Loury
Modèle:Infobox Commune de France Loury est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.
La commune constitue à elle seule l'unité urbaine de Loury<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune de Loury se trouve dans le quadrant nord-ouest du département du Loiret, dans la région agricole de l'Orléanais<ref name="RegAgri">Modèle:Lien web.</ref> et l'aire urbaine d'Orléans<ref name="FC"/>. À vol d'oiseau, elle se situe à Modèle:Unité d'Orléans<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Neuville-aux-Bois, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant Modèle:Date-. La commune fait partie du bassin de vie de Neuville-aux-Bois<ref name="FC"> Modèle:Lien web.</ref>.
Les communes les plus proches sont : Traînou (Modèle:Unité), Rebréchien (Modèle:Unité), Vennecy (Modèle:Unité), Bougy-lez-Neuville (Modèle:Unité), Marigny-les-Usages (Modèle:Unité), Sully-la-Chapelle (Modèle:Unité), Neuville-aux-Bois (Modèle:Unité), Chilleurs-aux-Bois (Modèle:Unité), Saint-Lyé-la-Forêt (Modèle:Unité) et Fay-aux-Loges (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géologie et relief
La région d’Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement de couches sédimentaires d’origines essentiellement détritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d’années) au Pliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire<ref name="BasPar">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="NoticeGéo-1">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>.
Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne<ref name="DREAL-89">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>. Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, bordent les formations sur lesquelles s’écoule la Bionne. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation<ref name="NoticeGéo-5">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="DREAL-89"/>. Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3p1SASO), datés du Langhien supérieur au Pliocène inférieur, une formation composée de sables (quartz gneissique ou granitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant la partie nord de la commune<ref name="DREAL-87">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>. Le lit mineur de la Bionne est quant à lui constitué d'alluvions récents (Fz) datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par le cours d'eau<ref name="NoticeGéo-1"/>.
Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. Modèle:Unité ont été inventoriées par le service régional Centre du BRGM sur la commune, en octobre 2003 : principalement des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activité karstique) et un gouffre<ref name="Cavités-Loury">Modèle:Lien web.</ref>.
Le territoire communal est relativement plat puisque la dénivelée maximale est de Modèle:Nobr. L'altitude du territoire varie en effet de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr<ref>Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
Le village se situe à la limite nord du bassin versant de la Loire et est alimenté par un ruisseau nommé l'Esse. Son principal attrait réside dans la proximité immédiate de la forêt d'Orléans qui couvre une bonne partie du territoire de la commune.
Climat
Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes du Loiret. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de Modèle:Unité de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur Modèle:Unité en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l’ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1971 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Milieux naturels et biodiversité
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Un site Natura 2000 est présent sur le territoire communal de Loury<ref group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>.
Numéro | Type | Nom | Arrêté | Document d’objectifs | Localisation |
---|---|---|---|---|---|
FR2410018 | ZPS | Forêt d’Orléans | Arrêté du Modèle:Date-<ref name="Natura-FR2410018-Arrete">Modèle:Lien web.</ref>. | Validé le Modèle:Date- | Dans la partie est de la commune<ref name="Cartelie">Modèle:Lien web.</ref>. |
Le site de la Modèle:Citation s'étend du nord-est de l'agglomération orléanaise jusqu'aux portes de Gien, suivant un arc de cercle d'une soixantaine de kilomètres de long et d'une largeur variant de 2 à Modèle:Unité environ. Cet ensemble forestier quasi continu est majoritairement domanial. La forêt domaniale est constituée de trois massifs distincts, de l'ouest vers l'est, les massifs d'Orléans, Ingrannes et Lorris (communément considéré en deux sous-massifs : Lorris-Châteauneuf et Lorris-Châteauneuf-sur-Loire), en périphérie desquels se trouvent d'autres parcelles forestières. La surface globale des trois massifs domaniaux est de Modèle:Unité. D'une surface totale de Modèle:Unité, le site est constitué de deux grandes entités couvrant la presque intégralité des massifs forestiers domaniaux d'Ingrannes et de Lorris. Ces deux grandes entités englobent également d'autres parcelles forestières, ainsi que des étangs, en périphérie, de même que la grande « clairière » de Sully-la-Chapelle, Ingrannes et Seichebrières incluse dans le massif d'Ingrannes. Ce site présente un grand intérêt ornithologique notamment avec la nidification du balbuzard pêcheur, de l'aigle botté, du circaète Jean-le-Blanc, de la bondrée apivore, du busard Saint-Martin, de l'engoulevent d'Europe, des pics noir, mar et cendré, de l'alouette lulu et de la fauvette pitchou. Les étangs constituent par ailleurs des sites d'étape migratoire importants pour différentes espèces<ref name="FR2410018_fiche" group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>.
Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Loury comprend deux ZNIEFF<ref group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>.
Désignation | Type | Superficie | Description |
---|---|---|---|
Modèle:Citation | Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée caractérisée par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> | Modèle:Unité | Cette zone se situe dans le Nord du Massif d'Ingrannes et à l'est de la RN 152 et à Modèle:Unité du bourg de Loury<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son altitude est de Modèle:Unité<ref group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>. Cette ZNIEFF comprend des mares forestières et des lisières forestières neutrophiles abritant notamment une petite population d'Épipactis violacé (Epipactis purpurata), espèce protégée et très rare en région Centre. On peut signaler aussi la présence du limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum)<ref name ="fiche ZNIEFF" group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>. |
Modèle:Citation | Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> | Modèle:Unité | La zone s'étend sur Modèle:Nobr, dont Loury, et se superpose pour la commune à la zone Natura 2000 de même nom<ref group="DREAL" >Modèle:Lien web.</ref>. Son altitude varie entre 126 et Modèle:Unité<ref group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>. La forêt d'Orléans repose pour l'essentiel sur des terrains de nature comparable à celle des terrains de la Sologne (Burdigalien) épandus sur le coteau de Beauce. Les formations végétales sont donc plutôt acidoclines à acidiphiles avec des secteurs secs et d'autres très humides. L'intérêt dépasse les contours complexes du massif domanial et s'étend également aux lisières et enclaves privées qui le prolongent<ref name ="fiche ZNIEFF2" group="INPN">Modèle:Lien web.</ref>. |
Toponymie
Le toponyme Loury est dérivé de l'ancienne Modèle:Latin ou Villa Laurii. Le village s'est donc développé à partir du domaine de Laurius, un riche propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine, le vocable en bas latin Modèle:Latin étant issu du gentilice Modèle:Latin, suivi du suffixe Modèle:Latin<ref name=Cassagnes>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Jeanson">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name =Soyer>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les premières mentions en attestant sont : Lauriacus en in pago Aurelianensi en 838, 956, 991<ref>Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 81, 86 et 521</ref>, Lauriacus vers 980<ref>Archives départementales 45-H Prieuré de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle d’Orléans, charte de l’évêque Arnoul</ref>, Lauriacus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Pouillé de Sens, p. 323</ref>, De Loureio en 1146<ref>Chartes de Saint-Benoît-sur-Loire, t. 1, p. 332</ref>, De Laurreio en 1157<ref>Chartes de Saint-Benoît-sur-Loire, t. 1, p. 389</ref>. La graphie Loury est stabilisée à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : Loury en août 1474<ref>Archives nationales -JJ 195, no 1195, fol. 267</ref>, en 1740<ref>Bibliothèque municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 128</ref>, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur la Carte de Cassini ou en 1801, dans l'arrêté du Modèle:Date républicaine portant réduction des justices de paix du département du Loiret<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Jeanson"/>.
Histoire
Du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
}}, la paroisse est le lieu de marchés hebdomadaires et de deux foires annuelles : Saint-Bon et Saint-Dulcide.
À partir de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Loury connaît une période de grandes difficultés : incendie du clocher par les Huguenots, épidémies de pestes…
Révolution française et Empire
Nouvelle organisation territoriale
Le décret de l'[[Assemblée constituante de 1789|Assemblée Nationale du Modèle:Date-]] décrète Modèle:Citation<ref name="Motte24">Modèle:Harvsp.</ref>. En 1790, dans le cadre de la création des départements, le Loiret compte alors Modèle:Unité, rattachées à Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. La municipalité de Louri est rattachée au canton de Rébréchien et au district de Neuville<ref name="EHESS"/>. Le terme « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (Modèle:Date-) : Modèle:Citation<ref name="Motte23">Modèle:Harvsp.</ref>. Ainsi la municipalité de Louri devient formellement « commune de Louri » en 1793<ref name="EHESS">Modèle:Cassini-Ehess</ref>.
Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du Modèle:Date-, et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés<ref name="COG43"/>,<ref name="Hist-decentr-6">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de Modèle:Nobr supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative<ref name="COG43">Modèle:Lien web.</ref>. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 58 à 31<ref group=Note>La suppression d'un canton d'Orléans par la loi du 8 pluviôse an IX (17 février 1800) avait ramené le nombre de cantons initial de 59 à 58</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Loury est alors rattachée au canton Neuville et à l'Arrondissement d'Orléans par arrêté du 9 vendémiaire an X (Modèle:Date-)<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="EHESS"/>,<ref name="COG44">Modèle:Lien web.</ref>. Cette organisation va rester inchangée jusqu'en 2015.
Époque contemporaine
En 1824, la commune absorbe la commune voisine de Bourgneuf.
À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Loury souffre de l’exode rural, des trois guerres, et en particulier des combats de juin 1940, opposant l'armée française en déroute et les colonnes allemandes fonçant sur Orléans.
C’est à partir des années 1960 que la tendance s’inverse en raison des implantations industrielles orléanaises : la commune se repeuple. Depuis les années 1980, les Louryens et les Louryennes sont de plus en plus nombreux.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Urbanisme
Typologie
Loury est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Loury, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,4 %), forêts (40,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), prairies (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
-
Carte orthophotographique de la commune en 2016.
Planification
Plan local d'urbanisme
La commune prescrit l'élaboration d'un plan d'occupation des sols (POS) en Modèle:Date-. Le document est approuvé en novembre 1981 puis révisé en Modèle:Date- et Modèle:Date-. Il est ensuite modifié à plusieurs reprises<ref name="Urba-procedures-jan2016"/>.
La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du Modèle:Date-, dite loi SRU, complétée par la loi urbanisme et habitat du Modèle:Date-, marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment les plans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : le plan d'aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d'urbanisme, de développement, d'équipement et de préservation de l'environnement et les orientations d'aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l'aménagement d'un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit la révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation en plan local d'urbanisme le Modèle:Date-<ref name="Urba-procedures-jan2016">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>,<ref name="Urba-procedures">Modèle:Lien web.</ref>. En l'absence de PLU approuvé, c'est le POS de Modèle:Date- qui sert de document d'urbanisme de référence.
Documents d'orientations intercommunaux
La commune est membre du pays Forêt d'Orléans - Val de Loire, qui regroupe 32 communes. En 2012 les Pays Forêt d'Orléans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val-sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas de schéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intérêt de cet outil pour l'avenir des territoires, les élus de ces pays décident d'engager une démarche commune d'élaboration de SCoT. Le comité syndical du Pays Forêt d'Orléans - Val de Loire décide de prendre le Modèle:Date- la compétence Modèle:Citation et, après avis favorable conforme des différentes communes membres (le Modèle:Date- pour Loury), le préfet approuve la modification des statuts en ce sens le Modèle:Date-<ref name="Pref-19fev2016">Modèle:Lien web.</ref>. Les trois SCoT sont lancés officiellement et simultanément à La Ferté-Saint-Aubin le Modèle:Date-<ref name="SCOT_2">Modèle:Lien web.</ref>, l'assistance à maîtrise d'ouvrage étant confiée à un seul bureau d'études<ref name="SCOT_3">Modèle:Lien web.</ref>. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018<ref name="SCOT3">Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements<ref>Modèle:Lien web.</ref> de la commune :
Date du relevé | 2017 |
---|---|
Nombre total de logements | 1051 |
Résidences principales | 90,8 % |
Résidences secondaires | 2,4 % |
Logements vacants | 6,9 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 83,0 % |
Voies de communication et transports
Infrastructures routières
La commune est traversée par quatre routes départementales : La RD 2152 (Modèle:Unité), qui relie Malesherbes à Tavers<ref name="Geoloiret-Routes">Modèle:Lien web.</ref>, la RD 11 (Modèle:Unité), qui relie Tigy à Tivernon<ref name="Geoloiret-Routes"/>, la RD 8 (Modèle:Unité), qui relie Chécy à Neuville-aux-Bois<ref name="Geoloiret-Routes"/> et la RD 140 (Modèle:Unité), qui relie le centre-bourg à Rebréchien.
La RD 2152 correspond à l'ancienne route nationale 152. À sa création, en 1824, la RN 152 succède à la Route impériale 172 et relie Briare à Angers par la rive droite de la Loire<ref name="RN152">Modèle:Lien web.</ref>. La route est déclassée en 1972 en RD 952 entre Briare et Châteauneuf-sur-Loire et, en contrepartie, elle récupère l'ancienne section de la RN 51 entre Orléans et Fontainebleau<ref name="Transfert-RN-1972">Modèle:Lien web.</ref>.
Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
Transports en commun routiers
En 2016, Loury est desservie par la ligne régulière Modèle:N° du réseau d'autocars interurbains REMI qui relie Pithiviers - Chilleurs-aux-Bois - Neuville-aux-Bois - Saint-Lyé-la-Forêt - Orléans . Des correspondances SNCF sont assurées à la gare d'Orléans et TAO et Transbeauce à la Gare routière d'Orléans. À compter du Modèle:Date, la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du Modèle:Date-<ref name="Notre-Transports">Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
La commune de Loury est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses<ref name="DDRM-liste">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. Entre 1989 et 2019, quatre arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : trois pour des inondations et coulées de boues et un pour des mouvements de terrains<ref name="Georisques1">Modèle:Lien web.</ref>.
Risques naturels
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités<ref name="Cavités-Loury"/>.
Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune, dont le bourg, est soumise à un aléa Modèle:Citation face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Depuis le Modèle:Date-, la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante <ref name ="decret22oct2011">Modèle:Légifrance portant délimitation des zones de sismicité du territoire français</ref>. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible<ref name="Georisques1"/>.
Risques technologiques
La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (la route départementale D2152<ref name="DDRM-liste"/>,<ref name="DDRM-TMD">Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Loury est membre de la communauté de communes de la Forêt<ref name="meta"/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Neuville-aux-Bois. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux qui sont, en 2020 : 0<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Orléans, au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fleury-les-Aubrais pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta"/>, et de la cinquième circonscription du Loiret pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
-
Loury dans le canton de Fleury-les-Aubrais en 2020.
-
Loury dans la communauté de communes de la Forêt en 2020.
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Loury dans le Pôle d'équilibre territorial et rural (PETR) Forêt d'Orléans-Loire-Sologne en 2020.
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Loury dans l'arrondissement d'Orléans en 2020.
Politique et administration municipales
Conseil municipal et maire
Modèle:Article connexe Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Loury, commune de plus de Modèle:Unité, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)<ref name="Loi 2013-403">Loi Modèle:N° du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.</ref>, pour un mandat de six ans renouvelable<ref name="Elec_CM">Modèle:Lien web.</ref>. Il est composé de 23 membres<ref>Article Modèle:Légifrance du code général des collectivités territoriales</ref>. L'exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.
À la suite du conflit opposant le maire au conseil municipal et paralysant le fonctionnement de la commune, le gouvernement a prononcé la dissolution du conseil municipal de la commune de Loury le Modèle:Date France. Des élections partielles se sont tenues en juillet 2007.
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
En 2008, la commune a reçu le label « Ville Internet »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Équipements et services
Environnement
Gestion des déchets
Modèle:Article détaillé Au Modèle:Date-, la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles<ref group="Note">Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.</ref>, des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire <ref name="SITOMAP-Rapport 2015-4">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>. Un réseau de huit déchèteries, dont une est située sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…)<ref name="SIRTOMRA-2015-11">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>.
L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL<ref>site officiel de BEGEVAL</ref>, installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri<ref name="SIRTOMRA-2015-8">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>.
Depuis le Modèle:Date-, la Modèle:Citation ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes de la Forêt en application de la loi NOTRe du Modèle:Date-<ref name="SDCI45-4">Modèle:Lien web, Modèle:P..</ref>.
Production et distribution d'eau
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques<ref name="SP-Ass">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. Au Modèle:Date-, la production de l'eau potable sur le territoire communal est assurée par le syndicat de production d'eau potable de Trainou - Loury, un syndicat créé en 1998 desservant deux communes : Loury et Traînou<ref name="SIAEP-19">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="SIAEPb-19">Modèle:Lien web.</ref>, et la distribution par la commune elle-même<ref name="Serv-EAU-2016">Modèle:Lien web.</ref>. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du Modèle:Date-. Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes<ref name="CGCT-L1321-1">Modèle:Légifrance et suivants</ref>,<ref name="AMF-LoiNotre">Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte<ref name="Ass-16">Modèle:Harvsp, Modèle:P..</ref>, est assurée par le Syndicat de Traitement des Eaux Usées de la Demi-Lune, un syndicat créé en 1998 desservant deux communes (Loury et Rebréchien)<ref name="SIAC-9">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="SIACb-9">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Serv-AC-2016">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est raccordée à une station d'épuration située sur le territoire communal mise en service le Modèle:Date- et dont la capacité nominale de traitement est de Modèle:Unité, soit Modèle:Unité. Cet équipement utilise un procédé d'épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée par Lyonnaise des Eaux Orléans<ref name="STEP2016">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="STEP-Sandre">Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. En 2016, la communauté de communes de la Forêt assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name="Serv-ANC-2016">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="SPANC-CC">Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Article détaillé Modèle:Population de France/introduction
Après la fusion de la commune du Bourgneuf avec Loury en 1824, la population du Bourgneuf est recensée avec celle de Loury.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château du Bourg, actuelle mairie de Loury. À l'origine était construit à cet emplacement un château fort munis de sept tours (trois et la base d'une quatrième sont encore observables). Il fut totalement réaménagé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il ne subsiste aujourd'hui que le pavillon encadré de deux tours, les communs attenants, et un bâtiment reconverti en musée des métiers et des légendes de la forêt d'Orléans. Ce bâtiment possède une cave à double niveau, le premier étant voûté en plein cintre et datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le second étant un étroit couloir en plein cintre sur lequel débouchent cinq alvéoles également voûtées. Il appartenait en 1663, à Jacob Blanquet de la Haye, baron de Loury.
- Le château de la Roncière. Il est situé sur la route d'Orléans (D 2152), au bout d'une allée rectiligne encadrée par deux massifs forestiers. Datant vraisemblablement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il a été réaménagé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il possède une ancienne chapelle qui servit d'église paroissiale après l'assassinat du curé de Loury par le seigneur de Loury, l'église étant profanée ;
- Le château du Coudreceau (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), construit entre 1757 et 1775 par Jacques-Isaac Seurrat de la Boulaye, député de la noblesse d'Orléans.
- Le château de la Chesnaie (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ;
- Le château de l'Ermitage (ancienne propriété viticole, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ;
- Le château des Saint-Germains (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ;
- L’église Saint-Bon et Saint-Dulcide. Les bases du monument remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La nef est Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (on aperçoit encore les anciennes fenêtres et portes romanes), mais fortement reprise au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le percement de nouvelles fenêtres et l'adjonction du bas-côté nord. Le chœur actuel est du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Enfin l'église a perdu son clocher quadrangulaire typique de la région, attenant au transept sud, lors d'un incendie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il fut démoli et remplacé par la flèche actuelle située à la croisée du transept. On peut aujourd'hui observer l'empreinte du clocher réalisée au sol après les fouilles de 1988 ;
- Le moulin de l'Epinay<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, moulin à vent de type pivot, datant de 1884 et inscrit à l'inventaire des Monuments historiques depuis le Modèle:Date.
Personnalités liées à la commune
- Comte Jacques-Isaac Seurrat de la Boulaye, magistrat et député de la noblesse, fit construire le château du Coudreceau
- Antoine Masson, graveur ;
- Hubert Curien (1924-2005), cristallographe et ministre de la Recherche et de la Technologie français, est décédé à Loury ;
- Roger Vadim, réalisateur, y posséda une maison<ref>Abline P, Sur les traces des Toulouse-Lautrec, La République du Centre, Orléans métropole, 6 juillet 2011, Modèle:P..</ref>.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Inventaire national du patrimoine naturel
Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire
Autres sources
Voir aussi
Bibliographie
- Loury au début du siècle. Société archéologique et historique de Loury, 1994, 96 p., Modèle:Unité. Modèle:ISBN.
- Loury dans la tourmente, 1939-1945. Société archéologique et historique de Loury, 2001, 140 p., Modèle:Unité. Modèle:ISBN.
- Modèle:Ouvrage.
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