Pencran

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Modèle:Infobox Commune de France

Pencran {{#ifeq:1|0|[pɛ̃kʁɑ̃]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Situation

Pencran se situe juste au sud-est de la ville de Landerneau, sur la rive gauche de l'Élorn ; la commune fait partie traditionnellement du Pays de Léonn de l'arrondissement de Brest, du canton de Landerneau et de la communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Relief et hydrographie

Fichier:Map commune FR insee code 29156.png
Carte de la commune de Pencran.

Le finage de la commune de Pencran est assez accidenté en raison du « relief en creux » (relief appalachien) caractéristique du Massif armoricain : la vallée de l'Élorn est très encaissée, ce fleuve côtier coulant vers Modèle:Unité d'altitude juste en amont de Landerneau, là où il sert de limite communale avec Plouédern ; le point le plus haut du territoire communal, situé à son extrême sud près de Kéravel atteint Modèle:Unité d'altitude, d'où un dénivelé de Modèle:Unité sur une faible distance, raison pour laquelle la majeure partie du finage communal est en pente forte vers le nord, si l'on excepte toutefois son extrême sud-est, parcouru par le ruisseau du Morbic, qui a sa source à la Fontaine de la Vierge, et qui est un modeste affluent de rive gauche de l'Élorn. Le bois de Pencran, partagé entre les communes de Landerneau et Pencran, est un lambeau subsistant de la forêt de Landerneau qui était primitivement beaucoup plus étendue qu'actuellement, s'étendant alors sur les deux rives de l'Élorn. Quelques autres lambeaux boisés subsistent sur les pentes fortes de la rive gauche de l'Élorn. Le bourg de Pencran, excentré à l'ouest du territoire communal, est vers Modèle:Unité d'altitude.

Habitat

Le paysage rural traditionnel est celui du bocage avec un habitat dispersé en hameaux et fermes isolées. Le bourg est tout petit, ne formant pas traditionnellement une véritable agglomération. La proximité de la ville de Landerneau a entraîné la prolifération de lotissements, situés pour certains (Kermaria, Keranna, Kerloïs, Losquelen) sur le plateau au nord-est du centre communal, et pour d'autres (Keroullé, Kermalguen, Kerancoat Huella, Kerancoat Izella) plus au nord le long de la route descendant en pente forte vers Landerneau, ou encore le long de la D 764 (Coat Guéguen).

Dans le fond de la vallée de l'Élorn, en continuité avec l'agglomération de Landerneau, s'est développée une zone industrielle abritant notamment la laiterie du groupe Triskalia, anciennement Coopagri Bretagne, dénommée traditionnellement "Laiterie de Landerneau", mais située en fait sur le territoire communal de Pencran.

Transports

La route départementale D 764, précédemment Route nationale 164 dans son ancien tracé d'avant le déclassement survenu en 1972, menant de Landerneau à Carhaix, via Sizun, traverse la partie nord du territoire communal, mais le bourg n'est desservi que par des routes secondaires d'intérêt local.

Le finage communal est traversé par deux lignes ferroviaires : la ligne de Paris-Montparnasse à Brest passe sur la rive gauche de l'Élorn et la voie ferrée allant de Landerneau à Quimper, à voie unique, écorne la partie nord-ouest du territoire communal, y faisant même un coude très accentué pour permettre à la voie ferrée de grimper, à partir de la gare de Landerneau, sur le plateau en direction de Quimper ; mais Pencran ne dispose d'aucune gare ferroviaire, celle de Landerneau étant toute proche.

Trois lignes électriques à haute tension, venant du poste d'interconnexion électrique de La Martyre traversent le territoire communal en direction de Brest.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat

Urbanisme

Typologie

Pencran est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Landerneau, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), zones urbanisées (14,2 %), prairies (11,3 %), forêts (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Capella Beatae Mariae de Pentran en 1363<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le nom en breton de la commune et Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il signifie littéralement « le bout de l'essart » (de Modèle:Langue, tête, bout, et Modèle:Langue, mot que l'on trouve également dans le nom de la forêt du Cranou), que l'on peut aussi traduite par « Chef-du-Bois », nom du château dont dépendait traditionnellement la paroisse, car c'était à cet endroit que se trouvait alors la limite de la forêt de Landerneau, qui s'étendait alors sur les deux rives de l'Élorn.

Histoire

Origines

Penn-ar-C'hrann, c'est le nom du château duquel relevait la paroisse, précédemment ancienne trève de Ploudiry<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Préhistoire et Antiquité

Une stèle datant de l'âge du fer atteste d'une présence humaine dès la Préhistoire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Moyen Âge

Une motte féodale a servi de premier site à un seigneur local (en 1270, il se nomme Gérard Saladin et en 1307 Huon car vers 1300 Pigette Saladin, sœur d'Olivier Saladin, dame de Kermadec, épousa Hervé Huon, chevalier<ref name=":a">Pol Potier de Courcy, "Notice historique sur la ville de Landerneau", Modèle:2e édition, 1842, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6531495d/f25.image.r=pencran?rk=557942;4</ref>. En 1450, la famille Huon abandonne la motte féodale pour construire un manoir de style gothique, le manoir de Kermadec, construit en schiste local, mais avec des entourages de portes et fenêtres en granite. En 1663, le manoir fut racheté par Joseph de Kersulguen, seigneur de Chef-du-Bois<ref name=":b">Modèle:Lien web.</ref>.

En 1363, le testament d'Hervé VIII de Léon fait mention d'une chapelle Notre-Dame à Pencran<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pencran n'était alors qu'une simple trève de la paroisse de Ploudiry.

=== Du {{#switch: e

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVIII

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Jusqu'à la Révolution française, le château de Chef-du-Bois, dont la porte principale portait les blasons des Kersulguen, des Guirault et des Kerguizec, dominait la trève de Pencran et une partie des environs. Le château a appartenu successivement à la famille Guérault au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, aux familles Kerlozrec, puis Kermellec<ref>En 1600, le château est possédé par Jean de Kermellec, capitaine de Landerneau</ref> au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Kersulguen au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Joseph de Kersulguen fait alors construire le château actuel à la place de l'ancien manoir).

La Révolution française

Le tiers état de la paroisse de Pencran envoya deux députés, Jérôme Le Firon et Gabriel Mobian, pour la réaction du cahier de doléances de la sénéchaussée de Lesneven<ref>Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 2-7. États généraux ; Cahiers des sénéchaussées et bailliages, série 1, tome 3, 1879, Gallica</ref>.

La commune de Pencran fut créée en 1790.

Le château de Chef-du-Bois en Pencran, qui appartenait à la famille de Lesguern, servit, pendant la Révolution française, d'hôpital pour la marine, qui y soigna notamment des malades de la gale<ref>J. Baudry, Étude historique et biographique sur la Bretagne à la veille de la Révolution, à propos d'une correspondance inédite (1782-1790), tome 2, H. Champion, Paris, 1905, Gallica</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La paroisse de Pencran est créée en 1819.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Pencran en 1845 : Modèle:Citation bloc

Le décès en 1869 à Pencran de Louise Bouan du Chef-du-Bois, fait passer le château éponyme aux mains de la famille de Lesguern en raison de son mariage avec Charles de Lesguern célébré le Modèle:Date à Quintin.

En 1852, une école de garçons est créée dans l'ancien ossuaire. Un rapport du Conseil général du Finistère indique en Modèle:Date- que Pencran fait partie des 27 communes de plus de 500 habitants du Finistère qui n'ont encore aucune école de filles<ref>"Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère", août 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5668228b/f436.image.r=Pleuven?rk=107296;4</ref>.

Fichier:L'enclos paroissial de Pencran Le Monde illustré.jpg
L'enclos paroissial de Pencran en 1865 (dessin de Charles Yriarte).

Maxime Vauvert décrit ainsi Pencran en 1865 dans la revue Le Monde illustré : Modèle:Citation bloc

Fichier:L'ossuaire de Pencran 1865.jpg
L'ossuaire de Pencran (dessin de 1865).

La description de Pencran se poursuit en ces termes dans un des numéros suivants de la même revue : Modèle:Citation bloc

En 1891, la fermeture de la Société linière de Landerneau entraîne un déclin démographique de la commune.

Le dernier loup tué dans la région l'a été à Pencran en 1895 (toutefois un loup a trois pattes aurait encore été observé en 1906 entre Landeleau et Loqueffret et un aurait peut-être été tué à Tréméven en 1913)<ref>François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, Modèle:ISBN.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

Le Modèle:Date, Guéguen, curé de Pencran, fait partie des 31 prêtres du diocèse de Quimper dont les traitements<ref>En vertu du Concordat, les prêtres étaient alors payés par l'État</ref> sont retenus par décision du gouvernement Combes « tant qu'ils ne feront pas emploi de la langue française dans leurs instructions et l'enseignement du catéchisme » car ils utilisaient le breton<ref>Journal La Croix Modèle:N° du 18 et 19 janvier 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2199243/f1.image.r=Pouldreuzic.langFR</ref>. Charles de Lesguern, maire de Pencran écrit en 1903 : « Mes électeurs ne m'ont pas nommé maire depuis plus de 52 ans dans l'idée de me faire l'espion de l'administration » et refuse de préciser sur le certificat de résidence du curé qu'il doit signer tous les 3 mois afin qu'il puisse percevoir son traitement si celui-ci fait l'enseignement du catéchisme en français<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le comte Charles de Lesguern<ref>Charles de Lesguern, né le Modèle:Date à Pencran</ref>, maire de Pencran pendant 56 ans, fut révoqué de ses fonctions en Modèle:Date- pour avoir replacé des crucifix dans les salles des écoles<ref>Journal La Croix, n° du 19 février 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k256685r/f2.image.r=Pencran?rk=21459;2</ref>. Il fut aussi lieutenant de louveterie. Il décéda le Modèle:Date en son château de Chef-du-Bois<ref>Journal Le Figaro, Modèle:N° du 12 septembre 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k288211v/f2.image.r=Pencran?rk=600861;2</ref>. Les électeurs de Pencran lui avaient témoigné leur fidélité en élisant comme maire pour lui succéder son fils Armand de Lesguern, qui par ailleurs était président de la Société d'horticulture et d'agriculture de l'arrondissement de Brest<ref>Journal La Croix n° du 20 septembre 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2571720/f2.image.r=Pencran?rk=42918;4</ref>.

En vertu de la querelle des inventaires, le recteur de Pencran fut expulsé de son presbytère en 1907<ref>Journal La Croix, n° du 15 octobre 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k256885c/f2.image.r=Pencran?rk=150215;2</ref> : Modèle:Citation bloc

La Première Guerre mondiale

Fichier:Monument aux morts - Pencran-29 1.jpg
Monument aux morts de 1914-1918.

Le monument aux morts de Pencran porte les noms de 17 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, un au moins (Henri Deniel) est décédé en Belgique en 1915 ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français dont Paul Rolland et Jean Toullec, tous deux tués aux Éparges (Meuse) en 1915 et décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre<ref name=":c">http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=27538</ref>.

L'entre-deux-guerres

En 1925, le château de Chef-du-Bois est acheté par la famille Rosmorduc.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Pencran porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Jean Marie Madec, décédé lors de la Débâcle en Modèle:Date-, Auguste Diverrès et Isidore Jaffredou, morts en captivité en Allemagne, Jean Plouguerne<ref>Jean Plouguerne, né le Modèle:Date à Landerneau, soldat au [[27e régiment d'infanterie (France)|Modèle:27e régiment d'infanterie motorisée]]</ref>, mort le Modèle:Date en Allemagne<ref name=":c" />.

L'après Seconde Guerre mondiale

Politique et administration

Liste des maires

Fichier:Pencran mairie.JPG
La mairie de Pencran.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Héraldique

Modèle:Blason commune

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Monuments

  • Le manoir de Kermadec, de style gothique, est construit par la famille Huon Modèle:Refnec. Au rez-de-chaussée, les trois pièces principales sont réparties selon un plan en équerre<ref>http://fr.topic-topos.com/manoir-de-kermadec-pencran</ref>. En 1450, le seigneur de Kermadec était occupé à restaurer son manoir Modèle:Citation et soucieux d'enclore les terres en friches du domaine pour en éviter la perdition et en faire des réserves foncièresModèle:Sfn. À noter le couronnement de la cage d'escalier par un pilier supportant le sol à dalles rayonnantes de la pièce hauteModèle:Sfn.
  • Le château de Chef du Bois : un manoir ancien existait dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sinon avant, mais le château actuel date de 1668. Il fut construit par François de Kersulguen et son épouse Jeanne de Kerguizec<ref name=":d" />.
  • Le manoir de Keroullay (Keroullé) ; les textes font mention d'un métayer « demeurant au village de Keroullay, en l'hostel du sire de Kercoent, applacement de manoir et mansion de noble homme »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Le calvaire du cimetière : il se présente comme une croix, ses personnages étant groupés autour du Christ.
  • La fontaine Notre-Dame de la Joie.
  • La girouette de Kerloïs.
  • La maison de Roger
  • Le monument aux morts de 1914-1918.

Événements

Modèle:…

Personnalités liées à la commune

  • Olivier Saladin, né au manoir de Kermadec, recteur de l'Université de Paris en 1318, puis évêque de Nantes en 1340, surnommé « la fleur des prélats de son temps » ; il est décédé en 1353 à Nantes<ref name=":a" />.
  • Charles de Lesguern, né le Modèle:Date à Pencran, décédé le Modèle:Date à Pencran, fut éleveur de chevaux et de chiens, propriétaire de meutes, grand veneur et lieutenant de louveterie entre 1876 et 1902 et maire de Pencran pendant 56 ans jusqu'en 1907. C'est probablement lui qui est dénommé « Baron de Keryfan » dans le livre de Frank Davies : Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne, publié en anglais en 1875<ref>Frank Davies, Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne, éditions des Montagnes Noires, 2012, Modèle:ISBN.</ref>.
  • Paul Le Guen (1964-), joueur et entraîneur de football, surnommé la « patate de Pencran », est né à Pencran.

Voir aussi

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets

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