Saint-Nabor
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Nabor (Sàm Nàwer en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Les habitants sont nommés les Saint-Naborois(es)<ref>Décision du conseil municipal du 17 décembre 2009</ref>.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Localisation
Saint-Nabor est située au pied du mont Sainte-Odile, à environ 30 km au sud-ouest de Strasbourg. Le village fait partie du canton et de l'arrondissement de Molsheim. Saint-Nabor se situe sur la Route des Vins d'Alsace.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes : Modèle:Communes limitrophes
- Ottrott, 1 km
- Barr, 5 km
- Bernardswiller 4 km
- Obernai, 7 km
- Mittelbergheim, 6 km
- Gertwiller, 6 km
- Goxwiller, 7 km
Géologie et relief
Le village est situé à 342 mètres d'altitude.
Le site du massif des Vosges, inscrit au titre de la loi du Modèle:Date-, regroupe 26 communes du Scot situées à l’ouest de la RN et de la RD 422<ref>Le schéma interrégional du massif des Vosges à l'horizon 2020 : un projet de développement durable, une ambition pour le massif</ref>.
Hydrographie
- le ruisseau le Darsbach (rg de la rivière Andlau) Modèle:Unité sur les six communes de Saint-Nabor, Obernai, Bernardswiller, Niedernai Meistratzheim Bolsenheim.
- La fontaine Sainte-Lucie<ref>Patrimoine du Massif : La fontaine Sainte Lucie</ref>.
Climat
Micro climat ou « semi-continental d’abri », classé cfb selon la classification de Köppen et GeigerKöppen<ref>Le climat de Saint-Nabor</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Nabor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Bœrsch, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme<ref>Plan Local d'Urbanisme approuvé le 02/03/2005, modifié le 28/09/2007 et le 17/12/2012</ref>.
Schéma de cohérence territoriale (Scot) du Piémont des Vosges<ref>Rapport de Présentation : Les grandes composantes naturelles</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,4 %), mines, décharges et chantiers (13,2 %), zones urbanisées (13,1 %), cultures permanentes (7 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %), prairies (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits, hameaux et écarts
- Kolisacker
- Niedermunster
Voies de communications et transports
Voies routières
Environnée par les communes de Ottrott, Bernardswiller, Heiligenstein et Andlau, Saint-Nabor se trouve à 21 km au nord-ouest de Sélestat, la grande ville la plus proche.
Transports en commun
Les gares les plus proches se trouvent à Obernai, Barr et Goxwiller.
Voie cyclable
Le village est également à proximité de la voie verte Rosheim-Ottrott
Risques naturels et technologiques
La commune est située dans une zone de sismicité modérée<ref>Fiche communale d’informations sur les risques naturels, miniers et technologiques</ref>,<ref>Didacticiel de la règlementation parasismique</ref>.
Toponymie
Durant la période de rattachement de l'Alsace-Lorraine à l'Empire allemand (1871-1918), le village est appelé Sankt Nabor, reprenant le nom qui a été le sien jusqu'à la conquête française au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il est toujours utilisé en allemand et en alsacien.
Histoire
Saint Nabor est le nom d'un soldat martyr nommé par corruption saint Avold en français et Santderver en allemand, dont le corps fut déposé en 764 dans l'abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold, une abbaye bénédictine, par saint Chrodegang, évêque de Metz<ref>Oratoire fondé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'origine du monastère qui recueille les reliques de Saint Nabor</ref>.
Le village de Saint-Nabor apparait au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, lorsque les reliques de saint Nabor sont transférées dans la région, depuis Rome par l'évêque de Metz, Chrodegang. En 1050, l'abbaye de Hohenbourg possède des biens dans la localité. Saint-Nabor appartient au couvent de Niedermunster, aujourd'hui ruiné. Vers 1648, le village est donné en gage aux Andlau, puis aux Landsberg en 1482, puis il est cédé pour un quart aux Uttenheim de Ramstein.
Avec la dissolution du couvent en 1543, le village passe sous la dépendance du chapitre de la cathédrale de Strasbourg qui reste propriétaire des lieux jusqu'à la Révolution. La paroisse de Saint-Nabor reste autonome jusqu'en 1666 et relève du chapitre rural du Bruderberg à Rosheim. Elle devient ensuite une filiale d'Ottrott-le-Haut. Christian Geyer était prévôt de Saint-Nabor en 1730 au mariage de sa fille Elisabeth avec Jacques Wach.
Politique et administration
Découpage territorial
Commune et intercommunalités
Commune membre de la communauté de communes des Portes de Rosheim.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 20,96 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,49 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 77,47 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0, % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Équipements et services publics
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- École primaire<ref>École élémentaire</ref>,
- Écoles maternelles à Ottrott, Heligenstein, Boersch,
- Collèges à Barr, Obernai,
- Lycées à Obernai, Barr.
Santé
- Professionnels de santé à Ottrott, Bernardswiller, Boersch, Obernai<ref>Professionnels de santé</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Cultes
- Culte catholique, communauté de paroisses du Mont Sainte Odile (BOERSCH – GRENDELBRUCH – KLINGENTHAL – MOLLKIRCH – OTTROTT – SAINT-NABOR), zone paroissiale Molsheim-Bruche, diocèse de Strasbourg<ref>[1]</ref>.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
- Agriculture et élevage<ref>Sébastien Fernex partage sa vie entre sa passion pour la sculpture et son métier d'agriculteur</ref>.
Tourisme
- Carrières d'Ottrott-Saint-Nabor. La communauté de communes des Portes de Rosheim a mené plusieurs études de faisabilité et de réaménagement pour la reconversion du site en parc paysager et botanique.
Commerces et services
- Commerces et services : boulangerie et activités immobilières à Saint-Nabor et autres commerces et services à Rosheim, Boersch.
- Artisanat d'art.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Vestiges de l'abbaye de Niedermunster
Modèle:Article détaillé Le monastère de Niedermunster a été fondé vers 700 par sainte Odile pour accueillir les pèlerins qui ne pouvaient pas accéder à celui de Hohenbourg. Elle y construisit aussi une église qu'elle dédie à saint Martin et une maison pour l'accueil des pèlerins. Les deux monastères ont d'abord le même nom et partagent les revenus indivis. C'est sa nièce, Gundelinde qui sera la première abbesse de ce monastère. Au tout début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Hugues III, comte de Tour et de la Haute Alsace, descendant d'Aldaric (père de sainte Odile) remplace l'établissement mérovingien par un ensemble monastique adaptée à la nouvelle liturgie romaine et à la règle bénédictine fraichement introduite dans l'empire carolingien. Avec son épouse Ava, il dote la nouvelle fondation de la croix miraculeuse, offerte par Charlemagne et apportée depuis la Bourgogne à dos de chameau jusqu'à Niedermunster, qui deviendra ainsi un lieu de pèlerinage fort réputé dans tout l'Occident chrétien.
Dès 1016, l'empereur Henri II accorde à l'abbaye de Niedermunster le droit d'élire librement l'abbesse et le libre choix de ses avoués chargés des affaires militaires et judiciaires… Il sépare les deux monastères (Hohenbourg et Nidermunster) et déclare Niedermunster abbaye impériale en lui accordant l'immunité. Le complexe monastique du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle se compose alors de bâtiments claustraux, dominés par trois tours de l'église Sainte-Marie, d'un hospice pour pèlerins et des chapelles Saint-Nicolas et Saint-Jacques.
Dès son élection, au trône impérial en 1155, [[Frédéric Ier Barberousse|Frédéric {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} Barberousse]] se fait un devoir expiatoire de reconstruire les deux monastères, Niedermunster et Hohenbourg (mont Sainte-Odile) ruinés par son père Frédéric Le Borgne durant la Querelle des investitures (1075-1122). Il charge une de ses parentes, Relindis, abbesse augustine de Ratisbonne de reconstruite le monastère. À la mort de Relindis en 1167, Frédéric Barberousse nomme magister operis, Herrade à Hohenbourg et Edelindis à Niedermunster, les deux abbesses issues de la noble famille de Landsberg. La liturgie monastique, la prière perpétuelle, la gestion du pèlerinage et l'éducation des jeunes filles de la noblesse rythment jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le quotidien des chanoinesses de Niedermunster suivant la règle de saint Augustin.
Au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une succession malheureuse d’événements tragiques scelleront le destin de l'abbaye. En 1525, les paysans révoltés contre l'autorité seigneuriale du sud du Saint-Empire romain germanique investissent Niedermunster et y causent d'importants dégâts. La Réforme protestante et les idées luthériennes ont jeté le trouble dans les consciences et contribué à l'insurrection paysanne. En 1542, le feu détruit les bâtiments conventuels et l'évêque de Strasbourg, Érasme de Limbourg, avec l'accord du pape Pie V intègre le monastère à la mense épiscopale (patrimoine de l'évêque).
En 1545, la dispersion des chanoinesses, puis l'incendie de la collégiale en 1572 par la foudre ruinent définitivement l'abbaye et marquent la fin du pèlerinage de la Croix qui disparaîtra lors de la Révolution à Molsheim. Abandonnée, Niedermunster servira alors de carrière de pierres pour diverses constructions : les fortifications de Benfeld, l'église des Prémontrés du mont Sainte-Odile, le clocher de l'église d'Erstein, la banque Faulieb à Barr… jusqu'à son inscription sur la liste des Monuments historiques au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Église Saint-Nabor ({{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:s| s }} }}, {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:s| s }} }} et 1899)
L'église paroissiale de Saint-Nabor est un édifice composite. La tour-cœur remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et conserve une tête en relief, en façade caractéristique de la sculpture de l'époque. Un transept et un chœur d'entrée est alors transféré sous la tour<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La cloche est de 1812<ref>Modèle:Base Palissy cloche de l'église paroissiale Saint-Nabor</ref> et le mobilier de l'église date du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Chapelle Saint-Nicolas (Niedermunster)
Modèle:Article détaillé Cette chapelle située à Niedermunster sert d'oratoire à l'hospice des pèlerins. Elle est composée d'une nef rectangulaire, couverte d'une voûte en berceau brisé, et d'une tour-chœur avec un toit à deux versants. Le premier étage du chœur est dédié à saint Martin, le second à saint Michel. Deux escaliers latéraux élevés contre les parois donnent accès à l'autel du haut, la balustrade qui les unit faisant office de tribune. L'édifice est entièrement restauré depuis 1848<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Chapelle Saint-Jacques (Niedermunster)
Modèle:Article détaillé Située à mi-parcours et mi-hauteur entre Niedermunster et Hohenbourg, cette chapelle est élevée sur un tertre artificiel consolidé par une enceinte de pierres sèches. Elle comporte une nef rectangulaire à deux travées et un chœur carré couvert d'ogives. L'édifice est consacré en 1180 par l'évêque de Mantoue. Il n'en reste aujourd'hui que des ruines<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Carrières d'Ottrott-Saint-Nabor
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il existe dans la localité de Saint-Nabor des carrières de roches particulièrement dures, utilisées pour la construction des routes et à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle des voies ferrées<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Chapelle des morts
Chapelle des Morts de 1730<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Tombe d'Ursula Zu Triebel (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)
Fille du bailli de Rouffach, Ursula Zu Triebel est envoyée au couvent de Niedermunster avec sa sœur et élue abbesse à la mort de celle-ci. Sa tombe porte une crosse, signe d'autorité épiscopale, ainsi que des chevrons rappelant les armes de son père et une tête de pape coiffée de la tiare évoquant sa mère, une Bapts von Bolsenheim<ref>Modèle:Base Palissy dalle funéraire : d'Ursula Zum Tribel</ref>.
Dalle mèmoriale de Marguerite de Senin
Marguerite de Senin est issue d'une famille faisant partie de la petite noblesse impériale. Abbesse à la collégiale de Niedermunster, elle meurt en 1370. Cette dalle funéraire représente sa mémoire, une religieuse en linceul, le suaire encore relevé, avec les mains jointes en prière<ref>Modèle:Base Palissy dalle funéraire : de _Margarethe de _Senin (n° 1)</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy dalle funéraire : de _Margarethe de _Senin (n° 2)</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Nabor de Lodi
- Abbesses de l'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- L’abbaye de Niedermunster à Saint-Nabor : parcours d’un monument emblématique à travers les fonds du Service des patrimoines
- Remèdes et soins aux malades dans les monastères alsaciens du Moyen Âge (VIIIe au XIIe siècles), par Pierre Bachoffner, Revue d'Histoire de la Pharmacie Année 1975 224 pp. 329–339 : L'Abbaye de Niedermunster
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- L'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster, l'autre abbaye de Sainte Odile
- La Chapelle Saint-Nicolas de Niedermunster
- Mystères, légendes et curiosités, sur www.lunetoile.com/ Saint-Nabor :
- Abbaye Sainte-Marie de Niedermunster.
- Article des Dernières Nouvelles d'Alsace - Reconstitution virtuelle de l'abbaye de Niedermunster
- Article des Dernières Nouvelles d'Alsace - Un long travail de sauvetage virtuel du patrimoine
- Site internet du Pays du Mont Sainte-Odile - Page consacrée à Saint-Nabor
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Saint-Nabor : Statistiques sur la commune
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Carrière de Saint Nabor et Ottrott. Analyse des conditions de stabilité à long terme des front de taille définitifs. Recommandations BRGM, par Michel Morisseau et Francis Wojtkowiak, Modèle:Date-, 106 pages
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Nabor sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)