Étiolles
Modèle:Infobox Commune de France
Étiolles (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Étiollais<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/04/2009.</ref>.
Géographie
Situation
Étiolles est située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame<ref>Orthodromie entre Étiolles et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, point zéro des routes de France, deux kilomètres à l'est d'Évry-Courcouronnes<ref>Orthodromie entre Étiolles et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, trois kilomètres au nord de Corbeil-Essonnes<ref>Orthodromie entre Étiolles et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, quinze kilomètres à l'est de Montlhéry<ref>Orthodromie entre Étiolles et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, dix-sept kilomètres au nord-est d'Arpajon<ref>Orthodromie entre Étiolles et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, dix-neuf kilomètres au sud-est de Palaiseau<ref>Orthodromie entre Étiolles et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, dix-neuf kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais<ref>Orthodromie entre Étiolles et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Étiolles et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, trente-deux kilomètres au nord-est d'Étampes<ref>Orthodromie entre Étiolles et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, trente-six kilomètres au nord-est de Dourdan<ref>Orthodromie entre Étiolles et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>.
Lieux-dits, écarts et quartiers
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 9,3 % | 109,14 |
Espace urbain non construit | 10,9 % | 128,81 |
Espace rural | 79,8 % | 939,16 |
Source : Iaurif-MOS 2008<ref>Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.</ref> |
Le bois du Cerf, le Vieux Village, le parc de la Pompadour, le parc de Jarcy, le parc aux Chênes, le bois des Coudray.
Communes limitrophes
Habitat
Essentiellement résidentielle et composée de plusieurs lotissements pavillonnaires plus ou moins récents, Étiolles est aujourd'hui une des communes les plus riches de l'Essonne (la plus riche de l'arrondissement d'Évry, avec un revenu annuel moyen par ménage supérieur à Modèle:Unité, par opposition aux communes voisines d'Évry-Courcouronnes et de Corbeil-Essonnes, respectivement troisièmes et deuxièmes villes les plus pauvres du département (revenus annuels moyens par ménages inférieurs à Modèle:Unité)Modèle:Référence nécessaire.
Logements<ref>Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2015, document mentionné en, liens externes.</ref> | Nombre en 2015 | % en 2015 | nombre en 2010 | % en 2010 |
---|---|---|---|---|
Total | 1454 | 100 % | 1334 | 100 % |
Résidences principales | 1.305 | 89,7 % | 1.334 | 96,1 % |
* Dont HLM | 68 | 5,2 % | 2 | 0,2 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
36 | 2,5 % | 15 | 1.1 % |
Logements vacants<ref group="Note">Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations</ref> | 113 | 7,8 % | 37 | 2,7 % |
Dont : | ||||
* maisons | 802 | 7,8 % | 794 | 59,6 % |
* appartements | 649 | 44,6 % | 535 | 40,1 % |
La commune ne respecte pas ses obligations concernant le parc de logements sociaux prévu par l'article 55 de la Loi SRU et, malgré la construction de 176 logements sociaux entre 2011 et 2017, n'atteint que le taux de 12,45 % de tels logements en 2018, entrainant une pénalité qui aurait pu s'élever celle année-là à Modèle:Unité<ref>Modèle:Article.</ref>. La municipalité a approuvé en 2019 la transformation du domaine départemental des Hauldres, dont le bâtiment principal sera transformé en centre de séminaire privé avec hébergements et salles de conférences, et le parc accueillera 200 logements, 170 en collectifs et 30 pavillons individuels, dont 40 % de logements sociaux<ref name="LP25032019"/>.
Voies de communication et transports en commun
La gare la plus proche est celle d'Évry-Val-de-Seine, dans la commune d'Évry-Courcouronnes. Elle est située sur la ligne D du RER. Pour se rendre directement à Paris, la gare la plus proche est celle de Corbeil-Essonnes.
Plusieurs lignes d’autobus desservent la commune :
- la ligne 91.01 du réseau de bus Albatrans, qui permet l'accès à la gare d'Évry-Courcouronnes ;
- les lignes 403 et 453 du réseau de bus TICE, qui permettent l'accès aux gares d'Évry-Val-de-Seine et d'Évry-Courcouronnes ;
- la ligne 7002 du réseau de bus Cars Sœur qui permet l'accès aux gares d'Évry-Val-de-Seine et d'Évry-Courcouronnes ;
- les lignes 305 et 24-06 du réseau de bus Keolis Seine Essonne qui permettent l'accès à la gare de Corbeil-Essonnes.
Hydrographie
La commune est longée à l'ouest par la Seine et traversée d'est en ouest par le ruisseau des Hauldres<ref>Modèle:Sandre.</ref>, un affluent en rive droite de la Seine, où le ruisseau se jette. Modèle:…
Relief et géologie
Le point le plus bas de la commune est situé à trente-deux mètres d'altitudeModèle:Où et le point culminant à quatre-vingt-six mètresModèle:Où<ref>Modèle:Géoportail.</ref>. Modèle:…
Climat
Modèle:Article connexe Étiolles, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé.
Urbanisme
Typologie
Étiolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Atiolae en 1228, Atheiolae, Athegiolae au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Ecclesia de Atheolis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Estivellum, Ethioles, Athioles en 1324<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>.
Le nom du lieu tire son origine du mot latin Attegiae signifiant « cabane ». La commune fut créée en 1793 sous son nom actuel<ref name="Cassini"/>.
Histoire
Le territoire de la commune est occupé depuis la préhistoire : depuis le début des années 1970, des fouilles archéologiques y sont menées lorsque des amateurs tombent par hasard sur un gisement de silex dans un champ labouré sur ce qui se révèlera être l'un des plus importants sites magdaléniens d'Europe avec Pincevent. Il y est notamment découvert en 1972, un morceau d’omoplate de mammouth et au début des années 1980, sur un fragment de bassin de Modèle:Unité situé dans une unité d’habitations<ref>Pigeot, N. (dir.) (2004) - Les derniers magdaléniens d'Étiolles - Perspectives culturelles et paléohistoriques (l'unité d'habitation Q31), CNRS, XXXVIIème supplément à Gallia Préhistoire, 351 p.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Ce site est à ce jour fouillé et se voit ouvert au public une fois par an lors du journées nationales de l'archéologie se déroulant fin juin<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, acquit au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la seigneurie d'Étioles (orthographe de l'époque), qu'il abandonna à son neveu Charles-Guillaume lorsque celui-ci épousa<ref>Le contrat fut signé le 4 mars 1741. Au sujet de l'origine de Madame de Pompadour, voir le tome second de l'ouvrage de Marc Cheynet de Beaupré, Joseph Pâris-Duverney, financier d'État (1684-1770) - La vertu des maîtresses royales (1720-1770), Paris, Honoré Champion, 2016, p. 475.</ref> celle que certains prétendaient être sa fille naturelle, Jeanne Antoinette Poisson, future marquise de Pompadour. Le jeune couple habitait un château situé non loin de celui de Tournehem et appartenant à ce dernier.
Jeanne Le Normant d'Étiolles commença par apporter des améliorations à sa demeure, notamment des jeux d'eaux à la façon de ceux de Versailles. Devenue la favorite de Louis XV avec la bénédiction de son père, elle chassa son mari d'Étiolles. L'endroit représentait pour elle un domicile commode, d'où elle pouvait aisément aller aux rendez-vous que lui donnait son royal amant. Mais Louis XV lui fit bientôt cadeau d'autres châteaux. Elle-même fit construire de superbes résidences dans le goût du temps et délaissa Étiolles, qui n'était plus à la mesure de sa réussite.
Charles-Guillaume, l'époux bafoué, hérita de son oncle Tournehem, devenu entre-temps directeur général des Bâtiments du Roi. Il se sépara du château, qui lui rappelait de cuisants souvenirs. Le comte de Noyan, qui en fit l'acquisition sous le Directoire, détruisit les jeux d'eaux sous prétexte de travaux qui n'aboutirent jamais. Le tout fut rasé pour laisser place à un projet immobilier dans les années 1960.
En 1778, le comte de Provence fit construire à Étiolles, en forêt de Sénart, le rendez-vous de chasse de la Faisanderie de Sénart, sur les plans de son premier architecte, Jean-François-Thérèse Chalgrin.
L’institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) implanté au domaine départemental des Hauldres a fermé en 2013<ref name="LP25032019">Modèle:Article.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la neuvième circonscription de l'Essonne
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton de Corbeil-Essonnes, année où elle intègre le canton de Corbeil-Essonnes-Nord du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton d'Évry puis, en 1975, au canton de Saint-Germain-lès-Corbeil<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Draveil.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté d'agglomération Seine-Essonne, créée fin 2002 et qui succédait à la communauté de communes de Corbeil-Essonnes et du Coudray-Montceaux.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du Modèle:Date-, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le Modèle:Date- un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne (91), de la communauté d'agglomération Seine-Essonne (91), de la communauté d’agglomération de Sénart en Essonne (91), et de la communauté d'agglomération de Sénart (77) et (l')extension du nouveau groupement à la commune de Grigny (91)<ref>Modèle:Lien web.</ref> », antérieurement membre de la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.
C'est ainsi qu'a été créé au Modèle:Date- la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart dont est désormais membre Etioles.
Liste | Tendance | Président | Effectif | Statut | |
---|---|---|---|---|---|
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | « Engagés pour Étiolles » | SE | Amalia Duriez | 20 | Majorité |
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | « Étiolles avec vous, pour vous » | DVD | Rachida Ferhat | 3 | Opposition |
Tendances et résultats politiques
- Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 85,77 % pour Jacques Chirac (RPR), 14,23 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,66 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 66,70 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 33,30 % pour Ségolène Royal (PS), 86,15 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 61,55 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 38,45 % pour François Hollande (PS), 84,06 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.</ref>.
- Élection présidentielle de 2017 : 74,70 % pour Emmanuel Macron (LREM), 25,30 % pour Marine Le Pen (FN), 75,23 % de participation.
- Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 69,90 % pour Georges Tron (UMP), 30,10 % pour Florence Léon-Ploquin (PS), 64,49 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 67,86 % pour Georges Tron (UMP), 32,14 % pour Thierry Mandon (PS), 60,51 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 53,15 % pour Georges Tron (UMP), 46,85 % pour Thierry Mandon (PS), 56,16 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 58,61 % pour Marie Guévenoux (LREM), 41,39 % pour Véronique Carantois (LR), 45,35 % de participation.
- Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 26,76 % pour Patrick Gaubert (UMP), 18,61 % pour Harlem Désir (PS), 50,14 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 38,07 % pour Michel Barnier (UMP), 24,61 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 46,88 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 26,77 % pour Alain Lamassoure (UMP), 18,18 % pour Aymeric Chauprade (FN), 49,01 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.</ref>.
- Élections européennes de 2019 : 32,23 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 16,18 % pour Yannick Jadot (EELV), 55,56 % de participation.
- Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 53,95 % pour Jean-François Copé (UMP), 37,10 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 68,26 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 58,56 % pour Valérie Pécresse (UMP), 41,44 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 50,77 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 54,65 % pour Valérie Pécresse (LR), 30,72 % pour Claude Bartolone (PS), 59,29 % de participation.
- Élections cantonales et départementales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 : 47,59 % pour François Fuseau (UMP), 34,61 % pour Romain Desforges (PS), 43,61 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 61,74 % pour Georges Tron et Aurélie Gros (UMP), 38,26 % pour Rachida Ferhat (PS) et Jean-Marc Pasquet (EELV), 48,53 % de participation.
- Élections municipales
Résultats des deuxièmes tours : Modèle:Article connexe
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 64,47% pour Martine Deley et Annie Grand, 64,40% pour Paul Muller, 61,58 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.</ref>.
- Élections municipales de 2014 : 55,12% pour Philippe Jumelle (DVD) élu au premier tour, 44,87% pour Daniel Fontaine (DVD), 58,74% de participation.
- Élections municipales de 2020 : 67,82% pour Amalia Duriez (DVD) élue au premier tour, 32,18% pour Philippe Brun (DVG), 47,35% de participation.
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 69,76 % pour le Oui, 30,24 % pour le Non, 45,81 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 67,10 % pour le Oui, 32,90 % pour le Non, 76,29 % de participation<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
La commune d'Étiolles n'est jumelée à aucune commune.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Les élèves d'Étiolles sont rattachés à l'académie de Versailles.
La commune dispose en 2010 sur son territoire de l'école primaire Hélène-Sandre<ref>Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 14/09/2010.</ref> et du lycée professionnel hôtelier du château des Coudraies<ref>Liste des établissements du second degré de l'Essonne sur le site de l'Académie de Versailles. Consulté le 04/10/2010.</ref>, qui a intégré en 2018 le programme « Ecoles ambassadrices » du Parlement européen<ref>Modèle:Article.</ref>.
Sports
Un club de karaté est installé depuis 1987 dans la communeModèle:Référence nécessaire.
Lieux de culte
La paroisse catholique d'Étiolles est rattachée au secteur pastoral de Corbeil-Saint-Germain et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Martin<ref>Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 31/10/2009.</ref>.
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Emplois, revenus et niveau de vie
Modèle:Section à actualiser En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait Étiolles au 96e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Étiolles | 0,0 % | 0,8 % | 18,0 % | 55,0 % | 22,3 % | 3,9 % |
Zone d’emploi d’Évry | 0,3 % | 4,0 % | 20,2 % | 29,6 % | 28,2 % | 17,7 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Étiolles | 0,2 % | 1,5 % | 1,9 % | 6,7 % | 8,0 % | 11,5 % |
Zone d’emploi d’Évry | 0,9 % | 13,5 % | 5,4 % | 14,6 % | 16,2 % | 6,9 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>%5CCOM%5CDL_COM91225.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 20/06/2010.</ref>,<ref>%5CDL_ZE19901147.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Évry sur le site de l'Insee. Consulté le 20/05/2010.</ref>,<ref>Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin du {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIII
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}} a été inscrite aux monuments historiques le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée. Consulté le 01/03/2010.</ref>.
Le château des Hauldres a été la résidence de l'architecte Joseph-Michel Le Soufaché.
Les berges de la Seine et la partie communale de la forêt de Sénart ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne<ref>Carte des ENS d'Étiolles sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.</ref>.
Le prieuré Saint-Benoît d'Étiolles s'installe en 1988, sur l’emplacement de l’ancien couvent des Dominicaines<ref>Prieuré Saint-Benoît</ref>.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Étiolles :
- Charles François Paul Le Normant de Tournehem (1684-1751), financier, y vécut ;
- Jeanne-Antoinette Lenormant d’Étiolles, marquise de Pompadour (1721-1764), favorite de Louis XV, y vécut ;
- Charles-Guillaume Le Normant d'Étiolles (1717-1799), financier, y vécut ;
- Victor Auclair (1866-1928), architecte, y est inhumé ;
- René Leduc (1898-1968), ingénieur et avionneur, s'y maria et y est inhumé ;
- Marcelle Auclair (1899-1983), écrivaine, y séjourna ;
- Jacques Savey (1910-1942), résistant, y est inhumé ;
- Albert-Marie de Monléon (1937- ), évêque, y étudia ;
- Pierre Raffin (1938- ), évêque, y étudia ;
- François Lamy (1959- ), homme politique, y étudia ;
- Jérémy Chatelain (1984- ), chanteur, y vécut.
Héraldique et logotype
Étiolles dans les arts et la culture
Étiolles a servi de lieu de tournage aux films Jack de Robert Saidreau sorti en 1925, Marie-Line de Mehdi Charef sorti en 1999<ref>Liste des films tournés à Étiolles sur le site L2TC.com Consulté le 28/08/2012.</ref> et Janis et John de Samuel Benchetrit sorti en 2003Modèle:Refnec.
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Philippe Cachau : Etude historique du domaine départemental de la plaine des Coudrais (91), Conservatoire des espaces naturels sensibles, Conseil général de l'Essonne, 2007 (consultable aux Archives départementales à Chamarande).
- Bernard Rathaux, Histoire d'Évry Petit-Bourg et d'Étiolles, La Compagnie Littéraire, 2019