Aubenas-les-Alpes
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Aubenas-les-Alpes (Aubenàs leis Aups en vivaro-alpin et en provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Modèle:Sommaire
Géographie
La commune fait partie du Parc naturel régional du Luberon, inclus dans la réserve naturelle géologique du Luberon, et est proche de Saint-Michel-l'Observatoire. Le village est situé à Modèle:Unité d’altitude<ref name="La Torre"/>.
Les communes limitrophes d’Aubenas-les-Alpes sont Revest-des-Brousses, Saint-Michel-l'Observatoire, Reillanne et Vachères.
Géologie
Les sols de la commune se sont formés sur un substrat principalement calcaire ; ce calcaire est d’ailleurs utilisable pour couvrir les habitations<ref name="adri21"/>. Le village est cependant implanté sur une colline de marnes rouge de l'Oligocène ayant livré des ossements de grands mammifères et de reptiles (crocodile et tortue). Dans le vallon de l'Aiguebelle (ruisseau qui ne tarit jamais, même par les plus grandes sécheresses) des fossiles de végétaux et de poissons (Smerdi macrurus) ont aussi été trouvés. Ces deux gisements sont classés réserves géologiques (inclus dans la Réserve naturelle géologique du Luberon), tout ramassage y est interdit. Des panneaux d'informations sont placés à proximité des sites. Une sélection des fossiles découverts est visible au musée de Vachères (commune voisine) et à la Maison du Parc naturel régional du Luberon, à Apt dans le Vaucluse, et au Muséum national d'histoire naturelle à Paris (Jardin des plantes).Modèle:Référence souhaitée
Le long du Largue et de l'Aiguebelle, et vers Vachères et Le Revest-des-Brousses, les calcaires de l'Oligocène renferment des loupes de silex brun, brun noir, qui ont été intensivement exploités du Paléolithique moyen (industrie type Levallois) à la fin du Néolithique. Ces silex ont été exportés dans tout le Sud-Est de la France, jusqu'en Italie par les hommes du Néolithique.Modèle:Référence souhaitée
Relief
Transports
La commune d'Aubenas-les-Alpes est desservie par la départementale Modèle:Nobr, qui s'embranche sur la Modèle:Nobr entre Revest-des-Brousses et Saint-Michel-l'Observatoire.
Hydrographie
Aubenas-les-Alpes est arrosé par le Largue, rivière de Modèle:Unité, affluent de la Durance, et par l’Aiguebelle.
Climat
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Reillanne auquel appartient Aubenas-les-Alpes est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>. La commune d’Aubenas-les-Alpes est également exposée à trois autres risques naturels<ref name="prim"/> :
- feu de forêt,
- mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.
La commune d’Aubenas-les-Alpes n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture<ref name="ppr"/>.
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> et le Dicrim n’est pas non plus rédigé<ref name="dicrim"/>.
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous la forme de Albenassio. Selon le couple Fénié, le nom d’Aubenas dérive du thème oronymique *Al-b-<ref name="Fénié"/>, faisant référence à une hauteur. Charles Rostaing confirme le radical préceltique alba, au sens général de colline, place forte ou citadelle, augmenté des suffixes -enn et -ate<ref name="Rostaing"/>. Pour sa part, Ernest Nègre préfère y voir l'anthroponyme romain Albinus, élargi par le suffixe -àte<ref name="TGF"/>.
Le provençal aùbo 'peuplier blanc' n'est pas impliqué dans la formation du nom d'Aubenas.
La commune change de nom pour Aubenas-les-Alpes en 1934<ref name="Cassini"/>.
Aubenàs deis Aups en occitan.
Histoire
Le territoire de la commune d'Aubenas est fréquenté par les hommes au Paléolithique moyen, mais c'est surtout au Néolithique que le secteur connait une forte activité humaine. En effet, la qualité du silex affleurant dans la vallée du Largue permet le débitage de grandes lames. Débitées à la pression au levier (Renault 1998), ces supports ont été produits en grand nombre, et plusieurs de ces ateliers sont connus sur la commune. Ces lames ont été diffusées sur une vaste aire géographique. La densité de l’occupation néolithique dans la vallée du Largue a été reconnue dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1906, M. Deydier mentionne l’existence de nombreuses carrières de silex néolithiques qui se développent sur des centaines d’hectares sur les communes de Saint-Michel-l’Observatoire, de Vachères et d’Aubenas-les-Alpes (Deydier 1905 – 1907 et 1908). L’inventaire des stations néolithiques et protohistoriques de V. Cotte, paru en 1924, recense 12 sites sur la commune d’Aubenas-les-Alpes (Cotte 1924).
Aucun indice d'occupation remontant aux âges des métaux n'est connu.
En plusieurs points de la commune, des tegulae, de la céramique commune voire de la sigillée attestent d'une occupation à l'époque gallo-romaine. Dans l’Antiquité, le territoire d’Aubenas fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ils sont détachés des Voconces et forment une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)<ref name="beaujard"/>.
Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire<ref name="Becker-Piriou"/>.
Appelé Albenacum, ou Castrum de Albenis au Moyen Âge, on sait peu de chose sur l'histoire du fief d'Aubenas et de son arrière-fief d'Aiguebelle. Le bourg actuel est une relique d'une agglomération qui couronnait l'ensemble de la colline autour du château. La communauté d’Aubenas relevait de la viguerie de Forcalquier<ref name="archeo-provence"/>. Un prieuré de bénédictins était établi au lieu-dit Saint-Jean<ref name="archeo-provence"/>.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre [[Louis Ier de Naples|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Anjou]]. Un des co-seigneur d’Aubenas, Guyon de Lincel, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}<ref>Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, Modèle:N°162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, Modèle:P.412 (note 55).</ref>.
Les vallées du Largue et de l'Aiguebelle faisaient fonctionner plusieurs moulins. Aujourd'hui, une dizaine de moulins existent encore.
Comme de nombreuses communes du département, Aubenas se dote d’une école bien avant les lois Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Aubenas<ref name="labadie18"/>. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de la commune sont régulièrement scolarisées.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la culture de la lavande s’implante et une distillerie est créée<ref name="adri91"/>. Parallèlement, la culture de la vigne, destinée à la production d’un vin réservé à l’autoconsommation, est progressivement abandonnée<ref name="reparaz-medit109"/>.
Héraldique
Modèle:Article détaillé Modèle:Blason commune
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
La commune est incluse dans le secteur postal de Reillanne (04110).
Intercommunalité
Aubenas-les-Alpes fait partie :
- de 1992 à 2017, de la communauté de communes de Haute-Provence ;
- depuis le Modèle:Date, de la communauté de communes Haute-Provence Pays de Banon.
Urbanisme
Typologie
Aubenas-les-Alpes est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,7 %), prairies (21,1 %), forêts (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), terres arables (5,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Budget et fiscalité
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation | 5,00 % | 30,30 % | 5,53 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties | 4,30 % | 8,94 % | 14,49 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties | 12,30 % | 31,69 % | 47,16 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle | 11,73 % | 6,37 % | 10,80 % | 3,84 % |
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (les deux formant la contribution économique territoriale).
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Les habitants sont appelés les Albascecois<ref name="tresor"/>.
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
{{#invoke:Démographie|demographie}}
L'histoire démographique d'Aubenas-les-Alpes, après l'abandon complet au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et le long mouvement de croissance jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1872. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846 (1841 mis à part)<ref>Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.288.</ref>. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu'aux années 1960. Depuis, la population a plus que doublé, parvenant à retrouver les niveaux proches de ceux du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Modèle:Population de France/graphique
Cultes
La paroisse est rattachée à un secteur pastoral de 14 paroisses, le secteur pastoral du Largue. Le culte est célébré alternativement dans les églises de ces quinze communes<ref>Diocèse de Digne, Le secteur pastoral du Largue, Diocèse catholique de Digne, Riez et Sisteron, mis à jour le 2 décembre 2011, consulté le 5 juillet 2012</ref>.
Équipements
Le village dispose d’une salle des fêtes ainsi que d’une aire de jeux pour enfants située devant la mairie.
Depuis le 8 décembre 2018, une roulotte en bois construite par des bénévoles accueille des « Livres en Liberté ». Habitants et touristes de passage sont invités à trouver leur bonheur dans cette bibliothèque participative recensant plus de 300 ouvrages, chacun pouvant librement donner des livres, en emprunter ou en faire voyager en les emmenant avec soi<ref>Modèle:Lien web</ref>. Depuis février 2019, de nombreux livres de ce dispositif qui mise sur la confiance, l’entraide et vise à créer du lien culturel, sont enregistrés sur le réseau Bookcrossing, qui permet de suivre leurs déplacements<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s'élevait à 49 personnes, dont 4 chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/> (11 fin 2011<ref name="insee-dossier-local8"/>). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (75 %)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement hors de la commune (68 %)<ref name="insee-dossier-local7"/>.
En 2011, l’agriculture maintient deux emplois salariés, sur 4 établissements<ref name="insee-dossier-local15" />. Le secteur secondaire n’est représenté que par une seule entreprise<ref name="insee-dossier-local15"/>. Enfin, les 16 autres établissements de la commune recensés par l’Insee appartiennent au secteur tertiaire<ref name="insee-dossier-local15"/>.
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 4 établissements au sens de l’Insee<ref name="insee-dossier-local15"/>.
De 1988 à 2000, le nombre des exploitations agricoles décroît, passant de 8 à 5. La surface agricole utile (SAU) suit le même mouvement, passant de 338 à Modèle:Unité<ref name="exploitations-insee"/>. Mais la déprise agricole semble stoppée : le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est resté stable dans les années 2000, à 5, uniquement des exploitations de grandes cultures<ref name="otex"/>. De manière complémentaire, la surface agricole utilisée a augmenté d’un tiers pour passer à Modèle:Unité, soit plus qu’en 1988, consacrés en totalité aux grandes cultures<ref name="otex"/>.
La commune est située dans le périmètre de production de l’huile d'olive de Provence AOC<ref name="Décret Huile Provence"/>, mais aucune exploitation ne s’est spécialisée dans cette production dans la commune<ref name="otex"/>.
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 1 établissement, sans effectif salarié<ref name="insee-dossier-local15"/>.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, service) comptait 10 établissements (avec 1 emploi salarié), auxquels s'ajoutent six établissements administratifs (salariant une personne)<ref name="insee-dossier-local15"/>.
D'après l'Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre 1 et 5 touristes accueillis pour un habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>. Les capacités d'hébergement de la commune consistent en :
- des meublés<ref name="atlas-hébergement32"/> ;
- des chambres d’hôtes<ref name="atlas-hébergement38"/> ;
- des résidences secondaires au nombre de 23, soit un tiers des logements de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Architecture civile
Le château date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur des Modèle:Refnec. Les voûtes des étages inférieurs sont du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Collier250"/>. Sur plan rectangulaire, il n’a conservé qu’une seule tour<ref name="Collier254"/>. Modèle:Refnec
La mairie, installée dans le presbytère, contient une cheminée remarquable en gypserie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de petite taille ; c’est un cas assez rare de manteau de cheminée en gypserie dans une demeure roturière<ref name="gypserie"/>.
Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, plusieurs moulins à aubes étaient en activité sur les rives du Largue, et de l'Aiguebelle. On peut encore voir leurs bassins de retenue et leurs biefs (Le Paraire, le moulin de la Combe, le moulin Brun, Le moulin Bas, le moulin du Plan)<ref>Aunenas-les-Alpes sur le site Luberon-tourisme</ref>.
Il se trouve encore sur la commune un pigeonnier en forme de tour, au Moulin<ref name="Collier444"/>.
Au hameau du Paraire plusieurs maisons Renaissance possèdent encore leurs fenêtres à meneaux et linteaux<ref>À voir à Aubenas-les-Alpes</ref>.
Art religieux
L'église de l’Assomption de la Vierge, et le presbytère sur la place ombragée par des marronniers centenaires, sont les derniers vestiges du village médiéval<ref name="Alpes49"/>. L'église est en partie romane et reconstruite en partie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Son clocher à arcades date du Moyen Âge (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Collier78"/>). Des peintures murales du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont été récemment dégagées dans la nef et restaurées.
- Ornements de l’église de l’Assomption.
-
Le chœur est orné d'un autel Modèle:S mini- et d'un tableau représentant l'Assomption de la Vierge.
-
Détail du tableau de l'Assomption de la Vierge, dans le chœur : les visages sont les mêmes que ceux de la fresque de l'autel de la Vierge de la même église. Un peintre facétieux a doté un des angelots d'un nez d'ivrogne.
-
Chapelle de la Vierge.
-
La frise ancienne évoque le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle.
-
Vitrail moderne.
Modèle:Message galerie-Commons
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, Modèle:2e 1989, p. 14.
Articles connexes
- Toponymes : Aubenas-les-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Berre-les-Alpes (Alpes-Maritimes), Bézaudun-les-Alpes (Alpes-Maritimes), Châteauroux-les-Alpes (Hautes-Alpes), Colmars-les-Alpes (nom d'usage, Alpes-de-Haute-Provence), La Salle-les-Alpes (Hautes-Alpes) et Saint-André-les-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence)
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Huile d'olive de Provence AOC