Montfort-sur-Meu

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Modèle:Infobox Commune de France

Montfort-sur-Meu est une commune française située sur le Meu dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne. peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année, légale en {{#expr:Modèle:Population de France/dernière année+3}}.</ref> pour une superficie de Modèle:Unité.

Montfort-sur-Meu fait partie de la communauté de communes du pays de Montfort (8 communes), et du pays de Brocéliande (4 Intercommunalités). Montfort-sur-Meu est le chef-lieu du canton de Montfort-sur-Meu (15 communes à la suite du redécoupage, avec une partie de la Communauté de Communes de Brocéliande).

Géographie

Situation

Modèle:... Dans le Grand-Ouest de la France, en Bretagne, dans le département d'Ille-et-Vilaine, la ville de Monfort-sur-Meu est située à Modèle:Unité à l'ouest de Rennes, la préfecture départementale et régionale.

Côté centre-est de la Bretagne, elle est traditionnellement comprise dans le PorhoëtModèle:Référence nécessaire.

Les communes limitrophes sont Breteil, Iffendic, Talensac et Bédée.

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 35188.png
Carte de la commune de Montfort-sur-Meu.

Géographie physique

Modèle:... La commune est située à Modèle:Unité d'altitude, aux frontières nord de la forêt de Paimpont (assimilée à Brocéliande, son ancien nom). La région, aujourd’hui bocagère, était autrefois recouverte par un immense massif forestier.

La ville est située à la confluence du Meu et du Garun<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Les carrières locales sont composées de schiste pourpré et ardoisier et de poudingue, ce qui donne une polychromie à l'architecture du pays de Montfort.

Cadre géologique

Fichier:Geologic map Armorican Massif FR.svg
Carte géologique du Massif armoricain.

Modèle:Article connexe Montfort-sur-Meu se situe dans la région de Pont-Péan, localisée dans le domaine centre armoricain<ref>Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel Ballèvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31</ref>, dans la partie médiane du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum Modèle:Unité), caractérisé par des surfaces d'aplanissement et qui résulte d'une histoire complexe composée de trois orogenèses : icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma)<ref>Modèle:YouTube.</ref> et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma)<ref>Modèle:YouTube.</ref>. La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage<ref>L'orogenèse cadomienne est marquée au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° à N 85° et quelques autres issus de failles associées). L'orogenèse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (séparant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le Léon), des groupes de failles N 20° à N 40 °, et des directions N140 à N160, héritées du pré-rifting atlantique avorté du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracé de nombreux plateaux et côtes. Cf Paul Bessin, « Évolution géomorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thèse Sciences de la Terre. Université Rennes 1, 2014, p. 98 ; Modèle:Article.</ref> de ces deux derniers orogènes<ref>Modèle:Article.</ref>.

Modèle:Quoi est situé dans un vaste bassin sédimentaire constitué de sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion de la chaîne cadomienne et accumulés sur plus de Modèle:Unité d'épaisseur, socle sur lequel repose en discordance des formations paléozoïques sédimentaires<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le territoire montfortais s’étend sur une seule entité géologique, le synclinal de Paimpont-Guichen qui fait partie de la partie nord-ouest d’une grande unité sédimentaire qui a été déformée par des plissements au Paléozoïque, le synclinorium de Martigné-Ferchaud<ref>Carte du Massif armoricain avec les affleurements paléozoïques dans les différents synclinaux, d’après Modèle:Article.</ref> (« synclinaux du sud de Rennes »)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Dans cette unité synclinoriale du Sud de Rennes proprement dite, à structure appalachienne, la sédimentation paléozoïque débute par la mise en place de matériel détritique de couleur rouge, la formation ordovicienne de Pont-Réan, caractérisée notamment par le faciès basal de type Montfort (connu sous le nom de Poudingue de Montfort). Il correspond à la transgression ordovicienne qui débute parfois par un conglomérat polygénique discontinu, d'épaisseur variable (quelques mètres au maximum), empruntant l'essentiel de son matériel au substrat briovérien : galets (de grès, wackes quartzeuses, siltstones, avec des grains de quartz, phtanite, microquartzite) Modèle:Citation.

Transports

Fichier:Gare SNCF Montfort sur Meu Voies.JPG
La gare TER.

Climat

Le climat est océanique, avec un été tempéré.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Montfort-sur-Meu est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfort-sur-Meu, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), zones urbanisées (19,9 %), terres arables (12,5 %), prairies (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Monsfortis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Montfort-sur-Meu est une formation toponymique médiévale en Mont- suivie de l'adjectif fort au sens de « fortifié ».

Durant la Révolution française, la commune jusqu'alors dénommée Montfort-la-Cane porte le nom de Montfort-la-Montagne<ref name="Cassini"/>.

Histoire

Préhistoire

La présence humaine sur le territoire de Montfort-sur-Meu est attesté dès la fin de la Préhistoire ; en témoigne son patrimoine mégalithique, dont les alignements de la Harelle, l'allée couverte de Beauregard, le menhir de la lande de Coulon et les mégalithes du Bois du Buisson.

Époque gallo-romaine

Le territoire de la commune est occupé durant la période gallo-romaine, comme en témoignent la découverte d'un gisement de tegulae au lieu-dit des Batailles, et de deux trésors monétaires datés respectivement du Haut et du Bas-Empire au Prélong. Une voie romaine reliant Rennes et Carhaix traversait le territoire qu’occupe actuellement la commune d'est en ouest, escaladant les Buttes de la Harelle pour déboucher sur le bois du Buisson, avant de redescendre sur le bassin d'Iffendic<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Moyen Âge

Montfort de Bretagne fut choisi, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en raison de ses qualités stratégiquesModèle:Référence souhaitée, par Modèle:Souverain3, qui y fit construire son château pour des atouts défensifs, puis érigea une motte féodale sur une butte naturelle qu'il surélève de Modèle:Unité de hauteur avec les déblais provenant du creusement du fossé<ref name="Mengus_2021">Modèle:Ouvrage.</ref>, dominant les rivières du Meu et du Garun. Le donjon en pierre est dressé vers 1091<ref name="Mengus_2021"/>.

De 1376 à 1389, la forteresse est reconstruite par Modèle:Souverain2 et elle est entourée de quatre tours d'angle (elle est détruite en 1627). La ville est consolidée par des murailles. Les habitants entrent dans la ville par trois portes : la porte Saint-Jean, la porte de Coulon et la porte Saint-Nicolas. En avant de chaque porte, un faubourg se développe : Saint-Jean au nord-ouest, Saint-Nicolas à l'est et Coulon au sud.

La maison de Montfort de Bretagne (ne pas confondre avec les Montfort, ducs de Bretagne, issus des Yvelines) accéda à la baronnie puis comté de Laval par le mariage en 1405 de [[Guy XIII de Laval|Jean de Montfort (Modèle:Souverain-)]] (1385-1414 ; fils de Modèle:Souverain2 et petit-fils de Modèle:Souverain-) avec l'héritière Anne de Laval (1385-1466) : parents de [[Guy XIV de Laval|François de Montfort (Modèle:Souverain-)]] (1406-1486), Modèle:1er comte de Laval en 1429, d'où la troisième maison de Laval.

Époque moderne

Modèle:…

Révolution française

Fichier:Vieilles maisons à Montfort.jpg
Vieilles maisons à Montfort-sur-Meu vers 1900 (lithographie d'Albert Robida).
Fichier:Montfort-sur-Meu La prison.jpg
La prison de Montfort-sur-Meu vers 1900 (lithographie d'Albert Robida).

Le dimanche Modèle:Date, Montfort est assiégé par une bande de paysans armés<ref>Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

La population est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l'anarchie, fêtée à partir de 1795<ref>Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », dans Annales de Bretagne, Modèle:Vol., Modèle:T., 1905, p. 398–399</ref>. La fondation de la Ire{{#if:|  }} République est aussi fêtée tous les ans<ref>Dubreuil, ibid., Modèle:P..</ref>.

Le général Vachot écrit le Modèle:Date au Comité de salut public de Segré : « J'ai exterminé et presque entièrement détruit les Chouans qui ravageaient les districts de Broons, Saint-Méen, Montfort, Châteaubourg, Vitré, La Guerche, etc. »<ref>A. Rebière, Notrs sur les généraux Vachot : François Vachot, "Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze", 1899, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453869s/f68.image.r=Ch%C3%A2teaubourg</ref>.

En Modèle:Date-, une bande de chouans conduite par de Boulainvilliers coupa les Arbres de la liberté dans les paroisses autour de Montfort, Josselin et Ploërmel<ref>Jean Gallet, "Les paysans en guerre", éditions Ouest-France, 1988 Modèle:ISBN.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La ville devient au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous-préfecture d'Ille-et-Vilaine, de ce fait Montfort s’agrandit et effectue des travaux de grande ampleur, mais beaucoup d’édifices, comme la tour Saint-Nicolas, sont détruits.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

Fichier:Les bords du Meu vers 1905.jpg
Les bords du Meu au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Monfort-sur-Meu porte les noms de Modèle:Nobr morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref name="+1">Modèle:Lien web.</ref>.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Monfort-sur-Meu porte les noms de Modèle:Nobr mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name="+1" />.

Étienne Maurel, secrétaire de mairie et chef de la musique municipale, organisa dès juin 1940 un groupe de résistants, connu sous le nom de réseau Maurel<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Monfort-sur-Meu, en liaison avec des résistants rennais, notamment Victor Janton, professeur (arrêté le Modèle:Date-), et des étudiants ; ils créèrent un journal clandestin : La Bretagne enchaînée, diffusé à Modèle:Nobr exemplaires. Alain de Kergorlay<ref>Modèle:Lien web.</ref> est parachuté de Londres en octobre 1941 et Pierre Moureaux (alias Pierre Cazin)<ref>Pierre Moureaux, né le Modèle:Date- à Nancy, décédé le Modèle:Date- à Allach (Allemagne)</ref> en décembre 1941 pour renforcer le groupe Maurel, disposant notamment de deux postes émetteurs. Ils participent à partir de 1942 à des groupes de combat, réceptionnant notamment le premier parachutage d'armes organisé en Ille-et-Vilaine dans la nuit du 1er au Modèle:Date-. Étienne Maurel est arrêté le Modèle:Date-.

Une plaque commémorative rappelle le souvenir d'Étienne Maurel, mort pour la France en déportation au camp de concentration de Natzweiler-Struthof le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. D'autres membres de ce groupe de résistants sont morts en déportation ou tués par les Allemands : André Ménard<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Louis et Pierre Normand<ref>Louis Normand, né le Modèle:Date- à Morlaix et mort le Modèle:Date- à Paris et mort le Modèle:Date- au camp de concentration de Natzweiler-Struthof, et son frère Pierre Normand, né le Modèle:Date- à Morlaix et mort le Modèle:Date- à Paris</ref> et Gabriel de Cyresme<ref>Gabriel de Cyresme, né le Modèle:Date- au château du Pin en Iffendic, mort le Modèle:Date- au camp de concentration de Mauthausen</ref>,<ref>Alain Lefort et Bernard Lucas, "Les hauts lieux de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 1991</ref>.

La ville fut très touchée par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, d'où des secteurs regroupant quasi exclusivement des constructions du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

La légende de la Cane

Cette légende se transmet de génération en génération depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

  • Dans une version, la légende raconte qu'une jeune fille d'une beauté sans pareille aurait été enfermée dans le château par le seigneur de Montfort. Elle pria alors saint Nicolas pour qu'il puisse la sauver. Saint Nicolas ayant entendu sa prière, transforma la jeune fille en cane. Elle put alors s'échapper du château.
    Par la suite, et pendant plusieurs siècles une cane sauvage venait tous les ans, aux environs de la Saint-Nicolas, dans l'église et y déposait un de ses canetons en offrande au thaumaturge.
  • Dans la seconde version, l'histoire dit que vers 1386, lors de l'achèvement des fortifications de la ville, le seigneur aurait enfermé dans son château une jeune fille d'une beauté remarquable. Elle comprit bien vite le sort qui lui était réservé, et, apercevant l'église de Saint-Nicolas, elle se mit à prier le saint, promettant qu'elle viendrait le remercier dans son église si elle s'échappait. Le soir même, elle put fuir.
    Malheureusement, elle tomba entre les mains des soudards du seigneur, qui voulurent lui faire subir ce qu'ils supposaient qu'avait fait leur maître. Elle regarda aux alentours pour appeler à l'aide, mais n'aperçut que deux canes sauvages dans l'eau de l'étang (étang qui a été asséché depuis).
    Elle renouvela sa prière à saint Nicolas, le suppliant de permettre que ces animaux soient témoins de son innocence et qu'ils accomplissent chaque année son vœu en son nom si elle venait à perdre la vie.
    Elle réussit à échapper aux soldats, mais mourut peu après, de frayeur, dit-on. Elle fut ensevelie dans le cimetière Saint-Nicolas.
    Or, voilà que la même année, lors de la fête de la Translation, alors que la foule se pressait auprès des reliques de saint Nicolas, une cane sauvage pénétra avec ses canetons dans l'église. Elle voltigea près de l'image du Saint, vola jusqu'à l'autel, et salua le crucifix. Puis elle redescendit vers l'image du Saint, et y demeura jusqu'à la fin de la messe. À ce moment, elle s'envola, suivie de tous ses canetons, à l'exception d'un seul, qui demeura dans l'église.
  • L'histoire devint si célèbre que, comme l'attestent de nombreux documents au cours des siècles, Montfort-sur-Meu fut appelé Montfort-la-Cane pendant plus de 300 ans. Les apparitions sont consignées dans les procès-verbaux plusieurs fois. La dernière apparition de la cane date du Modèle:Date. Toutefois, comme seules les archives postérieures au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont pu être conservées, il manque énormément de témoignages, même si, comme le dit un ecclésiastique, Modèle:Citation.
  • L'histoire de la cane a été représentée sur un vitrail qui se trouvait sur la commune de Priziac. Vitrail déposé avant la guerre 1939-1945 et se retrouvant actuellement à Trizac .https://www.ouest-france.fr/bretagne/les-plus-vieux-vitraux-du-cantal-sont-morbihannais-4880684 https://www.lamontagne.fr/trizac/insolite/religion-spiritualite/2017/04/29/du-morbihan-au-cantal-la-drole-d-epopee-des-vitraux-de-trizac_12383123.html

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blasonnement

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie

La vie économique de Montfort-sur-Meu repose essentiellement sur l'industrie agro-alimentaire dans les secteurs à dominante lait et porc. Deux entreprises en sont les piliers : la Cooperl (abattoirs, environ 400 salariés) et le Grand Saloir Saint-Nicolas (salaisons et charcuteries).

Montfort-sur-Meu se caractérise également par son activité marchande très active : commerces divers répondant à tous les besoins courants, activités artisanales et services, répartis en centre-ville et dans les zones artisanales périphériques.

Tourisme

La gestion du tourisme à Montfort-sur-Meu est confiée par Montfort Communauté à l'office de tourisme du pays de Montfort.

Montfort-sur-Meu dispose également d'établissements d'hôtellerie, de restauration et d'un camping.

Un marché anime la place des Douves chaque vendredi matin.

Deux fois par an, une foire est organisée par l'Association des commerçants et artisans (l'APCAM) : la Saint-Jean en juin et la Saint-Nicolas en décembre.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:Article détaillé Depuis la Libération, huit maires se sont succédé à la tête de la commune :

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Le tribunal de grande instance a été supprimé à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et la juridiction compétente est le tribunal de Rennes.

Vie de la commune

Enseignement

  • École du pays pourpré (public) (ancien nom : école rue de Gaël).
  • École du Moulin-à-Vent (public).
  • École Notre-Dame (privé).
  • Collège Louis-Guilloux (public).
  • Collège Saint-Louis-Marie (privé).
  • Lycée René-Cassin (public, enseignement général et technologique).

Sport et loisirs

Clubs

On trouve à Montfort les clubs suivants :

  • canoë-kayak : le Canoë Kayak Pays de Brocéliande (CKPB), avec un double champion du monde junior de canoë slalom, un champion d'Europe -23 ans par équipe en kayak slalom, une équipe de kayak polo en Modèle:1re ;
  • football : le FC Montfort, les couleurs sont le jaune, rouge et noir ;
  • basketball : le MBC, Montfort Basket Club, organisant en mai son festival, depuis 1987. Les couleurs sont le bleu ciel et le blanc ;
  • tennis : Tennis Club Brocéliande (TCB) ;
  • tennis de table : Le Montfort TT, les garçons sont en Nationale 3 et les filles ont été jusqu'en Nationale 1 ;
  • handball : Brocéli'hand club ;
  • football américain : Les Wild Hogs ;
  • gymnastique volontaire, présidente Marion Renault ;
  • plongée : Brocéliande Sports Subaquatiques ;
  • pétanque : La Pétanque Montfortaise ;
  • badminton : Le volant enchanteur ;
  • Le Cercle Montfortais : théâtre, danse traditionnelle bretonne (enfants, loisir et chorégraphique), musique bretonne (bagad), accordéons, cours de breton ;
  • Jeux traditionnels de Pays : Boules Bretonnes ;
  • activités ludiques : la Forge Naine ;
  • multisports : Sports Loisirs Brocéliande (création 2021).

Équipements

  • COSEC (1 salle omnisports - 1 dojo - 1 salle de tennis de table- ; sport de combat).
  • Charlet (2 terrains de hand ; 3 terrains de basket ; 1 terrain de tennis; 4 terrains de badminton).
  • Batailles (2 terrains de hand ; 3 terrains de basket ; 1 terrain de tennis ; 4 terrains de badminton).
  • Local du club de kayak.
  • Piscine Océlia.
  • Salle de Tennis técélia.
  • Terrain de football Pasteur.
  • Terrain de football Mainguet.
  • Zone artisanale de l'Abbaye : deux terrains de pétanque non couverts (Pétanque Montfortaise).
  • Zone artisanale de l'Abbaye : Boulodrome en projet.
  • Zone artisanale de l'Abbaye : deux terrains de boule bretonne non couvert.

Culture locale et patrimoine

Vie culturelle

Le Confluent

Cette salle, inaugurée en 2003, est la salle multifonction par excellence.

Elle peut aussi bien accueillir les banquets de mariage, repas, les assemblées générales, les réunions d’entreprise que des spectacles. Il comprend :

  • une salle de Modèle:Nobr en version spectacle et de 350 couverts ;
  • la salle est équipée d’une régie son et lumière (utilisation sous condition) ;
  • une scène de Modèle:Unité ;
  • des loges de Modèle:Unité ;
  • une cuisine de Modèle:Unité avec deux fours, une étuve et table chauffante, une chambre froide et un lave-vaisselle ;
  • un hall d’accueil de Modèle:Unité avec un bar.

La grande salle peut être séparée en deux grâce à une cloison mobile permettant d’avoir deux salles respectivement de 250 et Modèle:Unité.

L'Avant-scène

Bâtiment du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'Avant-scène a gardé, malgré différents travaux, son caractère intimiste et chaud. Apprécié des artistes amateurs et professionnels, l'Avant-scène est un lieu très utilisé pour les spectacles associatifs et scolaires ainsi que pour des conférences et réunions.

Gradins rétractables et fauteuils permettent de moduler la salle de 130 à Modèle:Nobr. La salle est équipée d’une régie son et lumière, d'une boucle magnétique pour sourd et malentendant.

Il existe aussi une salle de cinéma, La Cane.

Jumelages

Langues régionales

À la rentrée de 2016 s'est ouverte une classe bilingue en breton qui accueille Modèle:Nobr : 1,8 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire<ref>http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm</ref>.

À la rentrée de 2018, les élèves sont au nombre de 27.

À la rentrée de 2018, une seconde classe en élémentaire s'est ouverte, avec CP et CE1, et en Modèle:Date-, la classe accueille des CP, CE1 et CE2.

Depuis 2023, la commune est engagée dans la promotion du breton et du gallo en adhérant à la charte du breton Ya d'ar brezhoneg ainsi qu'à la charte du Galo, dam Yan, Dam Vèr !<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Personnages liés à la commune

Patrimoine et monuments

Montfort-sur-Meu a gardé les vestiges de son passé médiéval<ref>les vestiges de son passé médiéval</ref>. Il reste aujourd'hui des maisons du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (rue de la Saulnerie), les traces de la porte Saint-Jean (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), les vestiges de l'ancien châtelet (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Du château médiéval subsiste actuellement la tour de Papegaut (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), qui abrite maintenant l'écomusée du Pays de Brocéliande<ref name="écomusée">Écomusée du Pays de Brocéliande</ref>.

Mais Montfort-sur-Meu garde aussi les traces d'un passé religieux, avec plusieurs bâtiments : chapelle Saint-Jean, église Saint-Louis-Marie-Grignion, ancien couvent des Ursulines (aujourd'hui la mairie), le cloître et le portail de l'abbaye Saint-Jacques de Montfort, mais aussi la maison natale de Saint Louis-Marie Grignion (rue de la Saulnerie).

Patrimoine religieux

Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a vécu à Montfort. Il subsiste aujourd'hui l'église Saint-Louis-Marie-Grignion, trois chapelles, et une abbaye :

Patrimoine historique

Enceinte de la cité médiévale

Pour protéger les Marches de Bretagne, les ducs mènent une politique de fortifications des grandes villes. En 1376, Raoul Modèle:VII obtient une autorisation pour transformer le château en véritable forteresse défensive. Autour du château se développe alors une grande enceinte composée de tours et de 3 portes. Il subsiste aujourd'hui la Tour du Papegault, la Tour du Pas d'Âne, la tour du Capitaine et des portions de l'ancienne fortification. Ces vestiges de remparts sont inscrits au titre des Monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> depuis le Modèle:Date-.

La tour du Papegault

La tour du Papegault, date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est l'élément le mieux conservé de la cité médiévale de Montfort-Sur-Meu et le plus représentatif. La tour doit son nom « Papegault » à un concours donné aux archers et arbalétriers où la cible était un oiseau multicolore. Au Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la tour devint une prison. La tour est inscrite au titre des Monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> par arrêté du Modèle:Date-.

Hôtel Montfort Communauté

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle cet imposant bâtiment était un hôtel particulier de la famille Juget, une famille de notables qui s'y est installée en 1777. En 1857, c'est la sous-préfecture qui s'y installe jusqu'à sa suppression en 1926. Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'hôpital de Montfort-sur-Meu installe une annexe. En 2002, c'est Montfort Communauté qui achète le bâtiment et le restaure.

Centre culturel de l'Avant-Scène

En 1914, débute la construction d'une salle des fêtes qui s'achève après la guerre. Le bâtiment a aussi accueilli le premier cinéma de la ville ; il pouvait recevoir Modèle:Unité. Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'édifice est un centre culturel qui propose de multiples spectacles tout le long de l'année.

Maisons anciennes du centre-Ville

On retrouve encore des dizaines de maisons dont la date de construction est situé entre 1550 et 1650. Elles sont situées dans les rues les plus anciennes de la ville comme dans la rue de la Saulnerie, la rue de l'Horloge, la place de la Cohue et la rue de Gaël. On y trouve également la maison natale de Louis-Marie Grignion de Montfort.

Moulins et « Planches » sur le Meu

Rue du Modèle:Date-, on peut apercevoir un ancien moulin (moulin à tan) qui date de 1884. Il était aussi équipé à l'époque d'une passerelle nommée les « Planches » qui enjambait le Meu et permettait de rejoindre la ruelle des Moulins.

Séchoir et bains publics

Le bâtiment date probablement de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il abritait dans la partie inférieure des cabines de bains publics et un espace réservé à des chaudières. L'étage protégé de lattes en bois, était destiné au séchage du linge nettoyé par les lavandières.

  • La mairie est aujourd'hui établie dans l'ancien couvent des Ursulines, qui s'étaient installées à Montfort en 1639.

Tribunal d'instance

En 1799, Montfort devient le siège d'une sous-préfecture et d'un tribunal d'arrondissement. Il est construit entre 1832 et 1834. Une rupture est marquée entre les anciennes maisons datant de la cité médiévale et le tribunal, car celui tourne délibérément le dos à cette ville médiévale. Aujourd'hui c'est la médiathèque « la Girafe ».

Sites et espace naturels

Fichier:Parc municipal de Montfort.JPG
Parc municipal.
Forêt de Montfort-sur-Meu

La forêt couvre une centaine d'hectares, dont quarante sont sur le secteur du bois de Saint-Lazare. Plusieurs sentiers de randonnée sont balisés et permettent de parcourir ce massif boisé, à pied, à cheval et pour certains sentiers, à VTT.

Parc municipal

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Édouard Guicheteau, (maire de la ville de Montfort-Sur-Meu jusqu’en 1871) a racheté à titre privé, les anciennes prairies du thabor, possession du prieuré Saint-Nicolas. Il a ensuite aménagé un jardin à l'anglaise. Il a fait dévier le Garun pour assurer la circulation de l'eau et a fait planter des ifs et des conifères exotiques. En 1950, le jardin est racheté par la commune et ouvert au public. Les anciennes prairies restées sauvages sont alors aménagées en camping municipal.

Activités touristiques

De nombreuses visites et activités sont proposées dans le pays de Montfort en Brocéliande :

  • Visite avec guide GPS<ref>Visite avec guide GPS</ref> permet de visiter Montfort-sur-Meu à travers une balade interactive. L'outil permet de réaliser la visite seul, en famille ou en mini-groupe grâce à des animations visuelles et sonores déclenchées automatiquement.
Le circuit dure Modèle:Heure et vous emmène à la découverte de la cité médiévale de façon simple et ludique.
  • Sentier botanique et patrimonial de Montfort, constitué de deux boucles au cœur de la commune de Montfort, offre la traversée d'une diversité de milieux naturels (prairie humide, parc paysager, mare, rives, chemins creux, paysage bocager, bois). Des panneaux expliquent l'intérêt historique, floristique et faunistique des différents lieux traversés. Le circuit met aussi en valeur la vie quotidienne locale en évoquant les savoir-faire artisanaux.
  • Parcours historique de Montfort-sur-Meu, à découvrir à pied, permet de comprendre l'évolution et le développement de la cité, du Moyen Âge à aujourd'hui. Trente panneaux d'interprétation sont disponibles sur le parcours.
  • Circuit découverte de Montfort-sur-Meu, circuit pédestre illustré par de nombreuses photos permettent d'apprécier le patrimoine bâti tout en se promenant (circuit de Modèle:Nobr).
  • Visite guidée pédestre de Montfort-sur-Meu, parcours médiéval permet de découvrir les vestiges des fortifications et de comprendre le fonctionnement de Montfort au Moyen Âge. La visite dure environ Modèle:Heure.
  • Visite guidée de Montfort en canoë-kayak avec l'écomusée du Pays de Brocéliande<ref name="écomusée"/> et le club de canoë-kayak du Pays de Brocéliande, des visites originales font découvrir l'environnement, le site historique de Montfort-sur-Meu depuis la rivière.
  • L'écomusée du Pays de Brocéliande<ref name="écomusée"/> (Montfort-sur-Meu), installé dans la tour de Papegaut, l'écomusée invite à découvrir la culture du pays où l'histoire et les légendes se côtoient. Différentes expositions permanentes sont proposées (la légende de la cane, l'architecture du pays de Brocéliande, Montfort au Moyen Âge, le costume traditionnel Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les jouets buissonniers. Des expositions temporaires ou itinérantes sont aussi proposées. Simone Morand a été à l'origine de sa création en 1979 et en fut sa première directrice entre 1980 et 1982.
  • Et aussi de nombreuses randonnées aux alentours de Montfort-sur-Meu.

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Voir aussi

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Bibliographie

  • Édouard Vigoland, Montfort-sur-Meu, son histoire et ses souvenirs, 1895. Réédition 2006.

Articles connexes

Liens externes

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