Rue de Vaugirard
Modèle:Infobox Voie de Paris La rue de Vaugirard, qui traverse les 6e et [[15e arrondissement de Paris|Modèle:15e]] arrondissements, est la plus longue voie de Paris intra-muros, avec Modèle:Unité de longueur<ref>L'avenue Daumesnil fait Modèle:Unité au total mais seulement Modèle:Unité dans Paris intra-muros, son extension étant dans le bois de Vincennes, rattaché administrativement au [[12e arrondissement de Paris|Modèle:12e de Paris]], mais au-delà des limites historiques de la ville.</ref>, correspondant à quatre cent sept numéros d'immeubles.
Situation et accès
La rue de Vaugirard part du boulevard Saint-Michel, au niveau de la place de la Sorbonne et se termine à la jonction des boulevards Victor et Lefebvre, à la porte de Versailles. Au-delà des boulevards des Maréchaux, elle est prolongée par l'avenue Ernest-Renan. La circulation sur chaussée y est à sens unique sud-nord sur la majeure partie de son tracé ; elle est à double sens sur la portion comprise entre la rue de Rennes et la place Paul-Claudel, derrière le théâtre de l'Odéon.
- Accès
De la station Falguière à la station Porte de Versailles, la ligne 12 du métro suit le tracé de la rue de Vaugirard, selon cet ordre :
- Falguière ;
- Pasteur (correspondance avec la ligne 6, qui sort de terre à cet endroit) ;
- Volontaires ;
- Vaugirard, qui est située au cœur même de l'ancien village de Vaugirard ;
- Convention ;
- Porte de Versailles, (la ligne continue encore dans l'axe de la rue de Vaugirard jusqu'à Mairie d'Issy à Issy-les-Moulineaux).
En outre, la station Saint Placide, sur la ligne 4, est sur le tracé de la rue. L'arrêt s'est également appelé Vaugirard à l'origine, du fait que les deux lignes appartenaient à des réseaux différents, mais il a rapidement changé de nom pour éviter la confusion.
Les lignes de bus suivantes empruntent des portions de la rue de Vaugirard : Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé.
Origine du nom
Le nom de la rue fait référence à l'ancienne commune de Vaugirard, aujourd'hui intégrée à Paris. Il est une déformation de « val Gérard », en hommage à Gérard de Moret, abbé de Saint-Germain. Il contribua au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'essor de ce qui était alors un hameau, qui s'est successivement appelé « Valgérard », « Vaulgérard » et enfin « Vaugirard<ref>Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, Modèle:P..</ref> ».
Historique
La rue est à l'origine une voie romaine reliant Lutèce à Autricum (Chartres)<ref>Modèle:Pdf « Carte de la Lutèce gallo-romaine (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle »), sur l'Atlas historique de Paris.</ref>. Au Moyen Âge, cette voie correspond à la route qui partait de l'enceinte de Philippe Auguste (au niveau de l'actuelle rue Monsieur-le-Prince) en direction du village de Vaugirard<ref name=DHARP_658>Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Éditions Maisonneuve & Larose, 1855, Modèle:P. Modèle:Lire en ligne.</ref>. Jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ce chemin reste rural, mais la voie s'urbanise à partir de 1550<ref name=DHARP_658/>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dans le contexte de la Contre-Réforme, on y construit notamment des couvents (Filles du Calvaire<ref name=DHARP_658/>, religieuses du Précieux Sang<ref>Modèle:Ibid., Modèle:P. Modèle:Lire en ligne.</ref>, Carmes déchaussés<ref name=DHARP_658/>). Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le palais du Luxembourg est bâti à l'emplacement d'un hôtel particulier du milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle appartenant à François de Piney, duc de Luxembourg. Dans les années 1780, le mur des Fermiers généraux est érigé (actuel boulevard Pasteur) et la barrière de Vaugirard est construite à l'entrée de la rue.
Elle est citée sous le nom de « rue de Vaugirard » dans un manuscrit de 1636 dont le procès-verbal de visite, en date du Modèle:Date, indique qu'elle est Modèle:Citation.
À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le théâtre de l'Odéon est construit sur le terrain du jardin de l'hôtel du prince de Condé. Une loi du Modèle:Date- prévoit l'élargissement de la rue<ref name=DHARP_658/>.
Juste avant la Révolution française, la rue de Vaugirard fait partie de la paroisse Saint-Sulpice. La paroisse continue au-delà du mur des Fermiers généraux sur la partie droite de la route de Vaugirard jusqu'aux environs de la rue Copreaux où commence la paroisse de Vaugirard. Du côté gauche de la route, le territoire dépend de la paroisse Saint-Étienne-du-Mont<ref>Jean Junié, Plan des paroisses de Paris avec la distinction des parties éparses qui en dépendent dressé par J. Junié, ingénieur géographe de Monseigneur l’Archevêque et géomètre des Eaux et forêts de France en 1786, service des Travaux historiques de la Ville de Paris, 1904 (Modèle:Lire en ligne).</ref>.
Après l'annexion de Vaugirard à Paris par la loi du Modèle:Date-, la grande rue du village de Vaugirard est annexée officiellement le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La rue de Vaugirard et la grande rue de Vaugirard fusionnent le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ibid., Modèle:P..</ref> pour donner une rue de plus de quatre kilomètres de long. Le village de Vaugirard s'est développé le long de sa grande rue et ce n'est qu'au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que la commune se développe, du fait notamment de l'urbanisation de la rue Lecourbe en avant de la barrière de Sèvres<ref>Vaugirard sur l'Atlas historique de Paris.</ref>. Au moment du rattachement de Vaugirard à Paris, la rue est presque entièrement bâtie entre l'ancienne barrière de Vaugirard et la porte de Versailles<ref>Cadastre révisé des communes annexées (1830-1850), commune de Vaugirard, tableau d'assemblage Toutes sections, échelle 1/10000, cote CN/203.</ref>.
Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la rue est prolongée vers l'est pour rejoindre le boulevard Saint-Michel, passant le long du lycée Saint-Louis, débouchant en face de la Sorbonne (mais ce court prolongement représente moins de 1 % de la longueur totale de la rue)<ref>Le prolongement a été ouvert en 1911 (décret du 23 janvier 1908).</ref>. Elle a son autre extrémité à la porte de Versailles.
Le 29 mai 1918, durant la Première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose au no 313 rue de Vaugirard<ref>Excelsior du 9 janvier 1919 : Carte et liste officielles des obus lancés par le canon monstre et numérotés suivant leur ordre et leur date de chute</ref>. D'autres obus tombent, le Modèle:Date- au no 146, le Modèle:Date- au no 353 bis.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
À la porte de Versailles, la rue de Vaugirard est à proximité immédiate du parc des expositions et du Palais des sports. Elle longe :
- les installations sportives de l'Unité d'enseignement et de recherche d'éducation physique et sportive (UEREPS) ;
- l'hôpital Vaugirard - Gabriel-Pallez ;
- le square et la place Adolphe-Chérioux, jouxtants la [[Mairie du 15e arrondissement de Paris|mairie du Modèle:15e]] ;
- l'Institut Pasteur ;
- le lycée Buffon près du boulevard Pasteur (on peut voir sur cette façade un cadran solaire) ;
- l'arrière de l'hôpital Necker-Enfants malades entre le boulevard Pasteur et le boulevard du Montparnasse ;
- le Sénat et le jardin du Luxembourg d'un côté, et le théâtre de l'Odéon de l'autre ;
- le lycée Saint-Louis, atteignant le boulevard Saint-Michel en face de la Sorbonne ;
- l'université Panthéon-Assas ;
- l'Institut catholique de Paris.
Entre le boulevard Saint-Michel et le boulevard Pasteur : la rue de Vaugirard historique
- Modèle:Numéro avec majuscule : le général John Armstrong, Jr., ambassadeur des États-Unis en France, habita en 1810 dans l'édifice qui se trouvait à cette hauteur<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le comédien André Falcon vit soixante ans dans cet immeuble. Une plaque lui rend hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le poète Paul Verlaine fréquenta cet hôtel de 1889 à 1894. Une plaque lui rend hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule : l'écrivain norvégien Knut Hamsun vit et travaille dans cet immeuble entre 1893 et 1895. Une plaque lui rend hommage.
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Plaque en hommage au résistant Robert Jacques Houbré, au croisement avec le boulevard Saint-Michel.
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Plaque au no 3 bis.
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Plaque au no 4.
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Plaque au no 8.
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École au no 9.
- Modèle:Numéro avec majuscule : en 1855, adresse de l'imprimerie Charles Lahure (ancienne maison Crapelet) pour le Sénat et la Cour de cassation<ref>Œuvres complètes de Casimir Delavigne, 1855, Modèle:P..</ref>. Ensuite, une école élémentaire puis, depuis 2020, la Cité Audacieuse<ref>« La cité audacieuse, un lieu unique pour les femmes », paris.fr, mise à jour le 1er mars 2023.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Émile Zola habite un temps un logement au sixième, à la terrasse donnant sur le jardin du Luxembourg, un des multiples domiciles parisiens successifs de cet écrivain durant l'existence précaire de sa jeunesse<ref>Paul Alexis, Émile Zola. Notes d’un ami, chapitre V : « La lutte littéraire », sur Wikisource.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancien jeu de paume, racheté par François de La Guérinière et son associé Jean-François de Colmenil, qui le transforment en manège d'équitation. École ouverte aux jeunes nobles qui fermera en 1733 pour s'installer 6, rue de Tournon.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le peintre Diogène Maillart (1840-1926) avait un atelier à cette adresse en 1870<ref>Ministère des Beaux-Arts, Salon de 1870, Paris, 1870, Modèle:P..</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : entrée du palais du Luxembourg, classé aux monuments historiques depuis 1862<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : en juin 1899, une antéfixe, ornement décorant le bord d’un toit dans l’Antiquité, est découverte à la hauteur de ce no lors de fouilles conduites par l’inspecteur du département de la Seine, Charles Magne. Celle-ci est aujourd’hui conservée au musée Carnavalet<ref>Gilbert-Robert Delahaye, « Masques humains et Sainte Face sur les antéfixes de l’Antiquité et du Haut Moyen Ȃge », Data Persée.</ref>. Une partie de l’immeuble relève du patrimoine immobilier affecté au Sénat<ref name="Sénat">« Règlement du Sénat et instruction générale du bureau », Sénat, Modèle:1er 2021.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : adresse de décès de l'imprimeur Joseph Tastu en 1849. Emplacement, en 1885, de La Librairie artistique de l'éditeur Henri Launette<ref>Cent dessins de maîtres, Paris, H. Launette, 1885.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : une partie de l’immeuble relève du patrimoine immobilier affecté au Sénat<ref name="Sénat"/>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Jean Anouilh et Monelle Valentin y habitèrent entre 1932 et 1939<ref>Bernard Beugnot, Chronologie, in Jean Anouilh, Théâtre – I, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (2007) Modèle:P. Modèle:ISBN.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : en 1793, Jean-François-Thérèse Chalgrin y installa une des seize plaques en marbre dans lesquelles était gravé le mètre étalon. À l'origine, celle-ci devait être posée rue de Tournon. Dans cet immeuble se trouvait l’imprimerie Béthune et Plon. C'est ici que l'imprimeur éditeur Joseph Tastu (1787-1849) installe son imprimerie en 1821<ref>https://www.idref.fr/101280718</ref>, en compagnie de son épouse Amable Tastu (1795-1885), écrivaine.
- Modèle:Numéro avec majuscule : les comtesse hongroises Blanche et Emma Teleki y vécurent ; une plaque leur rend hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule (démoli) : domicile parisien du comte de Montlosier (1755-1838)<ref>Henri Dulac, Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris pour l’année 1835, 1835.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : embouchure de la rue Servandoni, précédemment rue des Fossoyeurs.
Face à cette rue fut fondé, en 1622, le premier couvent parisien de bénédictines de Notre-Dame du Calvaire dit « couvent des filles du Calvaire<ref>Voir par exemple le plan de Turgot (1739).</ref> ». Pour le distinguer du second couvent de Notre-Dame du Calvaire parisien, érigé en 1634 dans le quartier du Marais, il est aussi désigné sous les noms de « couvent du Petit-Calvaire<ref>La Clef du cabinet des princes de l’Europe ou recuëil historique & politique sur les matières du tems, tome 85, impr. André Chevalier, janvier 1772, Modèle:P. (en ligne)</ref> » et, plus rarement, sous celui de « couvent du Petit-Luxembourg ». Établi sous la haute protection de Marie de Médicis, à l'instigation du père Joseph (1577-1638), le couvent des filles du Calvaire de la rue de Vaugirard était attenant à la façade ouest de l'hôtel particulier dit Petit Luxembourg<ref>Photographie des vestiges de l’ancien couvent des filles du Calvaire vus depuis le jardin du Luxembourg, prise vers 1903/1920 par Eugène Atget (en ligne) sur le site gallica.bnf.fr.</ref>, dans l’enceinte même des terres acquises par la reine mère (actuel jardin du Luxembourg) pour la construction du palais du Luxembourg (achevé en 1625). - Modèle:Numéro avec majuscule : immeuble relevant du patrimoine immobilier affecté au Sénat<ref name="Sénat"/>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : l'historien Albert Sorel y est mort en 1906 ; deux plaques lui rendent hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le compositeur Jules Massenet meurt dans cet immeuble le Modèle:Date-. Une plaque lui rend hommage.
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Plaque au no 36.
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Plaque au no 37.
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Plaque au no 47 bis (façade).
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Plaque au no 47 bis (cour intérieure).
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Plaque au no 48.
- Modèle:Numéro avec majuscule : domicile parisien de la vicomtesse Pernety. Presbytère de Saint-Sulpice.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Donatien de Sesmaisons, commandeur de la Légion d'honneur, logeait là en 1838.
- Au croisement avec la rue Bonaparte : promenade de l'allée du Séminaire-Jean-Jacques-Olier.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancien hôtel Guistel<ref>« Paris, hôtel Guistel, 58, rue de Vaugirard (VI arr.) », Institut national d’histoire de l’art (INHA).</ref>,<ref>« Hôtel Guistel, 58, rue de Vaugirard, 6ème arrondissement, Paris », Paris Musées.</ref> ; le journaliste et homme politique Hugues Le Roux (1860-1925) y avait son domicile<ref>« La mort d’Hugues Le Roux », Le Petit Journal, Modèle:Date-, sur RetroNews.</ref> ; domicile parisien de Zelda et F. Scott Fitzgerald entre avril et Modèle:Date-<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Zelda and Scott in Paris », American Girls Art Club in Paris.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancienne boucherie, puis librairie de Marcel Béalu (Le Pont traversé) ; la devanture est inscrite aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : ancien couvent des Carmes, prison des Carmes pendant la Révolution, dont l'ancienne église Saint-Joseph-des-Carmes avec ses chapelles et son oratoire dit du Chancelier, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont classés aux monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Plaques en l'honneur d'Henri Lacordaire et de Frédéric Ozanam.
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Couvent des Carmes, extrait du plan de Bullet et Blondel, 1676.
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Plaques au no 70.
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Plaque au no 70.
- Modèle:Numéro avec majuscule : demeure du baron Petit, grand officier de la Légion d'honneur.
- Modèle:Numéro avec majuscule : l'Institut catholique de Paris a créé une nouvelle entrée de son campus en Modèle:Date-.
Plaque rendant hommage à Édouard Branly qui, dans cet ancien couvent des Carmes, a découvert la radioconduction (1888-1890).
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Plaque au no 74.
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Plaque au no 85.
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Lycée technique Saint-Nicolas au no 92.
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Lycée technique Saint-Nicolas au no 108.
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Monastère de la Visitation au no 110.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancienne École mutuelle, dont la façade est ornée d'un bas-relief du sculpteur Aimé Millet (1850), où il a exécuté son autoportrait dans la figure de l'ouvrier dessinant à droite<ref>Henri Dumesnil, Aimé Millet, souvenirs intimes, Paris, Lemerre, 1891, Modèle:P..</ref>. La façade et la toiture du pavillon d'entrée sont inscrites aux monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Ce bâtiment a abrité l'École nationale de photographie et cinématographie, aujourd'hui École nationale supérieure Louis-Lumière, transférée à Noisy-le-Grand, dont l'entrée s'effectuait rue Littré. Elle était auparavant une école primaire, puis le redevint au déménagement de l'École nationale de photographie et cinématographie. Plaque en hommage à l'homme politique Victor Bucaille. Le Modèle:Date- le baron Pasquier, préfet de Police, envoie une lettre au préfet de la Seine, le priant de faire enlever une borne milliaire portant encore une fleur de lys et un bonnet de la liberté, qui se trouve rue de Vaugirard (cette borne existe toujours, sans sa fleur de lys, encastrée dans le mur de l’immeuble Modèle:N°, rue de Vaugirard)<ref>Archives de Paris, carton: 6 AZ 1375</ref>
- Modèle:Numéro avec majuscule, anciennement no 90 : la famille de Victor Hugo y habite de Modèle:Date- au printemps 1827. Leur fille Léopoldine naquit dans l'appartement en Modèle:Date-<ref name="lieu9">« Les lieux hugoliens, no 9 », victorhugo2002.culture.fr.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : atelier du peintre Henri Bouché-Leclercq (1878-1946), loué ensuite durant sa retraite par son frère Émile (1884-1963), docteur en droit, préfet, croix de guerre 1914-1918, chevalier de la Légion d’honneur, époux d'Élisa Lucia Margareta Rosa (1897-1977), descendante de Salvator Rosa, peintre et poète. Le peintre Fred Klein, père d'Yves Klein, y vécut dans les années 1960. Paul Arzens, artiste ingénieur auquel on doit, entre autres inventions, la locomotive BB 15000, y avait son atelier.
- Modèle:Numéros avec majuscule et 108 : collège Saint-Louis et lycée technique Saint-Nicolas, établissements scolaires privés.
- Modèle:Numéros avec majuscule : Le sculpteur Gabriel Forestier y vécut et y avait son atelier de 1909 à 1969. Le sculpteur A. Janniot y avait également un atelier.
- Modèle:Numéro avec majuscule : immeuble Art nouveau conçu par l'architecte Ferdinand Glaize en 1891 avec une marquise à l'entrée et un bow window sur toute la hauteur de l'immeuble<ref name="artnouveau">
Modèle:Lien web.</ref>,<ref>« 95, rue de Vaugirard », sur pss-archi.eu.</ref>. Atelier du peintre Frederik Hendrik Kaemmerer, qui s'y suicide en 1902<ref>« À travers Paris », Le Figaro, 5 avril 1902, Modèle:P..</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : emplacement du prieuré des Bénédictines de Notre-Dame-des-Prés<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le sculpteur Étienne Leroux réalisa, entre 1879 et 1880, le Monument à Jeanne d'Arc érigé ultérieurement sur la place de l'Hôtel-de-Ville de Compiègne.
- Modèle:Numéro avec majuscule : chapelle Notre-Dame-des-Anges, inscrite aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, construite en 1863. D'architecture néo-gothique, elle doit ses plans au père Gally. Elle possède 37 vitraux dédiés à la Vierge Marie, réalisés par Joseph Vigné<ref name="Panneau">Panneau Histoire de Paris, 104 rue de Vaugirard.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Marthe Orant, artiste peintre, y vécut<ref>Étienne Sassi, Marthe Orant, 1874-1957 - L'amour passionné de la peinture, Éditions Van Wilder, 1989.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Centre culturel du Forum 104<ref>Modèle:Lien web</ref>. De 1895 à 1981 s'y trouvait une résidence étudiante des Pères maristes, qu'ont fréquentée, notamment, François Mitterrand, Pierre de Bénouville, François Mauriac, Jean Guitton, André Bettencourt, Claude Roy, Max Guazzini et Édouard Balladur. Cette résidence, via son cercle Montalembert créé en 1895 dans la chapelle, et la Réunion des étudiants, visait à donner à ces jeunes une formation religieuse. Le militantisme de ces jeunes hommes passe par le scoutisme ou encore par les équipes sociales de Robert Garric<ref name="Panneau"/>.
- Entre les Modèle:Numéros et 106 finissait la rue de Bagneux, aujourd'hui disparue et où existaient des ateliers d'artiste, notamment occupés par Adolphe Lavée ou Boleslas Biegas, qui débutait entre les Modèle:Numéros de la rue du Cherche-Midi<ref>Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Paris, 1844, Modèle:P. (livre numérique Google).</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancien monastère de la Visitation. Le bâtiment est acheté par l'ordre en 1819 et largement réaménagé à partir de 1821. En 2010, les religieuses le quittent pour rejoindre le monastère de l'avenue Denfert-Rochereau. Le site revient alors au diocèse de Paris. Il comprend un hôtel particulier construit à l'origine, vers 1775, pour la maison de Clermont-Tonnerre, un jardin de 4000 m², une chapelle, un cloître et une ancienne vacherie (qui fut la dernière de Paris). Sous le nom de Maison Marguerite-Marie, un projet mené par le diocèse prévoit la construction de nouveaux bâtiments afin d'accueillir des logements, un équipement de petite enfance et une résidence pour personnes handicapées. Pour cela, plusieurs édifices datant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle doivent être détruits (oratoires, vacherie surmontée d'une claustra, chapelle encastrée, pilastres style Louis XVI, etc.) et le jardin réaménagé (42 arbres doivent être coupés), une densification (notamment deux immeubles de 6-7 étages) qui suscite les critiques de défenseurs du patrimoine<ref>« Le monastère de la Visitation et sa vacherie, unique à Paris, bientôt victimes d’une opération de densification », sppef.fr, 1er septembre 2020.</ref> et de riverains, comme l'acteur Gérard Depardieu (arrière du site, 93 rue du Cherche-Midi)<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : consulat général du Burkina Faso.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Centre quaker international depuis 1962, après avoir siégé rue Notre-Dame-des-Champs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le peintre Jean Dubuffet habita cette adresse. Le photographe Marc Vaux avait son atelier à cette adresse, de même que le sculpteur Jules Déchin.
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement du cabaret Le Trapèze Volant, lié à la grande époque de Montparnasse, ouvert en 1927 dans un ancien garage, aménagé et décoré à la demande de Roland Toutain par Berthold Lubetkin et Bob Rodionov. Après la faillite du cabaret qui comptait Jean Cocteau parmi ses clients, en 1933, les locaux sont transformés en salle de cinéma d'environ quatre cents places : le Studio-Ciné-Gilbert, renommé ultérieurement dans les années 1930 Studio de la Bohème, qui ferme en 1955. Le bâtiment est détruit et remplacé par un immeuble d'habitation.
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement de l'ancienne imprimerie Draeger & Lesieur, fondée en 1886, renommée « Draeger frères » en 1899 et transférée au 46, rue de Bagneux à Montrouge en 1907 ou 1908<ref>« Draeger (firme) » sur data.bnf.fr.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement du moulin de la Pointe qui marquait la limite ouest de la censive de l'abbaye de Sainte-Geneviève<ref name="JH">Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris.</ref>,<ref>Gravure du moulin de la Pointe sur le chemin de Vaugirard, www.parisenimages.fr.</ref>,<ref>Procès-verbal de la Commission municipale du Vieux Paris, 1898, 7.djvu/29.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : pavillon George et Florence Blumenthal (administration générale de l'Assistance publique à Paris, hôpital Necker-Enfants malades).
- Entre le no 146 et le no 148 : impasse de l'Enfant-Jésus, où se trouve, au no 5, la sous-station Necker.
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Chapelle au Modèle:N° bis.
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École maternelle au no 49.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le sculpteur et médailleur Raoul Lamourdedieu y résidait en 1908.
- Le physicien André Langevin et sa femme, Luce Dubus, ont habité dans cette rue.
Entre le boulevard Pasteur et la porte de Versailles : ancienne grande rue de Vaugirard
- Modèle:Numéro avec majuscule : accès secondaire au lycée Buffon.
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement du cimetière de Saint-Sulpice, désaffecté en 1856.
- Modèle:Numéro avec majuscule : Hôpital international, inauguré en 1899.
- Modèle:Numéro avec majuscule : la brasserie Moritz était établie à cet emplacement de sa création en 1848 à la cessation de son activité en 1960. Un immeuble de bureaux a alors remplacé les installations<ref>Page consacrée à l'ancienne brasserie Moritz, didier93.chez-alice.fr.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le sculpteur Pablo Gargallo y avait son atelier à partir de 1933.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le peintre Jean Discart y réside jusqu'à sa mort en 1940.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le peintre Louis François Cabanes y réside, puis le sculpteur Charles Maillard en 1936.
- Modèle:Numéro avec majuscule : les peintres Alfred Manessier et Gustave Singier y ont résidé et travaillé des années 1940 aux années 1970 (immeuble construit après destruction des maisons individuelles).
- Modèle:Numéro avec majuscule : en 1892 s'installe ici la société de matériel téléphonique Postel-Vinay, qui sera absorbée par Thomson Houston en 1904<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : hôpital de l'Institut Pasteur, fondation Madame Jules Lebaudy.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancienne Auberge du Soleil d'Or, maison de campagne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur le grand chemin de Vaugirard. C'est là que les royalistes complotèrent en 1791 pour affermir Louis XVI sur le trône et c'est là également que les anciens Montagnards fomentèrent l'affaire du camp de Grenelle, contre le Directoire, en 1796<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> Modèle:Refnec.
- Modèle:Numéro avec majuscule : siège de l'UMP depuis 2011, puis des Républicains après 2015, à la place d'un ancien garage Renault<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : commissariat de police du Modèle:15e arrondissement.
- Modèle:Numéro avec majuscule : bâtiment du ministère de l'Agriculture. Anciennement siège social de la Compagnie générale de constructions téléphoniques.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancienne agence Ford en 1927<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ce bâtiment à la façade sobrement Art déco<ref>Modèle:Article.</ref> abrite aujourd'hui un supermarché.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ateliers de Jean Barillet (1912-1997), maître verrier français, fils de Louis Barillet<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : appartement de Michel Foucault de 1970 à sa mort en 1984<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : le philosophe Michel Foucault y vécut ; une plaque lui rend hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule : chapelle des sœurs de la Charité dominicaines de la Présentation de la Sainte-Vierge de Tours. Emplacement de l'ancien orphelinat Saint-Charles, créé en 1854 par l'abbé Bayle pour recueillir les enfants devenus orphelins à la suite des premiers pandémies de choléra. Un panneau Histoire de Paris, placé vers le no 397 de la rue, sous le viaduc de la [[Petite Ceinture du 15e|Petite Ceinture du Modèle:15e]], le rappelle.
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement, en 1843, lors de sa fondation, de l'ouvroir de Notre-Dame-de-la-Miséricorde, atelier de travail créé à l'initiative des dames de l'Œuvre des prisons et confié aux sœurs de Marie-Joseph pour soutenir et loger des jeunes filles sortant de la prison de Saint-Lazare après y avoir purgé leurs peines et qui montraient de bonnes dispositions<ref>Eugène Pottet, Histoire de Saint-Lazare, Babelio, coll. « XIX », 26 janvier 2016 lire en ligne.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : emplacement du séminaire Saint-Sulpice, premier séminaire français, créé par Jean-Jacques Olier en Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : l'Aviatic Bar dont le décor intérieur en céramique datant de 1910 a été réalisé par la faïencerie belge Gilliot et Modèle:Cie de Hemixem. Il est inscrit aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : emplacement de l'ancien hôpital de Vaugirard également appelé hospice de Santé. Actuel emplacement de l'hôpital Vaugirard - Gabriel-Pallez.
- Modèle:Numéro avec majuscule (angle no 14 rue de Cadix) : « immeuble plat »<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : emplacement de la maison de campagne du séminaire des Trente-Trois.
- Modèle:Numéro avec majuscule : ancien patronage de l'Enfance et de l'Adolescence, fondé en 1912 par Henri Rollet<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : site de l'université Paris II Panthéon-Assas, communément appelé « centre Vaugirard », qui occupe une partie de l'ancien collège de l'Immaculée-Conception, dont Charles de Gaulle était un des élèves. L'ancienne chapelle et le dortoir du collège sont inscrits aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : lycée autogéré de Paris, lycée alternatif fondé en 1982 et installé rue de Vaugirard depuis 1984<ref>Lycée autogéré de Paris, www.l-a-p.org.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : gare de Vaugirard-Ceinture, sur l'ancienne ligne de Petite Ceinture. Le pont est emprunté depuis 2013 par la [[Petite Ceinture du 15e|Petite Ceinture du Modèle:15e]]. Plaque commémorative : Modèle:Citation
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Pont de la ligne de Petite Ceinture.
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Panneau Histoire de Paris sur le choléra sous le viaduc.
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Plaque en mémoire de Jacques Baudry (l'un des cinq martyrs du lycée Buffon), au no 247.
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Plaque en mémoire de Michel Foucault, au no 289.
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Plaque rendant hommage au résistant Georges Walker, 397 bis, rue de Vaugirard.
Divers
- « Vaugirard » est aussi l'ancienne appellation de l'École nationale de photographie et cinématographie, aujourd'hui, École nationale supérieure Louis-Lumière.
- La rue Vaugirard fait partie des emplacements à acheter dans l'édition française du jeu de Monopoly.
- Une partie de l'action de l'album S.O.S. Météores de Blake et Mortimer se déroule au n°69 bis. Néanmoins, les dessins du porche d'entrée reprennent l'entrée du n°58<ref>« SOS Météores : Blake et Mortimer "en vrai" ».</ref>.
Notes et références
Annexes
Articles connexes
- [[Liste des voies du 6e arrondissement de Paris|Liste des voies du Modèle:6e arrondissement de Paris]]
- [[Liste des voies du 7e arrondissement de Paris|Liste des voies du Modèle:7e arrondissement de Paris]]
- [[Liste des voies du 15e arrondissement de Paris|Liste des voies du Modèle:15e arrondissement de Paris]]
