Félicité de La Mennais
Modèle:Sous-titre Modèle:Redirect5 Modèle:Infobox Philosophe
Félicité de La Mennais {{#ifeq:1|0|[lamnɛ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}, plus connu sous le nom de Lamennais, né le Modèle:Date- à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et mort le Modèle:Date- à Paris, est un prêtre, théologien, écrivain, philosophe et homme politique français.
Biographie
Famille
Pour comprendre le parcours de Lamennais, il faut faire un détour par l'histoire de la famille Robert de la Mennais qui est celle d'une grande famille malouine, marquée à la fois par le commerce international, l'engagement social et les responsabilités administratives locales. En effet, certains auteurs estiment que, cet héritage a participé à la construction de la personnalité qu'il deviendraModèle:Sfn.
Félicité Robert de La Mennais, écrit « de la Menais », sur le registre des baptêmes de sa paroisse, (ou Félicité Lamennais<ref group="N">Félicité Robert de la Mennais a d'abord utilisé son nom pour signer, puis, après les encycliques, il signera abbé de Lamennais ou bien Félicité Lamennais, abandonnant ainsi son titre de noblesse. L'ouvrage Biographies des hommes du jour de G.Sarrut et B.Saint-Edme publié en 1836 parle de Modèle:M., abbé de Lamennais. </ref>) est un des six enfants de Pierre-Louis Robert, sieur de la Mennais<ref group=N>Du nom de la métairie qu'il possède en Pleslin-Trigavou (Côtes-d'Armor).</ref> Modèle:Incise et de Gratienne Lorin, morte en 1787 lorsqu'il a Modèle:Nobr, en sorte qu'il soit élevé chez un de ses oncles. Félicité a quatre frères et une sœurModèle:Sfn.
Jeunesse et conversion
Son frère aîné ayant rouvert le collège de Saint-Malo avec ses amis Modèle:Incise, collège qui avait été fermé sous la Révolution, Lamennais y devient professeur de mathématiques, de 1804 à 1805 puis de 1808 à 1810<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
En 1809, il se lie d'amitié avec un élève du collège de Saint-Malo, selon HourdinModèle:Sfn.
Une retraite dans la propriété familiale avec son frère Jean-Marie, ainsi qu'un séjour à Paris, entre 1805 et 1807, décident alors de sa vocation religieuse.
Avec son frère aîné, Jean-Marie, ils étudient ensemble de nombreux ouvrages et projettent des idées pour moderniser le clergé et développer l'importance de l'instruction. C'est ainsi qu'ils écrivent l'ouvrage intitulé Réflexions sur l'état de l'Église en France pendant le dix-huitième siècle et sur sa situation actuelle.
Il reçoit la tonsure à Rennes, le Modèle:Date-, des mains d'Étienne Célestin Enoch. Le Modèle:Date- suivant, il se présente chez le même évêque pour recevoir les ordres mineurs puis il arrête momentanément sa marche vers l'autel.
Projet non abouti d'une mission d'évangélisation en Amérique
En 1811, par une lettre adressée à un évêque, il manifeste son intérêt et son souhait de devenir religieux et missionnaire à la fois. Il justifie ainsi, le délai qu'il met depuis 1809 à demander le sous-diaconat. Il a eu cette idée par le fait d'avoir correspondu avec l'abbé Simon Bruté de Rémur, missionnaire aux États-Unis depuis 1810 et qui était bien au courant des activités missionnaires dans le Kentucky. Il fait la demande d'un passeport français pour se rendre dans le Kentucky, où un établissement de trappistes se dévoue à l'instruction des chrétiens du pays et à la conversion des populations locales dont les tribus d'Amérindiens. Cependant, Lamennais ne part finalement pas pour l'AmériqueModèle:Sfn.
Rédaction de l'Essai et début de la notoriété
D'Modèle:Date- à Modèle:Date-, pendant les Cent-Jours, il devient maitre d'études à Londres dans le quartier de Kensington. Lamennais propose de faire venir un de ses élèves, Harry Moorman, à Paris. L’abbé Carron trouve que Modèle:CitationModèle:Sfn. C'est également lors de ce séjour à Londres qu'il fait la connaissance de trois dames avec qui il garde contact par la suite : Modèle:Mlles, de Villiers et de Trémereuc. Lamennais retourne à Paris en novembre.
Le Modèle:Date-, Lamennais reçoit le sous-diaconat dans l'église Saint-Sulpice à Paris, de la main de Claude André, ancien évêque de Quimper. Le Modèle:Date-, il est ordonné diacre à Saint-Brieuc puis le Modèle:Date-, il reçoit l’ordination à Vannes par Pierre-Ferdinand de Bausset-Roquefort.
En cette même année, il entreprend de composer le premier volume du livre Essai sur l'indifférence en matière de religion. L'idée d'écrire cet ouvrage lui avait été suggérée par son ami l'abbé TeysseyreModèle:Sfn, un sulpicien, ancien élève de l’école polytechnique, rencontré lors d'un séjour à Paris. La publication connaît un succès d'autant plus grand qu'il était tout à fait inattendu. Puis en Modèle:Date-, lorsque parait le second volume de l'Essai, le nouveau livre rencontre des hésitations et même des oppositions chez les lecteurs ce qui a pour effet de le surprendre. Le Modèle:Date- il écrit au comte de Senfft : Modèle:CitationModèle:Sfn. Dès, lors sa réaction ne se fit pas attendre. Son attachement au Saint-Siège lui suggéra d'adresser, dès le mois suivant, une demande à Rome pour que l'Essai y soit examiné par des théologiens et que soit donné un jugement sur l'orthodoxie de l'ouvrageModèle:Sfn. La demande fut bien accueillie par les autorités romaines et trois théologiens ont été désignés pour examiner les deux volumes de l'Essai, ainsi que la Défense de l'Essai, que Lamennais a fait paraitre en Modèle:Date-. Les trois écrits ont été jugés orthodoxesModèle:Sfn renforçant ainsi la popularité du jeune écrivain breton.
C'est de juin à Modèle:Date- qu'il effectue son premier voyage à Rome où il est bien reçu par Modèle:Souverain2, ce qui l'encourage à poursuivre ses travaux intellectuels dans la direction entamée.
Supérieur général de la congrégation de Saint-Pierre
En 1828, en association avec son frère Jean-Marie, il accepte de devenir supérieur général de la Congrégation de Saint-Pierre. Le projet initial est de créer une société d'ecclésiastiques qui se livreraient à l'étude et à la rédaction d'ouvrages, afin de cultiver les sciences religieuses et de se mettre au service de l'Église, avec le soutien des abbés de Salinis et Philippe Gerbet et avec l'idée de former des jeunes gens dans ce but<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
L'œuvre est destinée à former un clergé savant, capable de répondre aux attaques des philosophes des Lumières, de mieux comprendre son temps et de rétablir l'autorité du pape en France. Cette congrégation est située en partie à la Chesnaie et le noviciat à MalestroitModèle:Sfn.
Il dirige ainsi l'étude dans de nombreux domaines de savoirs : les Pères de l'Église, les langues anciennes, les langues orientales, les langues européennes, les sciences physiques, la musique. La Chesnaie surtout, devient un foyer de recherche, avec une bibliothèque de plus de 12 000 ouvrages, rassemblant les éléments d'une encyclopédie chrétienne, ouverte sur le monde et les croyances<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Lamennais prend ainsi, au titre de la congrégation de Saint-Pierre, la direction du collège de Juilly, en 1830, à la demande l'abbé de Salinis et l'abbé de Scorbiac. En effet, l'idée est de transmettre le collège à une congrégation enseignante pour assurer l'avenir du collège à long terme<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Rédaction d'articles et théorie du catholicisme social
Il participe à la rédaction d'articles pour le Mémorial catholique, journal créé par les abbés Antoine de Salinis et Philippe Gerbet en 1824. Jean-Marie de la Mennais en est le directeur éditorial et est chargé de la relecture des articles avant publication.
En 1829, il publie Les progrès de la révolution et de la guerre contre l'Église.
En 1830, il fonde, avec Montalembert et Lacordaire, le journal L'Avenir dont la devise est Modèle:Citation. Le groupe des rédacteurs du journal plaide pour la liberté de l'enseignement, la séparation de l'Église et de l'État<ref>Modèle:Ouvrage</ref> et réclament la liberté de conscience, de presse et de religion. La même année, ils fondent également l'Agence générale pour la défense de la liberté religieuse. À ce titre, ils créent une école libre et gratuite à Paris en 1831. Ils montrent ainsi que la liberté d’enseigner consiste d’abord pour un particulier ou pour une collectivité privée à disposer du droit d’ouvrir une école. L’école, ouverte le Modèle:Date-, est fermée le lendemain, les enfants expulsés sans violence et les trois instituteurs poursuivis. Le procès est envoyé devant la cour d’assises comme délit politique mais les prévenus disposent d’une tribune pour justifier leur acte et soutenir délibérément sa légalité. Ils sont condamnés à l’amende minimale<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Ce sont les idées de la Mennais que la Belgique, devenue indépendante en 1830, adopte grâce à Adolphe Bartels, ancien rédacteur belge du Catholique qui le seconde.
En 1831, révolté par la condamnation du soulèvement de la Pologne, il s'oppose au pape Modèle:Souverain2. Il considère que le pape veut défendre davantage les princes que le peuple. Le pape condamne son journal en 1832 par l'encyclique Modèle:Langue.
En 1833, il renonce à ses fonctions ecclésiastiques et publie l'ouvrage Paroles d'un croyant<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le Modèle:Date-. C'est un ouvrage lyrique, rempli de violence et de plaintes, qui marque sa rupture avec l'Église (encyclique Modèle:Langue). Dans cet ouvrage, il constate et déplore le « désenchantement » du monde tout en lançant un appel pressant à la liberté de l'Église, à partir duquel il commence à développer les tendances pseudo-socialisantes et démocratiques du message évangélique<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Ce livre est condamné par le pape Modèle:Souverain- et marque ses contemporains. Il est condamné par l'Église en 1834.
En 1835, il voit ses anciens amis peu à peu le quitter mais le Modèle:Date-, ses amis Fleury, Arago et Liszt l'amènent à rencontrer Marie d'Agoult et George Sand dont le salon devient un véritable cénacle républicain ; Lamennais lui reste très lié. Il est effaré par les idées de George Sand sur la liberté sociale et le divorce mais il est son mentor, avec Michel de Bourges, sur les voies du socialisme politique. George Sand lui déclare un jour : Modèle:Citation.
En 1837, il publie le Livre du peuple, véritable livre de combat. Il se lie d'amitié avec le patriote canadien Louis-Joseph Papineau lors du voyage de celui-ci en France. Il continue de prendre le parti du peuple et, en 1841, après avoir attaqué le gouvernement royal, il est condamné à un an de prison. Par la suite, après avoir fondé le journal Le Peuple, il continue à professer un libéralisme populaire.
Entre 1841 et 1846 il écrit Esquisse d'une philosophie dans lequel il développe sa conception d'un christianisme sans Église, capable de regrouper les masses pour les conduire au progrès par la charité. En 1848, il rédige un projet de constitution avec Auguste Barbet.
Député à l'Assemblée constituante
Il se fait élire député à l'Assemblée constituante de 1848<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à l'Assemblée législative de 1849 à 1851 mais, à la suite du coup d'État du 2 décembre 1851, il se retire de la vie publique<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Ultramontain à ses débuts, Lamennais connait une évolution qui fait de lui un précurseur du catholicisme libéral, du catholicisme social, ainsi que de la démocratie chrétienne.
Toute sa vie durant, il pose les questions de la nécessaire alliance Modèle:Incise en tant que priorité historique avec la Restauration. Il entend démontrer que la République nécessite un pouvoir spirituel, une religion civile ; pour cela il propose un projet de constitution.
Élu le Modèle:Date-, représentant de la Seine à l'Assemblée constituante, il siège à la Montagne avec les démocrates les plus avancés. Il est nommé membre du comité de constitution, auquel il communique, dès la première séance, son projet complet dans lequel le religieux et le politique sont intrinsèquement liés. Ce projet de constitution a notamment été étudié par Jean-Paul Clément dans un article de la Revue française de droit constitutionnelModèle:Sfn. Celui-ci ne reçoit pas l'accueil qu'il en attend.
Relations
Alphonse de Lamartine lui dédie son poème Dieu<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Il est l'ami de Pierre Leroux, de Jean Reynaud, de Chateaubriand et d'Ernest Renan.
Ses idées socialistes influencent fortement Sainte-Beuve et son unique roman Volupté.
Georges Bernanos fait référence à Lamennais dans le prologue de Sous le soleil de Satan (1926). Notant que Modèle:Citation, Bernanos illustre ce fait par l'exemple de Lamennais Modèle:Citation.
Mort
Il meurt le Modèle:Date- à Paris (probablement du choléra qui ravage encore la France, cette année-là). Non réconcilié avec les autorités ecclésiastiques et conformément à ses dernières volontés, il a des obsèques civiles où la foule présente peut montrer son désaccord avec le régime en place lors d'une manifestation populaire qui est répriméeModèle:Sfn. Il est inhumé le Modèle:Date- dans une des fosses communes du cimetière du Père-Lachaise dans le respect des dernières volontés qu'il a exprimées, d'être enterré Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Ouvrages
Traductions
- Un de ses premiers ouvrages de traduction, en collaboration avec son frère Jean-Marie de la Mennais, est celle d’un traité de vie spirituelle composé au (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : Modèle:Ouvrage.
- Il a fait une traduction de L'Imitation de Jésus-Christ, célèbre œuvre de dévotion de Thomas a Kempis : Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
Ouvrages co-rédigés avec J.-M. de La Mennais (1808 - 1814)
Essais sur l'indifférence (1817-1823)
Dans son livre Essai sur l'indifférence en matière de religion, publié en quatre volumes, de 1817 à 1823, il engage la polémique face à Voltaire et aux encyclopédistes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; il critique l'université napoléonienne et le gallicanisme. Il a été dit de cet ouvrage qu'il Modèle:Citation et ce fut un immense succès de librairie.
Pour répondre aux polémiques engagées par le système défendu dans son livre, il rédige peu après un ouvrage pour défendre ses idées : Modèle:Ouvrage
Direction de la collection Bibliothèque des dames chrétiennes
La Bibliothèque des dames chrétiennes est une collection publiée sous la direction de Lamennais entre 1820 et 1825. L'ensemble a été réédité par Paul Dudon en 1923<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'idée initiale c'est de permettre aux femmes du monde d'accéder à d'ouvrages chrétiens qui sont des classiques de la littérature<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Cependant la collection n'a pas eu le succès attendu et est tombée dans l'oubli<ref>Modèle:Article</ref>.
Ouvrages composés entre 1825 et 1829
- Modèle:Ouvrage. Il rencontre Auguste Comte la même année que celle de la publication de l'ouvrage.
- Modèle:Ouvrage
Ouvrage composé après l'encyclique Mirari vos
Ouvrages composés après l'encyclique Singulari Nos
Les idées développées par l’École mennaisienne, sont condamnées par le Saint-Siège via l'encyclique publiée en 1834, intitulée Singulari Nos.
- Affaires de Rome (1836).
- Le livre du peuple (1837).
- L'esclavage moderne (1839).
- Le pays et le gouvernement (1840)
- De la religion (1841).
- Une voix de prison (1841).
Esquisse d'une philosophie (1840-1846)
Cet ouvrage a été composé en 6 ans, il est composé de quatre tomes, chacun étant lui-même composé de différents livres qui abordent la religion, la théologie, la place de l'humanité, la science et l'art : Modèle:Ouvrage
Correspondance
- En 1821, il rencontre Victor Hugo qui conçoit de l'admiration pour lui et ils entretiennent une correspondance pendant plusieurs années,Modèle:Sfn.
- Modèle:Ouvrage
Œuvre posthume
Iconographie
- Portrait en buste de Lamennais par David d'Angers, médaillon en bronze patiné à Châtenay-Malabry (Maison de Chateaubriand).
- Portrait de Félicité de la Mennais par Jean-Baptiste Paulin Guérin en 1820, conservé au musée d'Autun <ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Buste de Félicité Robert de Lamennais (1839) par David d'Angers au musée des Beaux-Arts de Rennes.
Hommages
- Un discours prononcé à l'Académie française par André Maurois (Délégué de l’Académie française) lui rend hommage en 1954<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- La rue Lamennais du Modèle:8e arrondissement de Paris, entre l’avenue de Friedland et la rue Washington, porte son nom.
- Un timbre français de 1957 lui rend hommage<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Dans le film de Michèle Rosier, George qui ?, le personnage de Lamennais est interprété par le philosophe Gilles Deleuze<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Une exposition a eu lieu au musée de Saint-Malo en 1982 pour célébrer les deux cents ans de sa naissance, ce qui a donné lieu à un ouvrage : Modèle:Ouvrage. A cette occasion, un médaillon le représentant est placé sur le mur de l'actuel hôtel de ville<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Hommages
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Plaque commémorative placée sur l'hôtel de ville de Saint-Malo en 1982.
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À Saint-Pierre-de-Plesguen : croix et, en dessous, médaillon représentant Lamennais réalisé en 1922 par Alexis Renaud<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Bronze réalisé par David d'Angers en 1831 et conservé au Metropolitan Museum of Art (New York).
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Correspondance de Lamennais
Biographies
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Monographies (aspect religieux, politique ou social)
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Relations
Autres ouvrages
Articles connexes
- Famille Robert de la Mennais
- Liste d'écrivains bretons
- Liste de philosophes par année de naissance
- Doctrine sociale de l'Église catholique
- L'encyclique Rerum novarum