Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines
L’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), membre associé de l'université Paris-Saclay, est une université française créée en 1991, située dans le département des Yvelines ainsi que dans celui des Hauts-de-Seine ; ceci depuis 2022<ref> Modèle:Lien web</ref>. De plus, elle est l'une des deux universités membres associés de l'université Paris-Saclay.
Elle est implantée principalement dans la ville de Versailles, dans la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, dans les villes de Mantes-la-Jolie, de Vélizy-Villacoublay, de Rambouillet, et dispose d’un total de onze composantes. Située dans la partie nord du pôle technologique de Paris-Saclay, c’est l’une des cinq universités de l’académie de Versailles<ref group="n">Avec les universités de Paris-Nanterre, de Paris-Sud, d'Évry-Val d'Essonne et de Cergy-Pontoise</ref>.
Elle constitue l'une des quatre universités nouvelles<ref group="n">Avec l'université d'Évry-Val d'Essonne, l'université de Cergy-Pontoise, l'université de Marne-la-Vallée et l'UVSQ elle-même</ref> inaugurées en région parisienne à la suite du plan université 2000. Elle accueille environ Modèle:Unité, emploie Modèle:Unité administratifs et techniques, et rassemble Modèle:Unité, chercheurs et enseignants<ref name="Les chiffres clés"/>. De surcroît, Modèle:Unité (hors personnel hospitalier) viennent compléter chaque année l'enseignement dispensé.
Les disciplines enseignées sont les sciences exactes, les sciences humaines et sociales, les sciences juridiques et politiques, l'ingénierie, la technologie et la médecine. Elle est également active dans l’enseignement des interactions entre économie, éthique, environnement et développement durable.
Comme l’autre université membre associé, elle devrait évoluer vers un statut d’« université intégrée » de l'université Paris-Saclay d’ici 2025 et se renommer « Université Paris-Saclay Versailles »<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
De l’annexe versaillaise au plan université 2000
Certaines universités parisiennes avaient anticipé le décret du ministère de l’Éducation nationale et avaient délocalisé une partie de leurs activités en banlieue. En effet, connaissant une hausse importante de leurs effectifs, elles commencent à ouvrir de nouvelles implantations pour alléger leurs sites principaux. C'est ainsi qu'une antenne de l'université Pierre-et-Marie-Curie est créée à Versailles dès 1987<ref name="20 ans"> Modèle:Lien web</ref>. Spécialisée dans les sciences, elle rejoignait dans les Yvelines l’antenne implantée par l'université Paris 10 Nanterre deux ans plus tôt à Saint-Quentin-en-Yvelines<ref name="CNE 1996 P25"/> où s'étaient développées les filières administration économique et sociale (AES), droit, économie, histoire et sociologie.
Dans le même temps, le ministère de l'Enseignement supérieur programme dans le cadre du plan de modernisation de l’enseignement supérieur français « université 2000 » la création d’universités nouvelles<ref name="CNE 1996 P25">Modèle:Harvsp</ref>. L’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) est officiellement créée le Modèle:Date à partir de ces deux centres délocalisés de l'université de Paris VI et Paris X<ref>Modèle:PDF Modèle:Lien web</ref>.
La mise en forme
Elle est dotée en 1996 de structures et d'instances. Fin 1996 l’établissement sort de son statut dérogatoire pour rejoindre le régime de la loi de 1984, au même titre que les autres universités françaises. L'UVSQ élit ses instances et son premier président, Michel Garnier, début 1997. Il met en place les conseils définitifs (conseil d’administration, scientifique, et de la vie étudiante) qui ont ensuite procédé à son élection. C'est ensuite au tour de Dominique Gentile d'être à la tête de l'établissement, de 1997 à 2002<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Cette période est marquée par une forte évolution de l’enseignement supérieur français et l’université en profite pour se consolider : création des écoles doctorales, structuration du plateau de Saclay, préfiguration du PRES UniverSud Paris et de l’avènement des filières technologiques. La création de l'institut universitaire de technologie (IUT) de Mantes-la-Jolie en 2001 – anciennement annexe de l'IUT de Vélizy – précède d'un an l'ouverture de l'Institut universitaire professionnalisé (IUP) arts, sciences, culture et multimédia, rattaché à l'unité de formation et de recherche (UFR) de sciences.
C’est enfin à ce moment que la faculté de médecine de l’université Paris Descartes est transférée à Saint-Quentin-en-Yvelines, renommée « Paris-Île-de-France-Ouest » (PIFO)<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Développements récents
En 2002, l'université connait un changement de présidence. Sylvie Faucheux arrive à sa tête. L’établissement applique la réforme Licence-Master-Doctorat (LMD) à ses enseignements en 2004<ref> Modèle:Lien web</ref>. Le Centre de formation d'apprentis (CFA) d'Alembert à Guyancourt est créé en 2006. L'année 2007 est marquée par le déménagement de l'UFR médicale Paris Île-de-France Ouest (PIFO) à Saint-Quentin-en-Yvelines et la création, avec l’université Paris XI et l’École normale supérieure de Cachan du PRES UniverSud Paris. En 2001, la faculté de Médecine Paris Île-de-France Ouest quitte l'université Paris-Decartes et intègre l'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines dans le cadre de la politique de déconcentration universitaire au sein de l'Île-de-France. Elle portait le nom de « UFR médicale Paris-Ouest ». Le 20 novembre 2009, la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse se rend à l'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines pour la signature d'une convention de financement pour la construction d'un nouveau bâtiment pour l'UFR de Médecine Paris Ouest<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2019, les équipes du professeur Jean-Marc Ayoubi et de l'hôpital Foch réalisent la première greffe d'utérus en France<ref>[1] sur le site de Paris Match</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette greffe a permis la naissance d’un enfant le 12 février 2021<ref>Modèle:Article.</ref>.
L'année 2010 laisse place à la réorganisation de l'UFR sciences humaines et sociales de l'UVSQ. Il disparait pour laisser la place à quatre nouvelles UFR et instituts : l'Institut des études culturelles, l'Institut supérieur de management, l'Institut de langues et études internationales et l'Unité de formation et de recherche de sciences sociales.
L’université entre dans une phase d’expansion et le développement du plateau de Saclay est au centre de toutes les attentions. Suivant cette ligne directrice, l'UVSQ devient membre fondateur d’UniverSud Paris mais également de la fondation de coopération scientifique préfigurant le futur campus de Paris-Saclay<ref name="20 ans"/>. Des liens sont aussi étudiés en 2011 avec l’université de Cergy-Pontoise<ref> Modèle:Lien web</ref>. C’est ainsi que le PRES Université du grand ouest parisien est créé en Modèle:Date-<ref>Modèle:Légifrance</ref>. Un institut d'études politiques (IEP) commun aux deux universités ouvrira en septembre 2014<ref>Camille Stromboni, « Sciences po : un nouvel IEP en projet entre les universités de Versailles et Cergy », Educpro, 14 juin 2011, consulté sur www.educpros.fr le 8 février 2012</ref>.
En Modèle:Date-, l'université est sorti des deux PRES UPGO et UniverSud Paris<ref>Modèle:Lien web</ref> pour décider, un an plus tard, de rejoindre l'université Paris-Saclay<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Composantes
Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, l’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines se découpe en plusieurs composantes. Il existe d’une part les unités de formation et de recherche (UFR) – ou traditionnellement le terme « faculté » comme pour la Faculté de Droit et Science politique – et d’autre part les « instituts et écoles ».
Unités de formation et de recherche
L'UVSQ abrite six unités de formation et de recherche (UFR) :
- L'UFR des sciences, située à Versailles. Il accueille les formations en biologie, sciences de la Terre et de l'Univers, physique, chimie, mathématiques, informatique ainsi que l'Institut universitaire professionnalisé en art, sciences, culture et multimédia<ref>UFR des sciences, université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref> ;
- L'UFR des sciences sociales, située à Saint-Quentin-en-Yvelines. Il accueille les formations d’économie, d’administration économique et sociale (AES), des sciences géographiques et sociales<ref>UFR des sciences sociales, université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref> ;
- La faculté de droit et Science politique, située sur la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, et plus particulièrement sur la ville de Guyancourt. Elle accueille les formations en droit (les branches du droit public, du droit privé et de l'histoire du droit) et en science politique à travers 24 masters, trois pôles de recherche et un Institut d'études judiciaires<ref>Faculté de droit et de science politique (DSP), université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref> ;
- L'UFR Simone Veil - Santé, située à Montigny-le-Bretonneux. Elle regroupe les formations en médecine dont DES de spécialités (dont Médecine générale) et les formations des filières paramédicales, et sages-femmes<ref>UFR Simone Veil - Santé, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref>. La localisation géographique des hôpitaux et lieux d'enseignement qui lui sont rattachés se situe quasi exclusivement dans la banlieue ouest de Paris :
- l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (AP-HP) ;
- l'hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt (AP-HP) ;
- l'hôpital Foch à Suresnes ;
- l'hôpital André Mignot à Le Chesnay-Rocquencourt (Centre Hospitalier de Versailles) ;
- le centre hospitalier intercommunal<ref>Centre Hospitalier Intercommunal Poissy St Germain.</ref> de Poissy-Saint-Germain-en-Laye ;
- l'hôpital Sainte-Périne à Paris (AP-HP) ;
- l'hôpital René Huguenin<ref>Curie : René Huguenin.</ref> à Saint-Cloud ;
- L'Institut d'études culturelles et internationales, situé à Saint-Quentin-en-Yvelines. Il a pour mission fondamentale le développement de la recherche et de la formation, la diffusion et la valorisation des connaissances et des savoir-faire dans le domaine des langues, des cultures et des études internationales<ref>Institut des langues et des études internationales (ILEI), université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref> et accueille également les formations en histoire, lettres, anglais, espagnol<ref>Institut d'études culturelles (IEC), université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref> ;
- L'Institut supérieur de management, situé à Saint-Quentin-en-Yvelines. Il accueille les formations en sciences de gestion, sciences de l’information, communication et sciences de l’éducation<ref>Institut supérieur de management (ISM), université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, consulté sur www.uvsq.fr le 8 février 2012</ref>.
Instituts et écoles
L'UVSQ dispose d'une école d'ingénieurs, de l'Institut des sciences et techniques des Yvelines, créée en 1992 et qui délivre des diplômes d'ingénieur spécialisés en informatique ou mécatronique habilités par la commission des titres d'ingénieur<ref>« Institut des sciences et techniques des Yvelines », Archimède, consulté sur archimede-groupe.org le 9 février 2012.</ref>.
Elle comprend également deux instituts universitaires de technologie : l'IUT de Vélizy<ref>« Versailles - IUT Vélizy-Villacoublay », L'étudiant, consulté sur letudiant.fr le 9 février 2012.</ref> avec une antenne à Rambouillet et l'IUT de Mantes-en-Yvelines et un centre de formation d'apprentis, le CFA d'Alembert créé en 2006 par l'UVSQ et la Chambre de commerce et d'industrie de Versailles-Val-d'Oise-Yvelines. Il est situé à Guyancourt, commune de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines<ref>« Guyancourt : le CFA D’Alembert sur les bancs de la fac », région Île-de-France, 23 janvier 2009, consulté sur letudiant.fr le 9 février 2012.</ref>.
L'Institut d'études judiciaires (IEJ) prépare à l'examen d'accès à la Haute École des avocats conseils (HEDAC,) ainsi qu'au concours d'entrée à l'École nationale de la magistrature (ENM).
L'École nationale supérieure d'architecture de Versailles (ENSAV) est une grande école associée.
Observatoire
L'UVSQ abrite l'observatoire des sciences de l’univers, dit l'« Observatoire de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines ». Situé à Saint-Quentin-en-Yvelines, il accueille les formations en sciences de l'environnement, sciences des systèmes, et sciences de l'homme<ref> Modèle:Lien web</ref>. L'université se démarque par sa forte implication dans le développement durable<ref> Modèle:Lien web</ref>,<ref> Modèle:Lien web</ref>,<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Écoles doctorales
L’université dispose d’écoles doctorales qui ont la charge du suivi des étudiants en troisième cycle universitaire, mais aussi de la gestion des habilitations à diriger des recherches. Celles-ci sont au nombre de cinq<ref> Modèle:Lien web</ref> et 102 doctorats ont été délivrés en 2009<ref name="Les chiffres clés"/>.
- L'école doctorale « cultures, régulations, institutions et territoires » qui étudie différentes thématiques propres à l’ensemble des sciences sociales et humaines ainsi qu’aux sciences juridiques et politiques<ref name="AERES P. 7">Modèle:PDF
Modèle:Lien web</ref> ;
- L'école doctorale « des génomes aux organismes » (coaccréditation avec l'université d'Évry-Val d'Essonne) qui s'intéresse à la biologie, et la génomique en particulier, et incluent les interfaces avec les mathématiques, l'informatique, la physique et la chimie<ref name="AERES P. 7"/> ;
- L'école doctorale « sciences de l'environnement d'Ile de France » (coaccréditation avec Sorbonne Université et l'École normale supérieure Paris-Saclay) couvre les champs pluridisciplinaires liés à la compréhension de l’équilibre physique, chimique et biologique de l’environnement terrestre<ref>
Modèle:Lien web</ref> ;
- L'école doctorale « sciences et technologies de Versailles » qui étudie les thématiques suivantes : chimie, physique, informatique, mathématiques, sciences pour l'ingénieur<ref>Modèle:Pdf
Modèle:Lien web</ref> ;
- L'école doctorale « santé publique » (convention avec l'université Paris-Saclay et l'université de Paris) qui regroupe trois laboratoires : centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, laboratoire universitaire santé-environnement-vieillissement, pharmaco-épidémiologie et maladies infectieuses<ref>Modèle:Pdf
Modèle:Lien web</ref>.
Bibliothèques et réseau documentaire
En 2005, l'université inaugurait la bibliothèque de Saint-Quentin-en-Yvelines disposant d'une surface de Modèle:Unité sur trois niveaux et Modèle:Unité places de lecture<ref> Modèle:Lien web</ref>. La bibliothèque du campus des sciences de l'UVSQ située à Versailles a vu ses portes ouvrir le Modèle:Date-, après environ deux ans et demi de travaux<ref> Modèle:Lien web</ref>. Au total, l'université dispose de six bibliothèques universitaires réparties, outre les campus déjà mentionnés, sur ceux de Vélizy-Villacoublay, Boulogne-Billancourt, Rambouillet et Mantes-la-Jolie<ref> Modèle:Lien web</ref>, rassemblant environ 200 000 ouvrages, 5 000 livres numériques et 26 000 titres de presse<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Implantations
Modèle:Début d'illustration Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Yvelines|250px]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carteModèle:Fin d'illustration
L'université est implantée principalement sur quatre campus situés dans la ville de Versailles, dans la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, dans les villes de Mantes-la-Jolie et de Vélizy-Villacoublay / Rambouillet, mais dispose aussi d'autres installations sur un total de huit sites, répartis dans deux départements et sept communes. Au total l'établissement dispose en 2011 d'un patrimoine de Modèle:Unité de surfaces bâties<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Campus de Versailles
Le site de Versailles accueille les services centraux, l'UFR des sciences et le département informatique de l'Institut des sciences et techniques des Yvelines (ISTY).
Campus de Saint-Quentin-en-Yvelines
Le site de Saint-Quentin-en-Yvelines, quant à lui, regroupe la faculté de droit et Science politique, l'UFR de sciences sociales, l'UFR des sciences de la santé Simone Veil, l'observatoire des sciences de l'univers (OVSQ), l'institut supérieur de management (ISM), l'institut d'études culturelles et internationales (IECI), et l'institut Pierre-Simon-Laplace<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Autres implantations
Au Chesnay-Rocquencourt est située une annexe de l'UFR des sciences. Vélizy-Villacoublay héberge le siège de l'IUT de Vélizy et Rambouillet en accueille une antenne. Le site de Mantes-la-Jolie est le siège de l'IUT de Mantes-en-Yvelines. Pour finir, Mantes-la-Ville abrite le département mécatronique de l'Institut des sciences et techniques des Yvelines (ISTY)<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Enseignement et recherche
Formations
À la rentrée 2012, l’université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines propose 50 mentions de licences générales et professionnelles, 53 diplômes universitaires, 10 formations en ligne, 95 mentions de Master, 13 diplômes universitaires de technologie, 2 diplômes d’ingénieurs, un diplôme en médecine, un diplôme de sage-femme et 2 diplômes d’accès aux études universitaires<ref name="Les chiffres clés"/>.
La licence générale est délivrée en 2012 dans quatre domaines qui se déclinent en mentions, puis en spécialités : Arts-lettres-langues (6 mentions), Droit–économie-gestion (8 mentions), Sciences humaines et sociales (8 mentions) et Science-technologie-santé (11 mentions)<ref name="licences"> Modèle:Lien web</ref>. La faculté de droit propose également un Collège de droit sous forme de DU<ref>Modèle:Lien web</ref>. La licence professionnelle est enseignée en 2012 dans trois domaines qui se déclinent en mentions, puis en spécialités : Droit–économie-gestion (11 mentions), Sciences humaines et sociales (1 mentions) et Science-technologie-santé (13 mentions)<ref name="licences"/>. Le master est délivré en 2012 dans cinq domaines qui se déclinent en mentions, puis en spécialités et éventuellement en parcours : Arts-lettres-langues (1 mention), Sciences humaines et sociales (5 mentions), Droit-économie-gestion (5 mentions), Sciences de l'environnement-du territoire et de l'économie (4 mentions) et Science-technologie-santé (8 mentions)<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Relations internationales
L'université a développé depuis sa création des conventions d'échanges comme Erasmus, la conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), ou d'autres types d'échanges bilatéraux avec des universités étrangères. Leur nombre est d'environ 230 en 2011<ref> Modèle:Lien web</ref>. L'université a accueilli via ces conventions 330 étudiants étrangers en 2010<ref> Modèle:Lien web</ref>. Le volume d'étudiants Erasmus représente sur la période 2003-2008 entre 0,41 et 0,67 % des étudiants de l’université, ce qui place l'établissement entre la Modèle:61e et la Modèle:75e des universités françaises pour ce type d’accord<ref>Modèle:PDF Modèle:Lien web</ref>.
L'université accueille par ailleurs des étudiants étrangers permanents qui visent l’obtention de diplômes français. En 2010, ceux-ci sont au nombre de Modèle:Unité<ref name="Les chiffres clés"/>, soit 13,3 % de l’effectif total. Ils sont plus nombreux en proportion dans les formations de troisième cycle, dans lesquelles ils représentent près de la moitié des effectifs (45 %).
Recherche
Les activités de recherche de l’université sont effectuées dans 34 unités de recherche. De plus, 23 de ces laboratoires sont des équipes d'accueil, et onze autres des unités mixtes de recherche liées au CNRS. Elles sont regroupées dans six pôles et comptent au total près de 950 chercheurs titulaires et 687 doctorants<ref>Modèle:PDF Modèle:Lien web</ref> :
- Le « Pôle chimie, physique et matériaux, énergies renouvelables » , centre pour l'étude des matériaux et des solides accueillera d’ici 2013 l’institut de la fiabilité des matériaux pour la mécatronique et les systèmes complexes<ref>Modèle:PDF
Modèle:Lien web</ref> ;
- Le « Pôle environnement, climat et développement durable » traite de nombreuses thématiques : sciences exactes, humanités, économie, médecine, et cetera (etc.)<ref>Modèle:PDF
Modèle:Lien web</ref> ;
- Le « Pôle mathématiques, informatique et sciences pour l’ingénieur » qui étudie deux thématiques fortes : mathématiques-informatique et ingénierie des systèmes<ref name="innov6">Modèle:PDF
Modèle:Lien web</ref> ;
- Le « Pôle biologie et santé » regroupe environ 300 chercheurs et 1200 étudiants de 1re année de médecine. Les domaines de recherche sont : biologie, médecine, épidémiologie et santé des populations. Ce pôle est rattaché à plusieurs hôpitaux comme Ambroise-Paré, Raymond-Poincaré, Sainte-Périne, Foch, etc.<ref name="innov6"/> ;
- Le « Pôle cultures, humanités et sciences des sociétés » avec trois axes forts de formation et de recherche : les langues et les civilisations, la culture et ses métiers, les sciences sociales<ref name="innov7">Modèle:PDF
Modèle:Lien web</ref> ;
- Le « Pôle institutions et organisations » qui s'intéresse aux sciences de gestion, du droit et de la science politique<ref name="innov7"/>.
L'institut Pierre-Simon-Laplace (IPSL), un institut de recherche en sciences de l'environnement global, situé sur d'anciennes ferme de Troux de la ville Guyancourt, composé de 6 laboratoires dont seuls 3 sont sous tutelle partielle de l'UVSQ : centre d'étude des environnements terrestres et planétaires, service d'aéronomie, laboratoire des sciences du climat et de l'environnement.
Le service d'aéronomie et partiellement le centre d'étude des environnements terrestres et planétaires ont fusionné le Modèle:Date pour donner naissance au laboratoire atmosphères, milieux et observations spatiales (LATMOS) placé sous tutelle de l'UVSQ.
Scientométrie
L'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines est classée 2ème mondiale dans le domaine des sciences de l'atmosphère <ref>Modèle:Lien web</ref> par le classement académique des universités mondiales de Shanghai et figure dans les 500 premières places du classement au niveau mondial (489ème place)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est classée par le Times Higher Education (THE) au 8ème rang des universités françaises<ref>Modèle:Article.</ref>.
Vie étudiante
Associations étudiantes
En 1999, l'université se dote d'un « Service commun de la Vie étudiante (SCVE) » placé sous la responsabilité d'un directeur étudiant. Celui-ci disparaîtra à la suite de plusieurs restructuration des services en 2008<ref>Modèle:Lien web</ref> puis 2014. Les activités associatives sont portées au niveau institutionnel par une « direction de la coordination de la vie universitaire » regroupant l'ensemble des services dédiés à la vie universitaire.
En Modèle:Date-, 41 associations sont agréées par l'UVSQ<ref> Modèle:Lien web</ref>. Elles couvrent les domaines des sciences, sciences sociales et humaines, droit, médecine, humanitaire-social-environnement, communication, loisirs, réflexion et politique.
Une maison de l’étudiant a ouvert ses portes en septembre 2013. Elle est conçue par l'architecte Fabienne Bulle et dispose d'une surface de Modèle:Unité. Ce bâtiment, à l'UFR des sciences sociales, accueille un espace pour déjeuner, un espace détente, une bibliothèque, un espace pour regarder des films, jouer à des jeux vidéo ou de société et une salle informatique. C'est également dans ce bâtiment que sont situés les personnels chargés des étudiants en situation de handicap ainsi que l'assistante sociale<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Des étudiants de l'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines, membre associé de l'université Paris-Saclay sont actuellement élus – depuis décembre 2021 – au Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous) de l'académie de Versailles<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sociologie
Sur les Modèle:Unité étudiants recensés par l'université en 2004, 77,1 % étaient titulaires d'un baccalauréat général, 12,3 % d'un baccalauréat technologique et 0,7 % d'un baccalauréat professionnel. Par ailleurs, 12,5 % des étudiants sont boursiers. Concernant les origines sociales, 49,2 % des étudiants ont une origine sociale favorisée et 20,2 % une origine sociale défavorisée. 30,6 % ont une origine sociale moyenne ou plutôt favorisée<ref>Modèle:PDF Modèle:Lien web</ref>.
Évolution démographique
{{#invoke:Démographie|demographie}}
Administration
Gouvernance
Comme tout établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, l’université est dirigée par un président élu à la majorité absolue des membres élus du conseil d’administration. Il est membre de droit des trois conseils de l’établissement. Les représentants du personnel (enseignants-chercheurs et BIATSS) et les représentants extérieurs, siégeant aux conseils de l’université, bénéficient d’un mandat de quatre ans, les membres étudiants élus de deux ans.
- Le conseil d’administration (CA), composé de 30 membres élus, décide de la politique de l’établissement. Il est notamment responsable du vote du budget, de la répartition des emplois ainsi que de l’approbation des accords et conventions<ref name="Les 3 conseils de l'université">
Modèle:Lien web</ref>.
- Le Conseil académique regroupe les membres de la commission de la recherche et de la Commission de la formation et de la Vie universitaire (CFVU). Le Conseil académique en formation plénière est consulté ou peut émettre des vœux sur les orientations des politiques de formation, de recherche, ou sur tout autre sujet touchant la vie universitaire. Les décisions du conseil académique comportant une incidence financière sont soumises à approbation du conseil d'administration. Au sein du Conseil académique, une section disciplinaire est constituée, ainsi que la section compétente pour les questions relatives au recrutement, à l'affectation et à la carrière des enseignants-chercheurs. Le Conseil académique est composé de deux commissions :
- La Commission de la formation et de la Vie universitaire (CFVU), composée de 40 membres élus, est un organe propositionnel au CA, chargée des questions relatives à la formation initiale et continue. Elle oriente le CA en instruisant les demandes d’habilitation et les projets de nouvelles filières<ref name="Les 3 conseils de l'université" /> ;
- La Commission de recherche (CR), composée de 40 membres élus, est un organe propositionnel au CA, chargée des questions relatives à la recherche et à son orientation au sein de l’établissement. Assurant la liaison entre l’enseignement et la recherche, Elle est consultée sur les modifications apportées aux enseignements de troisième cycle, sur l’intitulé à emplois de recherche et sur les demandes d’habilitation<ref name="Les 3 conseils de l'université" />.
Historique des présidents
Le président actuel de l’université est Alain Bui. C’est la sixième personne à exercer cette fonction depuis la création de l’établissement. Il est élu en octobre 2016 après la démission pour raisons de santé de Didier Guillemot. La durée de son mandat est prévue jusqu'en avril 2020.
Nom | Années |
---|---|
Michel Garnier | 1991 à 1997 |
Dominique Gentile | 1998 à 2002 |
Sylvie Faucheux | 2002 à 2012 |
Jean-Luc Vayssière | 2012 à 2016 |
Didier Guillemot | 2016 à 2017 |
Alain Bui | Depuis 2017 |
Budget
L'université a dépensé pour son fonctionnement 166 millions d'euros en 2011<ref name="Les chiffres clés"/> ce qui représente une hausse de 16 % par rapport à 2010. L’université disposait en effet d'un budget de 143 millions d’euros en 2010, lui-même de 13,1 % supérieur à celui de 2009<ref> Modèle:Lien web</ref>. Le budget alloué au fonctionnement a progressé de 29,2 % sur la période 2007-2010. Le montant des investissements sur la même période a été au total d'environ 3,3 millions d’euros<ref> Modèle:Lien web</ref>.
L'université est en cessation de paiement en 2013 obligeant l'État à procéder à une rallonge budgétaire de 5 millions d'euros en 2013<ref> Modèle:Lien web</ref>. Le budget 2014 est déficitaire, l'aide de l'État étant ramené à 800 000 au lieu des 5 millions d'euros annoncés, et l'université envisageait de fermer des cursus<ref>L'université Versailles-Saint-Quentin n'exclut pas de fermer Le Monde, 18 décembre 2013</ref>.
Structure de l'emploi hors enseignants des disciplines hospitalo-universitaires
En 2009-2010, selon le rapport officiel publié en juin 2010 par la direction des ressources humaines du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, l'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines emploie Modèle:Unité, correspondant à Modèle:Unité équivalents temps-plein<ref>La différence s'explique par le nombre de temps partiel.</ref>, soit 20,4 %, ce qui la situe nettement au-dessus de la moyenne nationale de 15,5 %. Le total des enseignants permanents est de Modèle:Unité, comprenant Modèle:Unité, Modèle:Unité, et Modèle:Unité<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.
Fondation université de Versailles
Modèle:Article détaillé Une fondation partenariale de droit privé est préparée dès l'automne 2008<ref> Modèle:Lien web</ref> et mise en place le Modèle:Date. Elle compte neuf membres fondateurs qui ont apporté un total de 2 millions d’euros à la création de la fondation<ref name="Mov’eoTec"> Modèle:Lien web</ref> : l’université, le centre technique des industries mécaniques, l’École supérieure d'ingénieurs en génie électrique, l’École supérieure des techniques aéronautiques et de construction automobile, l’IFP Énergies nouvelles, l’Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité, ainsi que les sociétés PSA Peugeot Citroën, Renault, Valeo et le groupe Safran .
Baptisée Mov’eoTec<ref name="Mov’eoTec"/>, elle concerne les transports et la mobilité durable et s'intéresse aux problématiques suivantes : réduire la consommation d'énergie et les émissions de dioxyde de carbone (Co2), faire baisser le nombre de morts et de blessés sur les routes, redonner de la mobilité aux personnes en situation de handicap, etc. Des projets sont financés par cette fondation selon quatre axes fixés dans les statuts de celle-ci : le développement des infrastructures de recherche, la formation des chercheurs, le développement des coopérations et le cofinancement de programmes de recherche ou de formation<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à l'université
Enseignants
Modèle:Catégorie détaillée Plusieurs sociologues enseignent ou ont enseigné à l'université comme Roland Guillon<ref> Modèle:Lien web</ref>, connu pour ses travaux sur le problème de l’emploi et du capital, Laurent Mucchielli, spécialiste en criminologie notamment sur les questions de délinquance et de violence des populations immigrées, Philippe Robert<ref> Modèle:Lien web</ref>, spécialisé dans l’étude des délinquances et des déviances, ou encore Étienne Anheim<ref> Modèle:Lien web</ref>, Didier Demazière et Claude Dubar<ref> Modèle:Lien web</ref>.
L'UVSQ compte également parmi ses enseignants actuels ou passés des historiens comme Bernard Cottret<ref> Modèle:Lien web</ref>, membre honoraire de l'Institut universitaire de France, Christian Delporte, spécialiste d’histoire politique et culturelle de la France du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref> Modèle:Lien web</ref>, Bruno Laurioux<ref> Modèle:Lien web</ref>, historien médiéviste français, Jean-Claude Yon <ref>« Jean-Claude Yon », sur site EPHE</ref>, Jean-Yves Mollier<ref> Modèle:Lien web</ref> et Loïc Vadelorge<ref> Modèle:Lien web</ref>, tous les trois experts de l'histoire contemporaine. Le département d'histoire en 1991 et le Centre d'Histoire culturelle des sociétés contemporaines en 1992 ont été créés par Pascal Ory, qui les a dirigéModèle:Refnec jusqu'à son élection à l'université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne) en 1998.
Dans le domaine scientifique, des personnalités comme le créateur du système de fichier ext2 Rémy Card<ref> Modèle:Lien web</ref>, le maître de conférences en pratique et théorie de la photographie Fabien Danesi<ref> Modèle:Lien web</ref>, le directeur-adjoint de l'École normale supérieure Jean-Charles Darmon<ref> Modèle:Lien web</ref> ou le chimiste et membre de l'Académie des sciences Gérard Férey<ref> Modèle:Lien web</ref> enseignent ou ont enseigné à l'université.
Valérie-Laure Bénabou, professeur de droit privé, fait également partie du corps professoral<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Thibault de Montbrial, avocat français, enseigne le droit pénal en Master 2.
Laurent Bouvet y est professeur de science politique.
La faculté des Sciences de la Santé Simone Veil est dirigé par Djillali Annane, professeur de réanimation. Parmi les PU-PH de cet UFR : Jérôme Salomon (directeur général de la santé, professeur de maladies infectieuses) Jean-Marc Ayoubi (professeur en gynécologie) et Pascal Crenn (professeur de nutrition).
Étudiants
Docteurs honoris causa
Lors de la cérémonie de remise des titres de docteur honoris causa le Modèle:Date à l'Orangerie du château de Versailles – ou Établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles (EPV) , Sylvie Faucheux, alors présidente de l'université, décerne, en présence de Alain Boissinot, la distinction à six personnalités<ref> Modèle:Lien web</ref> : Andrew Abbott (professeur de sociologie à l'université de Chicago)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien brisé</ref>, George Bermann (professeur en droit international à l'université Columbia)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>, Amos Gitaï (cinéaste et réalisateur israélien), Robin Hartshorne (professeur de mathématiques émérite à l'université de Californie à Berkeley)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>, Günther Lottes (professeur d'histoire à l'université de Potsdam)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref> et Seiji Miyashita (professeur de physique à l'université de Tokyo)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.
Image et communication
Classements
Nom/Sources | Classements nationaux et internationaux |
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CWUR<ref>https://cwur.org/2018-19/Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines-University.php</ref> | 310 |
THE<ref name=times>Modèle:Lien web. </ref> | 301-350 |
THE (sciences physiques et sciences sociales)<ref name=times/> | 176-200 (top 5 France) |
THE (universités < 50 ans)<ref name=times/> | 42 (top 5 France) |
THE Classement national général <ref>https://www.timeshighereducation.com/student/best-universities/best-universities-france</ref> | 8 |
Shanghai Ranking <ref>http://www.shanghairanking.com/World-University-Rankings/University-of-Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.html</ref> | 401-500 |
Classement mondial des universités QS (en médecine)<ref>https://www.topuniversities.com/universities/universit%C3%A9-de-versailles-saint-quentin-en-yvelines-uvsq/undergrad</ref> | 451-500 |
Journal et Web
Un journal baptisé « T'DACtu » est publié par l'université tous les deux mois. Il est destiné aux partenaires institutionnels de l'établissement, ainsi qu'aux étudiants et aux personnels<ref> Modèle:Lien web</ref>. Par ailleurs, l'université est initiatrice du projet européen Europolytec qui vise à concevoir un site Internet consacré aux métiers de l'informatique et de la mécatronique<ref> Modèle:Lien brisé</ref>.
Logos
Le premier logo reprenait les couleurs vert et bleu de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines tandis que les « rayons » faisaient référence à Louis XIV dit « le Roi-Soleil » et donc à Versailles. En 2011, pour fêter ses 20 ans, l'université s'offre une modernisation de son logo. Ce dernier reprend les éléments graphiques du précédents en les restylisant. Cette modification sera sujette à controverse tant l'université est accablée au niveau de ses finances. En 2015, à la suite de la création de l'université Paris-Saclay, l'UVSQ adopte dans son logo la charte graphique de l'université Paris-Saclay.
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Logo de juillet 1991 à septembre 2011.
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Logo de Modèle:Date- à Modèle:Date-
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Logo de l'université depuis 2020.