Châteaugiron
Modèle:Infobox Commune de France
Châteaugiron est une commune nouvelle située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, formée en 2017 par la fusion des anciennes communes de Châteaugiron, Saint-Aubin-du-Pavail et Ossé<ref name="AP-Fusion"/>.
En Modèle:Population de France/dernière année, avec Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année, légale en {{#expr:Modèle:Population de France/dernière année+3}}.</ref>, elle est la Modèle:10e la plus peuplée d’Ille-et-Vilaine et la Modèle:36e de Bretagne.
Géographie
Localisation
Châteaugiron est une commune nouvelle périurbaine située dans le Pays de Rennes, au sud-est de Rennes, à quelques kilomètres de l'entrée du noyau urbain.
Elle est située à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Rennes, Modèle:Unité au nord de Nantes et une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Laval
Communes limitrophes
Espace naturel
Le site de la Glaume est une enclave naturelle au cœur de la cité de Châteaugiron, zone humide. Une grande diversité végétale sert d'habitat à nombre d'espèces animales comme la bécassine des marais, le martin-pêcheur d'Europe. Ce site se situe entre le bas du centre-ville (rue Saint-Nicolas) et le lotissement de Rochaude (rue d'Alsace).
L'étang situé au bas de Châteaugiron est un lieu de promenade très prisé des habitants de la commune.
En 2021, une sculpture à pris place dans l'étang afin de créer un lien avec le Chateau.
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L'étang.
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La Glaume.
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sculpture d'Olivier Valla
Hydrographie
L'Yaigne<ref>[1]</ref> est une rivière qui prend sa source à Cornillé, en Ille-et-Vilaine, traverse Châteaugiron et son étang au pied du château. Elle se jette dans la Seiche<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Nouvoitou. Elle fait Modèle:Unité de longueur.
Le Rimon est un petit ruisseau qui prend sa source au nord du bourg de Domloup. Il fait office de séparation avec Domloup sur une longueur de Modèle:Unité. Il se jette dans l'Yaigne au bout de ses Modèle:Unité. La longueur de son cours d'eau fait Modèle:Unité.
Plusieurs autres ruisseaux drainent le territoire communal et se jettent dans l'Yaigne.
Voies de communication et transports
Modèle:... Le nord du territoire communal est traversé par la LGV Bretagne-Pays de la Loire, mais la gare la plus proche est celle Noyal - Acigné.
Châteaugiron est reliée aux villes voisines par un dense réseau de routes départementales, et notamment la RD 463 qui la relie à Rennes. Modèle:Article détaillé
La commune est desservie par les cars du réseau interurbain régional BreizhGo :
- ligne 3a : Rennes Gare Routière <> Châteaugiron <> La Guerche-de-Bretagne ;
- ligne 3b : Rennes Poterie <> Châteaugiron <> Piré-sur-Seiche.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Châteaugiron est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Châteaugiron, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Morphologie urbaine
Avant 1971, avec ses Modèle:Unité, la commune de Châteaugiron était la plus petite commune d'Ille-et-Vilaine devant Bécherel. Le Modèle:Date-, les communes de Veneffles et Châteaugiron fusionnent. Cette dernière annexe également une partie de Domloup, le quartier de la rue Dorel et une partie de Noyal-sur-Vilaine, le quartier du Bas-Noyal. La commune passe de Modèle:Unité à Modèle:Unité et de 1674 habitants à 2402 habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Durant les années suivantes la commune annexa d'autres parties de Domloup pour passer à Modèle:Unité en 2016. Au Modèle:Date-, la commune de Châteaugiron fusionna avec Ossé et Saint-Aubin-du-Pavail pour devenir la commune nouvelle de Châteaugiron. En 36 ans, la commune est donc passée de Modèle:Unité à Modèle:Unité.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Castro Gironis en 1152<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Le nom de Châteaugiron vient du seigneur de Giron, fils du chevalier Anquetil ou Ansquetil, mort en 1039<ref>Alexis Garnier, Notice historique sur Châteaugiron</ref>, fondateur de la ville. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Giron<ref>Modèle:Cassini-Ehess.</ref>.
En gallo, langue locale, Châteaugiron se nomme Chaojon ou Chiaojon<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, prononcés respectivement [ʃaʊ̆ʒɔ̃] ou [ʃjaʊ̆ʒɔ̃]<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
Une longue occupation rurale aux origines de Châteaugiron : des enclos gaulois (IIIe siècle avant notre ère - Ier siècle de notre ère), des vestiges d'habitat gallo-romain (Ier-IVe siècles) dont une nécropole à incinération et une remarquable statuette de centaure<ref>[2]</ref>, des traces d'activités artisanales médiévales ({{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: IX|-| – | IX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles
}}), restituent mille ans de la vie du village<ref>[3]</ref>.
Moyen Âge
Le premier seigneur Ansquetil vivait en 1030 et son fils aîné et successeur Giron {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} du château-Ansquetil noble, miles dom et moine est mort au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. c'est lui qui laisse son nom au château et à la petite localité qui se développe autour. En 1086-1114 on trouve la mention du « castrum Ansquetil in domo eiusdem Gironis » Modèle:Article détaillé
Une célèbre enluminure de la première grande histoire de Bretagne de Pierre Le Baud<ref>Pierre Le Baud, Compilation des Chroniques et histoires des Bretons, 1480-1482, Paris, BnF, département des Manuscrits, Français 8266 fol. 281</ref> représente le château de Châteaugiron. Cette enluminure d'un manuscrit de la BNF<ref>Enluminure de la BNF</ref> a été longtemps le sujet d'une polémique quant aux événements qu'elle évoque et au château qu'elle représente. Un ouvrage de 2009 de Stéphanie Vincent<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, docteur en littérature et spécialiste de l'iconographie médiévale, à la suite d'une étude méthodique du document, nous éclaire : le château représenté est bien celui de Châteaugiron. On y apprend également la chronologie des modifications subies par la forteresse et de petites histoires de la ville comme l'arrivée somptueuse d'Hélène de Laval épouse de Jean de Derval seigneur du lieu, dans la bourgade.
En 2009, la ville fêtait son millénaire. Elle participe au projet d'inscription à l'UNESCO des Marches de Bretagne.
Époque moderne
En 1591, pendant les Guerres de la Ligue, Châteaugiron, place protestante, fut pillé sept fois en 1589, deux fois en 1590<ref name="dia">Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>. « Champeaux, Châtillon, Izé, Étrelles, La Guerche, Domagné, Châteaugiron furent dévastés par les marches et collision [combats] des deux partis »<ref>Édouard Frain, "Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux «Familles de Vitré»", 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54086453/f100.image.r=Domagn%C3%A9</ref>.
Révolution française
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La production de "noyales" (toiles à voiles), concentrée dans une quarantaine de paroisses situées par la plupart au sud-est de Rennes, les principales étant Châteaugiron, Piré et Noyal (paroisse qui leur a donné leur nom), double, passant de 9 500 à Modèle:Nombre, pendant la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>"Histoire de la Bretagne et des pays celtiques", tome 3, "La Bretagne Province", Skol Vreiz, 1986</ref>.
Une manufacture appartenant au sieur Desbouillons est créée en 1824 à Châteaugiron, dans le prieuré Sainte-Croix ; elle contient 76 métiers à tisser, et la manufacture a compté jusqu'à Modèle:Nombre ; elle achète les récoltes de chanvre sur les marchés de Châteaugiron et de Janzé et produit annuellement de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr pièces de toile de Modèle:Unité chacune, destinées tant à la marine royale qu'à la marine marchande. La manufacture Desbouillons ferme en 1850. En 1852, le Conseil général d'Ille-et-Vilaine lance un cri d'alarme : « l'industrie des toiles du département, jadis florissante, est devenue très peu lucrative ». En 1867 Auguste Marchand, maire de Châteaugiron, déclare que « dans le département il n'y a pas d'agglomération où il y ait autant de misères et en même temps aussi peu de personnes aisées ». Entre 1846 et 1906, Châteaugiron perd 35% de sa population, passant de Modèle:Nobr habitants en 1846 à Modèle:Nobr habitants en 1906<ref>Monique Le Charlès, Au temps des noyales, in "Du lin à la toile. La proto-industrie textile en Bretagne", sous la direction de Jean Martin et Yvon Pellerin, Presses universitaires de Rennes, 2008, Modèle:ISBN.</ref>.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle on compte à Châteaugiron une trentaine de marchands de toile. Une grande halle est construite au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (la vente des toiles se faisait jusque-là en plein air)<ref>Monique Le Charlès, Au temps des noyales, sous la direction de Jean Martin et Yvon Pellerin, "Du lin à la toile. La proto-industrie textile en Bretagne", Presses universitaires de Rennes, 2008</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
La ligne des Tramways d'Ille-et-Vilaine allant de Rennes à La Guerche et passant par Châteaugiron fut mise en service en juin 1904<ref>Journal Ouest-Éclair Modèle:N° du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0</ref>. La ligne ferma en 1947.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de Modèle:Nombre morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le petit séminaire Sainte-Croix
Le petit séminaire Sainte-Croix est installé par le diocèse de Rennes en 1908 dans l'ancien couvent des Ursulines. Les locaux sont agrandis à deux reprises pendant l'Entre-deux-guerres, successivement par les architectes Arthur Regnault et Hyacinthe Perrin. Entre 1911 et 1960, 90 % des élèves du petit séminaire de Châteaugiron sont fils de paysans, d'ouvriers ou d'artisans<ref name="dia" />. Il ferme en 1973, remplacé par l'ensemble scolaire Sainte-Croix<ref>http://www.circuitsdupatrimoine.fr/poi/sainte-croix/</ref>.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name="memorialgenweb.org">Modèle:Lien web.</ref>.
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat originaire de Châteaugiron (Michel Duroudier) est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie<ref name="memorialgenweb.org"/>.
Politique et administration
Afin d'éviter une baisse des dotations de l'État, les communes Châteaugiron, Saint-Aubin-du-Pavail et Ossé ont décidé de se réunir sous le régime de la commune nouvelle, tout en conservant leur identité, la capacité à gérer leur territoire<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>, dans le cadre d'une charte de fonctionnement<ref name="Charte">Modèle:Lien web.</ref>. Celle-ci fixe comme objectifs prioritaires de la nouvelle structure<ref name="Charte"/> :
- Préserver et développer un service public de proximité pour tous les habitants du territoire
- Permettre l’émergence d’une collectivité attractive des points de vue économique, de l’habitat, des équipements, des services et des activités, capable de porter des projets que chaque commune n’aurait pu ou difficilement porter seule
- Assurer une représentativité efficace du territoire auprès des services de l’Etat, des autres collectivités territoriales (Département, Région) et des partenaires institutionnels.
Malgré la demande de certains de voir organiser un référendum local sur cette question<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>, la fusion est entérinée par les conseils municipaux et définie par un arrêté préfectoral du 13 juin 2016<ref name="AP-Fusion">Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Rennes du département d'Ille-et-Vilaine<ref name="COG">Modèle:Lien web.</ref>.
Pour les élections départementales, la commune est le bureau centralisateur du canton de Châteaugiron<ref name="COG"/>, qui n'est plus, depuis la réforme de 2014, qu'une circonscription électorale. Modèle:Article détaillé. Pour les élections législatives, elle fait partie de la cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
La ville est le siège de la communauté de communes dénommée Pays de Châteaugiron Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre auquel appartenaient les trois communes avant leur fusion.
Tendances politiques et résultats
Communes déléguées
Liste des maires
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Pour la liste des maires des anciennes communes de Châteaugiron, d'Ossé, de Saint-Aubin-du-Pavail et de Veneffles, voir les articles correspondants.
Jumelages
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe {{#invoke:Démographie|demographie}}
Enseignement
- École maternelle publique Le Centaure
- École primaire publique la Pince-Guerrière
- Collège public Victor-Segalen
- École et collège privé Sainte-Croix
- École privée Saint-Pascal à Ossé
- École privée Saint Jean-Baptiste à Saint-Aubin-du-Pavail
- La construction d'un lycée a été votée par la Région le 13 juin 2018. La construction devrait commencer en 2025 et l'ouverture avoir lieu "dans une dizaine d'années"<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sports
Modèle:Section à actualiser La ville de Châteaugiron possède :
- un stade de football, composé de cinq terrains dont un stabilisé, trois en herbe, et un terrain synthétique ;
- une salle de tennis et de ping-pong ;
- une salle et des terrains de basket-ball ;
- une salle de judo et sport de combat ;
- une salle de roller/handball ;
- un complexe aquatique intercommunal nommé Inoxia.
Cultes
La paroisse catholique de Châteaugiron a été fusionnée au sein de la paroisse de Saint-Luc en pays de Châteaugiron<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Cette paroisse est composée de six communautés :
- de Châteaugiron (communauté de Sainte-Marie-Madeleine) ;
- de Domloup (communauté de Saint-Loup) ;
- de Nouvoitou (communauté de Saint-Martin de Tours) ;
- d'Ossé (communauté de Saint-Sulpice) ;
- de Saint-Aubin-du-Pavail (communauté de Saint-Aubin) ;
- de Veneffles (communauté de Saint-Médard).
La paroisse est rattachée au doyenné de Cesson<ref>http://www.dcesson35.cef.fr</ref> et fait partie du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo<ref>http://catholique-rennes.cef.fr/?-L-Eglise-en-Ille-et-Vilaine-</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Modèle:Section à actualiser La commune nouvelle abrite un seul monument historique protégé :
- le château de Châteaugiron, édifié entre les {{#switch: XVIII
| e | er | = {{#switch: XVIII
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Il abrite l'hôtel de ville.
On trouve de nombreux autres édifices patrimoniaux, dont plus de Modèle:Nombre inventoriés :
- la chapelle du château, dédiée à Marie-Madeleine, après plus de Modèle:Nombre de rénovation, elle a ouvert en juin 2015 en tant que centre d'art contemporain « Les 3 Cha »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le centre d’art s’insère aussi dans le réseau culturel innovant du territoire. Il fait partie du réseau a. c. b – art contemporain en Bretagne. Angela Glajcar, Mai Tabakian, Elodie Boutrie ont notamment été invités à exposer et proposer des installations in situ pour le lieu.
- les anciennes halles, qui abrite la médiathèque de la ville ;
- l'église Sainte-Madeleine<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Les 3 Cha, centre d’art qui a ouvert ses portes en 2015 au cœur de l’ancienne chapelle du château de Châteaugiron. À raison de quatre à cinq expositions par an, il donne une occasion pour les différents publics de découvrir ce morceau de patrimoine et de se familiariser avec l’art contemporain et ses spécificités.
- L'école de musique, danse et théâtre Paul le Flem, qui se trouve dans une ancienne ferme.
-
Les halles.
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L'église.
-
La chapelle du château.
-
Donjon du château.
-
Le château de Châteaugiron.
- Le monument aux morts est situé près de l'église <ref>MémorialGenWeb.</ref>
- Monument aux morts du cimetière avec les inscriptions des morts<ref>MémorialGenWeb.</ref>
Personnalités liées à la commune
- René-Charles-Hippolyte Le Prestre de Chateaugiron (1774-1848), militaire, diplomate, homme de lettres et politique
- Julien Gourdel (1804-1846), né à Veneffles rattachée à la commune, sculpteur
- Paul Duplessis (1819-1861), né dans la commune, écrivain
- Pierre Gourdel (1824-1892), né dans la commune, sculpteur
- François-Xavier Leray (1825-1887), Modèle:2e évêque d'Alexandrie en Louisiane puis Modèle:4e archevêque de la Nouvelle-Orléans.
- Jules Ronsin (1867-1937), artiste peintre, directeur de l'École régionale des beaux-arts de Rennes, ainsi que du Musée des beaux-arts de Rennes, natif de la commune.
- François Guérault (1874-1930), né dans la commune, fils de boulanger, conseiller général de Châteaugiron, député de Rennes-Sud (1928-1930)<ref>Modèle:Article, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>,<ref>Modèle:Base Sycomore.</ref>.
- Morvan Marchal (1900-1963), nationaliste breton qui dessina le drapeau moderne de la Bretagne, le Gwenn-ha-Du, est enterré au cimetière de Châteaugiron
- Léon-Paul Ménard (1946-1993), né à Châteaugiron, coureur cycliste professionnel. Il a participé au Tour de France 1972.
- Héloïse Martin (1996-), actrice, née dans la commune.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Georges Dussaud, Michel Mauger, Châteaugiron, Rennes, éditions Apogée, 2006, 47 p.
- Michel Mauger, Aristocratie et mécénat en Bretagne. Jean de Derval, seigneur de Châteaugiron, bâtisseur et bibliophile, Rennes, Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, 2013, 230 p.
- Modèle:Ouvrage. Prix des Lauriers Verts 2009 catégorie "Recherche".