Hassan II
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique
Modèle:Monarque- (en arabe : Modèle:Langue al-Ḥasan ath-thānī et en berbère : ⵃⴰⵙⴰⵏ ⵡⵉⵙ ⵙⵉⵏ Ḥasan wis sin), né le Modèle:Date de naissance à Rabat et mort le Modèle:Date de décès dans la même ville, est roi du Maroc du Modèle:Date- à sa mort.
Après son père Modèle:Monarque, Modèle:Monarque- est le vingt-et-unième monarque de la dynastie alaouite, qui règne sur le Maroc depuis le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et le deuxième qui ait porté le titre de roi (malik), au lieu de celui de sultan. Il est l’un des pères fondateurs de l’Union africaine<ref>https://maroc-diplomatique.net/addis-abeba-photo-geante-de-feu-sm-hassan-ii-pere-fondateur-de-loua-accrochee-a-linterieur-de-lenceinte-de-lua/</ref> et de l’Union du Maghreb<ref>https://www.courrierinternational.com/article/2009/04/09/l-union-du-maghreb-arabe-vingt-ans-de-blocages</ref>.
Il est enterré au [[mausolée Mohammed-V|mausolée Modèle:Monarque-]] de Rabat, où reposent son père et son frère Moulay Abdellah. Son fils Sidi Mohammed lui a succédé sous le nom de Modèle:Monarque.
Jeunesse
Formation
Appelé Moulay Hassan en tant que prince héritier (variantes : Moulay El Hassan<ref name="communiqué">Voir le communiqué officiel en français reproduit dans Modèle:Article. Il y est écrit : Modèle:Citation (couramment appelé ainsi avant qu'il ne devienne roi).</ref>, Moulay Al Hassan<ref name="communiqué" />), il est le fils du sultan et futur roi Mohammed V et de Lalla Abla bent Tahar. Le prince reçoit, au palais royal de Fès, les premiers enseignements de la science coranique, auprès de professeurs comme Moulay Tayeb el-AlaouiModèle:Référence nécessaire. Il suit sa scolarité au Collège royal de Rabat où il a, durant plusieurs années, Mehdi Ben Barka comme professeur de mathématiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il y obtient son baccalauréat en 1948<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Moulay Hassan suit ses études universitaires à Rabat au Centre des Hautes Etudes marocaines, rattaché à la faculté de Bordeaux<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, d’où il est licencié en droit en 1951<ref name=":4">Modèle:Ouvrage</ref>. Il est diplômé des hautes études de droit civil de la faculté de Bordeaux en 1952<ref name=":4" />. Il était étudiant en doctorat à la Faculté de droit de Bordeaux<ref name=":5">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=":6">Modèle:Ouvrage</ref> lorsqu’en août 1953 survint l’exil de sa famille<ref name=":5" /> qui dura jusque novembre 1955. Devenu roi, le 25 juin 1963 le doyen Lajugie lui remit les insignes de docteur honoris causa de l’université de Bordeaux<ref name=":6" />.
Prince héritier
Moulay el-Hassan est très tôt initié aux arcanes du pouvoir et de la diplomatie. En 1943, il assiste, aux côtés de son père, à la conférence d'Anfa où il rencontre Winston Churchill et Franklin Roosevelt. Cette conférence des Alliés se tenait à la veille de la libération de l'Europe.
En 1947, le prince participe au voyage historique de Mohammed V à Tanger et assiste au discours de son père qui, alors qu'il s'était accommodé de façon pragmatique pendant des années du statut de protectorat, prend conscience (sous l'influence de Roosevelt) de la portée des mouvements indépendantistes à travers le monde, réclame l'indépendance du pays, son unité, son intégrité territoriale et son adhésion à la Ligue arabe. Il lance lui-même un appel aux jeunes les invitant à se mobiliser pour la libération. En 1952, il participe au discours du Trône, considéré comme la charte du nationalisme marocain contre le protectorat.
L'année suivante, il est exilé avec le sultan en Corse à Zonza, puis à Madagascar, avant de rentrer le Modèle:Date.
L'indépendance acquise en 1956, son père le nomme chef d'état-major des forces armées royales Modèle:Incise avant de le proclamer officiellement prince héritier le Modèle:Date.
Roi du Maroc
Accession au trône
Le Modèle:Date-, à la mort de Modèle:Monarque-, Moulay el-Hassan est proclamé roi du Maroc sous le nom de Modèle:Monarque-.
Début de règne
Dès son ascension au pouvoir, Hassan II décide de s’appuyer sur l’élite politique, administrative et militaire formée par la France à partir des années 1930. Celle-ci, généralement francophile et résolument anti-istiqlalienne, comprend notamment Mohamed Oufkir<ref name=":1"/>. Il recrute, en tant que secrétaire personnelle, la républicaine espagnole Paquita Gorroño, l'une des figures de l'exil républicain à Rabat, qui travaille auprès de lui depuis 1956<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En Modèle:Date-, il fait adopter une constitution sur mesure, mal acceptée par les partis politiques — le roi, proclamé commandeur des croyants, est une personnalité « inviolable et sacrée ».
Une vague de répression s'abat alors sur l'opposition de gauche, suivie, après les émeutes de Casablanca et au Rif en 1965, par cinq ans d'état d'exception. En Modèle:Date-, un mouvement des lycéens, encadré par l’Union nationale des étudiants du Maroc (Unem), est lancé pour protester contre une loi du ministre de l’éducation, Youssef Belabes, limitant l’âge de l’accès aux lycées par interdiction de redoubler le brevet pour les plus de 16 ans<ref name=":1"/>,<ref name=":3"/>. Ces protestations sont réprimées avec violence : des centaines de jeunes sont tués en quelques jours, le bilan s’élèverait à plus de mille morts selon la presse étrangère et l’Unfp<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=":3">Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date- de cette même année, Mehdi Ben Barka, est enlevé au boulevard Saint-Germain à Paris (devant la brasserie Lipp), puis secrètement assassiné. De nombreux militants de l'Unfp sont emprisonnés et certains dirigeants du parti sont condamnés à mort<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Dans le même temps, il poursuit l'unification du royaume et la consolidation de son indépendance et de son intégrité territoriale : libération de la province de Tarfaya (1958) et de l'ancienne colonie espagnole, la province de Sidi Ifni (1969)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Pour Hassan II, le danger viendra ensuite de l'armée.
Le Modèle:Date, alors qu'il organise une réception à l'occasion de son anniversaire, près de 1200 soldats<ref>Voir sur actuel.ma.</ref> pénètrent dans les enceintes du palais royal de Skhirat, faisant plus d'une centaine de morts (dont l'ambassadeur belge, Charles Guetta, plusieurs généraux etc), dans une tentative de coup d'État supposément menée par le lieutenant-colonel M'hamed Ababou et l'aide de camps du roi le général Medbouh mais dont la découverte postérieure de l'implication bien plus large de l'armée<ref>Modèle:Article</ref> conduira à une réorganisation complète de celle-ci.
Le Modèle:Date, c'est le général et ministre de l'Intérieur et de la Défense Mohamed Oufkir qui monte une attaque aérienne contre l'avion du souverain alors que celui-ci rentre d'un voyage en France. Oufkir, selon la thèse officielle, se suicide (pourtant, on retrouvera sa dépouille avec cinq balles dans le dos). À chaque fois, Hassan II en réchappe. Il faudra attendre encore trois ans pour que le roi trouve enfin un terrain d'entente avec son opposition, son armée et, sans doute, son peupleModèle:Refnec.
Il emprisonnait certains de ses opposants, et leurs familles, et les faisait torturer dans les caves de la Sûreté à Rabat<ref>Jeanne Fouet-Fauvernier, Écritures de la survie en milieu carcéral. Autobiographies de prisonniers marocains des « années de plomb », L’Harmattan, Paris, 2019, 304 p.</ref>,<ref> Arezki Metref, Modèle:", Le Monde diplomatique mai 2020, p. 25.</ref>.
Selon le média Orient XXI<ref name=":1" />, en 1975, Alexandre de Marenches, directeur du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage français (SDECE) aurait imaginé la « marche verte » (en direction de la colonie espagnole du Sahara occidental) comme moyen de mobilisation du peuple marocain autour de son monarque. Elle permettrait également à ce dernier de se débarrasser d’une partie de l’armée marocaine, perçue comme une menace potentielle<ref name=":1"/>.
Politique étrangère
Sur les questions diplomatiques, il est proche des États-Unis sans pour autant s'opposer frontalement à l'Union soviétique. Il adopte par ailleurs une approche ambiguë au sujet des conflits opposant Israël à certains pays arabes. D'après Modèle:Langue pour le journal Modèle:Langue, il aurait fait enregistrer au profit du Mossad les travaux d’une réunion secrète des dirigeants arabes destinée à évaluer leurs capacités militaires ; enregistrements qui seront déterminants pour Israël lors de la guerre des six jours<ref name=":2" />. En revanche, il envoie en 1973 au Golan un contingent se battre aux côtés des Syriens lors de la guerre d'octobre 1973<ref name=":2">Modèle:Lien web.</ref>.
Le Modèle:Date, lors du Modèle:20e de l'Organisation de l'unité africaine, le roi suspend l'adhésion du Maroc par l'intermédiaire d'un membre de la délégation marocaine en protestation contre l'admission de la RASD au sein de l'institution<ref name=ja357>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Il entre en conflit aussi avec le président burkinabé Thomas Sankara en raison de la décision de celui-ci de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il entretient de très bons rapports avec la France, y compris avec une partie de son élite médiatique et financière. Ainsi, en 1988, le marché de la grande mosquée de Casablanca, un projet considérable financé via des contributions obligatoires, est accordé à son ami Francis Bouygues, l'un des plus puissants hommes d'affaires français<ref name=":1" />. Son image en France est écornée après la parution en 1990 de Notre ami le roi de Gilles Perrault, dans lequel l'écrivain décrit les conditions de détention au bagne de Tazmamart, la répression visant les opposants de gauche et Sahraouis, les assassinats politiques, mais aussi la situation sociale et la pauvreté dans laquelle vit la majorité des Marocains<ref name=":1"/>.
Islam, christianisme et judaïsme au Maroc
En ce qui concerne les chrétiens, Hassan II accomplit un geste qui n'était pas seulement un symbole. En effet, il admit monseigneur Norbert Calmels (1908-1985), un dignitaire du Vatican et ami du roi, à l'Académie royale. Cet ecclésiastique originaire du département de l'Aveyron, en France, était chargé d'opérer le rapprochement entre l'islam et le christianisme. Aujourd'hui, le clergé catholique, quoique réduit, est non seulement libre d'exercer son culte, mais est également rétribué par les pouvoirs publicsModèle:Référence nécessaire.
L'initiative la plus spectaculaire, fut l'invitation adressée au pape Jean-Paul II à venir visiter le Maroc. Le Modèle:Date, au grand stade de Casablanca, le souverain pontife s'est adressé à plus de 80 000 jeunes Marocains en affirmant que les Modèle:CitationModèle:Refnec.
Hassan II citait souvent ce verset du Coran (sourate 29:46 "Al-Ankabut", l'Araignée) qui signifie : Et ne discute que de la meilleure façon avec les gens du livre, sauf ceux qui sont injustes. Et dites:« nous croyons en ce qu'on a fait descendre vers nous et descendre vers vous,tandis que notre Dieu et votre Dieu sont le même(Un Dieu unique),et c'est à lui que nous nous soumettons»<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La communauté juive marocaine comptait plusieurs centaines de milliers de personnes et était présente au Maroc depuis le Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle Après la proclamation de l’État d’Israël en 1948, les relations se tendent et des émeutes antijuives éclatent à Oujda et à Djerada. Ces événements conduisent environ 60 000 juifs à quitter le Maroc pour Israël entre 1955 et 1956. Ces départs se poursuivent jusqu’à ce qu’en 1961, le roi Hassan II autorise officiellement les juifs marocains à émigrer en Israël. Environ 80 000 d'entre eux, généralement très pauvres, partent à la suite de l'autorisation du roi<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Enfin, après la guerre israélo-arabe de 1973, dans un climat de plus en plus hostile, 40 000 juifs du Maroc partent s’installer en France. Il résulte de ces différentes vagues migratoires que le Maroc ne compte aujourd'hui plus qu'un nombre infime de personnes de confession juive, estimé à environ 3000, qui vivent aujourd'hui principalement dans la région de Casablanca<ref>Modèle:Chapitre</ref>.
Fin de règne et mort
Son portrait apparaît dans tout le pays, sur les avenues, chez les commerçants qui peuvent être inquiétés par la police s'il n'est pas bien mis en évidence<ref>Modèle:Lien web</ref>. Mais ce ne sera qu'à la fin des années 1980, après une nouvelle série d'émeutes (au nord particulièrement, région plongée dans la précarité) et la montée en force de l'islamisme, que son régime commence lentement à se libéraliser. Les réformes constitutionnelles de 1992 et 1996 atténuent ainsi le caractère absolutiste de la monarchie. En février 1998, enfin, Hassan II nomme un opposant de toujours, le socialiste Abderrahman el-Youssoufi, au poste de Premier ministre chargé d'assurer « l'alternance ».
Parmi les actions emblématiques menées par le roi, on compte la politique de l'eau, avec la construction de grands barrages dans le pays afin de garantir l'approvisionnement en eau de la population, de l'agriculture, de l'industrie, etc<ref>Maroc, la mobilisation des eaux de surface par les barrages</ref>. Grâce à cette politique, le Maroc compte 139 grands barrages (2015) avec une capacité de mobilisation des eaux de surface égale à 17,6 milliards de mètres cubes. Cette politique se poursuit toujours avec, en moyenne, la mise en exploitation de 2 à 3 nouveaux barrages chaque année<ref>Bilan de la politique de l'eau au Maroc (fr)</ref>. L'un des barrages construits à l'est du pays dans le cadre de ce plan fut baptisé barrage Hassan II.
À partir des années 1990, une opération de grande envergure pour la privatisation des entreprises publiques est menée par le roi et André Azoulay, le conseiller économique de la monarchie. Le groupe français Accor a ainsi pu acquérir 6 hôtels de la chaîne marocaine Moussafir et la gestion du palais Jamaï de Fès. Cette opération de privatisation permet d’une part aux notables marocains proches du pouvoir de contrôler les entreprises publiques les plus en vue, et, d’autre part, aux sociétés françaises d’opérer un retour en force dans l'économie du pays<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. La famille royale acquiert notamment le groupe minier Monagem<ref name=":0" />. Hassan II meurt le Modèle:Date.
Obsèques et inhumation
Modèle:Article détaillé Les funérailles du roi Hassan II à Rabat le Modèle:Date furent l'occasion de grandes manifestations de ferveur populaire et de soutien à la monarchie. Lors de la procession funèbre, le cortège est enveloppé par une masse de deux et demi à trois millions de personnes venues rendre un dernier hommage à leur roi. Cet événement est retransmis en direct par plus de 80 chaînes de télévision, dont les principales chaînes arabes et occidentales, représentant 65 pays. Des délégations et des représentants de plus de 60 pays viennent à Rabat pour lui rendre un dernier hommage. Plusieurs chefs d'État participent aux obsèques et font partie du cortège funéraire. Hassan II repose depuis dans le mausolée de son père à Rabat, avec son frère cadet Moulay Abdellah.
Famille
Le père d'Hassan II est Mohammed V du Maroc, sa mère Lalla Abla bint Tahar.
Hassan II a cinq sœurs et un frère :
- la princesse Lalla Fatima Zohra, née le Modèle:Date-, (du premier mariage de Mohammed V avec Modèle:Lien) morte le Modèle:Date- ;
- la princesse Lalla Aicha, née le Modèle:Date- à Rabat morte le Modèle:Date- (du second mariage de Mohammed V avec Lalla Abla) ;
- la princesse Lalla Malika, née le Modèle:Date- à Rabat, morte le 28 septembre 2021 (du second mariage de Mohammed V) ;
- le prince Moulay Abdallah, né le Modèle:Date- à Rabat, mort en 1983 (du second mariage de Mohammed V) ;
- la princesse Lalla Nezha, née en 1940 à Rabat, morte en 1977 (du second mariage de Mohammed V) ;
- la princesse Lalla Amina, née à Madagascar le Modèle:Date-, morte le Modèle:Date- à Fès des suites d'une longue maladie (du troisième mariage de Mohammed V du Maroc avec Lalla Bahia bint Antar morte en 2008).
Hassan II épousa Lalla Latifa Hammou le 9 novembre 1961 lors d'une double cérémonie nuptiale avec son frère Moulay Abdallah<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il eut cinq enfants avec son épouse, portant tous la qualification d'altesse royale :
- la princesse Lalla Meryem (26 août 1962) ;
- le prince Sidi Mohammed (21 août 1963), futur Mohammed VI ;
- la princesse Lalla Asmaa (29 septembre 1965) ;
- la princesse Lalla Hasnaa (19 novembre 1967) ;
- le prince Moulay Rachid (20 juin 1970).
Distinctions
Décorations
Modèle:Infobox Adresse monarchique
Décorations marocaines
- Fichier:Noribbon.svg Grand maître de l’ordre de Mahomet
- Fichier:MAR Order of the Throne - 4th Class BAR.png Grand maître de l’ordre du Trône
- Fichier:Order of the Independence Combat (1963).gif Grand maître de l’ordre de l'Indépendance
- Fichier:Ordre de l'Ouissam Alaouite Chevalier ribbon (Maroc).svg Grand maître de l’ordre du Ouissam alaouite
- Fichier:Order of Fidelity (Kingdom of Morocco).gif Grand maître de l’ordre de la Fidélité
- Fichier:MAR Order of the Military - 4th Class BAR.png Grand maître de l’ordre du Mérite militaire
- Fichier:Order of Civil Merit (Morocco).gif Grand maître de l’ordre national du Mérite
- Fichier:Order of Prosperity (Morocco).gif Grand maître de l’ordre national de Prosperity
Décorations étrangères
- Fichier:GER Bundesverdienstkreuz 9 Sond des Grosskreuzes.svg Grand-croix classe spéciale de l’ordre du Mérite de la République fédérale (Allemagne)
- Fichier:Spange des König-Abdulaziz-Ordens.png Grand collier de l'ordre d’Abdulaziz al Saoud (Arabie saoudite)
- Fichier:AUT Honour for Services to the Republic of Austria - 1st Class BAR.png Grande étoile de l’ordre du Mérite de la République (Autriche)
- Fichier:Wisam al-Khalifa 1st class.gif Grand collier de l’ordre des al-Khalifa (Bahreïn)
- Fichier:Grand Crest Ordre de Leopold.png Grand-cordon de l’ordre de Léopold (Belgique)
- Fichier:KHM Ordre Royal du Cambodge - Grand Croix BAR.png Grand-croix de l’ordre royal (Cambodge)
- Fichier:Order of the Elephant Ribbon bar.svg Chevalier de l’ordre de l'Éléphant (Danemark)
- Fichier:EGY Order of the Nile - Grand Cordon BAR.png Collier de l’ordre du Nil (Égypte)
- Fichier:Order of Union Sash.gif Grand collier de l’ordre d’Etihad (Émirats arabes unis)
- Fichier:ESP Alfonso X Order GC.svg Collier de l’[[Ordre d'Alphonse X le Sage|ordre civil d’Modèle:Souverain- le Sage]] (Espagne)
- Modèle:Déco CROCT (Espagne)
- Fichier:Legion Honneur GC ribbon.svg Grand-croix de la Légion d’honneur (France)
- Fichier:GRE Order Redeemer 1Class.png Grand-croix de l’ordre du Rédempteur (Grèce)
- Fichier:Ord.2River-ribbon.gif Grand-cordon de l’ordre des Deux Rivières (Irak)
- Fichier:Order of Pahlavi (Iran).gif Grand collier de l’ordre des Pahlavi (Iran)
- Fichier:Cordone di gran Croce di Gran Cordone OMRI BAR.svg Chevalier grand-croix avec collier de l’ordre du Mérite de la République italienne (Italie)
- Fichier:JOR Al-Hussein ibn Ali Order BAR.svg Grand collier de l’Modèle:Lien (Jordanie)
- Fichier:Order of Mubarak the Great (Kuwait) - ribbon bar.gif Grand collier de l’Modèle:Lien (Koweït)
- Fichier:Lebanese Order of Merit Extraordinary Grade.gif Grade extraordinaire de l’ordre du Mérite (Liban)
- Fichier:Order of Idris I (Libya) - ribbon bar.gif Grand-cordon de l’[[Ordre d'Idris Ier|ordre d’Modèle:Souverain-]] (Libye)
- Fichier:MLI National Order - Grand Cross BAR.png Grand-croix de l’ordre national (Mali)
- MRT Grand Cross Order of National Merit Grand-cordon de l'ordre du Mérite national (Mauritanie)
- Fichier:CivilOrderOman.png Grand collier de l'Modèle:Lien (Oman)
- Fichier:Grand Collar of the Order of the State of Palestine ribbon.svg Grand collier de l'État de Palestine (Palestine)
- Fichier:NLD Order of the Dutch Lion - Grand Cross BAR.png Chevalier grand-croix de l’ordre du Lion néerlandais (Pays-Bas)
- Fichier:Ord.Nishan-i-Pakistan.ribbon.gif Classe spéciale de l’Modèle:Lien (Pakistan)
- Modèle:Déco Grand collier de l'ordre de Sant'Iago de l'Épée (Portugal)
- Fichier:PRT Order of Prince Henry - Grand Collar BAR.png Grand-croix avec collier de l’ordre du Prince Henri (Portugal)
- Fichier:PRT Military Order of the Tower and of the Sword - Grand Cross BAR.png Grand collier de l’ordre de la Tour et de l'Épée (Portugal)
- Fichier:Order of Independence (Qatar) - ribbon bar.gif Grand collier de l’ordre de l’Indépendance (Qatar)
- Fichier:Order of the Bath UK ribbon.svg Chevalier honoraire grand-croix de l’ordre du Bain (Royaume-Uni)
- Fichier:UK Royal Victorian Order honorary member ribbon.svg Chevalier honoraire grand-croix de l’ordre royal de Victoria (Royaume-Uni)
- Fichier:Seraphimerorden ribbon.svg Chevalier de l'ordre du Séraphin (Suède)
- Order of the Two Niles (Sudan) - ribbon bar Collier de l’ordre des Deux Nils (Soudan)
- Fichier:Order Of Ummayad (Syria) - ribbon bar.gif Grand-cordon dans l'ordre des Omeyyades (Syrie)
- Fichier:Order of the Republic (Tunisia) - ribbon bar.gif Grand-cordon avec collier de l’ordre de la République (Tunisie)
- Fichier:Order of 7th November 1987.gif Grand collier de l'ordre du 7-Novembre (Tunisie)
- Fichier:Order of the Yugoslavian Great Star Rib.png Grand-cordon l'ordre de l'Étoile (Yougoslavie)
Honneurs
Il a obtenu plusieurs doctorats honoris causa :
- Université Cheikh-Anta-Diop (Modèle:Pays, 1964)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Université du Caire (Modèle:Pays)
- Université de Bordeaux (Modèle:Pays)<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Université de Georgetown (Modèle:Nobr)
Publications
- Le Défi, Paris, Albin Michel, 1976, 288 p.
- La Mémoire d'un Roi, Paris, Plon, 1993, 304 p. Entretiens avec Éric Laurent.
- Le Génie de la modération : Réflexions sur les vérités de l'Islam, Paris, Plon, 2000, 353 p. Entretiens avec Éric Laurent. Préface de Mohammed VI.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Histoire du Maroc (Abitbol)
- Modèle:Article Modèle:Lire en ligne Modèle:Lire en ligne
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- « La monarchie de Hassan II à l'épreuve (1961-1975) » et « Le Maroc de Hassan II du consensus à l'alternance (1975-1999) », dans Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Dalle, J. (2011). Le règne de Hassan II, 1961-1989: une espérance brisée. Maisonneuve & Larousse.