François Lamy

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Personnalité politique François Lamy, né le Modèle:Date à Brunoy (Essonne), est un homme politique français.

Membre du Parti socialiste, il est député de l'Essonne de 1997 à 2012 puis de 2014 à 2017, maire de Palaiseau de 2001 à 2012 et ministre délégué à la Ville de 2012 à 2014, dans les Modèle:Page h'.

Proche de Martine Aubry, il échoue à se faire élire député dans le Nord lors des élections législatives de 2017.

Biographie

Famille et formation

Fils d’un ingénieur des travaux publics de l'État<ref name="WsW">Notice de François Lamy sur le Who’s Who in France. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, frère du haut fonctionnaire et sociologue Philippe Lamy<ref>Philippe Alexandre et Béatrix de L'Aulnoit, Heureux comme un socialiste en France, Paris, Plon, 2014 Modèle:Isbn (lire en ligne).</ref>, François Lamy est marié et père d’une fille<ref name="Bio_Palaiseau">Biographie de François Lamy sur le site officiel de Palaiseau. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>.

Il fut élève au lycée Michelet de Vanves, puis au lycée Buffon de Paris et à l’école Saint-Sulpice. Après l'obtention du baccalauréat, il intégra l’École normale d’Étiolles<ref name="WsW"/>. Il demeure à Palaiseau jusqu'en 2014<ref>Le patrimoine déclaré des ministres sur batiactu.com</ref>

Il est le cousin des sœurs comédiennes Alexandra et Audrey Lamy<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Carrière professionnelle

François Lamy débute comme animateur socioculturel<ref name="Bio_Palaiseau"/>, puis suit une formation d'instituteur de 1978 à 1980.

Parcours politique

François Lamy commence sa carrière politique comme beaucoup d'élus par le militantisme en s'impliquant dans les années 1970 dans les Comités Chili puis le boycott de la Coupe du monde de foot en Argentine en 1978. La même année, il intègre le PSU<ref name="Garin2008">Christine Garin, François Lamy, le mécano de Solférino, lemonde.fr, 18 décembre 2008</ref>.

C'est sous les couleurs de ce parti, qu'il devient, en 1983, adjoint au maire de Palaiseau à la suite des élections municipales<ref name="Bio_Palaiseau"/>. Imitant l'ancienne candidate du PSU à l'élection présidentielle Huguette Bouchardeau, il adhère au Parti socialiste (PS) en 1985<ref name="Garin2008"/>.

Au PS, il est assistant chargé du secteur cadre de vie jusqu’en 1988<ref name="WsW"/>.

Il est nommé chef de cabinet de Robert Chapuis<ref name="WsW"/>, secrétaire d'État à l’enseignement technique. En 1991, il est assistant de Gérard Gouzes, président de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République, puis conseiller technique au cabinet de Martin Malvy, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement. Il entre au ministère du Budget en 1992<ref name="WsW"/>.

Il est élu au conseil régional d'Île-de-France lors des élections régionales de 1992, où la liste du PS arrive en troisième position en Essonne avec 14,38 % des suffrages<ref>Résultats de l’élection régionale de 1992 en Essonne, sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. Lors des élections cantonales de 1994, il obtient 13,71 % au premier tour dans le canton de Palaiseau<ref>Résultats de l’élection cantonale de 1994 dans le canton de Palaiseau sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, s’effaçant face au conseiller général sortant communiste Robert Vizet. Pour les élections municipales de 1995 à Palaiseau, il est tête de la liste socialiste qui obtient 17,33 % des suffrages, avant d’intégrer au second tour la liste communiste finalement défaite<ref>Résultats de l’élection municipale de 1995 à Palaiseau sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, devenant conseiller municipal d’opposition.

Il remporte les élections législatives de 1997 dans la sixième circonscription de l'Essonne avec 53,12 % des voix contre la députée sortante RPR Odile Moirin<ref>Résultats de l’élection législative de 1997 dans la sixième circonscription de l’Essonne sur le site de quotidien Le Figaro. Consulté le Modèle:1er janvier 2011</ref>. Les élections municipales de 2001 lui permettent de prendre la mairie de Palaiseau à la droite dès le premier tour avec 54,84 % des suffrages<ref>Résultats de l’élection municipale de 2001 à Palaiseau sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. En vue de l’élection présidentielle de 2002, il apporte son soutien au candidat socialiste Lionel Jospin<ref>Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection présidentielle sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. Lors des élections législatives suivantes, il est réélu député avec 51,54 % des voix au second tour<ref>Résultats de l’élection législative de 2002 dans la sixième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. En 2007, il est à nouveau vainqueur des élections législatives avec 52,64 % des voix<ref>Résultats de l’élection législative de 2007 dans la sixième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> puis réélu maire de Palaiseau lors des élections municipales de 2008 avec 51,82 % des voix au deuxième tour<ref>Résultats de l’élection municipale de 2008 à Palaiseau sur le site d’information L’Internaute. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>.

En décembre 2008, il devient conseiller politique de la première secrétaire du Parti socialiste Martine Aubry<ref>Fiche de François Lamy sur le site du Parti socialiste. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. En juillet 2011, il est nommé directeur de l'équipe de campagne de Martine Aubry pour la primaire socialiste.

En mai 2012, il entre dans le gouvernement de Jean-Marc Ayrault après la victoire de François Hollande à l’élection présidentielle, au poste de ministre délégué chargé de la Ville. Le Modèle:Date, il annonce sa démission du poste de maire de Palaiseau, décision rendue officielle par le vote du conseil municipal le Modèle:Date<ref>Communiqué de presse Claire Robillard est élue maire de Palaiseau, sur le site officiel de la commune, consulté le 03/06/2012.</ref>. En juin 2012, il remporte l'élection législative avec 57,77 % des suffrages<ref>Résultats de l'élection législative 2012 dans la sixième circonscription de l'Essonne sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21 juin 2012.</ref> ; il est confirmé dans le second gouvernement de Jean-Marc Ayrault et laisse son siège à son suppléant Jérôme Guedj. Le Modèle:Date il démissionne de la présidence de la communauté d'agglomération du plateau de Saclay. François Lamy est ministre jusqu'au 31 mars 2014, date de la démission du gouvernement Ayrault. Il redevient ensuite député.

Le Modèle:Date, il annonce avec Martine Aubry qu'il s'installe à Lille. Il démissionne de son mandat de conseiller municipal d'opposition à Palaiseau<ref>Sébastien Tronche, « Pendant ce temps-là : parallèlement au Conseil national du PS à Paris, Aubry annonce l’arrivée de Lamy à Lille », lelab.europe1.fr, 15 novembre 2014.</ref>,<ref>Laurent Watiez, « Martine Aubry annonce l’arrivée de François Lamy à Lille », lavoixdunord.fr, 15 novembre 2014.</ref> mais reste député de l'Essonne. Il justifie ce choix en expliquant qu'il restera « député de la nation »Modèle:Ref nec.

À la suite de l'attentat contre Charlie Hebdo, il organise une manifestation d'union nationale ouverte à tous sauf au Front national, ouvrant ainsi une controverse politique<ref>Marcher ou non avec le FN ? Une union nationale à géométrie variable, liberation.fr, 8 janvier 2015</ref>,<ref>Quand l'union nationale devient une guerre de tranchée politicienne, challenges.fr, 10 janvier 2015</ref>.

Il soutient Benoît Hamon au second tour de la primaire citoyenne de 2017<ref>« Primaire de la gauche : Martine Aubry et ses proches « voteront » pour Benoît Hamon », lemonde.fr, 23 janvier 2017.</ref>.

Le 17 décembre 2016, le PS annonce l'investiture de François Lamy dans la première circonscription du Nord pour les élections législatives de 2017<ref>Législatives : François Lamy investi à Lille, france3-regions.francetvinfo.fr, 17 décembre 2016</ref>, la maire de Lille ayant manœuvré au sein des instances du parti pour imposer son fidèle bras droit<ref>François Lamy, « candidat de droit divin » dans la première circonscription selon Bernard Charles, lavoixdunord.fr, 17 décembre 2016</ref>,<ref name="Challenges">Législatives: Le parachuté Lamy se crashe à Lille, challenges.fr, 12 juin 2017.</ref>. Il est battu dès le premier tour avec seulement 9,14 % des voix perdant un « fief » du Parti socialiste jugé « imperdable »<ref>Dans son bastion de Lille, le PS au bord du gouffre, liberation.fr, 5 juin 2017.</ref>. En 2019, il rompt avec Martine Aubry. Après plus de quarante ans passés au PS, François Lamy quitte le parti en octobre 2021 pour rejoindre l'équipe de campagne de Yannick Jadot, candidat EELV à l'élection présidentielle<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.

Synthèse des fonctions politiques

Fonctions ministérielles

Ministre délégué à la Ville

À la suite de l’élection présidentielle de 2012 remportée par le socialiste François Hollande, il est nommé ministre délégué chargé de la Ville auprès de la ministre de l’Égalité des Territoires et du Logement Cécile Duflot dans le gouvernement de Jean-Marc Ayrault I<ref>Communiqué de presse du nomination du gouvernement sur le site gouvernement.fr. Consulté le 19/05/2012.</ref>,<ref>Décret du 16 mai 2012 relatif à la composition du gouvernement sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 19/05/2012.</ref>. Il se déclare alors favorable au droit de vote des étrangers<ref>François Lamy défend le droit de vote des étrangers, Parisien, 9 janvier 2013</ref>. Il quitte cette fonction lorsque Manuel Valls devient Premier ministre.

Mandats nationaux

Député de la sixième circonscription de l’Essonne

François Lamy est élu député dans la sixième circonscription de l'Essonne le Modèle:Date pour la [[XIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} législature]]<ref name="AN11">Fiche de François Lamy pour la onzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, il fut réélu le Modèle:Date pour la [[XIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature]]<ref name="AN12">Fiche de François Lamy pour la douzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, le Modèle:Date pour la [[XIIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} législature]]<ref name="AN13">Fiche de François Lamy pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> puis le Modèle:Date pour la [[XIVe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:|  }} }} législature]].

À l’Assemblée nationale, il est membre du groupe parlementaire socialiste, radical, citoyen et divers gauche<ref>Liste des membres du groupe parlementaire socialiste, radical, citoyen et divers gauche sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. Il siège à la commission de la défense nationale et des forces armées à partir de 1997<ref>Liste des membres de la commission de la défense nationale pour la onzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>,<ref>Liste des membres de la commission de la défense nationale pour la douzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>,<ref>Liste des membres de la commission de la défense nationale pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> puis à la commission des affaires étrangères à partir de 2000<ref name="AN11"/>. Il est membre de la commission d’enquête parlementaire sur les agissements, l’organisation, le fonctionnement, les objectifs du groupement Département protection sécurité<ref name="AN11"/>, il est vice-président en 1997<ref>Liste des membres du groupe d’amitié France-Bosnie-Herzégovine pour la onzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> puis président du groupe d’amitié France-Bosnie-Herzégovine à partir de 2002<ref>Liste des membres du groupe d’amitié France-Bosnie-Herzégovine pour la douzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>,<ref>Liste des membres du groupe d’amitié France-Bosnie-Herzégovine pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, secrétaire du groupe d’amitié France-Maroc à partir de 2007<ref>Liste des membres du groupe d’amitié France-Maroc pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, vice-président du groupe d’études sur la Palestine<ref>Liste des membres du groupe d’études sur la Palestine pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, membre du groupe d’amitié France-Rwanda<ref>Liste des membres du groupe d’amitié France-Rwanda pour la treizième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>, membre du groupe d’études sur le Kosovo<ref>Liste des membres sur le groupe d’études sur le Kosovo pour la douzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> et de celui sur les sectes<ref>Liste des membres du groupe d’études sur le sectes pour la douzième législature sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>.

Il est le coauteur d’un rapport sur la guerre du Kosovo<ref>Rapport nModèle:°2022 sur la guerre du Kosovo sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> et sur le contrôle parlementaire des opérations extérieures<ref>Rapport nModèle:°2237 sur le site de l’Assemblée nationale. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>.

Fonctions partisanes

François Lamy adhère au Parti socialiste en 1985 et devient assistant chargé des questions du cadre de vie jusqu’en 1988<ref name="WsW"/>. En 2000, il intègre le bureau national<ref>Liste des membres du bureau national du Parti socialiste sur son site officiel. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> et est secrétaire national chargé des adhésions de 2000 à 2005, de la vie associative de 2005 à 2007 et des questions de défense à partir de cette date<ref name="WsW"/>. Il préside le club « Réformer », groupe de réflexion politique fondé par Martine Aubry. Il devient son bras droit lors du congrès de Reims et est nommé conseiller politique de la première secrétaire du Parti socialiste lors du congrès national du Modèle:Date<ref>Article La nouvelle direction du parti socialiste autour de Martine Aubry paru le 6 décembre 2008 sur le site du magazine Le Point. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. En avril 2014, après avoir été évincé du gouvernement Valls, il est nommé conseiller spécial et politique du cabinet de Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS. En juin 2015, il hérite du portefeuille des relations extérieures. Il est rattaché auprès du premier secrétaire.

Mandats locaux

Conseiller régional d’Île-de-France

François Lamy est élu conseiller régional le Modèle:Date et conserve son siège durant un mandat jusqu’au Modèle:Date<ref name="AN13"/>.

Mairie de Palaiseau

François Lamy est élu conseiller municipal d’opposition de Palaiseau le Modèle:Date puis élu maire le Modèle:Date et réélu le Modèle:Date<ref name="AN13"/>. À ce titre, il siège au syndicat intercommunal pour l’équipement des communes des vallées de l’Yvette et de la Bièvre<ref>Fiche du Sievyb sur la base Aspic du ministère de l’Intérieur. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> et siège au syndicat mixte d'études et de programmation du Nord-Centre Essonne<ref>Fiche du SIEP NCE sur la base Aspic du ministère de l’Intérieur. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref>. Il démissionne de son mandat de maire le Modèle:Date et reste conseiller municipal. Il est réélu conseiller municipal lors de l'élection municipale de 2014 mais la liste sur laquelle il se présente est battue par celle de droite<ref>Modèle:Lien web</ref>. En novembre 2014, François Lamy déménage à Lille et démissionne de son poste de conseiller municipal à Palaiseau.

Président de la communauté d’agglomération du plateau de Saclay

François Lamy est président de la communauté d'agglomération du plateau de Saclay du Modèle:Date<ref name="AN13"/>,<ref>Présentation des instances de la CAPS sur son site officiel. Consulté le Modèle:1er janvier 2011.</ref> au Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Mises en cause médiatiques

Affaire de « l'oubli fiscal »

Le 16 septembre 2012 alors que François Lamy est ministre délégué de la ville, Mediapart révèle qu'il aurait temporairement omis de payer, en 2007, la taxe foncière et la taxe d'habitation de son domicile de Palaiseau (Essonne), alors qu'il était député-maire de la commune<ref>Modèle:Article.</ref>. Mais rapidement son service de presse du ministre confirme à Mediapart qu'un problème d'adresse a eu lieu et que les paiements ont depuis été rattrapés<ref name="midilibre 563882">Modèle:Lien web.</ref>.

Affaire du « permis de construire illégal »

Le 10 octobre 2012, le site d'information Mediapart affirme que François Lamy n’a pas obtenu l’avis favorable de l’architecte des bâtiments de France avant de construire sa maison, située dans le périmètre de l'église Saint-Martin, à Palaiseau. La mairie de Palaiseau avait demandé rétroactivement l’avis de l’administration, ce qui, selon un responsable de la direction du patrimoine local, rendait le permis de construire « illégal »<ref name="midilibre 563882" />,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Publications

Certains rapports parlementaires de François Lamy ont été publiés, dont :

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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