neuvième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:9e circ.]] (créée en 1986) X X X X X Ø Ø Ø 0,89 Ø Ø 0,56 Ø
[[Dixième circonscription de la Loire-Atlantique|Modèle:10e circ.]] (créée en 1986) X X X X X Ø Ø 1,09 0,67 0,72 Ø 1,24 Ø
Morbihan (56)
[[Première circonscription du Morbihan|Modèle:1re circ.]] Ø Ø Ø Ø 1,33 1,17 Ø Ø 2,17 1,69 1,51 Ø 0,97 1,06
[[Deuxième circonscription du Morbihan|Modèle:2e circ.]] Ø Ø Ø 1,24 Ø Ø Ø 2,36 1,38 Ø Ø 1,82 1,79
[[Troisième circonscription du Morbihan|Modèle:3e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø Ø 2,35 1,23 4,25 Ø 1,56 1,92
[[Quatrième circonscription du Morbihan|Modèle:4e circ.]] Ø Ø Ø Ø Ø Ø 7,43 1,91 1,19 Ø 26,04<ref group="Note">Candidature commune UDB-EELV-PS.</ref> Ø Ø<ref group="Note">Paul Molac, candidat sans étiquette pour la fédération RPS dans la Modèle:4e du Morbihan, est soutenu par l'UDB et soutient les autres candidats RPS-UDB en Bretagne. Il obtient au Modèle:1er tour 37,65 % (Modèle:Nombre).</ref>
[[Cinquième circonscription du Morbihan|Modèle:5e circ.]] Ø Ø Ø 1,86 2,15 Ø Ø 2,51 1,35 1,45 2,01 2,20 3,31
[[Sixième circonscription du Morbihan|Modèle:6e circ.]] Ø Ø 3,20 1,88 1,43 Ø Ø 2,31 1,82 Ø Ø 7,56 4,19
Total Bretagne
Nombre de candidats 0 0 5 17 16 - 0 6 24 36 16 10 34<ref group="Note">Trois candidatures sont également portées hors-Bretagne, dans la [[Première circonscription du Nord|Modèle:1e]] de Lille (0,14 %), la [[Douzième circonscription de Paris|Modèle:12e]] de Paris (0,17 %) et la [[Deuxième circonscription de Seine-et-Marne|Modèle:2e]] de Fontainebleau (0,21)<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>.</ref> 21
Nombre de voix - - 6 062 20 575 20 715 3 878 - 8 776 24 960 31 195 24 699 27 066 32 422 23 290
Moyenne - - 2,10 % 1,87 % 2,20 % 1,17 % - 2,71 % 1,97 % 1,53 % 2,66 % 4,74 % 1,84 % 2,30 %
Nombre de sièges 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1<ref group="Note">Paul Molac, candidat de la Modèle:4e du Morbihan, est élu au Modèle:2nd tour à 52,56 % (Modèle:Nombre).</ref> 0 0

Modèle:Boîte déroulante fin

Élections sénatoriales

Modèle:Boîte déroulante début

<ref name="interieur" group="SI" />, <ref name="politiquemania" group="SI">Modèle:Lien web.</ref> 1965
(série B) 		1971
(série A) 		1974
(série B) 		1980
(série A) 		1983
(série B) 		1989
(série A) 		1992
(série B) 		1998
(série A) 		2001
(série B) 		2008
(série A) 		2011
(série 1) 		2014<ref name="pb112014p07" group="PB">Modèle:Article.</ref>
(Série 2) 		2017
(série 1) 		2020<ref name="marianne.net">Modèle:Lien web.</ref>
(série 2) 		2023
(série 1)
Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		% Grands
électeurs 		%
Côtes-d'Armor (22) X ? ? X ? ? X 31 1,98 X 33 2,11 X 46 2,87 X 38 2,30 X 159 9,33 X
Finistère (29) X ? ? X ? ? X 78 3,85 X 37 1,81 X 164 7,86 X 38 1,70 X 195 8,50 X
Ille-et-Vilaine (35) X ? ? X ? ? X Ø - X 24 1,23 X Ø - X 37 1,51 X 508 19,86<ref group="Note">La liste EELV-UDB-ND remporte 1 siège au profit de EELV. L'UDB y est en troisième position, devant [Nouvelle donne].</ref> X
Loire-Atlantique (44) Ø - X ? ? X 26 1,25 X 108 5,01<ref group="Note">Candidature commune Génération écologie-Les Verts-UDB<ref group="SI">Modèle:Lien web.</ref>.</ref> X 24 1,03 X Ø - X ? ? X Ø -
Morbihan (56) Ø - X ? ? X Ø - X Ø - X 24 1,47 X 38 2,19 X ? ? X Ø -
Nombre de sièges 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
Les élections sénatoriales de 1968, 1977, 1986, 1995 et 2004 (scrutins de séries C) n'ont pas concerné les départements bretons.

Modèle:Boîte déroulante fin

Élections européennes

Modèle:Boîte déroulante début

<ref name="interieur" group="SI" /> 2014<ref name="pb062014p8" group="PB">Modèle:Article.</ref> 2019<ref group="Note">Candidature commune EELV, Alliance écologiste indépendante (AEI) et RPS. Lydie Massard est la première UDB sur la liste, en Modèle:14e position sur 79.</ref>
Voix % Voix %
Côtes-d'Armor (22) 4 319 2,07 35 297 14,36
Finistère (29) 5 648 1,91 58 810 16,47
Ille-et-Vilaine (35) 5 313 1,75 68 529 18,06
Loire-Atlantique (44) 5 808 1,40 95 070 18,92
Morbihan (56) 6 097 2,45 45 909 15,08
Total Bretagne 27 185 1,77 303 615 16,578
Total circonscription Ouest 27 432 1,01 Ø<ref group="Note">En 2019, la France est revenue à une circonscription nationale unique au lieu des circonscriptions interrégionales<ref group="SI">Modèle:Lien web.</ref>.</ref>
Nombre de sièges 0 1

Modèle:Boîte déroulante fin

Édition

Presses populaires de Bretagne

Logo des Presses populaires de Bretagne
Le logo de la maison d'édition a été créé en janvier 2018.

Après plusieurs années de publications sous son propre nom, l'Union démocratique bretonne structure son édition en fondant les Presses populaires de Bretagne (PPB), une association loi de 1901 officiellement créée en Modèle:Date-. Basée à Saint-Brieuc, les Presses populaires de Bretagne sont une maison d'édition distincte du parti qui publie un magazine d'actualité et des ouvrages thématiques. En 2018, le président de l'association est Benoît Montagné<ref name="ppb" group="EL">Modèle:Lien web.</ref>, <ref group="SI">Modèle:Lien web.</ref>, <ref group="Note">Site officiel des Presses populaires de Bretagne : www.pressespopulaires.bzh</ref>.

Magazine Le Peuple breton

Modèle:Article détaillé Le Peuple breton est un magazine d'actualité mensuel fondé en 1964 lors de la constitution de l'UDB. Si aujourd'hui encore le magazine dépend financièrement du parti politique, la majeure partie de sa rédaction n'en est pas membre et ses colonnes sont ouvertes à d'autres courants de pensées. Média généraliste, Le Peuple breton reste toutefois un magazine d'opinion qui entend proposer à ses lecteurs de « regarder et comprendre le monde à partir de la Bretagne ». Classé en presse périodique régionale (PPR), il a publié son numéro 600 en Modèle:Date-. D'un quatre pages noir et blanc au format tabloïd à ses débuts, il est passé au format A4 dans les années 1970, à la couleur dans les années 1990 et propose aujourd'hui 36 pages à ses lecteurs. Il est composé d'un cahier interne intitulé Modèle:Lang qui propose au lecteur entre 4 et 8 pages d'articles en breton. Imprimé à Modèle:Unité au plus fort de son succès, son tirage mensuel moyen s'élève en 2013 à Modèle:Unité<ref group="Note">Texte tiré de l'article Le Peuple breton.</ref>.

Ouvrages thématiques

En parallèle du mensuel, plusieurs brochures et des revues thématiques ont été éditées par le parti et par les Presses populaires de Bretagne :

Rencontre littéraire à la Cité du livre pour le Modèle:40e

Le Modèle:Date-, sur l'invitation de l'association culturelle Modèle:Lang implantée à Bécherel, et qui est à l'origine de la Cité du livre, l'Union démocratique bretonne propose à l'occasion de ses Modèle:Nombre une rencontre littéraire sur le thème « Écrivains, politique et écriture ». L'idée est de réunir des auteurs membres de l’UDB, qui l’ont été ou s’en sentent proches, autour de tables rondes présidées par la militante Anne-Marie Kervern-Quefféléant et l'ancien président de l'université Rennes 2, Michel Denis. Ce moment d’échange et de réflexion rassemble trois cents visiteurs autour d'une cinquantaine d'auteurs et d'universitaires<ref group="PB">Modèle:Article.</ref>, <ref>Modèle:Lien web.</ref> :
Herri ar Borgn, Herve Ar Gall, Hervé Bellec, Georges Cadiou, Hervé Carn, Jean-Christophe Cassard, Guy Castel, Raymond Chermat, René Cloitre, Paolig Combot, Michel Demion, Michel Denis, Roger Faligot, Francis Favereau, Roger Gicquel, Daniel Giraudon, Christian Guyonvarc'h, Kristian Hamon, Angèle Jacq, Alain Kervern, Anne-Marie Kervern, Jean Kergrist, Ronan Larvor, Yves Le Bahy, Per Le Bihan, Loeiz Le Bec, Jean-Loup Le Cuff, Annaig Le Gars, Yann Meur, Paol ar Meur, Ronan Leprohon, Jacques Lescoat, Jean-Pierre Letort-Trégaro, Mirzhin, Jean Moign, Jean-Jacques Monnier, Ricardo Montserrat, André Morvan, Michel Nicolas, le dessinateur Nono, Fañch Olivier, Jean-Charles Perazzi, Fañch Peru, Yann-Ber Piriou, André Pochon, Gérard Prémel, Pascal Rannou, Gilles Servat ainsi que Colette Trublet, la fondatrice de l'association Modèle:Lang.

Colloque à Sciences-Po Rennes et deux livres pour le Modèle:50e

Les 4 et Modèle:Date-, les politologues Tudi Kernalegenn et Romain Pasquier — avec le soutien du Centre de recherches sur l'action politique en Europe (CRAPE) et du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC) — organisent à l'Institut d'études politiques de Rennes une conférence intitulée : « L’Union démocratique bretonne, un parti autonomiste dans un État unitaire »<ref group="SI">Modèle:Lien web.</ref>. Ouvert au grand public, ce colloque réunit dix-neuf chercheurs en histoire, science politique ou sociologie provenant de Bretagne mais aussi de Belgique, d'Italie ou d'Espagne. Organisé dans une période où les questions de diversité linguistique et de décentralisation sont d'actualité en France, cet événement permet de poser un premier regard scientifique sur l'UDB et favorise le débat pour comprendre davantage la société bretonne et ses aspirations régionalistes<ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>, <ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>, <ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>, <ref group="SA">Modèle:Lien web.</ref>. Les actes de conférence sont publiés aux Presses universitaires de Rennes en Modèle:Date-, cinquante ans tout juste après la création du parti<ref name="Telegramme21102014">Modèle:Article.</ref>.

À l'occasion de ce cinquantenaire, un second ouvrage est publié en Modèle:Date-, cette fois-ci aux éditions Yoran Embanner : Histoire de l’Union démocratique bretonne : Modèle:Nombre de luttes. Ce livre est, selon le journaliste Christian Le Meut, Modèle:Citation des actes de conférences parus quelques mois plus tôt. Il est l'œuvre de deux historiens proches du parti, Jean-Jacques Monnier et Lionel Henry (aidés par Yannick Quénéhervé pour l'iconographie), qui proposent une restitution de l'histoire parfois mouvementée de l'UDB avec, dans un premier temps, une étude chronologique, puis une étude thématique<ref name="Telegramme21102014" />,<ref group="PPR">Modèle:Article.</ref>.

Notes

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Références

Livres

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  • Autres ouvrages

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Périodiques

  • Articles du magazine Le Peuple breton

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  • Autre presse périodique régionale

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  • Presse périodique nationale et internationale

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Audiovisuel

  • Archives de l'institut national de l'audiovisuel (INA)

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  • Autres supports audiovisuels

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Internet

  • Presse en ligne

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  • Sites institutionnels

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  • Sites politiques

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  • Autres sites

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Voir aussi

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Bibliographie

Ouvrages généralistes

Ouvrages universitaires

Ouvrages historiques

Ouvrages thématiques

Autobiographies

Articles connexes

Liens externes

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